Rue Paul-Lambert
La rue Paul-Lambert est une voie publique de Toulouse, chef-lieu de la région Occitanie, dans le Midi de la France. Elle traverse le quartier de La Faourette, dans le secteur 2 - Rive gauche.
Rue Paul-Lambert
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Situation | |
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Coordonnées | 43° 34′ 41″ nord, 1° 24′ 52″ est |
Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | Haute-Garonne |
MĂ©tropole | Toulouse MĂ©tropole |
Ville | Toulouse |
Secteur(s) | 2 - Rive gauche |
Quartier(s) | La Faourette |
DĂ©but | no 47 rue de la Faourette |
Fin | no 124 rue Henri-Desbals |
Morphologie | |
Type | Rue |
Longueur | 780 m |
Largeur | entre 12 et 32 m |
Transports | |
Métro | : Bagatelle (à proximité) |
​​​​​​​​​​​​​​​ Bus | 13 (à proximité) |
Odonymie | |
Nom actuel | 1967 |
Nom occitan | Carrièra Paul Lambert |
Lieux d'intérêt | Collège Stendhal |
Notice | |
Archives | 315553824054 |
Situation et accès
Description
La rue Paul-Lambert naît perpendiculairement à la rue de la Faourette. Elle se termine au carrefour de la rue Henri-Desbals.
La chaussée compte une voie de circulation automobile dans chaque sens. Il n'existe pas d'aménagement cyclable.
Voies rencontrées
La rue Paul-Lambert rencontre les voies suivantes, dans l'ordre des numéros croissants (« g » indique que la rue se situe à gauche, « d » à droite) :
- Rue de la Faourette
- Rue de l'Ukraine (d)
- Allée de l'Île-de-France - accès piéton (g)
- Rue La Kahina (g)
- Impasse Paul-Lambert (g)
- Rue Rozès-de-Brousse (d)
- Esplanade Bernard-Aymable-Dupuy (d)
- Rue Henri-Desbals (d)
Transports
La rue Paul-Lambert n'est pas directement desservie par les transports en commun. Elle se trouve cependant à proximité immédiate de la rue Henri-Desbals, où se trouve la station de métro Bagatelle, sur la ligne de métro . De plus, le long de la rue Henri-Desbals et de la rue du Lot se trouvent les arrêts de la ligne de bus 13.
La station de vélos en libre-service VélôToulouse la plus proche est la station no 186 (1 rue du Bachaga-Boualam).
Odonymie
La rue est nommée en hommage à Paul Lambert (1905-1965). En 1938, il s'installe à Toulouse comme chef de bureau à la Préfecture. Dès 1942, il est inscrit au réseau Ajax, qui regroupe des résistants du ministère de l'Intérieur. En juin 1944, il est arrêté, puis déporté au camp de concentration de Neuengamme. En 1945, il revient à Toulouse, où il poursuit sa carrière dans l'administration préfectorale[1].
Patrimoine et lieux d'intérêt
Établissements scolaires
- no 41-43 : groupe scolaire Sylvain-Dauriac.
- no 59 : collège Stendhal.
Équipements sportifs
- no 18 : gymnase de la Faourette.
Notes et références
- Salies 1989, vol. 2, p. 75-76.
Voir aussi
Bibliographie
- Pierre Salies, Dictionnaire des rues de Toulouse, Toulouse, Ă©d. Milan, , 1174 p. (ISBN 978-2-8672-6354-5).
Liens externes
- Inventaire préliminaire de la ville de Toulouse, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse (consulté le ).
- Inventaire général du patrimoine culturel d'Occitanie, sur le site Ressources patrimoines - La médiathèque culturelle de la Région Occitanie (consulté le ).