Rue Cartier-Bresson
La rue Cartier-Bresson est une voie de communication de Pantin[1].
Rue Cartier-Bresson | |||
La rue Cartier-Bresson | |||
Situation | |||
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Coordonnées | 48° 54′ 03″ nord, 2° 24′ 12″ est | ||
Pays | France | ||
RĂ©gion | ĂŽle-de-France | ||
Ville | Pantin | ||
Quartier(s) | Quatre-Chemins | ||
DĂ©but | Rue Gabrielle-Josserand | ||
Fin | Avenue du Général-Leclerc à Pantin | ||
Morphologie | |||
Type | Rue | ||
Histoire | |||
Anciens noms | Rue du Chemin-Vert | ||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : ĂŽle-de-France
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Situation et accès
Cette rue croise notamment la rue Denis-Papin, et la rue Jacques-Cottin qui Ă©tait un des fermiers de la ferme de Rouvray[2].
Origine du nom
Elle rend hommage aux Cartier-Bresson, famille basée à Pantin au XIXe siècle[3].
Historique
À cet endroit se trouvaient les terres de la ferme du Rouvray, qui appartenait au prieuré Saint-Martin-des-Champs[4]. L'emplacement de cette ferme serait peut-être sur la darse du fond de Rouvray.
Elle s'appelait rue du Chemin-Vert, du nom d'un lieu-dit, et traversait encore un champ[5] lorsqu'à cet emplacement, en 1869, le criminel Jean-Baptiste Troppmann commit ses forfaits, connus sous le nom de « massacre de Pantin »[6].
Le quartier a été loti à partir de 1873, pour prendre sa physionomie actuelle.
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
- Cimetière parisien de Pantin, créé en 1886.
- Centre national des arts plastiques (Installation en 2020).
Notes et références
- La rue Cartier-Bresson Ă la rue Denis-Papin
- Dictionnaire ou traité de la police générale des villes, bourgs, paroisses & seigneuries de la campagne, Edme de La Poix de Fréminville, 1769
- La famille Cartier-Bresson au fil de l'Histoire
- "Plan des terres de la ferme de Rouvray appartenans en toute justice au prieuré royal de Saint-martin des Champs à Paris"
- État des communes à la fin du XIXe siècle. Pantin : notice historique et renseignements administratifs / publié sous les auspices du Conseil général (par Fernand Bournon ; Département de la Seine. Direction des affaires départementales, 1901
- Véronique Gramfort, « Les crimes de Pantin : quand Troppmann défrayait la chronique », Romantisme. Revue du XIXe siècle, SEDES, no 97 « Le fait divers »,‎ , p. 18 (lire en ligne).