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Rue Jean-Jaurès (Villejuif)

La rue Jean-Jaurès est un axe de circulation de Villejuif dans le Val-de-Marne qui fait partie de la route départementale 285.

Rue Jean-Jaurès
Image illustrative de l’article Rue Jean-Jaurès (Villejuif)
Situation
CoordonnĂ©es 48° 47′ 33″ nord, 2° 22′ 00″ est
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
Ville Villejuif
DĂ©but Avenue de Paris
Fin Avenue de Stalingrad
Morphologie
Type Rue
Histoire
Anciens noms Voie Royale
Grande-Rue
GĂ©olocalisation sur la carte : Val-de-Marne
(Voir situation sur carte : Val-de-Marne)
Rue Jean-Jaurès
GĂ©olocalisation sur la carte : Paris et de la petite couronne
(Voir situation sur carte : Paris et de la petite couronne)
Rue Jean-Jaurès
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Rue Jean-Jaurès

Situation et accès

La maison Charles-Gabillot.

Partant du nord, la rue Jean-Jaurès croise l'avenue Paul-Vaillant-Couturier, marque le début de la rue Georges-Lebigot, rencontre la rue du Moulin-de-Saquet et se termine au carrefour de l'avenue de la République et de l'avenue Louis-Aragon (anciennement avenue de Vitry[1]).

Elle est desservie au nord par la station de métro Villejuif - Paul Vaillant-Couturier, et au sud par la station de métro Villejuif - Louis Aragon, toutes deux sur la ligne 7 du métro de Paris.

Origine du nom

Cette voie de circulation fut longtemps appelée Rue Royale. C'est un 28 février, quatre jours après la Révolution de 1848, que le conseil municipal décida qu'elle prendrait le nom de Grande Rue[2]. Deux plaques en fonte placées aux extrémités de la rue furent alors remplacées avec la nouvelle mention.

Son odonyme actuel est un hommage rendu à Jean Jaurès (1859-1914), homme politique socialiste français.

Historique

Entrée de Villejuif, lithographie de F. Morland, imprimerie Lemercier, milieu du XIXe siècle.

Au Moyen-Âge, elle constituait, avec la rue René-Hamon et la rue Georges-Lebigot, l’un des trois principaux chemins du cœur historique de l'ancien bourg, groupé autour de l’église[3].

En 1858, elle bénéficia de l'éclairage public grâce à l'installation de cinq réverbères, allumés pendant les six mois d'hiver (sauf les nuits de clair de lune, par mesure d'économie). Bien qu'en mesure d'éclairer depuis le château jusqu'à une bâtisse alors connue comme la maison Péron, ils furent remplacés en 1868 par l'éclairage au gaz, innovation révolutionnaire à l'époque.

Jusqu'en 1935, elle faisait partie de la route nationale 7 et s'appelait encore avenue Jean-Jaurès. L'étroitesse de cette voie exigeât qu'elle fut déviée par le boulevard Maxime-Gorki, avant de rejoindre l'avenue de Stalingrad, son ancien tracé[4].

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

Au no 26 de la rue Jean-Jaurès.

Notes et références

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