Accueil🇫🇷Chercher

Saint-Paul-Mont-Penit

Saint-Paul-Mont-Penit est une commune française située dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire.

Saint-Paul-Mont-Penit
Saint-Paul-Mont-Penit
L'Ă©glise Saint-Paul en .
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement La Roche-sur-Yon
Intercommunalité Communauté de communes de Vie et Boulogne
Maire
Mandat
Philippe Crochet
2020-2026
Code postal 85670
Code commune 85260
DĂ©mographie
Population
municipale
831 hab. (2020 en augmentation de 3,88 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 50 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 47′ 54″ nord, 1° 39′ 32″ ouest
Altitude 44 m
Min. 12 m
Max. 71 m
Superficie 16,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction La Roche-sur-Yon
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Challans
Législatives Première circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Paul-Mont-Penit
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Paul-Mont-Penit
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Voir sur la carte topographique de la Vendée
Saint-Paul-Mont-Penit
GĂ©olocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
Saint-Paul-Mont-Penit
Liens
Site web Site officiel

    GĂ©ographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte topographique
    Avec les communes environnantes
    Avec les communes environnantes
    Play Pause Stop Précédent Suivant Select
    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    Le territoire municipal de Saint-Paul-Mont-Penit s'Ă©tend sur 1 676 hectares. L'altitude moyenne de la commune est de 44 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 12 et 71 mètres[1] - [2].

    Saint-Paul-Mont-Penit est situĂ©e au centre gĂ©ographique de l'ancien canton de Palluau, dans le Nord-Ouest vendĂ©en ; toutes les communes de celui-ci lui sont limitrophes, sauf Apremont (VendĂ©e). Sa superficie est de 1 658 ha, son altitude ne dĂ©passe pas 70 mètres, et sa population est d'environ 700 habitants (Montpenois et Montpenoises). Saint-Paul est traversĂ©e par la Petite Boulogne, affluent de la Vie.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Paul-Mont-Penit est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Roche-sur-Yon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[6] - [7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,3 %), zones agricoles hétérogènes (21,3 %), prairies (14 %), zones urbanisées (2,4 %), mines, décharges et chantiers (2 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Histoire

    Les premières traces d'occupation du territoire de la commune remontent au Néolithique, en témoignent les nombreuses haches en pierre polie trouvées principalement dans les vallées de la Petite Boulogne et en aval du ruisseau dit de Saint Paul autrefois nommé ruisseau du Guy (gué). Ces premiers habitants établissent leurs habitations sur les sols les plus fertiles et les plus faciles à travailler manuellement. Les Gaulois puis les Romains poursuivent l'œuvre de défrichage (site archéologique des Robinières aux Grois). Ces derniers améliorent les voies de communication venant du littoral qui traversent le territoire de la commune pour converger vers la grande voie romaine passant à Palluau.

    Aux alentours du Xe siècle, un château érigé sur une motte castrale constitue l'un des maillons d'un système de défense contre les envahisseurs, notamment les Normands. Le site porte le nom de Pas du Château et c'est là qu'il faut chercher l'origine de la seconde partie du nom de la commune ; Mont désignant une éminence sur laquelle se dresse le donjon et Penit, Peny, Penil suivant des graphies qui ont varié au cours du temps serait tout simplement le patronyme de son propriétaire.

    L'évolution des techniques militaires, alliées au caractère périssable des matériaux, et sans doute pour d'autres causes que nous ignorons, les habitants qui devaient être peu nombreux, s'installent en amont en un lieu plus sain et mieux exposé. C'est à cette époque qu'arrivent les premiers religieux détachés de l'abbaye de Nieul-sur-l'Autise. Ils construisent la première église, leur habitation (un modeste prieuré) et placent le lieu sous la protection de saint Paul (apôtre des Nations) d'où le nom définitif : Saint-Paul de Mont Penit (Saint-Paul rattaché au nom du lieu qu'ils viennent de quitter : Mont Penit, Peny ou Penil). Le terme Nation est d'ailleurs resté dans l'appellation d'une rue : les Garennes de la Nation. Le prieuré bénéficie d'une donation importante tant en biens fonciers qu'en droits féodaux, notamment basse et haute justice à mi-temps, qui laisse à penser qu'un seigneur (peut-être celui du lieu) leur a légué une partie de ses prérogatives et possessions dont une dizaine d'hectares pour le prieur lui-même, un bois et deux fermes, l'une aux Grois et l'autre à la Petite Limonière. Il devient ainsi le troisième bénéfice de l'abbaye de Nieul-sur-l'Autise.

    Pendant les guerres de Religion, l'église est brûlée et, en 1562, l'aisance du prieuré attise la convoitise des Clérembault de Chantebuzain de Grand'Landes, mi-huguenots, mi-brigands, qui le prennent par les armes, le pillent et en conservent les bénéfices. Ces faits sont jugés par le tribunal d'exception des Grands Jours de Poitiers en 1567. En fuite, ils échappent à la sentence de mort et, rapidement leurs descendants redorent le blason familial en devenant, entre autres, propriétaires du château de Palluau.

    L'église, qui est d'ailleurs la seconde, est remise en état et embellie. En 1603, on y place sur un mur latéral de la nef, un groupe appelé la Passion composé d'un grand christ (inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques) et de deux statues en bois polychrome représentant la Vierge et saint Jean. Le prieuré, fonctionnant sous le régime de la commende, est remis en état et agrandi. Un prieur commendataire qui ne réside pas sur place en perçoit les bénéfices et le prieur-curé vit avec la portion congrue améliorée par le revenu de la petite ferme exploitée par un collon.

    La vente des biens de l'Église comme biens nationaux en 1791 et l'exil forcé du prieur Ambroise Rivereau et de son vicaire et neveu Jacques Rivereau (septembre 1792) poussent les habitants à la rébellion. Leur troupe, commandée par le capitaine de paroisse Tallonneau, s'illustre dans les combats de Palluau puis dans l'armée de Charette. En 1795, une colonne de républicains utilisant l'église comme caserne est délogée nuitamment sans ménagement. La quasi-totalité des bleus périt dans l'assaut et les victimes sont inhumées en un lieu qui se nomme toujours le Cimetière des Bleus.

    L'église où s'est passé ce fait n'existe plus aujourd'hui ; trop exiguë et en mauvais état, elle a été rebâtie en 1883/1884.

    LA POPULATION DU PAYS

    À la veille de la Révolution, Saint-Paul-Mont-Penit compte environ 500 habitants. On trouve des moyennes annuelles de 19 à 22 baptêmes, 4 à 6 mariages et 12 à 17 décès. La mortalité infantile était considérable. En règle générale, les deux tiers des enfants mouraient avant sept ans, dit-on. Maladies et épidémies faisaient de grands ravages dans les familles. À l'époque, on remarque l'empressement de nos ancêtres à procurer le baptême à leurs enfants le jour même de leur naissance ou le lendemain au plus tard. La sépulture a lieu habituellement le lendemain du décès, parfois le même jour.

    Toponymie

    De temps à autre, au XVIIe siècle, les registres paroissiaux nomment la paroisse Saint Paul de Commequiers. Toutefois les autres documents civils font toujours état de Saint Paul de Mont Penit. Pendant la période révolutionnaire, l'appellation Saint Paul de Commequiers revient sans, curieusement, supprimer le terme religieux Saint.

    Dans la seconde partie du XIXe siècle, profitant de l'essor économique, la commune s'est développée et plusieurs lieux-dits ont été créés sous la forme de fermes isolées : la Nomerie, le Machis, la Martinière, Bellevue, la Célinière, la Croix de la Liborgère, la Sorinière ou d'auberges comme les Plantes et le Pont-Ruisseau ou de maisons bourgeoises comme le logis de la Cantinière et l'extension de la Blanchère. Tout récemment sont venus s'adjoindre la Vigne du Rocher et le Pas du Château. Il est à noter la prédominance des hameaux de la Liborgère et de la Grènetière qui possèdent moulin (le grand moulin des Alouettes) meuniers, farinier, charpentier, sabotier, tisserand.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988 ? Francis Aucoin
    1995 28 mars 2014 Joseph Nicoleau[Note 10] - [10] UDF puis MoDem Retraité de l'enseignement
    28 mars 2014 en cours Philippe Crochet Gestionnaire immobilier

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[12].

    En 2020, la commune comptait 831 habitants[Note 11], en augmentation de 3,88 % par rapport à 2014 (Vendée : +4,62 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    350453568630624628674689696
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    704678661688705733736761772
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    741739658643629584600556548
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    527462452504488591620801811
    2020 - - - - - - - -
    831--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee Ă  partir de 2006[14].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,7 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 409 hommes pour 402 femmes, soit un taux de 50,43 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,84 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[15]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,2
    5,4
    75-89 ans
    6,2
    14,9
    60-74 ans
    16,7
    16,6
    45-59 ans
    16,7
    24,0
    30-44 ans
    24,4
    13,0
    15-29 ans
    13,9
    26,2
    0-14 ans
    21,9
    Pyramide des âges du département de la Vendée en 2018 en pourcentage[16]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2,1
    8,4
    75-89 ans
    11
    19,5
    60-74 ans
    20,4
    20
    45-59 ans
    19,4
    18
    30-44 ans
    17,1
    14,9
    15-29 ans
    13,2
    18,5
    0-14 ans
    16,8

    Lieux et monuments

    • La cure de Saint-Paul-Mont-Penit Ă©tait l'un des plus importants bĂ©nĂ©fices de l'abbaye de Nieul-sur-l'Autise, elle apparaĂ®t dans un document antĂ©rieur Ă  1306 (pouillĂ© de Gauthier de Bruges, Ă©vĂŞque de Poitiers mort en 1306) « sancti Pauli est regularium (l'abbaye de Nieul) ordre de Saint-Augustin ».

    On suppose cependant une existence antérieure. Comme Nieul, le prieuré est desservi par l'ordre régulier des chanoines de Saint-Augustin, religieux vivant en communauté sous une règle et exerçant un ministère pastoral, c'est-à-dire assurant le service de l'église, en l'occurrence ici la paroisse de Saint-Paul.

    Le prieur-curé de Saint-Paul-Mont-Penit, en tant que seigneur des lieux, avait droit de haute, moyenne et basse justice sur l'étendue de son fief. Les domaines comprenaient la maison curiale, dite le Prieuré et environ 120 ha (le bois de Saint-Paul et deux métairies l'une aux Grois et l'autre à la Petite Limonière.

    On a la trace des chanoines de Saint-Augustin encore en 1717, date de sépulture de l'un d'entre eux. L'abbaye de Nieul est sécularisée en 1720 et on ne sait pas quelles en sont les conséquences pour Saint-Paul-Mont-Penit car on continue à trouver la présence de prieurs. On trouve en 1792 un dernier prieur, Ambroise Rivereau, ainsi que son neveu, Jacques Rivereau, vicaire. Tous les deux prêtres réfractaires, ils s'exilèrent cette année-là pour l'Espagne.

    Tous les biens du prieuré sont vendus comme biens nationaux le 11 avril 1791, hormis le prieuré proprement dit, une maison et quelques terres qui sont mis sous séquestre. En 1798, après des enchères publiques, ils sont attribués à Jean Touzeau. La borderie du prieuré, dont le curé jouit à titre personnel, est vendue en 1791 comme bien national à Jean François Nicolas Porteau qui périt, victime de la guerre civile en 1794 comme trois de ses jeunes enfants. Son frère, Louis François deviendra maire de Saint-Paul-Mont-Penit de 1819 à 1826. Depuis, le prieuré reste aux mains de propriétaires privés. Pendant deux siècles, il est loué en deux parties : l'une en ferme et l'autre est utilisée par ses propriétaire. Pendant de nombreuses années, c'est un atelier de menuiserie charpenterie.

    • Église Saint-Paul.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Reconduit dans ses fonctions le 29 juillet 1852.
    4. Maintenu dans ses fonctions en août 1860.
    5. Reconduit dans ses fonctions le 15 mai 1874, le 8 octobre 1876 et le 23 janvier 1881.
    6. RĂ©Ă©lu le 18 mai 1884.
    7. RĂ©Ă©lu le 20 mai 1888, le 15 mai 1892, le 17 mai 1896, le 20 mai 1900, 15 mai 1904 et le 27 mai 1908.
    8. Réélu le 19 mai 1912 et le 10 décembre 1919.
    9. RĂ©Ă©lu le 17 mai 1925 et le 11 mai 1928.
    10. RĂ©Ă©lu en 2001 et 2008.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Commune 7295 », Géofla, version 2.2, base de données de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
    2. « Saint-Paul-Mont-Penit », Répertoire géographique des communes, fichier de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de La Roche-sur-Yon », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. Site officiel de la préfecture de la Vendée - liste des maires(doc pdf)
    11. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    12. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    15. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Paul-Mont-Penit (85260) », (consulté le ).
    16. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.