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Planay (Savoie)

Planay est une commune française de montagne située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Planay
Planay (Savoie)
Un chalet de Planay.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement Savoie
Arrondissement Albertville
Intercommunalité Communauté de communes Val Vanoise
Maire
Mandat
Jean-René Benoit
2020-2026
Code postal 73350
Code commune 73201
DĂ©mographie
Gentilé Planerains
Population
municipale
441 hab. (2020 en augmentation de 9,16 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 20 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 25′ 26″ nord, 6° 41′ 57″ est
Altitude Min. 860 m
Max. 3 365 m
Superficie 22,41 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Moûtiers
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Planay
Liens
Site web www.planay.com

    La commune est située dans le parc national de la Vanoise, dans le massif des Alpes.

    GĂ©ographie

    SituĂ©e Ă  l'est de MoĂ»tiers, en amont du doron de Bozel, la commune de Planay s'Ă©tend de part et d'autre du lit du doron de Pralognan, depuis le Villard du Planay jusqu'au pont de Pierra CrĂŞpa. Le territoire de la commune se caractĂ©rise par sa forte amplitude altitudinale, de 870 m Ă  l'entrĂ©e de la commune au droit du doron de Bozel Ă  3 398 m au sommet du Grand Bec. SituĂ©e Ă  la confluence des dorons de Champagny et de Pralognan, la vallĂ©e du Planay est le point de dĂ©part du doron de Bozel, qui sillonne jusqu'Ă  sa confluence avec l'Isère, la vallĂ©e du doron de Pralognan s'Ă©lève rapidement jusqu'au sommet de la Vanoise.

    Pralognan et le Planay ont formĂ© pendant longtemps une seule et mĂŞme entitĂ© et ce n'est qu'en 1893 que deux communes distinctes ont vu le jour. En effet, ces deux villages ayant pris des orientations politiques diffĂ©rentes (Pralognan vers le tourisme et le Planay vers l'industrie), ces derniers ont dĂ©cidĂ© de se sĂ©parer. De ce fait, c'est en date du que la partition des deux communes est dĂ©cidĂ©e. Cette mĂŞme annĂ©e voit le partage des biens immobiliers entre les deux communes au prorata du nombre de feux (foyers). Après recensement ces derniers se sont rĂ©vĂ©lĂ©s Ă©quivalents. De cette scission le Planay a conservĂ© des terres sur les Ă©tendues suivantes sur la commune de Pralognan : le cirque du grand Marchet, la Valette, les Nants, les Planes et le Plan d'amont. De plus, en acte du , la commune du Planay est devenue propriĂ©taire de diverses parcelles sur les terrains et montagnes suivants : une montagne Ă  gruyères dite Ritord, les fonds de Ritord, FrĂ©tarbĂ©, les Planettes, la Bruche, Rosoire, La Grande Riondaz, la Petite Riondaz, la Rubetière. Le Planay dispose donc de au total de 1 662 hectares sur la commune de Pralognan.

    La commune du Planay comprend quatre villages tous de formes et de conceptions différentes les uns des autres :

    - Le Villard altitude 860 m : situĂ© au confluent du Doron de Champagny et du Doron de Pralognan, le Villard est un site Ă©troit coincĂ© entre la dent du Villard et la « Tour du Merle ». Il a abritĂ© pendant près d'un siècle l'usine (de 1898 Ă  1984). La disparition de l'usine PĂ©chiney a laissĂ© place Ă  une zone de constructions artisanales et d'habitations. Le village ancien du Villard bien groupĂ©, se trouve relĂ©guĂ© au second plan, scindĂ© en deux de part et d'autre du Doron de Champagny.

    - Le Planay (Chef-lieu) altitude 1 151 m : construit de part est d'autre du C. D. 915 qui mène Ă  Pralognan-la-Vanoise. L'histoire de ce village mĂ©riterait un regard approfondi plus qu'il n'est aujourd'hui.

    - Le ChambĂ©ranger altitude 1 200 m : village très groupĂ© classĂ© en Zone de Protection du Patrimoine Architectural et Urbain par arrĂŞtĂ© prĂ©fectoral du . PerchĂ© sur son Ă©peron rocheux, ce village aux ruelles abruptes faites de pierre debout, parcourues de maisons accrochĂ©es Ă  la pente a conservĂ© toute son authenticitĂ©.

    - La Novaz altitude 1 100 m : ce village ne conserve aucune habitation permanente, c'est le dernier village que l'on rencontre en quittant la commune pour se rendre Ă  Pralognan-la-Vanoise. Ce village qui est bâti Ă  l'ubac bĂ©nĂ©ficie d'une durĂ©e d'ensoleillement relativement courte, aujourd'hui, il est principalement occupĂ© l'Ă©tĂ©.

    Planay est entourĂ© par les communes de Bozel, La Perrière, Champagny-en-Vanoise, Pralognan-la-Vanoise et Saint-Bon-Tarentaise. La grande ville la plus proche, Albertville, est distante d'environ 37 kilomètres.

    Hydrographie : la commune reçoit principalement les ruisseaux de la Vuzelle, du Gorret, et de Ballandaz.

    Le climat est subarctique avec des étés courts et frais.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Planay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4] - [5].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (94,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (28,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,4 %), zones agricoles hétérogènes (4,8 %), zones urbanisées (1,1 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte en couleurs prĂ©sentant l'occupation des sols.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Photo aĂ©rienne en couleurs de la commune.
      Carte orthophotogrammétrique de la commune.

    Toponymie

    • 1789 : le nom de la commune Ă©tait La Vanoise.
    • 1893 : Planay est dĂ©tachĂ©e de Pralognan.

    En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit L Plané, selon la graphie de Conflans[7].

    Histoire

    Industrie

    Le sort de l'usine du Villard sur la commune de Planay pourrait être considéré comme un cas d'école pour illustrer une stratégie en retraite dans l'histoire des industries de la houille blanche.

    En 1898, la Compagnie gĂ©nĂ©rale d'Ă©lectrochimie de Bozel dĂ©cide d'implanter une usine sur le territoire de cette commune Ă  860 mètres d'altitude et Ă  17 km de la gare de chemin de fer de MoĂ»tiers, la plus proche. Mais on ne perdait pas espoir d'un prochain raccordement au rĂ©seau. En fait, la vallĂ©e du doron de Bozel ne sera jamais desservie que par un Ă©lectrobus (nom local) dont les principaux usagers devaient ĂŞtre les curistes de la station thermale de Brides-les-Bains. Ce handicap pour une industrie lourde tributaire de moyens de transports de masse n'est cependant pas apparu rĂ©dhibitoire car il semblait compensĂ© par la disponibilitĂ© sur place d'une Ă©nergie Ă©lectrique gratuite grâce Ă  l'Ă©quipement de deux centrales hydroĂ©lectriques, toujours en service aujourd'hui, sur ce site de confluence. Celle de Ballandaz, sur le doron de Pralognan, fonctionne sous une haute chute de 230 mètres avec un dĂ©bit de 2,5 m3/s, une puissance installĂ©e de 4,5 MW et un productible de 24 GW. Celle de Champagny sur le doron homonyme fonctionne sous une chute de 554 mètres avec un dĂ©bit de m3/s, une puissance installĂ©e de 13 MW et un productible de 50 GWh. Tout aussi dĂ©cisive a Ă©tĂ© la possibilitĂ© d'extraire des mines et carrières locales les matières premières nĂ©cessaires Ă  l'alimentation des fours[8].

    L'usine a bien sacrifié à la mode du carbure de calcium mais elle était destinée plus particulièrement à la production du ferrosilicium. On s'approvisionnerait en quartzite, cet oxyde de silicium, à la carrière de Champ-Béranger, sur le territoire même de la commune ; le carbone réducteur serait extrait des mines d'anthracite de Tincave, sur la commune de Bozel, et de Montagny. Seules les ferrailles devraient être acheminées de l'extérieur et on y employa de longues théories de chevaux. Ce ferrosilicium était vendu aux aciéristes pour la production d'alliages c'est-à-dire d'aciers auxquels l'incorporation d'un pourcentage significatif de silicium confère des qualités appréciées pour des usages spécifiques. À partir de 1925, la fusion avec une société normande donna naissance à Bozel-Maletra. Sans doute la contrainte des approvisionnements en ferrailles a-t-elle joué un rôle déterminant dans la décision de créer un deuxième établissement au lieu-dit Château-Feuillet, sur la commune de Petit-Cœur, en basse Tarentaise, en bordure de la voie ferrée et d'y transférer la production de ferrosilicium en 1928[9].

    Désormais l'usine du Villard pourrait se consacrer entièrement à celle qui était dès l'origine sa deuxième spécialité : le silico-calcium obtenu dans le même type de fours. La fourniture locale en calcaire ne faisant pas problème, on se trouvait libéré des lourdes importations de ferrailles. Si le silicium reste toujours l'élément utile grâce à cette cuisine qui l'associe au calcium, les aciéristes l'utilisent non plus comme élément d'alliage mais comme agent d'affinage : le silicium n'est plus du tout incorporé à l'acier mais, mêlé à lui dans le convertisseur, il va lui conférer une pureté totale en éliminant les risques d'une ré-oxydation de l'acier pendant l'opération ; il formera lui-même avec le calcium un laitier évacué sur un crassier. Cette vocation a été parfaitement assumée et l'usine du Villard devait prospérer au point d'employer 500 personnes en 1939 tandis que la population de la commune passait de 508 habitants en 1901 à 845 en 1945[10].

    On assiste pendant les Trente Glorieuses à la répétition du même scénario que celui observé entre les deux Guerres mondiales. Le prodigieux essor de la sidérurgie mondiale induit une demande de forts tonnages de silicocalcium et l'usine du Villard ne peut se développer pour la satisfaire. Le silicocalcium est donc, à son tour, transféré à Château-Feuillet. Le problème est alors d'imaginer sur les bords du doron une nouvelle vocation : ce sera celle des alliages ternaires. Rien de trop compliqué cette fois à comprendre. Prenons l'exemple, parmi d'autres, du silico-calcium-zirconium. Introduit dans le convertisseur, il va jouer pour les aciers à la fois le rôle d'affinage que nous lui connaissons déjà et celui d'alliage en zirconium. Il s'agit, cette fois, d'un marché de niche, satisfaisant des commandes ponctuelles, en quantité limitée : à quoi peuvent faire face les petits fours d'une petite usine. Moyennant quoi, cahincaha, l'effectif se maintient encore à 204 en 1974[11].

    Le miracle ne se renouvellera pas en basse conjoncture et, sans plus de chance de surmonter le handicap de l'enclavement, l'usine du Villard, intégrée depuis 1957 au groupe Nobel-Bozel, fermera ses portes en 1984. Mais à cette date, la recherche d'un nouvel emploi ne fera plus problème. Il suffit de lever les yeux depuis le site de l'usine pour apercevoir les champs de neige de Courchevel. Après le temps des ouvriers-paysans est venu celui des moniteurs de ski[12]

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 Christian Gros ... ...
    mars 2008 En cours Jean-René Benoit ... ...
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1896. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[14].

    En 2020, la commune comptait 441 habitants[Note 2], en augmentation de 9,16 % par rapport Ă  2014 (Savoie : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    509508587526604643711750845
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011
    796627564526364347412428401
    2016 2020 - - - - - - -
    419441-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee Ă  partir de 2006[16].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    À proximité de la commune, on peut trouver les activités suivantes :

    • la station de ski de Pralognan-la-Vanoise, Ă  km ;
    • la station de ski de Champagny-en-Vanoise (reliĂ© au domain Paradiski), Ă  5,4 km ;
    • les stations des Trois VallĂ©es, Ă  11,8 km ;
    • la via ferrata Plan du Bouc, Ă  Champagny-en-Vanoise, Ă  4,4 km. Elle est d'un niveau difficile ;
    • la cascade de la FraĂ®che, Ă  Pralognan-la-Vanoise, Ă  4,9 km. Elle est d'un niveau extrĂŞmement difficile ;
    • la via ferrata Croix du Verdons, Ă  Saint-Bon-Tarentaise, Ă  km. Elle est d'un niveau difficile ;
    • Le lac de Rossière, Ă  Saint-Bon-Tarentaise, Ă  km.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Chapelle et cimetière du Moyen-âge, Ă  St. Grat (chef-lieu)
    • Maison forte (vestiges) Ă  La Novaz[17]
    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption et Saint-Grat (chef-lieu), bâtie en 1972 en remplacement de l'ancienne Ă©glise construite en 1628 et consacrĂ©e le .
    • Chapelle Notre-Dame-des-Neiges Ă  La Novaz.
    • Ancienne mines de l’époque contemporaine, Le Doron.
    • Chapelle Ă  St. BarthĂ©lĂ©my, ChambĂ©ranger.

    On compte à proximité la forêt de la Dent, la Dent de Villard[18], la pointe de la Vuzelle, la pointe de la Vazelle, la crête du Mont Charvet, le mont Chevrier et la Forêt Noire. La cascade La Vuzelle a été classée au patrimoine national en .

    Près de la commune, on trouve également :

    • Gorges de Ballandaz accessibles depuis le village du Villard du Planay, avec belvĂ©dère amĂ©nagĂ©, oĂą coule le Doron de Pralognan.

    Musée

    • La Galerie Hydraulica du Villard du Planay est un centre d'interprĂ©tation de culture scientifique et industrielle mettant en valeur l'histoire de l'industrialisation en Tarentaise. Le rĂ´le de l'hydroĂ©lectricitĂ© et ses applications industrielles y sont mis en valeur Ă  travers une scĂ©nographie musĂ©ale et des maquettes interactives.
    • Anciennement appelĂ© « Garage de l'Électrobus », l'espace musĂ©al faisait rĂ©fĂ©rence Ă  l'ancien usage du bâtiment, qui abritait le trolleybus venant de MoĂ»tiers[19].

    Appellations d'Origine Contrôlée

    Planay se trouve sur le territoire des AOC pour le gruyère et le beaufort. La commune est réputée pour son beaufort d'alpages.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Marius Hudry, Histoire des communes savoyardes : Albertville et son arrondissement (vol. 4), Roanne, Éditions Horvath, , 444 p. (ISBN 978-2-7171-0263-5), p. 253-255. ([PDF] lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 19
      Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
      .
    8. Chabert Louis, Les grandes Alpes industrielles de Savoie, , 559 p., p. 159-160.
    9. Chabert Louis, Les grandes Alpes industrielles de Savoie, , 559 p., p. 160.
    10. Chabert Louis, Les grandes Alpes industrielles de Savoie, , p. 163-164.
    11. Chabert Louis, Les grandes Alpes industrielles de Savoie, , 559 p., p. 165.
    12. Chabert Louis, L'électrochimie et l'électrométallurgie en Savoie, , 36 p., p. 34.
    13. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    14. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    17. Raphaël Excoffier, « Planay (Le) (Savoie). La Novaz-Le Château », Archéologie médiévale, no 29,‎ , p. 342 (lire en ligne).
    18. http://www.cartesfrance.fr/carte-france-ville/photos_73201_Planay.html
    19. Virginie Bourgoin, Découvrir le patrimoine naturel du Planay, Chambéry, Parc National de la Vanoise, 2eme trimestre 2011, 166 p. (ISBN 2-901617-30-1, lire en ligne), p.16
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