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SĂ©bastien Martin

Sébastien Martin, né le à Vichy (Allier) est un homme politique français se réclamant d’une droite ouverte et modérée[2].

SĂ©bastien Martin
Illustration.
SĂ©bastien Martin, en 2020.
Fonctions
Président d’Intercommunalités de France
En fonction depuis le
(2 ans, 7 mois et 25 jours)
Élection
Prédécesseur Jean-Luc Rigaut
1er vice-président du conseil départemental de Saône-et-Loire[1]
En fonction depuis le
(8 ans, 2 mois et 28 jours)
Élection
RĂ©Ă©lection
Président André Accary
Conseiller départemental de Saône-et-Loire
En fonction depuis le
(8 ans, 2 mois et 28 jours)
Élection 29 mars 2015
RĂ©Ă©lection 20 juin 2021
Circonscription Canton de Givry
Prédécesseur Pierre Voarick
Président du Grand Chalon
En fonction depuis le
(9 ans, 2 mois et 13 jours)
Élection
RĂ©Ă©lection
Prédécesseur Christophe Sirugue
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Vichy (Allier)
Nationalité Française
Parti politique RPR (jusqu’en 2002)
UMP (2002-2015)
LR (2015-2017 ; depuis 2021)
NF (depuis 2022)
Diplômé de IEP de Grenoble
Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Profession Consultant

Il est président de la communauté d’agglomération du Grand Chalon depuis 2014 et 1er vice-président du conseil départemental de Saône-et-Loire[3] depuis 2015.

En , il est élu président d’Intercommunalités de France[4].

En 2022, il est nommé chevalier dans l’Ordre national du mérite[5]

Biographie

Formation

Diplômé en 2000 de l’Institut d'études politiques de Grenoble - section politique[6] - il obtient par la suite un DESS de communication politique et sociale à l'Université Paris 1 – Panthéon Sorbonne en 2001.

Carrière professionnelle

À la suite de son passage en tant que stagiaire au sein du groupe RPR à l’Assemblée nationale, Sébastien Martin devient assistant parlementaire de Jean Proriol (UMP), député de la Haute-Loire (2e circonscription)[7].

C’est en 2001 qu’il rejoint le territoire chalonnais en tant qu’attaché parlementaire et conseiller auprès de Dominique Perben (UMP), alors député-maire de Chalon-sur-Saône pour la XIIe législature (2002-2007).

Du fait de la nomination de ce dernier ministre de la Justice en 2002[8], Sébastien Martin devient collaborateur du député suppléant Dominique Juillot[9]. Il est rappelé dès 2005 auprès de Dominique Perben, alors ministre des Transports, de l'Equipement, du Tourisme, et de la Mer[10] pour lequel il assure le poste de chargé de mission au sein de son cabinet[11].

Ces premières expériences le mèneront, à partir de 2006, à la direction du cabinet de Dominique Juillot, devenu président de la communauté d'agglomération du Grand Chalon en 2004.

À la suite de l’élection de Christophe Sirugue (PS) en 2008 et le changement de majorité, Sébastien Martin s’éloigne du Chalonnais pour prendre les fonctions de directeur de cabinet auprès de Patrick Ollier (UMP) à Rueil-Malmaison puis de Jean-Marie Bockel (UDI) à Mulhouse entre 2010 et 2011.

Sa carrière se poursuit au ministère des Sports en tant que conseiller[12] auprès de Chantal Jouanno puis de collaborateur chargé de la vie associative et du bénévolat au sein du cabinet ministériel de David Douillet[13], sous le mandat présidentiel de Nicolas Sarkozy (UMP).

Entre 2013 et 2015, il occupe le poste de consultant pour un cabinet de recrutement parisien.

Président du Grand Chalon

Après les élections présidentielles de 2012, Sébastien Martin décide de s'impliquer directement dans la vie politique chalonnaise. En , il fonde l’association « Chalon, Alternative 2014 » pour préparer les élections municipales dans l'optique de rassembler les représentants de droite en lice : Sébastien Martin (UMP), Isabelle Dechaume (UDI) et Gilles Platret (UMP)[14].

Finalement investi par la Commission nationale d'investiture de l'UMP le [15] mais face au risque de division de la droite et du centre, Sébastien Martin prône l'union et renonce à la tête de liste décidant de porter les enjeux liés à l'agglomération dans la campagne[16].

En 2014, il prend part à la liste « Tous pour Chalon », conduite alors par Gilles Platret (LR), qui remportera 52,39 % des suffrages au 1er tour des élections municipales le [17]. À 36 ans, après avoir été élu conseiller municipal, Sébastien Martin devient alors président du Grand Chalon le avec 65 voix sur 83[18].

Conscient du potentiel industriel du territoire, il s'engage pour le réaménagement de la zone économique SaôneOr[19], ex-site de l'entreprise Kodak, afin d'y accueillir de nouvelles entreprises[20] - [21].

En vue des élections municipales de , il s'investit sur la liste commune « En Avant Chalon » avec le maire sortant de Chalon-sur-Saône, Gilles Platret[22]. La liste l'emporte à 52,92% des voix[23].

De nouveau élu conseiller municipal[24], Sébastien Martin se représente à la présidence du Grand Chalon en proposant une gouvernance marquée par l’implication de l’ensemble des communes de l’agglomération. Il est réélu le , par 77 voix sur 94, aux côtés de 14 vice-présidents[25].

Conscient du potentiel économique de l’agglomération et convaincu par la pertinence de sa réindustrialisation pour assurer l’avenir du territoire, il en fait le pilier prioritaire de sa stratégie[26].

Dès 2015, il s'engage pour le réaménagement de la zone économique SaôneOr (ex-site de l'entreprise Kodak) afin de disposer de foncier pour accueillir de nouvelles entreprises, la création d’une offre d’accompagnement à leur transformation écologique et digitale mais aussi, l’accueil de diplômes d’enseignement supérieur et de structures de recherche répondant aux besoins en compétences des entreprises locales.

En 2018 puis en 2020, le Grand Chalon se voit labelliser Territoire d’Industrie[27] puis Site industriel clés en mains[28].

Sur la base des résultats économiques obtenus sur le Grand Chalon (baisse du taux de chômage[29], augmentation du nombre d’habitants[30] et d’étudiants[31], implantation de grands groupes[32] - [33]…), l’agglomération est citée parmi les territoires français exemplaires en matière de réindustrialisation[34].

1er Vice-président du département de Saône-et-Loire

Depuis , il est par ailleurs élu conseiller départemental du canton de Givry[35] (Saône-et-Loire) puis 1er vice-président du département de Saône-et-Loire, chargé de l’aménagement et de l’aide aux territoires, des infrastructures et des routes[36]. Il est réélu dès le premier tour des élections départementales suivantes aux côtés de Dominique Lanoiselet le 21 juin 2021, récoltant 81,69% des voix contre le binôme représentant le Rassemblement National[37].

Président d’Intercommunalités de France

Auparavant vice-président en charge de l’aménagement du territoire de l’Assemblée des Communautés de France (AdCF) désormais nommée Intercommunalités de France depuis octobre 2021[38], Sébastien Martin en devient président le [39] prenant ainsi la succession de Jean-Luc Rigaut, ancien maire d'Annecy et ancien président de la communauté d'agglomération du Grand Annecy.

Dans le cadre de son mandat, Sébastien Martin s'attèle à expliquer et à défendre le rôle de l’intercommunalité aux côtés de la commune et en faveur du bloc local[40]. Il participe à la montée en puissance d’Intercommunalités de France au rang des 3 autres principales associations d’élus locaux françaises (AMF, ADF et Régions de France)[41].

Positionnement national

Dans le cadre des primaires de la droite en 2017, il appelle à voter pour Alain Juppé[42]. À la suite de la défaite du parti Les Républicains aux élections présidentielles et s’affirmant dans la lignée de Xavier Bertrand[43], il exprime son désaccord avec la nouvelle ligne du parti[44]. Sébastien Martin annonce alors ne pas avoir renouvelé sa cotisation après l’élection de Laurent Wauquiez à la présidence en [45].

À l’occasion de la primaire de la droite pour les élections présidentielles 2022, il soutient de nouveau la candidature de Xavier Bertrand[46].

Fortement attaché à sa famille politique, il affirme que “la droite a un avenir si elle redevient elle-même[47]” suite à la défaite de Valérie Pécresse au 1er tour du scrutin présidentiel.

Prises de position

RĂ©industrialisation

S’appuyant sur son expĂ©rience locale (cf. supra), SĂ©bastien Martin appelle Ă  la rĂ©industrialisation de la France pour garantir son avenir Ă©conomique, assurer le rĂ©Ă©quilibrage des territoires et tendre vers une plus grande cohĂ©sion nationale[48].  

Fervent défenseur d’une politique industrielle nationale s’appuyant sur la mobilisation et l’accompagnement de tous les territoires, il soutient que pour réindustrialiser “le Gouvernement seul ne peut rien[49]” après avoir dénoncé le manque de volonté de ce dernier de dialoguer et de prendre en compte l’échelon local[50].

Pour ce faire, SĂ©bastien Martin appelle au dĂ©veloppement de coopĂ©rations entre tous les acteurs des Ă©cosystèmes locaux concernĂ©s (chefs d’entreprises, Ă©lus locaux, enseignants-chercheurs, Ă©tudiants, institutions…) grâce notamment, Ă  la montĂ©e en puissance du programme Territoires d’Industrie[51].  

Conscient des besoins des entreprises pour s’implanter et se développer ainsi que ceux des territoires pour les accueillir, Sébastien Martin porte dès 2022, plusieurs propositions[52] pour la nouvelle stratégie industrielle du Gouvernement français :

  • la multiplication, partout en France, de sites industriels clĂ©s en main [53]rapidement disponibles pour un industriel en raison de l’anticipation des procĂ©dures et des Ă©tudes relatives Ă  l’urbanisme, Ă  l’archĂ©ologie prĂ©ventive et Ă  l’environnement
  • la crĂ©ation d’AcadĂ©mies industrielles[54] dans les territoires, pour rapprocher les formations d’enseignement supĂ©rieur des entreprises, selon leurs besoins en compĂ©tences.

Territoires et décentralisation

Investi sur les enjeux relatifs à la décentralisation et à la déconcentration, il prône une nouvelle politique d’aménagement du territoire basée notamment, sur l’attractivité des villes moyennes et sur des relations de confiance entre l'État et les collectivités territoriales[55]. Dans une prise de position pour le journal La Tribune, il appelle en ce sens à une "France des Territoires réconciliés"[56].

OpposĂ© Ă  toute grande redistribution des compĂ©tences entre collectivitĂ©s territoriales en matière de dĂ©centralisation[57], SĂ©bastien Martin dĂ©fend pour autant “un changement de modèle fondĂ© sur la France des bassins de vie[58]” reposant sur une territorialisation des politiques publiques selon les besoins spĂ©cifiques de chaque territoire oĂą les Français vivent[59].  

Dans ce cadre, il défend par ailleurs la reconnaissance du statut de collectivités territoriales à l’intercommunalité au sens de l’article 72 de la Constitution affirmant qu’"au regard de ses compétences, du nombre de ses agents et du poids de ses budgets, elle n’a rien à voir avec les autres établissements publics[60]”.

DĂ©tails des mandats et fonctions

Mandats locaux

Mandats nationaux

Notes et références

  1. Chargé de l’Aménagement et de l’aide aux territoires, des Infrastructures et des Routes.
  2. « Sébastien Martin sème les jalons d'une droite "modérée et ouverte" en Saône et Loire »
  3. « Sébastien Martin - Département. », sur https://www.saoneetloire71.f
  4. Adcf, « Gouvernance de l’AdCF : Sébastien Martin élu nouveau président de l’association », sur Adcf.fr,
  5. République Française, « Décret du 23 novembre 2022 portant promotion et nomination dans l'ordre national du Mérite », sur Légifrance, (consulté le )
  6. « Sébastien Martin, Président de l'agglomération du Grand Chalon », sur https://diplomes-iepg.fr/,
  7. Grégory Jacob, « Derrière le chef des sports », sur https://www.lejsl.com/
  8. « Dominique Perben : Ministre de la Justice, garde des Sceaux », sur https://www.liberation.fr/
  9. B. Montaggioni, « Quand le suppléant devient député », sur https://www.lejsl.com/
  10. « Dominique Perben, nouveau ministre des Transports, de l'Équipement, du Tourisme et de la Mer »
  11. « Cabinet de Dominique Perben, ministre des Transports, de l'Équipement, du Tourisme et de la Mer. Archives du directeur de cabinet et du conseiller chargé des affaires internationales (2002-2007) », sur https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/
  12. « Arrêté du 11 juillet 2011 portant nomination au cabinet de la ministre des sports », sur https://www.legifrance.gouv.fr/,
  13. « Arrêté du 26 septembre 2011 portant nomination au cabinet du ministre », sur https://www.legifrance.gouv.fr/
  14. « Chalon : Sébastien Martin candidat à l'investiture de l'UMP », sur https://www.lejsl.com/,
  15. « Sébastien Martin investi par l’UMP », sur https://www.lejsl.com/
  16. « Chalon-sur-Saône : les municipales sèment la confusion à droite »
  17. « 1er tour des municipales à Chalon-sur-Saône : sèvère défaite de Christophe Sirugue battu par Gilles Platret »
  18. « S. Martin, président : « Nous devons viser haut et loin » », sur https://www.lejsl.com/
  19. Arnaud Morel, « Chalon-sur-Saône, le déclic économique »
  20. « Le groupe agroalimentaire espagnol Vicki Foods va s'implanter à Chalon-sur-Saône »
  21. « Chalon-sur-Saône : la société S.G.T. va s'implanter à SaoneOr »
  22. « Gilles Platret et Sébastien Martin : « Avec nous, vous savez où vous allez » »
  23. « Chalon-sur-Saône : résultats des élections 2021 », sur Chalon-sur-Saône : résultats des élections 2021
  24. « Composition du conseil municipal »
  25. « Sébastien Martin réélu président du Grand Chalon », sur https://www.lejsl.com/edition-chalon-sur-saone/2020/07/07/sebastien-martin-reelu-president-du-grand-chalon-direct
  26. Antonin Tabard, « Le Grand Chalon veut développer l’industrie et décentraliser la formation », Le Journal du Palais,‎ (lire en ligne)
  27. Florent MULLER, « Le Grand Chalon reconnu Territoire d’industrie », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ (lire en ligne)
  28. Kaléidoscope, « Le Grand Chalon labellisé « Sites industriels clé en main » », Kaléidoscope,‎ (lire en ligne)
  29. Laurent Guillaumé, « Sébastien Martin se félicite de la poursuite de la baisse du chômage dans le Grand Chalon », Info-Chalon,‎ (lire en ligne Accès libre)
  30. Pierre Demoux, « La Saône et Loire continue de perdre des habitants », Les Echos,‎ (lire en ligne Accès libre)
  31. Laurent Guillaumé, « L'ambition de 3000 étudiants d'ici 2030 sur le Grand Chalon et la création prochaine d'un campus étudiant », Info-Chalon,‎ (lire en ligne)
  32. Christophe Tourné, « Bourgogne : ITEN choisit l'ancien site de Kodak à Chalon-sur-Saône pour implanter une nouvelle usine », France Bleu Bourgogne,‎ (lire en ligne)
  33. Amandine Ibled, « Agroalimentaire : l'espagnol Vicky Foods choisit Chalon-sur-Saône pour s'étendre en Europe », La Tribune,‎ (lire en ligne Accès libre)
  34. Laurent Guillaumé, « L'expérience de SaôneOr, "une exemplarité en terme (sic) de réindustrialisation" des Territoires assure Roland Lescure », Info-Chalon,‎ (lire en ligne)
  35. « Départementales 2015 : qui sont les nouveaux élus des cantons de Saône-et-Loire ? », sur https://france3-regions.francetvinfo.fr/,
  36. « Les 12 nouveaux vice-présidents du Conseil départemental », sur https://www.lejsl.com/
  37. « Saône-et-Loire : quatre duos de la majorité départementale élus dès le 1er tour »
  38. Cap Com, « Une nouvelle identité visuelle pour l’AdCF » Accès libre, sur Cap com, (consulté le )
  39. « Coup de jeune à l'Adcf », sur https://www.lagazettedescommunes.com/,
  40. BFM DICI, « Alpes du Sud: "la commune reste l'échelon de proximité", assure le président des intercommunalités Sébastien Martin », sur www.bfmtv.com, (consulté le )
  41. Thomas Beurey, « Intercommunalités : en route pour la consécration », Banque des territoires,‎ (lire en ligne Accès libre)
  42. « Sébastien Martin soutient totalement Alain Juppé », sur https://www.lejsl.com/
  43. « Présidentielle : Xavier Bertrand «se prépare» pour 2022 », sur https://www.leparisien.fr/
  44. « Chez LR, le poison quotidien des départs »
  45. « Sébastien Martin " une chose est sûre, je serai de la partie à Chalon en 2020" », sur https://www.lejsl.com/
  46. Le Journal de Saône-et-Loire, « Chalon-sur-Saône : Xavier Bertrand veut convaincre les militants Les Républicains », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ (lire en ligne)
  47. Benoit Montaggioni, « Sébastien Martin : « La droite a un avenir si elle redevient elle-même » », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ (lire en ligne Accès payant)
  48. Antoine Gavory, « Sébastien Martin : « La réindustrialisation est la seule alternative possible » », Le Journal du Palais,‎ (lire en ligne)
  49. Hugo Soutra, « Le gouvernement seul ne peut rien », Courrier des Maires,‎ (lire en ligne Accès payant)
  50. César Armand, « Réindustrialisation : les intercommunalités regrettent un dialogue « quasiment au point mort » avec Bercy », La Tribune,‎ (lire en ligne)
  51. Intercommunalités de France, « Territoires d’industrie : l’autre moitié de notre politique industrielle », sur www.intercommunalites.fr/, (consulté le )
  52. Intercommunalités de France, « Industrie verte : Intercommunalités de France remet 20 propositions à Bercy » Accès libre, sur Intercommunalités.fr, (consulté le )
  53. Cédric Néau, « Les territoires retrouvent une place dans la réindustrialisation verte », La Gazette des communes,‎ (lire en ligne)
  54. Sébastien Martin, « Le Président des intercommunalités de France : Des académies industrielles dans nos territoires », Journal du Dimanche,‎ (lire en ligne Accès payant)
  55. « Sébastien Martin (ADCF) : “Engager une relation nouvelle entre État et territoires à travers la politique du contra », sur acteurspublics.fr
  56. « Pour une France des territoires réconciliés ! », sur https://www.latribune.fr/,
  57. Aurélien Hélias, « Sébastien Martin : "Si on ramène tout à la répartition des compétences, on sera tous perdants" », Courrier des Maires,‎ (lire en ligne)
  58. Landot & associés, « Intercommunalités de France « pour une France des bassins de vie qui assument leur destin » », sur blog.landot-avocats.net, (consulté le )
  59. César Armand, « « Il manque des politiques plus territorialisées » », La Tribune,‎ (lire en ligne Accès payant)
  60. Jean-Baptiste Forray, « Sébastien Martin : L'intercommunalité doit être une collectivité à part entière », La Gazette des communes,‎ (lire en ligne)
  61. Florent MULLER, « Réélu président du Syndicat mixte du Chalonnais, Sébastien Martin explique son utilité », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ (lire en ligne Accès libre)
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