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Quesnoy-le-Montant

Quesnoy-le-Montant est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Quesnoy-le-Montant
Quesnoy-le-Montant
Place de Quesnoy, école, mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité Communauté de communes du Vimeu
Maire
Mandat
Josette Cayeux
2020-2026
Code postal 80132
Code commune 80654
Démographie
Gentilé Quercitains
Population
municipale
535 hab. (2020 en diminution de 7,92 % par rapport à 2014)
Densité 76 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 06′ 35″ nord, 1° 41′ 18″ est
Altitude Min. 13 m
Max. 79 m
Superficie 7,04 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Abbeville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Abbeville-2
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Quesnoy-le-Montant
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Quesnoy-le-Montant

    Depuis le , la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.

    Géographie

    Description

    Plutôt à l'écart des grands axes de circulation, Quesnoy se trouve, par la route, à 13 km de Saint-Valery, 13 km d'Abbeville et 60 km d'Amiens[1].

    En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no 8 (Saint-Valery - Friville) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[2].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Quesnoy-le-Montant est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Abbeville, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6] - [7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,1 %), prairies (18,2 %), zones urbanisées (5,7 %), forêts (5,7 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Caisnoi (1265) ; Le Quesnoy (1337) ; Kennoy (1338) ; Kesnoy en Vimeu (1348) ; Quesnoy (XIVe) ; Quesnoy en Vimeu (1503) ; Quesnoy (1646) ; Caisnoy (1648) ; Le Quesnoy-Montant (1757) ; Le Quenoy (1761) ; Quesnoi-près-le-Montant (1766) ; Qesnoy-lez-Montan (1768) ; Le Quenoi (1778) ; Quesnoy-le-Montant (1862) ; Le Quesnoy-le-Montant (1840) ; Le Quesnoy-lès-Montant (1782)[10].
    Quesnoy est un toponyme issu du mot latin Quercitum, forme normando-picarde de chenoy, équivalent du français central chêne et du suffixe collectif d'arbre, de l'oïl *caisnai, variante de caisnoi, nom topographique désignant un « endroit couvert de chênes », une « chênaie »[11].
    L'étymologie révèle son origine première, une forêt. La forêt de Mormal.
    Le bois de la Rançonnière tient son nom du fait qu'on s'y faisait détrousser en le traversant[12].

    Le-Montant est une ancienne dépendance de Quesnoy, attestée sous les formes Montant en 1450 ; Monten en 1623 ; Le Montant en 1730 ; Le Montan en 1733[13].
    Un « montant de terre », mesure de terre, petite parcelle de terrain.

    Histoire

    Le pèlerinage à Saint-Sulpice

    • De longue date, le pèlerinage à Saint-Sulpice attire de nombreux habitants du Vimeu. Le Manuscrit Lambert de Beaulieu, 1834 (Ms 14 tome II, p. 16 Bibliothèque de la Société des Antiquaires de Picardie) le décrit tel qu'il était au début du XIXe siècle: Un mot sur le pèlerinage à St Sculpy, suivi ou accompagné de foire champêtre, jeux, danses, fricotages, sous des espèces de tentes qui donnent, vues de loin, à la chapelle l’air d’un caravansérail. Le nom du saint est saint Sulpice. C’est par corruption qu’on dit généralement Saint-Sculpy. Le pèlerinage à la chapelle du Quesnoy-le-Montant en Campagne pour aller invoquer Saint-Sulpice est établi dans le pays depuis un temps immémorial. Le , dimanche à 9 heures du matin, sur la côte qui domine la vallée sèche au fond de laquelle se trouve la chapelle, nous fûmes à même de jouir du coup d’œil que présente cette chapelle, alors remplie et entourée de pèlerins et pèlerines, et de celui de divers chemins par lesquels on voit en même temps arriver et puis descendre à la même chapelle ceux venus de plus loin que les premiers ou partis plus tard de chez eux. Par un temps clair et serein (sic) surtout, ce spectacle offre beaucoup d’intérêt à celui qui, placé ainsi à la plus grande hauteur, au sortir de Lambercourt-lès -Miannay, découvre toute la vallée sèche. De cette hauteur l’assemblée formée près de la chapelle couverte de verdure semble un vaste caravansérail. Pour avoir idée de cette nombreuse assemblée, à la fois pieuse et mondaine, il faut faire connaître de quels éléments elle se trouve annuellement composée. Que voit-on à cet antique pèlerinage ? Plusieurs milliers de pèlerins, hommes, femmes et enfants, les uns arrivés en voitures et humbles charrettes et d’autres à pattes. Le plus grand nombre n’arrive à la chapelle que chargé des provisions de bouche et d’objets du petit commerce, tels que souliers, sabots, tous confectionnés, poteries communes et instruments et ustensiles aratoires. Pendant que dans la chapelle les fidèles se pressent et même s’étouffent pour parvenir avec beaucoup de peine, à se faire dire un évangile et à présenter leur offrande à Saint-Sulpice, la scène change, tant dans le bosquet du cimetière, qui entoure la chapelle que près de ce bosquet. Dans le bosquet du cimetière, les pèlerins et pèlerines marchent en quelque sorte, sur les personnes, grandes et petites, infirmes, affligées, estropiées, couchées sur la terre, montrant à chaque pèlerin les maux véritables et quelquefois supposés dont elles se disent accablées, et enfin en criant et implorant de toutes les manières la commisération et la charité publiques. Là semblent s’être donné rendez-vous tous les aveugles, les bossus ou dossus, les pieds-bots, les manchots des villes d’Abbeville et Saint-Valéry sur Somme, et de tous les villages peu éloignés de la chapelle St Sculpy. Parmi ces affligés, nous en reconnûmes plusieurs tant d’Abbeville que de son arrondissement. Au dehors et près du bosquet qui entoure la chapelle, le spectacle change : il se compose d’abord de tentes sous lesquelles on boit, on mange, on fricote, on fait des marchés, le verre à la main ou la pipe en gueule. Puis on remarque, comme dans une véritable foire champêtre, de nombreux marchands et de nombreuses marchandes de pain d’épice, de souliers, sabots, ustensiles aratoires ; puis enfin, pour les amateurs de marchands de tout ce qui tient à la noble personne du cochon domestique. On y voit donc sur les tables dressées à la hâte sur le gazon, de véritables montagnes de lard frais, salé et rance, des chapelets de cervelas de diverses grosseurs, des andouilles, andouillettes et même jusqu’à des côtelettes de porc frais ! Tour le fricotage de la plupart des pèlerins a lieu sous des tentes grossières, toujours exposées aux quatre vents, et au milieu des jeux et des cris de la jeunesse, près de la marmite qui s’échauffe bien, quoique sous un feu établi et allumé dans un trou, et près du chariot ou de la charrette qui a servi, soit au transport de la famille, soit à celui des provisions de bouche, ou des objets de son petit commerce. En Picardie, on ne peut faire une lieue sans bouffer ou sans s’humecter au moins le gaziau. Il n’y a point de bon pèlerinage là où on ne trouve ni à boire, ni à manger. Lorsqu’il fait un beau temps, le soir, le pèlerinage est ordinairement clos par les danses et les jeux de la jeunesse. Bien des jeunes gens même des environs n’arrivent à la chapelle que dans la soirée et à l’heure ou commencent ordinairement les danses. Sur un chemin et à moins d’une portée de fusil de la chapelle, nous remarquâmes une très ancienne croix de pierre, fort curieuse, d’environ six pieds de hauteur, et qui nous a semblé être d’une antiquité beaucoup plus reculée que la chapelle actuelle et même que l’établissement du pèlerinage du village de Quesnoy-le-Montant. La chapelle est remarquable par sa situation au fond d’une vallée sèche et par une plantation d’ormes qui l’entoure comme un massif de verdure. Le bosquet qui cache la chapelle est le lieu ordinaire de sépulture des habitants de Quesnoy-le-Montant.
    • Le pèlerinage à St Sulpice que décrit ce document très riche était fort ancien et remonte probablement au Moyen-Age. Le Moine bénédictin Pierre Nicolas Grenier (dit dom Grenier, 1725-1789), historiographe de la Picardie, auteur d’une « introduction à l’histoire générale de la Province de Picardie », Société des Antiquaires de Picardie, 1856, évoque lui aussi l’événement et rapporte le cas d’une altercation entre un jeune fermier et une marchande en 1769 qui nécessita l’intervention de la police. Le témoignage du manuscrit Lambert de Beaulieu est précieux à divers points de vue (malgré le positionnement très moraliste de l’auteur). Il nous renseigne d’abord sur la culture matérielle et la culture alimentaire du temps (rôle de la charcuterie, des sucreries). Il nous informe aussi sur les mÅ“urs du Vimeu en période festive et sur les possibilités de rencontres sentimentales en dehors des jours ordinaires. Les jeunes filles venaient demander au saint un bon mari : un morceau de pain d’épice, touché par la statue du saint, en serait, pensait-on, le garant. Le document indique encore l’importance des moments festifs religieux dans la charité vis-à-vis des pauvres et des handicapés. Il montre enfin que la dimension religieuse, encore très forte à la fin de l’ancien régime, est totalement perméable aux pratiques populaires de danse et de fricotage (le bois de Rançonnière tout proche est encore appelé localement « bois d’amour », le sens de ce terme n’échappera à personne.
    • Au XIXe siècle, la commune s'appelait Quesnoy-en-Vimeu et avait trois hameaux : Montant, Saint-Sulpice et Hymmeville[12].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1979 1984 Pierre Chouquais PS Conseiller général de Moyenneville de 1979 à 1984
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 juillet 2020[14] Josette Cayeux[15]
    juillet 2020[16] - [17] janvier 2022 Thierry Sauvé Retraité.
    Démission[18].
    mars 2022 En cours Josette Cayeux[19]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].

    En 2020, la commune comptait 535 habitants[Note 3], en diminution de 7,92 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    553517528647704698713692698
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    705739721704662709715739740
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    746764718647638613570603607
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    577556519502511519555562572
    2014 2019 2020 - - - - - -
    581543535------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La scolarité primaire est gérée avec la commune de Mons-Boubert, dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal.

    Sports

    Football : ASQ (Association Sportive de Quesnoy-le-Montant).

    Le club compte actuellement une équipe senior qui évolue en 5e division du District de la Somme. L'âge d'or du club remonte dans les années 1970 avec six saisons consécutives en Ligue de Picardie et une demi-finale de Coupe de la Somme en 1976, face au grand club local : le SC Abbeville, alors pensionnaire de Division 3. En 2016, le club a réussi à accéder en quart de finale de Coupe de la Somme face à Montdidier. En 2020, le club est relancé avec une équipe senior et atteint le 3e tour de la Coupe de France.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Sulpice du XVIe siècle, bâtie en pierre de Pont-Remy. Un incendie l'a endommagée en 1747. Sa galerie et son clocher, une rareté à la flèche octogonale en pierre, ont été reconstruits en 1848[24].
    • Chapelle Saint-Martin (Hymmeville). Pour certains dédiée à saint Martial[12]. Sa cloche est datée de 1630[25] - [26].
    • Chapelle Saint-Sulpice, près de la gare. Entourée du cimetière de Quesnoy, elle a été reconstruite pour la troisième fois en 1773. Un pèlerinage s'y terminait autrefois en faisant sept fois le tour de la chapelle et en lisant les évangiles[12].
    • Église Saint-Sulpice de Quesnoy.
      Église Saint-Sulpice de Quesnoy.
    • La chapelle d'Hymmeville.
      La chapelle d'Hymmeville.
    • Chapelle du cimetière.
      Chapelle du cimetière.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • Campagne-lès-Quesnoy, calvaire.
      Campagne-lès-Quesnoy, calvaire.
    • Gare de Quesnoy-le-Montant à Saint-Sulpice.
      Gare de Quesnoy-le-Montant à Saint-Sulpice.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. ViaMichelin.
    2. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Abbeville », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 195 (lire en ligne sur DicoTopo) .
    11. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 270.
    12. Christian Hanquier, Le Courrier picard, édition Picardie maritime, p. 12, 30 août 2014.
    13. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 70 (lire en ligne sur DicoTopo) .
    14. « Elections municipales. Josette Cayeux brigue finalement un 4e mandat à Quesnoy-le-Montant : Il y a encore quinze jours, Josette Cayeux, disait ne pas savoir si elle se présentait aux élections municipales. C’est confirmé. A 79 ans, elle est candidate à sa réélection », L'Éclaireur du Vimeu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    15. Réélue pour le mandat 2014-2020 : Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 11 avril 2014, p. 15.
    16. Xavier Togni, « Bruno Leroy face à la maire sortante de Quesnoy-le-Montant : Bruno Leroy, 53 ans, a monté sa liste pour les Municipales. Et se retrouvera face à la maire sortante qui, finalement, repart », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    17. « iste des élus de la Somme » [xlx], Listes des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    18. « Le maire de Quesnoy-le-Montant, Thierry Sauvé, a démissionnné », Courrier picard,‎ , p. 14A (lire en ligne)
    19. Jérémy Hébras, « Josette Cayeux réélue logiquement maire de la commune », Courrier picard,‎ , p. 16.
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    24. Christian Anquier,Quesnoy-le-Montant, le Courrier picard, « l'église soigne son chÅ“ur Â», édition Picardie maritime, , p. 13.
    25. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 111 (ASIN B000WR15W8).
    26. Roger Rodière et Philippe des Forts, « Le pays du Vimeu Â»

    Ouvrages

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