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Rue Botzaris

La rue Botzaris est une voie du 19e arrondissement de Paris.

19e arrt
Rue Botzaris
Voir la photo.
Vue de la rue depuis le carrefour avec l'avenue Simon-Bolivar. À gauche, l'entrée pour le parc des Buttes-Chaumont.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement 19e
Quartier Combat
Amérique
DĂ©but 15, rue Pradier
Fin 41, rue de Crimée
Morphologie
Longueur 860 m
Largeur 24 m
Historique
Création 1862
DĂ©nomination 1880
Ancien nom Rue de la Vera-Cruz
GĂ©ocodification
Ville de Paris 1134
DGI 1127
GĂ©olocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue Botzaris
GĂ©olocalisation sur la carte : 19e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 19e arrondissement de Paris)
Rue Botzaris
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Situation et accès

La rue Botzaris est une voie publique située dans le 19e arrondissement de Paris. Elle débute au croisement de l'avenue Simon Bolivar avec la rue Pradier et se termine au 41, rue de Crimée.

Le quartier est desservi par la ligne (M) (7bis) aux stations Botzaris et Buttes Chaumont et par la ligne de bus RATP 71.

Origine du nom

Márkos Bótzaris.

Cette rue honore le héros de la guerre d'indépendance grecque. Markos Botzaris (1790-1823)[1].

Historique

Elle est ouverte en 1862 sous le nom de « rue de la Vera-Cruz » et porte son nom actuel depuis 1880. Le tronçon septentrional de la rue longe le rĂ©servoir des Buttes-Chaumont, Ă©difiĂ© par Diet en 1887, et qui contient 8 800 mètres cubes d'eau de l'Ourcq[2].

Emplacement du réservoir des Buttes-Chaumont (plan de 1900, Paris Atlas, Larousse).

Le 14 avril 1918, durant la première Guerre mondiale, un obus lancé par la Grosse Bertha explose au no 72 rue Botzaris[3].

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

  • Le cĂ´tĂ© impair est occupĂ© par le parc des Buttes-Chaumont.
  • Au no 10 commence la villa du Parc, une voie privĂ©e.
  • Au no 28 une plaque rappelle la mĂ©moire de Robert Endewelt.
  • Au no 36 s'est trouvĂ© le Rassemblement des Tunisiens de France (RTF), maison des associations tunisiennes en France, mais officieusement on y trouvait la section française du Rassemblement constitutionnel dĂ©mocratique (RCD), le parti au pouvoir au temps du dictateur Ben Ali. Le bâtiment a Ă©tĂ© occupĂ© du au par des rĂ©fugiĂ©s tunisiens[4].

Voir aussi

Articles connexes

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