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RĂ©seau de transport ambarrois

Le RĂ©seau de Transport Ambarrois, abrĂ©gĂ© sous le sigle TAM, est un rĂ©seau de transport en commun d’autobus desservant la commune d’AmbĂ©rieu-en-Bugey Ă  l’aide d’un rĂ©seau composĂ© de 5 lignes.

RĂ©seau de Transport Ambarrois
Image illustrative de l’article RĂ©seau de transport ambarrois
Logo du réseau TAM.

Image illustrative de l’article RĂ©seau de transport ambarrois
Un Heuliez GX 117 Ă  la gare d’AmbĂ©rieu en 2017.

Situation Ambérieu-en-Bugey
Type Autobus
Lignes 5
ArrĂȘts 63 (2017)
PropriĂ©taire Mairie d’AmbĂ©rieu-en-Bugey / RĂ©gion Auvergne-RhĂŽne-Alpes
Exploitant Philibert
Site Internet ville-amberieuenbugey.fr
Vitesse maximale 70 km/h
Lignes du rĂ©seau Liste des lignes de bus d’AmbĂ©rieu-en-Bugey
RĂ©seaux connexes TAM (Liste des lignes)
Cars RĂ©gion Ain

CrĂ©Ă© en , son exploitation est confiĂ© Ă  la sociĂ©tĂ© des Cars Philibert[1] - [2] depuis cette date Ă  la suite d'un renouvellement de la dĂ©lĂ©gation de service public en 2016[3] - [4]. Le contrat liant le groupe Philibert Ă  la commune d’AmbĂ©rieu-en-Bugey prend fin le [3], le nouveau dĂ©lĂ©gataire assurant l’exploitation du rĂ©seau dĂšs le lendemain pour une durĂ©e non dĂ©terminĂ©e (en ).

Histoire

Le véhicule utilisé sur la navette Ambarbus à partir de 2003.

La navette Ambar’bus

En 2000, afin de rĂ©pondre Ă  la demande des personnes ĂągĂ©es[5], la municipalitĂ© envisage de mettre en place une navette[6] dans la commune d’AmbĂ©rieu-en-Bugey. Ce service est officiellement mis en service en [5] et assurĂ© par un minibus de type Renault Master I, pouvant embarquer jusqu’à 20 personnes[5]. La navette assure 9 rotations les mardis et vendredis aprĂšs-midi[5], Ă  raison d’un dĂ©part de la gare SNCF toutes les 35 minutes[5], et suit un parcours qui prend la forme d’une boucle desservant de nombreux lieux Ă  travers la commune, dont la mairie, la maison de retraite, la piscine et l’hĂŽpital[5]. Par la suite, le service est dĂ©lĂ©guĂ© Ă  la sociĂ©tĂ© Philibert[7], qui remplace en 2003 le minibus initial par un vĂ©hicule neuf, un Vehixel Cityos 30 conçu sur un chĂąssis Mercedes-Benz[M 1], tandis que les horaires Ă©voluent. En effet, en 2006, la navette circule six jours sur sept, du lundi au samedi, Ă  raison d’un dĂ©part toutes les 50 minutes[7].

2010 : la création du TAM

En 2009, considĂ©rant que la navette Ambar’bus a atteint ses limites et souhaitant dĂ©sengorger le quartier de la gare[6], la commune d’AmbĂ©rieu-en-Bugey dĂ©cide d’amĂ©liorer son offre de transport. Le , un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral la dĂ©signe comme autoritĂ© organisatrice de transport urbain (AOT)[M 2]. La municipalitĂ© met alors en place un vĂ©ritable rĂ©seau de bus, composĂ© de trois lignes[6] et dĂ©lĂ©guĂ© Ă  la sociĂ©tĂ© Philibert. Ce nouveau service, assurĂ© par deux vĂ©hicules neufs[6] accessibles aux UFR et l’ancien minibus de la navette Ambar’bus, est officiellement mis en place le [6].

En , afin de favoriser l’intermodalitĂ©, la municipalitĂ© dĂ©cide d’adhĂ©rer Ă  la dĂ©marche OĂčRA![M 2], qui vise Ă  adhĂ©rer Ă  une convention cadre pur passer une commande groupĂ©e pour les Ă©quipements liĂ©s Ă  cette billetique commune.

En , la commune renouvelle la dĂ©lĂ©gation de service public (DSP) avec la sociĂ©tĂ© Philibert pour six ans[P 1] - [P 2] - [4] Ă  compter du . Ce nouveau contrat prĂ©voit trois Ă©volutions majeures pour le rĂ©seau : son extension aux communes voisines, la crĂ©ation de nouvelles lignes et la mise en place d’un service de transport Ă  la demande. DĂšs l’entrĂ©e en vigueur de la nouvelle DSP, le rĂ©seau se voit doter d’une quatriĂšme ligne, la TAM4[P 3], reliant la gare Ă  la base aĂ©rienne afin de remplacer la navette de cette derniĂšre et de prĂ©voir un Ă©ventuel prolongement de la ligne vers ChĂąteau-Gaillard.

Organisateurs du réseau

L'autorité organisatrice

La commune d’AmbĂ©rieu-en-Bugey, dotĂ©e une population totale de 14 022 habitants au recensement de 2014[8], Ă©tait responsable des transports en commun sur son territoire jusqu'au transfert Ă  la rĂ©gion Auvergne-RhĂŽne-Alpes[9] dans le cadre de la loi NOTRe. Elle dĂ©finit les tarifs appliquĂ©es sur le rĂ©seau, rĂ©alise les amĂ©nagements urbains nĂ©cessaires (arrĂȘts, mise aux normes, etc.) au bon fonctionnement du rĂ©seau et choisit la crĂ©ation ou la modification du tracĂ© des lignes.

L'exploitant

Depuis la création du réseau en , son exploitation est confié au groupe Philibert[3]. Celui-ci fournit les véhicules et le personnel nécessaire au bon fonctionnement du réseau.

L’actuelle dĂ©lĂ©gation de service public prend fin le [3].

Le réseau

Un bus du rĂ©seau Ă  la gare d’AmbĂ©rieu.

Territoire desservi

En 2017, le rĂ©seau TAM ne dessert que la commune d’AmbĂ©rieu-en-Bugey, qui en est l’autoritĂ© organisatrice (AOT). Toutefois, des discussions sont en cours depuis 2015 afin de transfĂ©rer la compĂ©tence transport Ă  l’échelle intercommunale[4], au travers d’un Syndicat intercommunal Ă  vocation unique (SIVU)[4], afin d’étendre, dans les annĂ©es Ă  venir, le rĂ©seau vers les communes voisines : ChĂąteau-Gaillard[4], Douvres[4] - [Notes 1], Saint-Denis-en-Bugey[4] - [P 4], Saint-Maurice-de-RĂ©mens[4], etc.

Les lignes

En 2017, le rĂ©seau est composĂ© de cinq lignes[M 3] qui, Ă  l’exception du TAM5, passent toutes par la gare SNCF :

  • TAM1 : cette ligne relie la gendarmerie Ă  l’extrĂ©mitĂ© sud d’AmbĂ©rieu-en-Bugey en passant par l’ouest de la commune ;
  • TAM2 : Cette ligne relie l’extrĂ©mtĂ© nord de la ville Ă  la gare ;
  • TAM3 : Cette ligne, qui ne fonctionne qu’en semaine et en heures de pointe, suit le parcours du TAM1 entre la gendarmerie et la mairie, faisant terminus Ă  quelques centaines de mĂštres Ă  l’est ;
  • TAM4 : Cette ligne est une navette entre la gare et la base aĂ©rienne ;
  • TAM5 : Cette ligne, qui ne fonctionne qu’en semaine scolaire et en heures de pointe, est une navette entre la gendarmerie et la maison de retraite.

Transport Ă  la demande

Au moment de la signature de la dĂ©lĂ©gation de service public en , la commune d’AmbĂ©rieu-en-Bugey envisage de mettre en place un service de transport Ă  la demande[4] devant desservir les quartiers de la ville non desservis par le rĂ©seau[4] ainsi que les communes voisines[4]. Ce service devrait ĂȘtre assurĂ© par une voiture Ă©lectrique et gĂ©rĂ© entiĂšrement par le dĂ©lĂ©gataire[4].

Interconnexion avec les autres réseaux

Un vĂ©hicule du rĂ©seau Car.ain.fr Ă  la gare d’AmbĂ©rieu Ă  l’étĂ© 2017.
Car.ain.fr

Plusieurs lignes des Cars RĂ©gion Ain entrent en correspondance avec les lignes du rĂ©seau ambarrois. Il s’agit des lignes :

Accessibilité aux personnes à mobilité réduite

L’ensemble des vĂ©hicules affectĂ©s au rĂ©seau sont accessibles aux PMR[P 5]. Ils sont tous Ă©quipĂ©s de planchers surbaissĂ©s[P 5] et de rampes d’accĂšs rĂ©tractables[P 5] situĂ©es sous la porte centrale. Les vĂ©hicules Ă©quipĂ©s d’amĂ©nagements pour les PMR sont repĂ©rables par la prĂ©sence d’une Ă©tiquette bleue avec une personne en fauteuil roulant sur l’avant et/ou au niveau de la porte centrale.

L’ensemble des vĂ©hicules disposent d’emplacements rĂ©servĂ©s aux utilisateurs de fauteuil roulant (UFR) et aux personnes Ă  mobilitĂ© rĂ©duite (PMR)[6], le plus souvent situĂ©s en face de la porte centrale, avec un bouton Ă  proximitĂ© pour demander l’arrĂȘt, ce qui permet de signaler au conducteur qu’il devra s’adapter pour faciliter la descente de l’usager handicapĂ© lors du prochain arrĂȘt.

Lors de l’arrĂȘt, le conducteur peut effectuer, si l’emplacement le permet, une manƓuvre appelĂ©e agenouillement destinĂ©e Ă  faciliter la montĂ©e/descente de l’usager. Au cours de cette manƓuvre, le vĂ©hicule est amenĂ© au plus prĂšs du trottoir et inclinĂ© sur le cĂŽtĂ© droit afin de rĂ©duire au maximum la diffĂ©rence de hauteur entre le plancher du bus et le sol, puis la rampe d’accĂšs situĂ©e sous la porte est dĂ©ployĂ©e et les portes sont ouvertes afin de permettre l’entrĂ©e/sortie du passager. L’ensemble de ces actions est contrĂŽlĂ© depuis le poste de conduite[6].

Les vĂ©hicules sont Ă©galement rendus accessibles aux malentendants et malvoyants par la mise en place d’une information sonore et visuelle, notamment par la prĂ©sence de bandeaux lumineux[P 5] sur lesquels sont indiquĂ©s le numĂ©ro de la ligne et des arrĂȘts suivants, par l’annonce sonore de ces mĂȘmes informations Ă  l’intĂ©rieur des vĂ©hicules[P 5] (ainsi qu’à l’extĂ©rieur sur les plus rĂ©cents) et par des inscriptions en braille sur les boutons de demande d’arrĂȘts. De plus, les valideurs Ă©mettent un son diffĂ©rent si le titre de transport est valide ou non.

La commune a Ă©galement lancĂ© une politique de mise en accessibilitĂ© des arrĂȘts du rĂ©seau aux PMR[P 5] - [P 6], en collaboration avec le dĂ©partement pour certains[P 6]. Celle-ci consiste Ă  Ă©largir les trottoirs et amĂ©nager un accĂšs sĂ©curisĂ© pour permettre aux PMR de rejoindre l’arrĂȘt, mais Ă©galement Ă  surĂ©lever la bordure de celui-ci Ă  21 cm[P 6] afin de faciliter la manƓuvre d’agenouillement. Le premier arrĂȘt Ă  ĂȘtre mis aux normes est l’arrĂȘt HĂŽpital[P 7]. Les travaux, dont le montant s’élĂšve Ă  13 998 â‚Ź, sont cofinancĂ©s par la commune et le dĂ©partement[P 6].

Identité visuelle

Logos

Lors de la crĂ©ation du rĂ©seau, celui-ci est dotĂ© d’un logo qui se compose du sigle TAM Ă©crit en capitales noires. Trois bandes de couleurs, rappelant les couleurs des trois lignes initiales du rĂ©seau (vert, violet et orange), partent du T, passent sous le A et s’élargissent jusqu’au bord droit du logo. Le nom dĂ©veloppĂ©, RĂ©seau de Transport Ambarrois, est rappelĂ© en lettres capitales de petites tailles en bas Ă  gauche, suivi de trois points des mĂȘmes couleurs que les bandes subcitĂ©es mais dans un ordre diffĂ©rent : violet, orange et vert.

  • Logo utilisĂ© de 2010 Ă  2019.
    Logo utilisé de 2010 à 2019.
  • Logo depuis 2019.
    Logo depuis 2019.

Livrée des véhicules

Une nouvelle livrĂ©e apparait en mai 2019 avec l‘inauguration des Iveco Urbanway.

La livrĂ©e actuelle des vĂ©hicules est dĂ©voilĂ©e le 27 mai 2019, Ă  l’occasion de l’inauguration des nouveaux vĂ©hicules du rĂ©seau, deux Iveco Urbanway 10.5[10]. RĂ©alisĂ© par le service communication du groupe Philibert, chargĂ© de l’exploitation, elle reprend un certain nombre de l’ancienne dĂ©coupe, dont le fond blanc et le toit vert, mais celui-ci abandonne le ton unique pour un dĂ©gradĂ© foncĂ© vers l’avant et clair Ă  l’arriĂšre[11]. Une vague en dĂ©gradĂ© vert rappelle le vallonnement de la commune, tandis que quelques arbres de couleur violette sont prĂ©sents sous la fenĂȘtre du conducteur et sous la derniĂšre vitre latĂ©rale Ă  droite[11]. L’arriĂšre est entiĂšrement vert clair, tandis que la face avant fait apparaitre cĂŽte Ă  cĂŽte les logos de la commune Ă  gauche et du rĂ©seau Ă  droite.

Livrée de 2010 à 2019.

Cette dĂ©coupe remplace la livrĂ©e historique, apparue en 2010 avec la crĂ©ation du rĂ©seau TAM. RĂ©alisĂ©e par l’agence graphique ADAKA, basĂ©e Ă  Bourg-en-Bresse, elle arbore un fond blanc Ă  l’exception notable du toit des vĂ©hicules, qui est vert clair. Des traits ondulĂ©s et entrelacĂ©s dĂ©coupent toute la longueur. Ils reprennent les couleurs du rĂ©seau : orange, vert et violet. L’arriĂšre est blanc avec un trait ondulĂ© vert, tandis que l’avant est dĂ©coupĂ© par un trait orange, avec de part et d’autre les logos de la commune Ă  gauche et du rĂ©seau Ă  droite

Exploitation

État de parc

Au moment de sa crĂ©ation, le rĂ©seau est assurĂ© par trois vĂ©hicules : deux Heuliez GX 127[M 1] achetĂ©s neufs et un Vehixel Cityos 30 qui Ă©tait utilisĂ© sur la navette Ambar’bus avant la crĂ©ation du rĂ©seau[M 1]. Un troisiĂšme Heuliez GX 127 arrive dans le courant de l’annĂ©e 2011[M 4], relĂ©guant l’ancien minibus d’Ambarbus au rang de vĂ©hicule de rĂ©serve[M 4]. Ce dernier est finalement vendu au rĂ©seau Colibri en 2012. L’arrivĂ©e d’un Heuliez GX 117 d’occasion en 2014 augmente Ă  quatre le nombre de bus affectĂ© au rĂ©seau[12].

DĂ©pĂŽts

Les vĂ©hicules exploitĂ©s sur le rĂ©seau sont entreposĂ©s dans un dĂ©pĂŽt du groupe Philibert situĂ© au nord-ouest de la commune, plus prĂ©cisĂ©ment au 11 Rue Rosengart[13] (45° 58â€Č 12″ N, 5° 20â€Č 36″ E).

Accidents

Les accidents sur le rĂ©seau sont assez rares. L’un des plus impressionnants survient Ă  proximitĂ© de la base aĂ©rienne[P 8] le , lorsqu’une fourgonnette de La Poste s’engage dans une intersection[P 8] devant un bus du rĂ©seau circulant Ă  vide[P 8] sur la ligne TAM1. Le vĂ©hicule postal est heurtĂ© sur l’avant droit par le midibus et emportĂ© sur une dizaine de mĂštres[P 8]. Aucune victime n’est Ă  dĂ©plorer, mais les deux conducteurs sont amenĂ©s Ă  l’hĂŽpital d’AmbĂ©rieu-en-Bugey pour des examens[P 8].

Sécurité

ConformĂ©ment Ă  la lĂ©gislation en vigueur, l’ensemble du parc est soumis Ă  un contrĂŽle technique, effectuĂ© par un centre indĂ©pendant et reconnu, valable 6 mois. Au cours de cette visite, tous les Ă©lĂ©ments de sĂ©curitĂ© ainsi que l’arrimage des siĂšges et la motorisation sont vĂ©rifiĂ©s.

Les portes sont dotĂ©es de nombreuses sĂ©curitĂ©s. En effet, chacune d’elles est dotĂ©e de bords sensibles, capable de remarquer la prĂ©sence d’un corps Ă©tranger entre les battants et d’entraĂźner un phĂ©nomĂšne de rĂ©version, c’est-Ă -dire la rĂ©ouverture des portes. Les vĂ©hicules sont Ă©galement Ă©quipĂ©s d’un dĂ©tecteur, situĂ© au-dessus des portes, capable de dĂ©celer une prĂ©sence par infrarouge et destinĂ© Ă  vĂ©rifier la prĂ©sence d’un individu trop prĂšs des portes au moment de leur ouverture/fermeture. En cas d’anomalie, le systĂšme enclenche la rĂ©ouverture des portes. Des capteurs sont Ă©galement installĂ©s afin de vĂ©rifier la bonne fermeture des portes arriĂšre : si l’une d’elles est mal fermĂ©e, le vĂ©hicule ne peut pas dĂ©marrer. L’ouverture de la porte avant n’empĂȘche pas de faire partir le bus, mais elle est programmĂ©e pour se fermer automatiquement aprĂšs 5 secondes. Enfin, en cas de problĂšme empĂȘchant l’ouverture des battants depuis l’intĂ©rieur, deux mĂ©canismes, l’un Ă  l’extĂ©rieur et l’autre Ă  l’intĂ©rieur, sont installĂ©s Ă  proximitĂ© de chaque portes et permettent de dĂ©clencher la dĂ©compression, c’est-Ă -dire le fait de vider les rĂ©serves d’air comprimĂ©, rendant ainsi les battants inertes.

Tous les bus sont Ă©quipĂ©s de marteaux brise-vitre situĂ©s le plus souvent derriĂšre le conducteur. ConformĂ©ment Ă  la lĂ©gislation en vigueur, au moins cinq vitres latĂ©rales et le pare-brise arriĂšre des vĂ©hicules, signalĂ©s par la mention « Issue de secours », peuvent ĂȘtre brisĂ©s afin d’évacuer le bus en cas d’urgence (incendie, accident, etc.).

Sécurités au niveau des portes et vitres
  • Des portes dotĂ©es de bords sensibles.
    Des portes dotées de bords sensibles.
  • Une cellule dĂ©tectrice (Ă  l’arriĂšre) et l’ouverture de secours des portes.
    Une cellule dĂ©tectrice (Ă  l’arriĂšre) et l’ouverture de secours des portes.
  • Le systĂšme d’ouverture de secours des portes (extĂ©rieur).
    Le systĂšme d’ouverture de secours des portes (extĂ©rieur).
  • Un marteau brise-vitre.
    Un marteau brise-vitre.


Un extincteur.

Ils sont Ă©galement dotĂ©s de moyens de lutte contre l’incendie, notamment un extincteur, qui est situĂ© au niveau de la porte avant.

Les portillons sont dotĂ©s d’une alarme, qui sonne si celui-ci n’est pas ou mal fermĂ©.

Tarification et financement

Financement du réseau TAM[P 1].

  • Versement transport (73,46 %)
  • Commune (26,54 %)

Le coĂ»t de mise en Ɠuvre du rĂ©seau TAM est estimĂ©e, au moment du renouvellement de la dĂ©lĂ©gation de service public en 2015, Ă  environ 667 000 â‚Ź[P 1]. Son financement est assurĂ© Ă  la fois par le versement transport — une contribution prĂ©levĂ©e depuis 2009[M 5] par la commune sur toutes les entreprises prĂ©sentes sur son territoire et embauchant plus de 9 personnes[M 5] —, dont le revenu est estimĂ© Ă  environ 490 000 â‚Ź[P 1] pour 2015, soit 73.5 % des frais de fonctionnement du rĂ©seau, ainsi que par la commune qui complĂšte la diffĂ©rence, soit environ 177 000 â‚Ź (26.5%)[P 1].

Impact socio-Ă©conomique

Notes et références

Notes

  1. À la suite d’une enquĂȘte auprĂšs des habitants, la mairie de Douvres abandonne le projet d’extension du rĂ©seau sur son territoire en octobre 2016. (Source : Lucette Bourgeois, « Compte-rendu de la rĂ©union de Conseil Municipal du 24 octobre 2016 » [PDF], sur douvres.fr, Mairie de Douvres, (consultĂ© le ), p. 2).

Références

  1. Ville d’AmbĂ©rieu-en-Bugey, « Gestion du service de transport urbain de personnes l'ambarbus Ă  AmbĂ©rieu En Bugey », sur www.boamp.fr, Direction de l’information lĂ©gale et administrative, (consultĂ© le ).
  2. Ville d’AmbĂ©rieu-en-Bugey, « Gestion du service de transport urbain de personnes l'ambarbus Ă  AmbĂ©rieu En Bugey », sur www.boamp.fr, Direction de l’information lĂ©gale et administrative, (consultĂ© le ).
  3. Ville d’AmbĂ©rieu-en-Bugey, « Exploitation des lignes du rĂ©seau de transport urbain Tam et des services scolaires de la commune d'AmbĂ©rieu En Bugey », sur www.boamp.fr, Direction de l’information lĂ©gale et administrative, (consultĂ© le ).
  4. « TAM, parking, co-voiturage, voie piĂ©tonne : les projets pour limiter la voiture en ville
 et surtout vers la gare », sur www.bugey-cotiere.fr, SociĂ©tĂ© du journal de la CĂŽtiĂšre et du Bugey, (consultĂ© le ).
  5. Jacques Dupoyet, « A bord de l’Ambar’bus », InterAction, no 30,‎ , p. 14 (ISSN 1260-528X, lire en ligne, consultĂ© le ).
  6. Ghislain Gros, « Un nouveau service de bus pour AmbĂ©rieu », sur www.lavoixdelain.fr, La Voix de l’Ain, (consultĂ© le ).
  7. Nicolas Capon, « Amberieu > Ambarbus ° », RĂ©seaux Urbains de France, no 68,‎ , p. 41 (ISSN 1283-4459, lire en ligne, consultĂ© le ).
  8. Jean-Luc Tavernier (dir.), « Dossier complet : Commune d’AmbĂ©rieu-en-Bugey (01004) », sur www.insee.fr, INSEE, (consultĂ© le ).
  9. « Libre accÚs aux transports régionaux ce week-end » AccÚs libre, sur https://www.auvergnerhonealpes.fr, (consulté le )
  10. « Ain. Ambérieu : une navette de transport à la demande et deux nouveaux bus », sur www.leprogres.fr (consulté le )
  11. « Behance », sur www.behance.net (consulté le )
  12. SAS Le reseau evenementiel (dir.), « Offre affichage Ambérieu-en-Bugey », sur www.reseau-bus.fr, Ims on line, © 2017 (consulté le ).
  13. Marc Philibert (dir.), « Philibert Transport Centre Amberieu en Bugey (Ain) », sur www.philibert-transport.fr, Société Philibert, (consulté le ).
Journal Le ProgrĂšs

Les références notées « P » dans le texte proviennent du journal Le ProgrÚs (www.leprogres.fr).

Site de la mairie

Les rĂ©fĂ©rences notĂ©es « M » dans le texte proviennent du site de la mairie d’AmbĂ©rieu-en-Bugey (ville-amberieuenbugey.fr).

  1. Josiane Exposito (dir.), « Les vĂ©hicules du rĂ©seau », Mairie d’AmbĂ©rieu-en-Bugey, (consultĂ© le ) : « Il s’agit de deux bus Heurliez GX127 et de notre ancien vĂ©hicule Ambar’Bus : un cytĂ©os Mercedes. ».
  2. Josiane Exposito (dir.), « Conseil Municipal 28 novembre 2011 » [PDF], sur www.ville-amberieuenbugey.fr, Mairie d’AmbĂ©rieu-en-Bugey, (consultĂ© le ).
  3. Daniel Fabre (dir.), « Guide » [PDF], sur ville-amberieuenbugey.fr, Mairie d’AmbĂ©rieu-en-Bugey, (consultĂ© le ).
  4. Josiane Exposito (dir.), « TAM - Les vĂ©hicules », Mairie d’AmbĂ©rieu-en-Bugey, (consultĂ© le ) : « Il s’agit de trois bus Heurliez GX127.[...] Notre ancien vĂ©hicule Ambar’Bus : un cytĂ©os Mercedes est utilisĂ© en rĂ©serve. ».
  5. Mme Errard et Mr Di Perna, « Conseil Municipal 28 aoĂ»t 2015 » [PDF], sur shareslide.org, Mairie d’AmbĂ©rieu-en-Bugey, (consultĂ© le ).

Annexes

Articles connexes

Liens externes

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