Saison 1934-1935 de la Juventus FC
La saison 1934-1935 du Foot-Ball Club Juventus est la trente-troisième de l'histoire du club, créé trente-huit ans plus tôt en 1897.
Saison 1934-1935
Président | Edoardo Agnelli |
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Entraîneur |
Carlo Carcano puis Carlo Bigatto et Benè Gola |
Championnat |
Champion 44 points (18V-8N-4D) 45 buts pour, 22 contre |
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Coupe d'Europe centrale |
Demi-finale (3V-2N-2D) 16 buts pour, 14 contre |
Meilleur buteur |
Felice Borel (20) Championnat : Felice Borel (14) Coupe d'Europe: Felice Borel (6) |
Maillots
Domicile
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Chronologie
Le club turinois prend part ici à la 35e édition du championnat d'Italie (6e de Serie A), ainsi qu'à la 9e édition de la Coupe d'Europe centrale.
Historique
Quadruple championne en titre, La Juventus, présidée par Edoardo Agnelli et entraînée sur le banc par Carlo Carcano, tente à nouveau de conquérir le scudetto ainsi qu'une place en finale européenne.
À la suite du départ du portier emblématique de la Dame Gianpiero Combi, deux nouveaux gardiens de but arrivent dans l'effectif, Attilio Bulgheri et Eugenio Staccione. En défense arrive un futur grand joueur du club, le charismatique Alfredo Foni, tandis que Luciano Ramella et Pietro Serantoni viennent renforcer le milieu de terrain. L'attaque, est elle renforcée avec de nombreuses arrivées, à savoir Lino Cason, Armando Diena, Guglielmo Gabetto ainsi que Alberto Tiberti.
La Juve ouvre sa saison le dimanche en affrontant Brescia à l'extérieur sur leurs terres, remportant le match 2-0 grâce à des réalisations de Borel et Serantoni. Après ensuite deux victoires et un nul, le club turinois perd le premier match de sa saison lors de la 5e journée à Rome contre la Lazio, sur le score de 5 buts à 3 (avec des buts juventini de Cesarini et Serantoni sur doublé). Le dimanche suivant, la Juventus se ressaisit en battant l'Ambrosiana-Inter 1 but à rien grâce à Ferrari au Stade Benito Mussolini. L'équipe piémontaise termine ensuite son année avec 2 succès, une défaite et un match nul. Pour la première rencontre de 1935, les bianconeri jouent à Palerme le 6 janvier, les deux clubs se quittant sur un score vierge. Il s'ensuit trois victoires d'affilée, jusqu'au 3 février, où pour la première fois de l'histoire, le FBC Juventus réalise trois matchs nuls de suite, 0 à 0.
Entre-temps, l'entraîneur du club depuis la saison 1930-1931 Carlo Carcano (dit « l'entraîneur aux 1000 victoires ») finit par être licencié le 16 décembre, officiellement pour « motifs personnels »[1] - [2], et fut remplacé en intérim pour la fin de saison par l'ancienne vedette juventina Carlo Bigatto et par un autre ancien du club, Benedetto Gola[3].
Lors de la 18e journée, l'effectif remporte un large succès 4 buts à 0 contre les génois du Sampierdarenese (buts de Borel, Orsi et Cesarini), puis remporte son derby della Mole contre le Torino la semaine suivante, par 3 à 1 (réalisations de Borel, Monti et Orsi sur penalty), et se venge ensuite de l'humiliation subite par la Lazio lors de la phase aller, en les écrasant au retour 6-1 (avec un triplé de Ferrari et des buts d'Orsi, Depetrini et Borel). Les bianconeri terminent ensuite leur phase retour sans aucune défaite, jouant leur dernier match comptant pour la 30e journée le contre leur principal poursuivant et prétendant au titre, les florentins de la Fiorentina. Ce fut finalement Ferrari qui offrit le but décisif de la victoire 1-0 pour ce dernier match, au Stadio Giovanni Berta à Florence.
Pour la 5e fois d'affilée, le Foot-Ball Club Juventus termine champion d'Italie de la Serie A (nouveau record du football italien qui tiendra pendant 75 ans, jusqu'en 2010[4]). Avec 44 points inscrits (18 victoires, 8 matchs nuls et 4 défaites), le club juventino termine meilleure défense de la compétition (avec 22 buts encaissés) pour la 3e fois d'affilée, et achève avec succès sa période magique du Quinquennat d'or.
Le journaliste Bruno Roghi raconte ce cinquième scudetto bianconero de suite dans un article de La Gazzetta dello Sport du :
« Encore une fois l'éloge de la discipline et de la volonté. Encore une fois la reconnaissance que la Juventus, en parlant peu et à voix basse, comme le font les bonnes familles, ne perd pas parce qu'elle ne se disperse pas. Les victoires, sont pour elle des numéros à mettre en file et à additionner, ne servent pas à bavarder. C'est une équipe, et une société, qui quand elle gagne exulte, lorsqu'elle perd réfléchie. D'autres délirent quand ils gagnent, et sont abattus lorsqu'ils perdent. Le métier, pour la Juventus, signifie ceci : l'avenir d'une victoire peut s'appeler défaite, mais l'avenir d'une défaite doit s'appeler revanche… Mais la Juventus a eu à dire quelque chose de différent. Elle a dit que les matchs peuvent se gagner ou se perdre sur le terrain selon les lois variables qui président les jeux de balle, qu'il s'agisse de petites boules d'ivoire ou de balles de cuir. Mais elle a dit que les championnats se perdent ou se gagnent, essentiellement, avec le social. Les victoires sportives ne sont pas seulement des faits techniques, ou esthétiques. Elles sont des faits moraux. Sous ce point de vue, la Juventus est bien restée cadrée. Bien pour sois-même, bien pour ses adversaires, bien pour le sport national. »
Ce cinquième titre, fut le dernier du Quinquennat d'or, période dorée du club, devenu aimé de tout le pays.
« Le lien entre la famille Agnelli et la Juventus, joints par cinq scudetti au début des années trente, ont posé les bases de ce qui sera le football italien dans la seconde moitié du dernier siècle. Il fera simplement de l'équipe bianconera la fiancée d'Italie, la reine indiscutée de notre football, aimée par des millions de tifosi du nord au sud de la péninsule [...]. »
— Guido Luguori et Antonio Smargiasse, Calcio e Neocalcio: Geopolitica e prospettive del football in Italia, 2003
Le fut ensuite offert au club par le CONI (Comité national olympique italien) la Medaglia di Bronzo al Valore Atletico pour l'honneur d'avoir été le premier club à remporter cinq titres consécutifs[5].
À la suite de ce quintuplé rentrant dans les annales du football italien, Madame tente à nouveau d'être sacrée sur le continent. En prenant part à la Coupe d'Europe centrale quelques semaines après la fin du championnat, l'équipe bianconera se retrouve en huitième-de-finale confrontée aux tchécoslovaques du Viktoria Plzeň. Le premier match européen de l'année pour la Juventus se solde sur un nul 3 buts partout (avec des buts juventini de Borel sur doublé et Ferrari), mais le retour voit finalement l'équipe turinoise écraser les tchèques 5 buts à 1 (avec deux doublés de Ferrari et Borel et un but de Diena). En quarts-de-finale, la Juventus est confrontée aux hongrois du Hungária Football Club et s'impose 3 à 1 à Budapest à la suite de buts de Ferrari, Gabetto et Diena. À la suite d'un nul au retour 1 but partout (but de Ferrari), la Juve est se qualifie pour la 4e fois de suite pour les demi-finales du tournoi, et se retrouve à nouveau face à des tchécoslovaques, les géants continentaux du Sparta Prague. Après une défaite au match aller 2 buts à 0 puis une victoire au retour 3-1 à Turin (avec un but de la nouvelle recrue Prendato puis un doublé de Borel), un match d'appui doit avoir lieu pour déterminer le vainqueur. Sur terrain neutre à Bâle en Suisse, la Juve se fait finalement écraser 5 à 1 au Nordsten Stadion (malgré Foni qui sauva l'honneur sur penalty).
À la suite de l'énorme impact social généré par cet âge d'or avec ses succès, premiers d'Italie gérés au niveau professionnel, la société bianconera est désormais la plus supportée d'Italie, grâce au « généreux patronage de la dynastie Agnelli, singulier esprit sportif avec le style Juventus, considéré comme modèle de rigueur, de discipline et stabilité établie par Edoardo Agnelli, symbolisé par les Trois S (Simplicité, Sérieux, Sobriété), ainsi qu'un soutien très vaste des tifosi à travers tout le pays ». Cette période a permis la diffusion d'un nouveau type de gestion au niveau de la direction du club ainsi que dans le schéma tactique, en comparaison au reste du football italien, la Juventus l'ayant rendue « plus techniquement et tactiquement homogène, contribuant à rendre la sélection [...] reine du football mondial dans les années trente », selon l'historien du sport Antonino Fugardi.
C'est également au cours de cette période que l'on commença à surnommer l'équipe la Vieille Dame (en italien Vecchia Signora), jeux de mot sur la Dame (en référence à la Juventus, aimée de toute la péninsule) et sur l'âge avancé des joueurs clés du club (Luigi Bertolini, Giovanni Ferrari et Luis Monti étaient tous trentenaires)[6].
Cette date charnière dans l'histoire du club, fut également la fin d'un cycle, accentué par le décès survenu du président Edoardo Agnelli le lors d'un accident d'hydravion à Gênes, revenant d'un week-end d'été de la station balnéaire de Forte dei Marmi. Le décès boucle le cycle légendaire du Quinquennio d'oro. Raimundo Orsi et Renato Cesarini retournèrent en Argentine, tandis que Giovanni Ferrari rejoindra l'Ambrosiana-Inter et Umberto Caligaris à Brescia.
Déroulement de la saison
Résultats en championnat
- Phase aller
dimanche 1re journée |
Brescia | 0 - 2 | Juventus | Stadio Comunale, Brescia 15h30 Arbitre : Scarpi |
66e Borel 74e Serantoni |
dimanche 2e journée |
Juventus | 2 - 1 | Naples | Stadio Benito Mussolini, Turin 15h00 Arbitre : Mastellari |
Borel 60e Ferrari 82e |
10e Ferraris |
dimanche 3e journée |
Sampierdarenese | 0 - 1 | Juventus | Stadio del Littorio, Gênes 15h00 Arbitre : Barlassina |
50e Ferrari |
dimanche 4e journée |
Juventus | 1 - 1 | Torino | Stadio Benito Mussolini, Turin 15h00 Arbitre : Scorzoni |
Borel 53e | 6e Baldi |
dimanche 5e journée |
Lazio | 5 - 3 | Juventus | Stadio Nazionale del P.N.F., Rome 14h30 Arbitre : Turbiani |
Piola 37e 77e Fantoni I 39e De Maria 50e Levratto 74e |
16e Cesarini 81e 89e Serantoni |
dimanche 6e journée |
Juventus | 1 - 0 | Ambrosiana-Inter | Stadio Benito Mussolini, Turin 14h30 Arbitre : Ciamberlini |
Ferrari 69e |
dimanche 7e journée |
Livourne | 1 - 2 | Juventus | Stadio Edda Ciano Mussolini, Livourne 14h30 Arbitre : Levrero |
Busoni 13e | 68e Serantoni 87e Borel |
dimanche 8e journée |
Juventus | 0 - 0 | Triestina | Stadio Benito Mussolini, Turin 14h30 Arbitre : Caironi |
dimanche 9e journée |
Bologne | 2 - 0 | Juventus | Stadio Littoriale, Bologne 14h30 Arbitre : Barlassina |
Schiavio 11e Fedullo 14e |
dimanche 10e journée |
Juventus | 4 - 1 | Alexandrie | Stadio Benito Mussolini, Turin 14h30 Arbitre : Dattilo |
Borel 6e Cesarini 46e 71e Serantoni 59e |
28e Riccardi |
dimanche 11e journée |
Palerme | 0 - 0 | Juventus | Stadio Littorio, Bologne 14h30 Arbitre : Scorzoni |
dimanche 12e journée |
Roma | 1 - 2 | Juventus | Campo Testaccio, Rome 14h30 Arbitre : Ciamberlini |
Scaramelli 30e | 59e 83e Borel |
dimanche 13e journée |
Juventus | 1 - 0 | Milan | Stadio Benito Mussolini, Turin 14h30 Arbitre : Scotto |
Borel 37e |
dimanche 14e journée |
Pro Vercelli | 0 - 1 | Juventus | Stadio Leonida Robbiano, Verceil 14h30 Arbitre : Gianelli |
65e Orsi |
dimanche 15e journée |
Juventus | 0 - 0 | Fiorentina | Stadio Benito Mussolini, Turin 14h30 Arbitre : Scorzoni |
- Phase retour
dimanche 16e journée |
Juventus | 0 - 0 | Brescia | Stadio Benito Mussolini, Turin 14h30 Arbitre : Barlassina |
dimanche 17e journée |
Naples | 0 - 0 | Juventus | Stadio Partenopeo, Naples 15h00 Arbitre : Scarpi |
dimanche 18e journée |
Juventus | 4 - 0 | Sampierdarenese | Stadio Benito Mussolini, Turin 15h00 Arbitre : Pasinato |
Borel 4e 56e Orsi 55e Cesarini 60e |
dimanche 19e journée |
Torino | 1 - 3 | Juventus | Stadio Filadelfia, Turin 15h00 Arbitre : Gianelli |
Bo 81e | 72e Borel 77e Monti 78e (pen.) Orsi |
dimanche 20e journée |
Juventus | 6 - 1 | Lazio | Stadio Benito Mussolini, Turin 15h00 Arbitre : Levrero |
Ferrari 10e 22e 44e Orsi 62e Depetrini 72e Borel 82e (pen.) |
55e Fantoni III |
dimanche 21e journée |
Ambrosiana-Inter | 0 - 0 | Juventus | Stadio San Siro, Milan 15h00 Arbitre : Scorzoni |
dimanche 22e journée |
Juventus | 2 - 1 | Livourne | Stadio Benito Mussolini, Turin 15h00 Arbitre : Bertone |
Varglien II 72e 88e | 90e Busoni |
dimanche 23e journée |
Triestina | 2 - 1 | Juventus | Stadio Littorio, Trieste 15h30 Arbitre : Scarpi |
Mian 2e Colaussi 75e |
26e Monti |
dimanche 24e journée |
Juventus | 1 - 0 | Bologne | Stadio Benito Mussolini, Turin 15h30 Arbitre : Bevilacqua |
Varglien II 79e |
dimanche 25e journée |
Alexandrie | 0 - 0 | Juventus | Stadio del Littorio, Alexandrie 15h30 Arbitre : Gianelli |
dimanche 26e journée |
Juventus | 2 - 1 | Palerme | Stadio Benito Mussolini, Turin 15h30 Arbitre : Mastellari |
Varglien II 9e Cesarini 89e |
4e Blasevich |
dimanche 27e journée |
Juventus | 2 - 1 | Roma | Stadio Benito Mussolini, Turin 15h30 Arbitre : Scotto |
Borel 28e 69e | 81e Bodini |
dimanche 28e journée |
Milan | 3 - 0 | Juventus | Stadio San Siro, Milan 15h30 Arbitre : Levrero |
Arcari 15e 66e Romani 69e |
Classement
Classement final 1934-1935 | Pts | MJ | V | N | D | BP | BC | Dif | ||
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1. | Juventus | 44 | 30 | 18 | 8 | 4 | 45 | 22 | +23 | |
2. | Ambrosiana-Inter | 42 | 30 | 15 | 12 | 3 | 58 | 24 | +34 | |
3. | Fiorentina | 39 | 30 | 15 | 9 | 6 | 39 | 23 | +16 |
7e titre La Juventus championne d'Italie de Serie A de 1934-1935 |
Résultats en coupe d'Europe centrale
- 8e-de-finale
dimanche Match aller |
Viktoria Plzeň | 3 - 3 | Juventus | Plzeň 18h20 Arbitre : Iváncsics |
Bina 19e Biro 36e Hess 60e |
24e 61e Borel 33e Ferrari |
dimanche Match retour |
Juventus | 5 - 1 | Viktoria Plzeň | Stadio Benito Mussolini, Turin Arbitre : Miesz |
Ferrari 6e 86e Borel 25e 77e Diena 39e |
Bina 70e |
- Quarts-de-finale
dimanche Match aller |
Hungária | 1 - 3 | Juventus | Budapest 18h00 Arbitre : Beranek |
Müller 75e (pen.) | Ferrari 50e Gabetto 75e Diena 77e |
samedi Match retour |
Juventus | 1 - 1 | Hungária | Stadio Benito Mussolini, Turin 18h00 Arbitre : Bizik |
Ferrari 14e | Titkos 47e |
- Demi-finale
mardi Match aller |
Sparta Prague | 2 - 0 | Juventus | Stadion Letná, Prague 18h15 Arbitre : Beranek |
Faczinek 42e Zajíček 68e (pen.) |
Matchs amicaux
dimanche | Genoa | 1 - 2 | Juventus | |
Buteur inconnu | Buteurs inconnus |
jeudi | Messine | 2 - 5 | Juventus | |
Buteurs inconnus | Buteurs inconnus |
lundi | Grasshoppers Zurich | 1 - 2 | Juventus | |
Buteur inconnu | Buteurs inconnus |
Coppa Pettinatura Lane
lundi | Pro Vercelli | 0 - 2 | Juventus | |
Buteurs inconnus |
Effectif du club
Effectif des joueurs du Foot-Ball Club Juventus lors de la saison 1934-1935.
Défenseurs | |
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Umberto Caligaris | |
Alfredo Foni | |
Virginio Rosetta (C) | |
Giovanni Varglien II |
Milieux de terrain | |
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Luigi Bertolini | |
Teobaldo Depetrini | |
Luis Monti | |
Luciano Ramella | |
Pietro Serantoni | |
Mario Varglien I |
Attaquants | |
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Felice Borel | |
Lino Cason | |
Renato Cesarini | |
Armando Diena | |
Giovanni Ferrari | |
Guglielmo Gabetto | |
Raimundo Orsi | |
Alberto Tiberti |
Entraîneur | |
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Carlo Carcano (début de saison - décembre 1934) | |
Carlo Bigatto et Benè Gola (décembre 1934 - fin de la saison) |
Buteurs
Voici ici les buteurs du Foot-Ball Club Juventus toute compétitions confondues.
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
- En réalité, certaines sources affirment qu'il fut licencié pour sa présumée homosexualité, mal tolérée dans une Italie encore traditionnelle sous l'égide d'un régime fasciste prônant la virilité.
- (it) L’omosessualità nello sport, un tabù da sfatare
- (it) Storia del Campionato di Calcio: 1934-1935
- Avec les 5 scudetti de l'Inter de Milan acquis entre 2005-2006 et 2009-2010 (titres n'ayant cependant jamais pu être acquis sans le scandale du Calciopoli qui toucha la Juve).
- « Il Duce premierà gli atleti vanto dello sport fascista », La Stampa, , p. 4 (lire en ligne, consulté le )
- LINTERN@UTE: SPORT — La Vieille Dame de Turin
- 200e match de Serie A de l'histoire du club.
- (it) STAGIONE 1934-1935 PARTITE AMICHEVOLI E TORNEI MINORI
- (it) La Storia dell'Inter — Stagione 1934/35