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Satillieu

Satillieu [satiljø], en occitan Satilhau, est une commune française, chef-lieu de canton jusqu'en 2014, situĂ©e dans le dĂ©partement de l'Ardèche en rĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes, Ă  14 kilomètres au sud d'Annonay.

Satillieu
Satillieu
Au-dessus de l'ancien village, le château, l'église Saint-Priest (XIXe siècle) et l'église romane.
Blason de Satillieu
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Tournon-sur-RhĂ´ne
Intercommunalité Communauté de communes du Val d'Ay
Maire
Mandat
Marie Vercasson
2020-2026
Code postal 07290
Code commune 07309
DĂ©mographie
Gentilé Satilliens
Population
municipale
1 501 hab. (2020 en diminution de 5,89 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 46 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 09′ 05″ nord, 4° 36′ 53″ est
Altitude Min. 433 m
Max. 1 225 m
Superficie 32,82 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Annonay
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Haut-Vivarais
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Satillieu
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Satillieu
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Satillieu

    GĂ©ographie

    Situation et description

    Un ancien chef-lieu de canton en campagne.

    La commune Ă©tend ses 32 km2 globalement autour de la vallĂ©e du Malpertuis, qui descend du col du Faux. Elle remonte jusqu'aux abords de Lalouvesc et jusqu'Ă  1 225 m au mont Chaix, mais aussi, au nord, jusqu'Ă  la Croix de Boiray et au Suc de Vent.

    La population a longtemps dĂ©passĂ© les 2 000 habitants. Au XXe siècle, jusque dans les annĂ©es 1960, elle s'est maintenue malgrĂ© l'exode rural grâce Ă  ses industries textiles. Elle a chutĂ© ensuite Ă  1 600 habitants, mais semble arriver Ă  s'y maintenir.

    Communes limitrophes

    Satillieu est limitrophe de neuf communes[1], toutes situées dans le département de l'Ardèche et réparties géographiquement de la manière suivante :

    Hydrographie

    Le village s'est installé dans la vallée, à la confluence du Malpertuis avec le Nant. Les deux ruisseaux réunis forment alors la rivière d'Ay.

    Urbanisme

    Typologie

    Satillieu est une commune rurale[Note 1] - [2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3] - [4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Annonay, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 37 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[5] - [6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (66,2 %), zones agricoles hétérogènes (18,2 %), prairies (11,3 %), zones urbanisées (4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    Aux temps préhistoriques, Satillieu a dû connaître, comme tout le Nord Ardèche, la présence de tribus magdaléniennes ; puis, à partir de 1000 av. J.-C., l'arrivée du peuple ligure, et un peu plus tard celle des Celtes.

    La période romaine n'a pas laissé apparemment de traces archéologiques. Mais elle pourrait avoir donné son nom au village, en tant que « domaine de Satillius ». Satillieu se trouvait au carrefour de deux voies d'importance régionale : de Serrières vers Lalouvesc, Saint-Agrève et Le Puy ; de Tournon vers Mahun, Saint-Bonnet et Yssingeaux. Un fort de surveillance a pu être installé sur la butte du village et regrouper une première agglomération.

    Moyen Ă‚ge

    Le christianisme s'est installĂ© dans la rĂ©gion Ă  partir du Ve siècle. Une Ă©glise, dĂ©pendante de l'abbaye de Saint-Claude dans le Jura, est attestĂ©e Ă  « Satilliacum » dans une charte de 776. Un peu plus tard, un bref du Xe siècle l'attribue Ă  l'abbaye Saint-Barnard de Saint-Pierre de Romans[9]. Elle est alors dĂ©diĂ©e Ă  saint Prix (appelĂ© aussi saint Priest), martyr de Clermont-Ferrand dĂ©cĂ©dĂ© en 676. Ă€ partir du XIe siècle, Satillieu dĂ©pend de l'archiprĂŞtrĂ© de Quintenas et du diocèse de Vienne.

    Un château hérité de la féodalité.

    Sous le régime féodal, Satillieu a été, à partir de 1023, sous la suzeraineté de l'archevêque de Vienne. À partir de 1244, l'administration en a été transmise à la puissante famille des Pagan, seigneurs de Mahun et d'Argental. Ils ont pris possession du fort de Satillieu, mais l'Église conservait le pouvoir sur ses prêtres et les biens paroissiaux. Par succession, le contrôle de la région est passé en 1362 à la famille des Retourtour, en 1382 à la famille des Tournon, en 1644 aux Lévis-Ventadour et en 1691 aux Du Faure, marquis de Satillieu.

    La population semble avoir connu pendant longtemps une certaine tranquillité. Par contre, au XVe siècle, elle a eu à subir les pillages des « Routiers », qui ont détruit le château de Mahun vers 1420. La peste a frappé la région notamment en 1522-1523 et en 1586[10]. Pendant les Guerres de Religion, Satillieu, restée catholique, a connu peu de troubles, si ce n'est une prise momentanée de son château par les protestants en 1568.

    Le développement du village

    Le village s'est d'abord installé sous l'enceinte défensive.

    L'habitat le plus ancien s'est construit sur la pente exposée au sud. Au fil des siècles, le fort de Satillieu est passé progressivement de maison forte à château résidentiel pour la famille de Tournon et enfin pour les marquis de Satillieu. Deux salles au décor particulier sont maintenant classées. En 1848, les bâtiments ont été rachetés par la commune qui en a fait un nouveau presbytère. C'est maintenant la mairie qui y est installée. Elle jouxte la grande église construite en 1854 sur l'emplacement d'une ancienne aile du château. En face, l'ancienne église est toujours présente, et est utilisée comme salle paroissiale. En dessous de l'enceinte, les maisons du vieux village souffrent d'une certaine désaffection et beaucoup mériteraient de sérieuses réhabilitations.

    L'agglomération s'est ensuite étirée en longueur.

    Le bas du village s'est développé peu à peu autour de la route principale et a fini par y développer ses services et ses espaces centraux : places, salle des fêtes, poste, collège, bureau du tourisme… C'est là aussi que se sont établies les usines de soieries, à partir de 1850.

    Une vie collective toujours animée.

    Malgré la fermeture des usines, en 1992, le village conserve encore de l'animation avec une vingtaine de commerces, des services assez complets, le marché du mardi matin et les fêtes en plein air. Des maisons individuelles plus récentes se sont installées sur les extérieurs ou en situation plus élevée.

    Aujourd'hui, le maintien de la population est encourageant. La vie collective retrouve mĂŞme un regain d'animation grâce Ă   des associations nombreuses et actives. L'hĂ©bergement est une activitĂ© non nĂ©gligeable, avec deux hĂ´tels, le camping, la maison de retraite et divers gĂ®tes ruraux. L'agriculture, qui reste importante avec une dizaine d'agriculteurs, maintient Ă  l'environnement son charme campagnard.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    26 mars 1977 André Broutechoux Journaliste
    Président du SIVM du canton de Satillieu (1975-1983)[11]
    26 mars 1977 25 mai 2020 Pierre Giraud DVG puis DVD Directeur OPHLM d'Annonay
    Conseiller général (1982-2015)
    25 mai 2020 En cours Marie Vercasson DVG Animatrice numérique
    Présidente de la Communauté de communes du Val d'Ay

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[13].

    En 2020, la commune comptait 1 501 habitants[Note 3], en diminution de 5,89 % par rapport Ă  2014 (Ardèche : +2,15 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7002 0242 0361 9521 8701 9501 9921 9962 049
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9522 3582 3102 2072 2202 5112 4222 2972 154
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 2082 2332 1652 0172 0202 1172 1772 1292 192
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    2 0711 9981 9721 8541 8181 5921 5961 6031 616
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 5951 5031 501------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee Ă  partir de 2006[15].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La population a longtemps dĂ©passĂ© les 2 000 habitants. Au XXe siècle, jusque dans les annĂ©es 1960, elle s'est maintenue malgrĂ© l'exode rural grâce Ă  ses industries textiles. Elle a chutĂ© ensuite Ă  1 600 habitants, mais semble arriver Ă  s'y maintenir.

    Au confluent du Nant et du Malpertuis qui forment la rivière d'Ay.

    Enseignement

    La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

    MĂ©dias

    Deux organes de presse écrite de niveau régional sont distribués dans la commune :

    Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et diffusé à Privas depuis 1999. Il couvre l'actualité pour tout le département de l'Ardèche.
    Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition du Nord-Ardèche (Annonay - Le Cheylard).

    Économie

    Le passé industriel

    À l'usine des Gauds.

    Dans les annĂ©es 1850, l'usine des Gauds a Ă©tĂ© construite par la famille Rocher pour abriter un atelier de tissage. Une annexe y a Ă©tĂ© rajoutĂ©e après 1875 sous l'impulsion de son nouveau dirigeant Ferdinand Glaizal. En 1900, 150 mĂ©tiers y fonctionnaient et en 1921, Émile Glaizal fondait la sociĂ©tĂ© Tissages de Soieries RĂ©unies. L'usine de la Bergère, construite en 1926, a abritĂ© près de 300 mĂ©tiers Ă  tisser et occupait 400 personnes en 1938. Puis d'autres usines ont Ă©tĂ© rachetĂ©es ou construites ailleurs. Mais la prospĂ©ritĂ© n'a pas Ă©tĂ© Ă©ternelle, et en 1980, TSR n'employait plus que 250 personnes Ă  Satillieu. En 1992, les 60 derniers employĂ©s de la Bergère ont Ă©tĂ© repris par la sociĂ©tĂ© Chamatex. La seule industrie subsistante Ă  Satillieu est l'atelier de NCA (Nouvelle Connectique ArdĂ©choise) avec 15 employĂ©s. L'usine inutilisĂ©e de la Bergère, qui s'Ă©tend sur 1,5 ha, est appelĂ©e Ă  subir des transformations : la partie la plus proche du village en zone commerciale, la partie centrale dĂ©molie, la partie Est amĂ©nagĂ©e en ateliers relais.

    Commerces et services

    Satillieu propose une remarquable densité de commerces et services pour un village de cette taille :

    • commerces : Ă©piceries, boulangeries/pâtisseries, boucheries, charcuteries, tabac, presse, salons de coiffure, bars, restaurants, hĂ´tels, banques, assurance, auto-Ă©cole ;
    • mĂ©dical : mĂ©decins, kinĂ©sithĂ©rapeute, dentiste, centre de soins, maison de retraite, pharmacie ;
    • Ă©ducation : deux Ă©coles primaires et un collège[16] ;
    • divers : bureau de poste, perception, centre multimĂ©dia, bureau du tourisme.

    Le tourisme et l'hébergement

    Le plan d'eau du Grangeon (cette image n'est plus actuelle).

    La végétation reste en effet très présente sur la commune avec encore beaucoup de prés qui précèdent les reliefs plus boisés. Au quartier du Grangeon, la commune a aménagé un camping. Des animations y ont lieu en été tous les mardis soir. À la sortie vers Lalouvesc, l'hôtel Best Western La Gentilhommière offre cinquante chambres, dix-huit studios et des salles de réunion en standing trois étoiles. Au village, l'hôtel Chaléat-Sapet offre treize chambres, également en trois étoiles. Et on peut trouver aussi plusieurs gîtes ou chambres d'hôtes. La ferme équestre d'Arthieux et La Maison des Poneys proposent des promenades et des randonnées.

    Culture locale et patrimoine

    Le château

    Un bâtiment bien conservé.

    Le château de Satillieu est installé sur une plateforme qui domine le vieux village. Il est extérieurement bien conservé et sert actuellement de mairie. Cette ancienne maison forte a été aménagée au XVIe siècle en résidence d'été par les seigneurs de Tournon. Plus tard, le château a été embelli par les Du Faure, marquis de Satillieu. Il en a conservé certains de ses embellissements intérieurs, avec deux salles classées Monuments Historiques: la Chambre de la Marquise[17] est tapissée de papiers peints du Premier Empire sur des sujets champêtres. Le Grand Salon qui sert de salle de mariages possède des tapisseries du XVIIIe sur Don Quichotte[18] qui ont été restaurées en 1968.

    En 1848, le dernier propriétaire privé du château a vendu les bâtiments et leur parc à la commune qui en a fait le presbytère. C'est maintenant la mairie qui y est installée.

    Les Ă©glises

    L'église actuelle, qui trône elle aussi sur la butte, a été construite de 1851 à 1854 sur l'emplacement d'une aile du château. Elle est placée sous le vocable de Saint-Priest. Mais l'église précédente est toujours debout en face. On en sait seulement qu'elle était déjà là au XVe siècle, avec son style roman influencé par l'ogival. Elle servait alors de collégiale, avec de nombreux prêtres et clercs en exercice ou en formation. Son clocher a été détruit en 1855 et ses pierres ont servi à la construction du nouveau clocher, entre le château et la nouvelle église. L'ancienne église a alors servi d'hospice. Elle sert aujourd'hui de salle paroissiale.

    L'église de 1854 a bénéficié d'importants embellissements en 1893 : allongement de la nef d'une travée et demie avec construction d'une nouvelle façade, ajout d'arcs et de colonnettes, d'autels latéraux et de vitraux… Elle abrite actuellement la grande croix de peste à bubons et personnages datée de 1526 qui a été classée au titre des monuments historiques en 1954. C'est une copie qui se trouve à son emplacement d'origine: dans le village à l’intersection de la route de Saint-Félicien[19].

    Le village ancien

    En contrebas du château, la partie la plus ancienne du village a conservé une allure médiévale. On y retrouve une partie des remparts qui soutiennent sa plateforme, une ancienne porte voûtée accolée à une tour typique, et des ruelles pittoresques.

    • Rues du village ancien

    HĂ©raldique

    Blason de Satillieu

    Les armes de Satillieu se blasonnent ainsi :
    D'azur à la bande enfilant trois couronnes et accompagnée de deux fleurs de lys, le tout d'or.

    Voir aussi

    Sources

    • AbbĂ© Hilaire, Monographie de Satillieu, 1938.
    • Albin Mazon, Voyage autour d'Annonay, 1901.
    • Guide de l'Union Touristique Ardèche Verte, 1991.
    • Office de tourisme du Val d'Ay.
    • Archives municipales.
    • Articles du DauphinĂ© libĂ©rĂ©, et notamment reportages du 24 juillet 2013 d'Amandine Brioude et reportages du 18 aoĂ»t 2014 de François Bassaget.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Institut national de l'information géographique et forestière (IGN), « Communes - Géoportail », sur http://www.geoportail.gouv.fr, (consulté le ).
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Albin Mazon, Églises du Vivarais, p. 31 et 170.
    10. Revue du Vivarais, .
    11. « Historique », sur val-d-ay.fr, Communauté de communes du Val d'Ay (consulté le ).
    12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    16. collège Saint-Joseph en Val d'Ay.
    17. « Ancien presbytère de Satillieu », notice no PA00116816, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    18. Salle Don Quichotte, sur le site de la mairie.
    19. « Croix de peste », notice no PA00116815, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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