Rue Georges-Lardennois
La rue Georges-Lardennois est une voie du 19e arrondissement de Paris en France.
19e arrt Rue Georges-Lardennois
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Situation | |||
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Arrondissement | 19e | ||
Quartier | Combat | ||
DĂ©but | 38, avenue Mathurin-Moreau | ||
Fin | 1, rue Barrelet-de-Ricou | ||
Morphologie | |||
Longueur | 549 m | ||
Largeur | 10 m | ||
Historique | |||
Création | 1927 | ||
DĂ©nomination | 1928 | ||
GĂ©ocodification | |||
Ville de Paris | 4086 | ||
DGI | 4137 | ||
GĂ©olocalisation sur la carte : Paris
GĂ©olocalisation sur la carte : 19e arrondissement de Paris
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Images sur Wikimedia Commons | |||
Situation et accès
La rue Georges-Lardennois sur le haut de la butte Bergeyre.
La rue Georges-Lardennois est une voie publique située sur la butte Bergeyre. Présentant un fort dénivelé, elle débute au 38, avenue Mathurin-Moreau et se termine au 1, rue Barrelet-de-Ricou. Elle présente la particularité d'être la seule voie d'accès à la butte Bergeyre ouverte à la circulation.
Origine du nom
Elle porte le nom du chirurgien Georges Lardennois (1878-1940), professeur à la Faculté de médecine.
Historique
Cette rue est ouverte en 1927 sur l'emplacement de l'ancien stade Bergeyre dans un lotissement appartenant à M. Pélissier et prend sa dénomination actuelle en 1928[1].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
- Le jardin de la Butte-Bergeyre.
- Au no 6, Pierre Naville, poète, écrivain et éminent sociologue, compagnon d’André Breton au début du surréalisme, résida au milieu des années 1930, lorsqu’il militait dans un groupement trotskiste[2].
- Au no 70, à droite du jardin : la villa Zilvelli (1933), de l'architecte autrichien Jean Welz (1900-1975)[3], tombée en décrépitude, et promise à une remise en valeur par son acquéreur, Jean-Paul Goude en .
- L'escalier descendant vers l'avenue Simon-Bolivar, immortalisée par le photographe Willy Ronis en 1950[4].
- L'escalier immortalisé par le photographe Willy Ronis en 1950[4].
Notes et références
- Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Paris, Les Éditions de minuit, 1972, 1985, 1991, 1997, etc. (1re éd. 1960), 1 476 p., 2 vol. [détail des éditions] (ISBN 2-7073-1054-9, OCLC 466966117), p. 266.
- « Histoire de la butte Bergeyre », sur http://www.des-gens.net/, (consulté le ).
- « Maison Zilveli, buttes Chaumont, Jean Welz, architecte (1900-1975) », immodurabilite.info, 4 novembre 2007.
- « Willy Ronis : avenue Simon-Bolivar, 1950 », sur linternaute.com (consulté le ).
Annexes
Articles connexes
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