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Perturbator

James Kent, alias Perturbator[1], est un compositeur de rock / musique électronique / Darksynth[2] / metal[3] originaire de Paris. Il a auparavant été guitariste dans plusieurs groupes de black metal[4].

Perturbator
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Perturbator au festival Rock am Ring en 2017.
Informations générales
Nom de naissance James Kent
Naissance
Paris, Drapeau de la France France
Genre musical musique industrielle, Metal, rock, Darksynth, Electro-rock
Années actives 2012-
Labels Blood Music
Site officiel Perturbator Bandcamp
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Logo de Perturbator.

Biographie

Enfance et début

James Kent est né à Paris le 22 janvier 1993[5] du critique musical britannique Nick Kent[6], et de la journaliste musicale[7] - [8] Laurence Romance[9]. James Kent grandit dans un environnement favorable à la diversité musicale, et selon l'artiste, le fait d'être issu d'une famille de journalistes musicaux lui a donné un esprit analytique, car dès son plus jeune âge, James pouvait clairement comprendre et exprimer pourquoi il aimait ou n'aimait pas certains groupes. De ce fait, il développe un intérêt pour la musique, et Kent essaie d'écouter de nouvelles musiques qu'il pourrait aimer : « [...] en vieillissant, ma passion pour cela s’est également développée. J’étais toujours à la recherche de nouvelles musiques dont je pourrais tomber amoureux. »[10]. Depuis son enfance, il s'intéresse au thrash et au death metal, puis il a été initié à des groupes post-punk et gothiques par sa mère, la journaliste musicale française Laurence Romance, qui l’a amené à Siouxsie And The Banshees et Bauhaus[11]. À l'âge de 8 ans, il essai pour la première fois de jouer avec un synthétiseur Korg qu'il avait à la maison. Kent a déclaré que même s'il écrivait de très mauvaises chansons, cela lui a permis de découvrir le monde de la musique « Je n’étais plus spectateur ni auditeur, je pouvais le faire par moi-même. C’était – et c’est toujours – un sentiment très stimulant. »[10]. À l'âge de 11 ans, il reçoit une guitare[12] sur laquelle il a essai de jouer ses morceaux préférés de Megadeth, Tool et Slayer, mais commence rapidement à s'en lassé « je me suis ennuyé de jouer les chansons des autres et j’ai commencé à me plonger plus sérieusement dans la création de mes propres sons »[10].

Dans sa jeunesse, il est impressionné par l’album Reign in Blood de Slayer, et plus particulièrement du morceau, Altar of Sacrifice étant, selon lui, "le morceau de musique le plus fort jamais écrit", bien que selon lui l'album South Of Heaven est un album supérieur en termes de composition. C'est pourquoi, en 2008, James a commence à prendre sa carrière d'artiste au sérieux et décide de devenir musicien, après avoir maîtrisé la guitare[13]. Après un certain temps, il débute en étant guitariste dans divers groupes de metal, réussissant à se produire en direct dans plusieurs « bars dégoûtants »[10]. Les groupes d'adolescents dans lesquels il a joué faisaient de la musique dans différents sous-genres du metal ( en passant du death metal au hardcore, voir même parfois au math rock, au black metal et au djent.) selon ses propres déclarations. Toutefois les groupes dans lesquels il jouais étaient tous plus ou moins en train de s’effondrer, et James Kent n'était pas été en mesure de développer ses idées dans ces groupes[13]. Il intègre le groupe death metal progressif I The Omniscient à l'âge de 17 ans en tant que guitariste[14], et peu avant sa dissolution, il enregistre un EP intitulé Lost in Nebula sorti le 9 avril 2011[15].

Passage à la musique électronique

Usé par les compromis qu'induit le travail à plusieurs et fatigué de jouer en groupe[13], il quitte son groupe de metal et prend un virage différent en commençant son projet solo à 18 ans[16] - [17].

Cette idée de faire de la musique depuis la maison est motivé par le fait que James Kent cherchais à faire les choses par lui-même sans se soucier de savoir si les gens aimaient ou non. La musique électronique semblait être alors la meilleure option à cette époque[10].

« La musique électronique vous permet d'être à la fois l'orchestre et son chef d'orchestre. Vous jouez de tous les instruments et vous dirigez la musique là où vous voulez qu'elle aille. C'est cette liberté qui m'a attiré au départ, et c'est toujours ce que j'aime le plus. Cela a été difficile au début, mais tout l'est »[13].

Selon lui le lien entre le black metal et la musique électronique, est juste le fait que les synthétiseurs sont des instruments très atmosphériques[18]. De plus ce choix de la musique électronique est motivé par l'absence de dépendance avec un batteur ou un bassiste dans le processus créatif[19]. Il commente : « Je me suis collé derrière mon ordi, et j'ai fait de l'electro. J'écoutais Danger et Justice, je me rematais des films de Carpenter, et l'agressivité de certains morceaux m'a interpellé. J'ai réalisé que le metal n'était pas la seule musique qui pouvait te donner envie de remuer sauvagement la tête » [8].

Ainsi, le 7 octobre 2011, James Kent ayant alors 18 ans, décide créer Perturbator avec comme concept « plutôt débile et juvénile » de faire de « fausses bandes sonores pour de faux films d'exploitation rétro »[20]. Concernant l'origine de son nom d'artiste, James Kent confie que le cliché des films d'action des années 80 ayant des noms finissant en ''-ator'' comme Terminator ou Predator l'a fortement inspiré[21].

Début de carrière

La formation de Perturbator est fortement lié au cinéma et à l'univers des années 80. En effet, l'intéressé déclare après avoir quitté I The Omniscient avoir revisionné les films VHS qu'il regardais alors enfant, comme Blade Runner, Terminator, Total Recall ou Running Man[14], et avoir été influencée par les bande originale de film composée par Tangerine Dream, Goblin, John Carpenter ou encore Vangelis[18] - [19]. Néanmoins il déclare que c'est le film Hobo with a Shotgun qui avec sa bande originale à servit comme un déclencheur : « À ce moment-là, j'ai réalisé que c'était ce que je voulais faire. J'ai réalisé que je voulais à nouveau faire de la musique et qu'il fallait que ce soit comme ça »[14].

« Je suis né au début des années 90, mais j'ai grandi en regardant des tonnes de films, en écoutant de la musique et en jouant à des jeux de cette époque. Je crois que j'ai une sorte de version fausse et déformée de ce qu'étaient les années 80. Je pense que dans mon esprit, elles me paraissent probablement plus cool qu'elles ne l'étaient en réalité. » [22]

Ce désir de faire des bandes originales pour des films qui n’existent pas est musicalement inspirée par la culture cyberpunk ainsi que par des films tels que Akira ou Ghost In The Shell [23]. Le tout début de la carrière de James Kent a été très fructueux. Selon lui, il était impatient à l'époque, il composait donc des morceaux sans penser à la publicité et la promotion, et les mettait rapidement en ligne[24]. En mars 2012, Kent sort son premier EP Night Driving Avenger [14]. La même année il auto-édite un nouvel EP Terror 404 et son 1er album I Am the Night [25].

Affiche de concert de Perturbator pour son passage au Roadburn Festival en 2017.

Depuis 2012,. Il utilise différents synthétiseurs virtuels dans ses productions, comme des émulateurs de vieux synthétiseurs vintage tels que le OB-X ou le CS-80[26].

En 2012 il diffuse en ligne, sur la plate-forme de musique Bandcamp, son premier mini-album sous le nom de Perturbator : Night Driving Avenger. Et signe, deux ans plus tard, sur le label indépendant Blood Music[27].

Depuis son premier EP Night Driving Avenger, il a sorti cinq albums LP[28] - [29], le dernier étant Lustful Sacraments[30] - [31] sur le label Blood Music, et a effectué plusieurs concerts. Plusieurs de ces morceaux sont présents dans le jeu de 2012 Hotline Miami et dans sa suite de 2015 Hotline Miami 2: Wrong Number[32]. L'EP de Perturbator, Sexualizer est sorti en partie pour publier officiellement le morceau Miami Disco et comme une manière de remercier les développeurs de Hotline Miami[33]. Le succès des jeux Hotline Miami lui a permis d'obtenir une meilleure visibilité auprès du grand public.

Perturbator a sorti son quatrième album LP, The Uncanny Valley le chez Blood Music dans une gamme de formats incluant des Digibook CD, des vinyles, et des cassettes audio. L'album a reçu des critiques majoritairement positives, avec MetalSucks et Bloody Disgusting faisant tous deux son éloge. Certaines versions de l'album incluent également un EP bonus, Kent disant que « les trois premiers morceaux complètent les thèmes abordés dans The Uncanny Valley et le morceau final (VERS/US) est une démo des sessions d'écriture de The Uncanny Valley qui convient à l'atmosphère et l'esprit de l'album mais ne s'intégrait pas bien dans le rendu final ». Bloody Disgusting a donné à l'album la note de 5/5 et a écrit que The Uncanny Valley est sûr de plaire non seulement aux fans du genre, mais aussi aux néophytes[34]. En 2017, il part en tournée en Amérique du Nord pour la première fois, à l’occasion de la promotion de l’album[35].

En l'espace de cinq ans, il a su conquérir un public toujours plus nombreux, des Etats Unis à l'Australie en passant par l'Europe, le Japon et la Russie, jouant quelques-uns des plus grands festivals, à la fois Métal (Download, Hellfest, Roadburn, Graspop..) ou plus généralistes (Sziget, MEG, Rock Am Ring, ...)[36].

Perturbator au festival Rock am Ring en 2017.

Kent a un projet secondaire nommé L'Enfant de la forêt[37].

Profondément athée, il apprécie la philosophie, l'esthétisme et la symbologie du satanisme qu'il essaie de retransmettre dans sa musique[38].

En 2020 il lance un autre projet musical, Ruin Of Romantics, aux côtés de Vincent Mercier, Francis Caste et Mehdi Thepegnier.

En 2022, il sort un projet en collaboration avec Johannes Persson, chanteur du groupe Cult of Luna. Nommé Final Light, le duo réalise un album du même nom contenant six morceaux créés dans le cadre de l'édition 2019 du festival Roadburn. Avec le report du festival dû au Covid19, le duo ne dévoilera son projet en live que lors de l'édition 2022.

Le 11 avril 2023, Perturbator et Carpenter Brut annoncent pour la 1ère fois une tournée commune prévu à l'automne 2023[39]. Cette dernière intitulé Leather Sacraments Tour 2023 ( en référence au dernier album de Carpenter Brut Leather Terror et au dernier album de Perturbator Lustful Sacraments ), se composera de 17 dates à l'international et en France[40] dont une prestation à l'Olympia prévu le 10 octobre 2023[41]. Les deux artistes de synthwave seront soutenus par la formation punk-rock américaine HO99O9 en tant qu’invité spécial de la première partie [42].

Style musical

Le style musical de Perturbator est caractérisé par une atmosphère sombre et oppressante, qui s'inspire des sonorités des années 1980 et des films de science-fiction et d'horreur de l'époque. Le style musical de Perturbator est souvent décrit comme étant un mélange de synthwave, de darkwave, de cyberpunk et de metal industriel, avec des influences notables de groupes tels que Front 242, Skinny Puppy ou Nine Inch Nails[43] - [44].

Perturbator au Full Force 2019 à Ferropolis, en Allemagne.

Les morceaux de Perturbator sont composés de synthétiseurs analogiques et numériques, de boîtes à rythmes électroniques et de guitares électriques distordues, créant un son puissant et hypnotique. Les mélodies sont souvent mélancoliques et mélodramatiques, parfois accompagnées de voix robotiques ou de samples de dialogues de films. Les morceaux de Perturbator ont souvent une structure narrative, racontant une histoire ou une ambiance particulière, qui peut évoquer des scènes de films d'horreur, de science-fiction ou de jeux vidéo[43] - [45].

Ainsi les morceaux sont souvent très cinématiques, avec des textures sonores complexes. Sa musique peut être à la fois sombre et intense, avec des rythmes rapides et agressifs, ou plus atmosphérique et éthérée, avec des nappes de synthétiseur et des mélodies mélancoliques. Enfin, les morceaux de Perturbator sont souvent très rythmés, avec des influences du metal, donnant une énergie très particulière de par l'utilisation de sons de synthétiseur lourds et atmosphériques, créant une ambiance dystopique et épiques[46].

L'artiste reconnait lui-même que sa « musique n'est pas pour tout le monde. Elle ne parle pas particulièrement aux fans de rock metal ou de musique électronique. Je suis plutôt dans un entre-deux, une niche ». Le Monde explique que « sa musique, dansante et sombre, puise dans les codes esthétiques des années 1980, les films d'horreur, la science-fiction, et plus particulièrement les bandes originales hypnotiques de John Carpenter et celle de Blade Runner (1982), composée par Vangelis » [27].

Discographie

Adaptée de AllMusic[47] et du site officiel[48].

Albums

EPs

Compilations

Remasters

Singles

  • She Moves Like a Knife ()
  • She is Young, She is Beautiful, She is Next ()
  • Assault ()
  • Tactical Precision Disarray (décembre 2016)
  • Vantablack ()
  • Excess ()
  • Death of the Soul ()
  • Dethroned Under A Funeral Haze (Avril 2021)

Autres collaborations

  • 2013
    • Judge Bitch - Striker (feat. Perturbator)[67]
  • 2014 :
    • Judge Bitch - Chimera (feat. Perturbator) [68]
  • 2015 :
    • Dan Terminus - The Wrath of Code (feat. Perturbator) [69]
  • 2016 :
    • Tommy '86 - Citymulation (feat. Perturbator)[70]
  • 2018 :
    • Judge Bitch - Horse Blood (feat. Perturbator)[71]
  • 2020 :
  • 2022 :
    • HEALTH & Perturbator -EXCESS[73]

Remixes

  • 2013 :
    • Nite Sprite - Strut (Perturbator Remix) [74]
    • Dead Astronauts - B-Side (Perturbator Remix)[75]
    • Dead Astronauts - In Disquise (Perturbator Remix)[76]
    • Dead Astronauts - Unhappy Woman (Perturbator Remix)[77]
    • Dead Astronauts - These Bones (Have Left You) (Perturbator Remix)[78]
  • 2014 :
    • Dizkodeath - Orchid (Perturbator Remix)[79]
    • Reznyck - SHOCK DOCTRINE (Perturbator Remix)[80]
  • 2015 :
    • GosT - Behemoth (Perturbator remix)[81]
    • Mega Drive - I Am The Program (Perturbator remix)[82]
    • Lueur Verte - Night Slasher II (Perturbator Remix) [83]
  • 2018 :
  • 2019 :

Références

  1. "Perturbator - Music". Soundcloud. Consulté le 24 june 2015.
  2. Jon Hunt, « We Will Rock You: Welcome To The Future. This is Synthwave. », l'etoile, (consulté le )
  3. « Perturbator », sur metalorgie.com
  4. "Interview with James Kent (Perturbator)". Disco Unchained. Retrieved 19 July 2013.
  5. « Perturbator - Biography | Billboard », sur web.archive.org, (consulté le )
  6. « Nick Kent, légende de la critique rock », sur LEFIGARO, (consulté le )
  7. « Interview with James Kent (Perturbator) », sur Disco Unchained, .
  8. Olivier Drago, « Dans les ténèbres de l’electro », Libération.fr, (lire en ligne, consulté le )
  9. « John Carpenter, les bébés de ses BO », sur Bing (consulté le )
  10. (en) « Interview: James Kent Discusses Perturbator Project, New Album, & more »
  11. (en) Dannii Leiverspublished, « Synthwave is dead: how Perturbator embraced the dark side », sur louder, (consulté le )
  12. (en) « Perturbator Biography, Songs, & Albums », sur AllMusic (consulté le )
  13. « Perturbator on “New Model,” His Surprise New EP Available Today », sur Bandcamp Daily, (consulté le )
  14. « Интервью с Perturbator », sur DARKSIDE.ru (consulté le )
  15. « 'LOST IN NEBULA' EP, by I The Omniscient », sur I The Omniscient (consulté le )
  16. (en) Jeremy Secula, « Les meilleurs artistes électro français | 2023 », sur Ticketmaster FR, (consulté le )
  17. « Perturbator - Biography | Billboard », sur www.billboard.com (consulté le )
  18. (en) « How Perturbator taught a generation of metallers to dance », sur Kerrang!, (consulté le )
  19. (en) Jeff Treppel, « Synthwave Overlord Perturbator Is the Real Neon Icon », sur Vice, (consulté le )
  20. (en) @The_Perturbator, « 10 years ago on October 7th 2011, i created Perturbator. I was 18. The concept was pretty dumb and juvenile. I wanted to make fake soundtracks to fake retro exploitation movies. Little did i know this would be one of the most important moments of my life. », sur Twitter, (consulté le )
  21. « Beyond Synth - E12 - Perturbator » (consulté le )
  22. (en) Lidia Zuin, « Perturbator imagines a cyberpunk world forged in black metal », sur Ponto Ômega, (consulté le )
  23. (en) « RIDING THE CYBER DOOM SYNTHWAVE WITH PERTURBATOR », sur noisey, .
  24. (en) Joseph AprillJoseph Aprill, « No Dream is Ever Just a Dream: An Interview with James Kent of Darksynth-Transcending Perturbator », sur Invisible Oranges - The Metal Blog, (consulté le )
  25. (ru) « Retromania #7: "I Am The Night" от Perturbator », sur shazoo.ru, (consulté le )
  26. (en) « Interview with Perturbator (Worship the Gods of VHS)" », sur Deaf Sparrow, .
  27. « Musique : l’imperturbable tempo de Perturbator », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
  28. « Perturbator - Bandcamp », sur Bandcamp, .
  29. « Perturbator - I am the night », sur MusicReview, .
  30. « Perturbator - Dangerous Days (Review) », sur Scene Point Blank, .
  31. « Perturbator - Dangerous Days », sur The Quietus, .
  32. « «Hotline Miami 2», de son et de sang », sur Libération (consulté le )
  33. « Small Talk: Perturbator (James Kent) », sur Small Talk, .
  34. (en-US) Jonathan Barkan, « Perturbator's 'The Uncanny Valley' is Sheer Synth Bliss (Album Review) - Bloody Disgusting! », sur Bloody Disgusting!,
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  37. (en) « Did You Know PERTURBATOR's James Kent Has A Creepy Industrial/Ambient Type Project? », sur Metal Injection, .
  38. http://news.churchofsatan.com/post/146360293447/an-interview-with-james-kent-of-perturbator-by
  39. « https://twitter.com/carpenter_brut/status/1645728066537156611 », sur Twitter (consulté le )
  40. « L'évènement synthwave : Carpenter Brut et Perturbator qui feront tournée commune l'automne prochain ! », sur www.infoconcert.com (consulté le )
  41. « Carpenter Brut x Perturbator », sur Olympia (consulté le )
  42. « Carpenter Brut & Perturbator - Leather Sacraments Tour 2023 • metal.de », sur metal.de (consulté le )
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  44. « Carpenter Brut et Perturbator, deux musiciens qui n'hésitent pas à mettre du metal dans leur électro », sur www.telerama.fr, (consulté le )
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  46. Aurélien Di Sanzo, « Perturbator - Lustful Sacraments - Chroniques », sur RockUrLife - webzine rock, alternatif, indie, scène française, (consulté le )
  47. « Perturbator Discography », sur AllMusic (consulté le )
  48. « Perturbator | The Legend Says He's Half Human, Half Synthesizer... », sur www.perturbator.com (consulté le )
  49. « TERROR 404, by PERTURBATOR », sur PERTURBATOR (consulté le )
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  51. « Dangerous Days, by PERTURBATOR », sur PERTURBATOR (consulté le )
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  56. « The 80s Slasher - EP, by Protector 101 & Perturbator », sur Aphasia Records (consulté le )
  57. « last.fm/fr/music/Protector+101… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
  58. « Sexualizer - EP, by Perturbator », sur Aphasia Records (consulté le )
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  60. « New Model, by PERTURBATOR », sur PERTURBATOR (consulté le )
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  73. « EXCESS (HEALTH, PERTURBATOR), by HEALTH », sur HEALTH (consulté le )
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  85. « All that you leave behind (movement 4) (Perturbator remix) — Jean Michel Jarre », sur Last.fm (consulté le )

Liens externes

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