Accueil🇫🇷Chercher

RĂ©seau routier d'Indre-et-Loire

Cet article présente l'histoire, les caractéristiques et les événements significatifs ayant marqué le réseau routier du département d'Indre-et-Loire en France.

RĂ©seau routier d'Indre-et-Loire
Carte du réseau routier national (autoroutes et routes nationales) dans le département d'Indre-et-Loire
Carte du réseau routier national (autoroutes et routes nationales) dans le département d'Indre-et-Loire
GĂ©ographie
Pays France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Indre-et-Loire
Superficie 6 127 km2
Population 612 119 hab. (2020)
Caractéristiques générales
Longueur totale 12 359 km (2017) [1]
Densité de réseau 2 km/km2
DensitĂ© de rĂ©seau 2 20 km/1 000 hab.
Consistance
Autoroutes 204 km (2017)
Routes nationales 12 km (2017)
Routes dĂ©partementales 3 957 km (2017)
Voies communales 8 186 km (2017)
Accidentalité routière
Nombre d'accidents 823 (2017) [2] - [alpha 1]
dont mortels 31 (2017)
Tués 32 (2017)
-27 % (2017/2010)
(France : - 14 %)
Blessés hospitalisés 321 (2017)
Blessés légers 685 (2017)

Au , la longueur totale du rĂ©seau routier du dĂ©partement d'Indre-et-Loire est de 12 359 kilomètres, se rĂ©partissant en 204 kilomètres d'autoroutes, 12 kilomètres de routes nationales, 3 957 kilomètres de routes dĂ©partementales et 8 186 kilomètres de voies communales.

Histoire

XVIIIe siècle

De 1750 à 1784, l’ensemble du réseau routier est pour la première fois cartographié à grande échelle (au 86400e) et de manière complète par Cassini de Thury[3], à la demande Louis XV. Ces cartes sont d’une grande richesse toponymique, mais d’une grande pauvreté quant à la figuration du relief et de l’altimétrie. De même les chemins secondaires sont rarement représentés, du fait d’une part de leur état médiocre, d’autre part de leur faible importance économique. Cependant, l'Etat royal se préoccupe fortement des grands axes de communications, comme les routes royales.

Pour voir les cartes de Cassini du département d'Indre-et-Loire, cliquer sur les zones ci-dessous :
zone de Tours
zone de Loches
zone de Chinon

XIXe siècle

L'État décide au début du XIXe siècle d'adopter une nouvelle politique routière afin de permettre la démocratisation des transports terrestres. Sous le Premier Empire, Napoléon Ier décide de promulguer la loi du 11 décembre 1811 qui permet en partie de régler les problèmes liés à l'entretien des routes[4]. Ces dernières sont alors classées en 3 catégories :

  • routes impĂ©riales dites de première classe (qui deviennent Ă  la Restauration les routes royales, puis les routes nationales lors de la Troisième RĂ©publique),
  • routes dĂ©partementales dites de seconde classe,
  • chemins vicinaux dits de troisième classe.

L'entretien des chemins vicinaux sont à la charge des localités et du département, alors que les routes départementales sont financées par l'État et le département concerné. Pour les routes impériales, l'essentiel du budget d'entretien provient de l'Etat. Grâce à cette nouvelle organisation, les routes de première et seconde classe sont en bon état à la fin de la Restauration. 4% du budget de l'Etat est alors réservé à l'entretien et la création de ces routes[5]. De plus, le nouveau procédé du macadam permet aux usagers de se mouvoir sur des surfaces de meilleures qualités. Le Corps des Ponts et Chaussées supervise les travaux, et cela en prenant en compte la notion du paysage, surtout en Indre-et-Loire. Afin d'assurer des routes plus sécurisées et fluides, l'Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées fait abattre des arbres, démolit des maisons, en partie ou en totalité[6].

Les chemins vicinaux connaissent une forte croissance en Indre-et-Loire, représentant 24 000 kilomètres en 1845. Cependant, seulement 6 745 kilomètres sont classés comme des chemins vicinaux[7]. L'état de ces chemins est très problématique lors des voyages en voiture publique (tiré par des chevaux), surtout en hiver, lorsque la boue est souvent à l'origine d'accident, tout comme le gel[5]. Malgré l'amélioration de ces routes, les conseils municipaux essaient d'entretenir le moins possible ces dernières, car cela représente un budget considérable. l’agent voyer en chef d'Indre-et-Loire recommande en 1845 « d’éviter les tiraillements des influences locales, et de bien préciser les chemins que chaque commune doit, dans son intérêt général, réparer et entretenir »[7]. On trouve de nombreuses pétitions de ces conseils qui essayent de classer des chemins en tant que routes départementales, et ainsi échapper au financement[8]. Le conseil général essaye d'aider les petites communes, comme par exemple en 1832 où il décide d'allouer un budget de 625 000 francs à l'extension et l'entretien de diverses routes[8]. A travers les chemins, l’État adopte une politique de désenclavement du territoire français, et qui se poursuit par la suite avec le chemin de fer[9]. La loi du 21 mars 1836 classe de manière définitive les chemins afin d'assurer un financement de l'entretien juste et équitable. En 1845 en Indre-et-Loire, 24 personnes sont chargées de l'entretien des chemins[10]. Malgré cela, les abus sont fréquents, avec des travaux bâclés, mais aussi l'utilisation du budget alloué à d'autres travaux. Les travaux d’entretien sont laissés sans surveillance de telle sorte que : « les prestataires ramassaient et transportaient annuellement sur les chemins une assez grande quantité de pierres que les tombereaux déchargeaient de distance en distance. J’ai vu ces matériaux rester ainsi des années sans être écartés ; en sorte que les voitures avaient une suite de monticules à gravir »[11].

La création des routes départementales permet de fluidifier le trafic, qui est de plus en plus dense, et reçoit donc une attention particulière de la part de l'administration. En France, l'ensemble des grandes artères routières passe de 14 300 kilomètres en 1824, à 25 000 kilomètres en 1830[12]. En Indre-et-Loire, plus de 1 200 kilomètres de routes départementales sont présentes en 1820. C'est la loi du 18 juillet 1866 qui classe de manière définitive les routes de 2de catégorie[13].

308 kilomètres traversent l'Indre-et-Loire à la fin de la Restauration, et reprend quasiment le même trajet que nos routes Nationales actuelles. D'ailleurs la route Royale traverse Tours, et permet de relier Paris à Bayonne rapidement.

Carte Levasseur du département d'Indre-et-Loire (1847)

L'ensemble de ces lois permet une densification du trafic, et donc une hausse de la mobilité, ce qui se voit par exemple dans l'augmentation du nombre de demandes de certificat de voitures publiques[14]. Ces dernières permettent aux voyageurs de réaliser des trajets assez longs, souvent supérieurs à 20 kilomètres[15]. Ce processus est encouragé par la politique de désenclavement de l’État. Un extrait des délibérations du Conseil Municipal de Vouvray affirme en février 1848[8] que : "l'existence d'un bon service d'omnibus entre Vouvray et Tours est devenu indispensable aux habitants de la commune, en raison des habitudes nouvelles introduites depuis douze ans, par la facilité des communications." La majorité de ces voitures réalisent des services réguliers, avec un aller-retour par jour en moyenne. Malgré ce point, le mauvais état des routes, ainsi que la fatigue des chevaux sont des freins à la vitesse. En moyenne, ces voitures vont à 5,08 kilomètres à l'heure en Indre-et-Loire[15]. Le recensement de la circulation réalisé par la police de la voirie montre clairement que la fréquentation des routes est en augmentation[16].

L’Atlas national illustré réalisé par Victor Levasseur[17] est un précieux témoignage du XIXe siècle, les cartes coloriées à la main sont entourées de gravures indiquant statistiques, notes historiques et illustrations caractéristiques des départements. Sur ces cartes sont représentées les routes, voies ferrées et voies d'eau. Par ailleurs, les départements sont divisés en arrondissements, cantons et communes.

RĂ©forme de 1930

Devant l'Ă©tat très dĂ©gradĂ© du rĂ©seau routier au lendemain de la Première Guerre mondiale et l'explosion de l'industrie automobile, l'État, constatant l'incapacitĂ© des collectivitĂ©s territoriales Ă  remettre en Ă©tat le rĂ©seau routier pour rĂ©pondre aux attentes des usagers, dĂ©cide d'en prendre en charge une partie. L'article 146 de la loi de finances du prĂ©voit ainsi le classement d'une longueur de l'ordre de 40 000 kilomètres de routes dĂ©partementales dans le domaine public routier national[18].

En ce qui concerne le département d'Indre-et-Loire, ce classement devient effectif à la suite du décret du [19].

RĂ©forme de 1972

En 1972, un mouvement inverse est dĂ©cidĂ© par l'État. La loi de finances du prĂ©voit le transfert dans la voirie dĂ©partementale de près de 53 000 kilomètres de routes nationales[20]. Le but poursuivi est[21] :

  • d'obtenir une meilleure responsabilitĂ© entre l'État et les collectivitĂ©s locales en fonction de l'intĂ©rĂŞt Ă©conomique des diffĂ©rents rĂ©seaux,
  • de permettre Ă  l'État de concentrer ses efforts sur les principales liaisons d'intĂ©rĂŞt national,
  • d'accroĂ®tre les responsabilitĂ©s des assemblĂ©es dĂ©partementales dans le sens de la dĂ©centralisation souhaitĂ©e par le gouvernement,
  • d'assurer une meilleure gestion et une meilleure programmation de l'ensemble des voies.

Le transfert s'est opéré par vagues et par l'intermédiaire de plusieurs décrets publiés au Journal officiel. Après concertation, la très grande majorité des départements a accepté le transfert qui s'est opéré dès 1972. En ce qui concerne le département d'Indre-et-Loire, le transfert est acté avec un arrêté interministériel publié au journal officiel le [22].

RĂ©forme de 2005

Une nouvelle vague de transferts de routes nationales vers les départements intervient avec la loi du relative aux libertés et responsabilités locales, un des actes législatifs entrant dans le cadre des actes II de la décentralisation où un grand nombre de compétences de l'État ont été transférées aux collectivités locales. Dans le domaine des transports, certaines parties des routes nationales sont transférées aux départements et, pour une infime partie, aux communes (les routes n'assurant des liaisons d'intérêt départemental)[23].

Le dĂ©cret en Conseil d’État dĂ©finissant le domaine routier national[24] prĂ©voit ainsi que l’État conserve la propriĂ©tĂ© de 8 000 kilomètres d’autoroutes concĂ©dĂ©es et de 11 800 kilomètres de routes nationales et autoroutes non concĂ©dĂ©es et qu'il cède aux dĂ©partements un rĂ©seau de 18 000 kilomètres[25].

Dans le dĂ©partement d'Indre-et-Loire, le transfert est dĂ©cidĂ© par arrĂŞtĂ© prĂ©fectoral signĂ© le [26]. 275 kilomètres de routes nationales sont dĂ©classĂ©es. La longueur du rĂ©seau routier national dans le dĂ©partement passe ainsi de 287 kilomètres en 2004 Ă  14 en 2006 pendant que celle du rĂ©seau dĂ©partemental s'accroĂ®t de 3 352 Ă  3 813 kilomètres.

Caractéristiques

Consistance du réseau

Le réseau routier comprend cinq catégories de voies : les autoroutes et routes nationales appartenant au domaine public routier national et gérées par l'État[27], les routes départementales appartenant au domaine public routier départemental et gérées par le Conseil général d'Indre-et-Loire[28] et les voies communales[29] et chemins ruraux[30] appartenant respectivement aux domaines public et privé des communes et gérées par les municipalités. Le linéaire de routes par catégories peut évoluer avec la création de routes nouvelles ou par transferts de domanialité entre catégories par classement ou déclassement, lorsque les fonctionnalités de la route ne correspondent plus à celle attendues d'une route de la catégorie dans laquelle elle est classée. Ces transferts peuvent aussi résulter d'une démarche globale de transfert de compétences d'une collectivité vers une autre.

Au , la longueur totale du rĂ©seau routier du dĂ©partement d'Indre-et-Loire est de 11 899 kilomètres, se rĂ©partissant en 204 kilomètres d'autoroutes, 12 kilomètres de routes nationales, 3 926 kilomètres de routes dĂ©partementales et 7 757 kilomètres de voies communales. Il occupe ainsi le 40e rang au niveau national sur les 96 dĂ©partements mĂ©tropolitains quant Ă  sa longueur et le 55e quant Ă  sa densitĂ© avec 1,9 kilomètre par kilomètre carrĂ© de territoire[31].

Trois grandes réformes ont contribué à faire évoluer notablement cette répartition : 1930, 1972 et 2005.

L'évolution du réseau routier entre 2002 et 2017 est présentée dans le tableau ci-après.

Évolution du réseau routier entre 2002 et 2017[1]
2002200320042005200620072008200920102011201220132014201520162017
Autoroutes 100110111142134205205205205204204204204204204204
Routes nationales 2872872875141212121212121212121212
Routes dĂ©partementales 3 3483 3483 3523 3893 8133 6963 8493 8493 9233 9263 9403 9423 9383 9533 9543 957
Voies communales 6 9126 9617 0457 1767 2767 5227 5227 6907 7577 7577 8317 8947 8947 9508 1508 186
TOTAL 10 64710 70610 79510 71211 23711 43511 58811 75611 89711 89911 98712 05212 04812 11912 32012 359

Réalisations ou événements récents

Cette section a pour objet de recenser les événements marquants concernant le domaine de la Route dans le département d'Indre-et-Loire depuis 1990. Seront ainsi citées les déclarations d’utilité publique, les débuts de travaux et les mises en service. Seuls les ouvrages les plus importants soit par leur coût soit par leur impact (déviation de bourgs) seront pris en compte. De même il est souhaitable de ne pas recenser les projets qui n’ont pas encore fait l’objet d’une utilité publique.

Notes et références

  1. Les statistiques d'accidents recensent les accidents s'étant produits sur les réseaux publics (autoroutes, routes nationales, routes départementales et voies communales) mais aussi hors réseau public, sur les parkings publics et sur les autres voies.
  1. Ministère de la transition écologique et solidaire, « Mémento des transports urbains et routiers 2017 », sur https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/ (consulté le )
  2. Ministère de la transition écologique et solidaire, « Les accidents corporels de la circulation 2017 - Recueil de données brutes », sur http://www.securite-routiere.gouv.fr/ (consulté le )
  3. Pour la zone de Tours, pour la zone de Loches et pour la zone de Chinon sur Gallica
  4. ARBELLOT, Guy, « Les problèmes de la route française à l'entrée du XIXè siècle », Histoire, économie et société,‎ , p. 9-17
  5. Christophe Studeny, L'invention de la vitesse : France : XVIIIe-XXe siècle, Gallimard, (ISBN 2-07-073179-0 et 978-2-07-073179-4, OCLC 299462218, lire en ligne).
  6. Archives départementales d'Indre-et-Loire, S 179 à S201 : Adjudications de travaux et baux d’entretien des routes. (1810-1917)
  7. Paris Service vicinal Auteur du texte, « Annales des chemins vicinaux ["puis" de la voirie vicinale, rurale et urbaine ; et des travaux communaux et départementaux ; de la voirie]. Recueil de mémoires, documents et actes officiels... », sur Gallica, (consulté le )
  8. Archives départementales d'Indre-et-Loire : S 1265 : Classement des nouvelles routes départementales. (1831-1840).
  9. François Caron, Histoire des chemins de fer en France. Tome premier, 1740-1883, Fayard, impr. 1997 (ISBN 2-213-02153-8 et 978-2-213-02153-9, OCLC 489610623, lire en ligne)
  10. Annales des chemins vicinaux, Recueil de mémoires, documents, et actes officiels concernant le service vicinal, Tome 1er, Travaux d’art, mémoires et documents, Paris, Imprimerie et librairie administratives de Paul Dupont, 1845, p. 9.
  11. Annales des chemins vicinaux, Recueil de mémoires, documents, et actes officiels concernant le service vicinal, Tome 1er, Travaux d’art, mémoires et documents, Paris, Imprimerie et librairie administratives de Paul Dupont, 1845, p.67.
  12. André Guillerme, « Chemins, routes, autoroutes », Les cahiers de médiologie, vol. 2, no 2,‎ , p. 117 (ISSN 1777-5604, DOI 10.3917/cdm.002.0117, lire en ligne, consulté le )
  13. Les samedi des archives, A pied, à cheval, ou en voiture ! Déplacements et moyens de transport en Indre-et-Loire, Archives départementales d’Indre-et-Loire Atelier du 20 mai 2017.
  14. Archives départementales d'Indre-et-Loire : S 1859-1860 : Certificats et divers correspondances concernant le transport terrestre. (1825-1867)
  15. Jean-Christophe Le Bars, Se déplacer de 1820 à 1917 en Touraine (Mémoire de Master 1), Université de Tours, .
  16. Archives départementales d'Indre-et-Loire, S 1887-1888 : Recensement de la circulation sur les routes nationales 10 et 152. (1856- 1857).
  17. Carte Levasseur du département d’Indre-et-Loire sur Wikimedia Commons
  18. Jacques Borredon, Code de la voirie routière et textes annexes : explicitations et commentaires, Editions du Papyrus, , 645 p. (lire en ligne), p. 22-23-87
  19. Fac-simile du décret signé par le Président de la République Gaston Doumergue, publié au Journal officiel en date du , classant une partie du réseau routier national dans le domaine public routier départemental, sur le site de Wikisara
  20. « Projet de loi relatif aux libertés et aux responsabilités locales - Chapitre 1 - la voirie », sur le site du Sénat (consulté le )
  21. Rapport sur le transfert du réseau de la voirie nationale secondaire dans la voirie départementale, Conseil général du Loiret, séance du 6 décembre 1972
  22. Fac-simile de l'arrêté interministériel publié au Journal officiel en date du , déclassant une partie du réseau routier national dans le domaine public routier départemental, sur le site de Wikisara
  23. « La décentralisation : acte II », sur www.vie-publique.fr, (consulté le )
  24. Décret no 2005-1499 du 5 décembre 2005 relatif à la consistance du réseau routier national
  25. « Rapport d'information sur la mise en application de la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales. », sur le site de l'Assemblée nationale, (consulté le ) p. 42
  26. Fac-simile de l'arrêté préfectoral signé le , déclassant une partie du réseau routier national dans le domaine public routier départemental, sur le site du Ministère de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de l’Aménagement du territoire
  27. Art. 123-1 du Code de la voirie routière
  28. Art. 131-1 du Code de la voirie routière
  29. Art. 141-1 du Code de la voirie routière
  30. Art. 161-1 du Code de la voirie routière
  31. « Mémento de statistiques des transports, Chapitre 3 : Transports urbains et routiers, 1re partie : 3.3 Réseaux », sur le site Ministère de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de l’Aménagement du territoire / Économie et statistiques. (consulté le )


Articles connexes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.