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Otto Intze

Otto Intze (né le 17 mai 1843 à Laage[1], Mecklembourg; † 28 novembre 1904 à Aix-la-Chapelle[2]; de son nom complet : Otto Adolf Ludwig Intze) est un ingénieur des travaux publics et professeur allemand, considéré comme le plus grand constructeur de barrages de ce pays. Il enseigna l'hydraulique, le génie civil et la science des matériaux à l’École des Mines d’Aix-la-Chapelle, dont il fut le recteur de 1895 à 1898.

Otto Intze
Otto Intze, bois gravé d'après une photolithographie de 1898
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A travaillé pour
Distinctions
Grashof Commemorative Medal (d) ()
Geheimer Baurat (d)

Biographie

Plaque commémorative apposée au barrage de l'Urfttal (de).

Intze avait un père médecin qui lui permit de suivre un cursus technique dans une école professionnelle. À 17 ans il fut embauché par une société britannique titulaire d'un marché de construction de la ligne de chemin de fer Riga-Daugavpils. Après y avoir travaillé plus de deux années, il reprit ses études en 1862 à l’école polytechnique de Hanovre et obtint en 1866 le diplôme d’ingénieur comme major de sa promotion[2].

Puis il fut de façon éphémère répétiteur à l’École des travaux publics de Holzminden, avant de rejoindre le port de Hambourg, où il était chargé de construire des ponts, des quais et des écluses[2]. Avec ce travail, il se sentit enfin en mesure de fonder une famille. Au cours de l'été 1868, il épousa Charlotte-Émilie Theodore-Lorenz, qui devait lui donner quatre fils et quatre filles.

Lorsque August von Kaven, qui avait été l'un des professeurs (routes et voies ferrées) de Intze à Hanovre, entreprit d'ouvrir une école polytechnique en province de Rhénanie à Aix-la-Chapelle, il le recruta comme privat-docent de Génie civil et de Travaux fluviaux[2]. Ainsi, en 1870, âgé d'à peine 27 ans, Intze devenait professeur : c'était la fin de ses années d'errance. Bien qu'on lui offrît ensuite plusieurs chaires prestigieuses dans les Instituts techniques de Brunswick, Berlin et Munich, il choisit d'effectuer toute sa carrière à Aix-la-Chapelle.

Intze était voué aussi bien à travailler comme ingénieur consultant, afin de marier le plus possible théorie et pratique, et il réalisa en effet de ce point de vue un labeur immense. Accablé de travail, il tomba gravement malade à l'automne 1904 mais, se refusant tout repos, mourut le 28 décembre.

Intze était un luthérien convaincu, mais Aix-la-Chapelle, exclusivement catholique, ne disposait d'aucun temple ; aussi l'ingénieur n'hésitait-il pas à aller jusqu'à la ville voisine de Vaals (Pays-Bas) pour y suivre l'office ; et c'est pourquoi sa tombe, préservée jusqu'à aujourd'hui, se trouve dans le cimetière de cette paroisse.

Lois de Intze

Première loi

Dans les châteaux d’eau d’Intze, le réservoir est un cylindre de révolution qui repose sur un couronnement en briques. La base du réservoir est ancrée dans cette maçonnerie par une couronne circulaire en acier (Ringanker), qui ne transmet en principe à la tour qu’une résultante de forces verticale, les composantes horizontales s’annulant mutuellement (de par la symétrie de la structure). Cette remarque permet de démaigrir la maçonnerie de la tour d’appui[3] - [4]. Ce schéma a été exploité en Allemagne de 1885 à 1905.

  • RĂ©servoirs de château d'eau
  • RĂ©servoir Intze simple
    RĂ©servoir Intze simple
  • RĂ©servoirs jumelĂ©s
    Réservoirs jumelés
  • Double rĂ©servoir Intze
    Double réservoir Intze

Deuxième loi

Principe de l'« éperon Intze. »

Les barrages imaginés par Otto Intze répondent aux principes suivants :

  • ce sont des barrages poids de profil quasi-triangulaire ;
  • le corps du barrage est formĂ© de remblais fortement cimentĂ©s ;
  • le tracĂ© en plan affecte la forme d’une voĂ»te dont la concavitĂ© est tournĂ©e vers l'aval ;
  • la partie supĂ©rieure amont du barrage est recouverte d’un parement en briques (appelĂ© Vorsatzmauerwerk ou Verblendung), recouvert d'un masque impermĂ©able fait de brai de bitume ou de goudron, tandis que la moitiĂ© infĂ©rieure est couverte par un Ă©peron drainant (Intze-Keil) en sable et graves, de forme prismatique[5]. L'eau est rĂ©coltĂ©e par des aqueducs verticaux en terre cuite et crĂ©pinĂ©s en partie supĂ©rieure.

Les châteaux d'eau

Le château d'eau de Salbke, bâti selon la loi d'Intze.
Château d'eau de 1904 avec pompe centrifuge et citerne Intze à Schweckhausen.

L'un des premiers, Intze découvrit les avantages de l'acier dans la construction des châteaux d'eau. L'exode rural s'accompagnait alors de la multiplication de ces équipements dans les villes aussi bien que dans les gares, pour l'approvisionnement des locomotives à vapeur. Grâce à l'adoption d'un profil auto-stable (les réservoirs d'Intze étaient des solides de révolution, rétrécis à leur base et arrondis à leur sommet), il fit en sorte que les composantes horizontales des poussées de l'eau s'annulent mutuellement ; ainsi le réservoir repose sur une couronne de faible diamètre, ce qui donne une tour de château d'eau conique, donc moins coûteuse en maçonnerie.

Ce principe breveté (« première loi d'Intze ») a été repris en Allemagne et dans toute l'Europe, inspirant la structure de 467 châteaux d'eau et de 74 citernes à gaz jusqu'en 1900, le prototype de ces ouvrages étant celui de Remscheid (1883). Intze s'en servit également pour 30 citernes d'usine, dont il dirigea la construction. On lui doit également des circuits de chauffage à air pour de grands immeubles et il a construit une douzaine de roues hydrauliques en acier pour de petites entreprises de l'Eifel.

Les barrages

Le barrage de l'Eschbachtal.
Le barrage-réservoir de la Möhne.

Ces rĂ©alisations auraient suffi Ă  combler la carrière d'un ingĂ©nieur, mais Intze fit bien plus que cela, puisqu'il passe aujourd'hui pour le père de l’hydrologie allemande moderne. Pour cela il tourna d'abord son regard vers la France, qui dès le milieu du XIXe siècle avait dĂ©jĂ  construit une multitude de barrages-rĂ©servoirs, reprĂ©sentant une capacitĂ© totale installĂ©e de 265 000 000 m3. Lors du 23e congrès de l'Association des IngĂ©nieurs Allemands (VDI) en 1882 Ă  Magdebourg Intze dĂ©veloppa un programme pour l’« Emploi rationnel de l'hydroĂ©lectricitĂ© en Allemagne. » Toutefois, son premier projet concret de barrage fut sans rapport avec l'hydroĂ©lectricitĂ© : il rĂ©pondait avant tout Ă  l'adduction d'eau potable.

Premiers pas : l'alimentation en eau de la ville de Remscheid

En effet, pour rĂ©pondre Ă  une urbanisation en plein essor, la ville de Remscheid avait dès 1884 mis en Ĺ“uvre un service d'adduction d'eau potable exploitant une multitude de forages souterrains, mais ce rĂ©seau s'avĂ©ra très vite encore insuffisant. Intze proposa donc aux Ă©chevins de construire un barrage, mais il fallait tout d'abord Ă©valuer les capacitĂ©s de renouvellement de la ressource en eau de la rĂ©gion. Ă€ cette fin, il fit construire une station de jaugeage automatisĂ©e Ă©quipĂ©e de limnimètres Ă  chronomètre pour pouvoir mesurer simultanĂ©ment le volume des prĂ©cipitations en deux points du bassin versant. Il put ainsi Ă©tablir que les trois quarts des eaux de pluie ruisselaient vers l’Eschbach, ce qui reprĂ©sentait en annĂ©e moyenne un volume de 3 600 000 m3 d'apport.

D'après les calculs d’Intze, un rĂ©servoir de 1 000 000 m3 Ă©tait suffisant pour assurer les besoins en eau potable de la ville et fournir l’eau douce indispensable aux usines de la vallĂ©e. Il fallait pour cela crĂ©er une retenue de 25 m sur l’Eschbach. Intze dessina le profil d'un Ă©cran en maçonnerie, d’épaisseur dĂ©croissante entre la base et le couronnement, avec un parement concave Ă  l’aval. AssemblĂ© pierre par pierre, il fut achevĂ© en seulement trois ans (1892). On construisit ensuite tous les autres barrages selon ce modèle, la seconde loi de Intze.

Intze s’affairait encore au chantier du barrage de l'Eschbachtal lorsqu’on le sollicita pour l’amĂ©nagement de la vallĂ©e de la Wupper, dont les usines, depuis plusieurs annĂ©es, devaient se mettre au chĂ´mage quatre Ă  cinq mois l’an faute d’eau. Il suggĂ©ra qu’en creusant des bassins de rĂ©tention dans la haute vallĂ©e, on pourrait couvrir trois fois les besoins lors des Ă©tiages estivaux ; toutefois, les petits exploitants s’opposèrent fermement Ă  ce projet. C’est par l’adoption d'une loi incitative sur la crĂ©ation de coopĂ©ratives qu’enfin en 1891 on put mener les travaux Ă  bien. Le volume total de toutes les retenues se montait Ă  13 000 000 m3, et encore n’était-ce lĂ  qu’un prĂ©lude Ă  des rĂ©alisations beaucoup plus prometteuses, car il fallait dĂ©sormais assurer la sĂ©curitĂ© des approvisionnements de toute la Ruhr.

Bien qu’au cours de la seconde moitiĂ© du XIXe siècle les mines et l’industrie se fussent dĂ©veloppĂ©es par delĂ  la Ruhr en direction du Nord et de la vallĂ©e de l'Emscher, la rĂ©gion continuait de dĂ©pendre des apports en eau de la Ruhr, car l’Emscher Ă©tait extrĂŞmement polluĂ©e par les rejets et l’exploitation des mines avait tari les sources, privĂ©es de l’alimentation par les Ă©coulements interstitiels. Vers la fin du XIXe siècle, les pompages dans la Ruhr reprĂ©sentaient plus de 100 000 000 m3 par an et il Ă©tait prĂ©visible qu'avec la croissance dĂ©mographique et industrielle soutenue, la rivière serait bientĂ´t Ă  sec une partie de l’étĂ©.

La canalisation de la Ruhr

InspirĂ©es par les travaux de Intze, les villes et les sociĂ©tĂ©s industrielles conclurent en 1899 la « SociĂ©tĂ© des barrages de la Ruhr », gĂ©rant un fonds d’investissement fixĂ© Ă  1,5 Pfennig pour 10 m3 d'eau, ce qui permit de financer la construction de pas moins de sept barrages jusqu'en 1904 le long du cours supĂ©rieur de la Ruhr et de ses affluents. Ă€ la mort d’Intze, ce grand Ĺ“uvre fut poursuivi : Ernst Link, l’un de ses assistants, construisit le barrage-rĂ©servoir de la Möhne, d'une capacitĂ© de 135 000 000 m3, et qui par sa hardiesse dĂ©passait tout ce qui s’était construit jusque-lĂ  en Allemagne.

Parallèlement Ă  l’amĂ©nagement hydraulique de la Ruhr, les autoritĂ©s de province de RhĂ©nanie chargèrent Intze d’étudier la lutte contre les crues de la RĹ“r dans le massif de l’Eifel. Il reconnut rapidement que la topographie permettait de combiner la lutte contre les crues avec la production d’hydroĂ©lectricitĂ©. La Roer s’étrangle en effet dans une vallĂ©e profondĂ©ment encaissĂ©e Ă  travers l’Eifel, et la pente de son lit est importante. En amĂ©nageant une centrale Ă©lectrique, non au pied du barrage mais plus en aval, il devenait possible d'exploiter, grâce Ă  une conduite forcĂ©e rescindant les mĂ©andres de la rivière, une chute d'eau considĂ©rable. Intze trouva, avec la confluence de l'Urft, l'endroit idĂ©al pour Ă©tablir le barrage. De lĂ , une conduite forcĂ©e longue de 2,6 km et prolongĂ©e jusqu'Ă  Heimbach formait une chute de 110 m. La centrale Ă©lectrique prĂ©sentait une puissance maximale de 12 MW et fut (mais pour peu de temps) la plus puissante d’Europe.

Ce barrage de l'Urfttal (de) est un barrage-voĂ»te haut de 58 m, et plus prĂ©cisĂ©ment de 50 m entre la base et le couronnement, avec un fruit de m. Un dĂ©versoir latĂ©ral sert d’évacuateur de crue, en dĂ©versant le trop-plein du lac Ă  l’aval vers un bassin de tranquillisation. Le chantier, travaux de prĂ©paration compris, s'Ă©tala de 1899 Ă  1904. Il y avait chaque Ă©tĂ© jusqu'Ă  800 ouvriers, pour la plupart venus d’Italie, de Croatie et de Pologne.

Maîtrise des crues de l'Oder

Dans le même temps, Intze s’affairait en Silésie. Des crues catastrophiques des affluents de l’Oder coulant depuis les Monts des Géants avaient dévasté la région en 1888, en 1890 et enfin une nouvelle fois au cours de l’été 1897[6]. L’empereur Guillaume II fit de la lutte contre les crues une affaire d’État. En tant que membre de l’une des commissions gouvernementales, Intze parcourut les régions sinistrées et dès le mois de février 1898, il donnait des instructions assez détaillées pour la régulation des débits. L’enthousiasme de l’empereur pour la technique favorisa la mise en pratique rapide de ces mesures et Intze fut nommé de son vivant membre de la Chambre des seigneurs de Prusse : cela lui permettait de défendre ses projets non seulement sur le plan administratif, mais aussi politique.

Au mois de juillet 1900, la Commission Silésienne de Lutte contre les inondations entrait en fonction : elle décréta la réalisation du projet d’Intze, consistant en deux grands barrages : l’un sur le Bober, l’autre sur la Queis[2]. Les ouvrages de Mauer (auj. Pilchowice) et de Marklissa (Leśna) furent annexés à l’usine hydroélectrique du barrage de l’Urfttal. La réalisation en fut confiée à un collaborateur d’Intze affecté à Hirschberg en Silésie, l’ingénieur en chef Curt Bachmann.

Comme la Silésie, la Bohême avait elle-même été gravement touchée par la crue de 1897 en amont de la Neisse de Görlitz. Là encore, Intze prescrivit et planifia la construction de sept nouveaux barrages : c’est au milieu de ce labeur qu’il mourut.

En cette fin d'année 1904, Intze avait dirigé lui-même la construction de douze barrages ; dix étaient en cours de travaux et 24 autres en étaient à différents stades d’étude[2].

Les barrages d'avant 1914

Le barrage de Sengbachtal (de).
Plaque commémorative pour le centenaire du Prof. Intze (barrage de Mšeno)

Entre 1889 et 1914, les lois d'Intze servirent de ligne directrice à une quarantaine de barrages de l'Empire allemand et de l’Autriche-Hongrie : neuf en Westphalie, sept dans le Duché de Berg, deux dans l’Eifel, sept en Saxe, six en Bohême, quatre en Silésie et un en Thuringe.

Les barrages d'après-guerre

Livres et articles

  • « Rationelle Ausnutzung der Wasserkräfte Deutschland. », Wochenschrift des Vereins Deutscher Ingenieure, no 41,‎ . Reparu en 1889 sous le titre Die bessere Ausnutzung der Gewässer und Wasserkräfte.
  • Das Wasserwerk der Stadt DĂĽren und neuere ausgefĂĽhrte WassertĂĽrme, Ă–l- und Gasbehälter. Berlin 1886.
  • Die bessere AusnĂĽtzung des Wassers und der Wasserkräfte. Berlin 1889.
  • Die Wasserverhältnisse Ostpreussens. Berlin 1894.
  • Gutachten ĂĽber die Nutzbarmachung erheblicher Wasserkräfte durch den Masurischen Schiffahrtskanal. Berlin 1896.
  • Ăśber die Wasserverhältnisse im Gebirge. Hanovre, 1900.
  • Entwicklung des Thalsperrenbaus in Rheinland und Westfalen bis 1903. Aix-la-Chapelle 1903.
  • « Die geschichtliche Entwicklung, die Zwecke und der Bau der Talsperren », Zeitschrift des Vereines Deutscher Ingenieure, 50e annĂ©e no 18,‎ .

Bibliographie

  • (de) Cet article est partiellement ou en totalitĂ© issu de l’article de WikipĂ©dia en allemand intitulĂ© « Otto_Intze » (voir la liste des auteurs).
  • Siegfried Clodius, « Professor Intze, Aachen. Ein Pionier des deutschen Talsperrenbaues. », Jahrbuch des Eifelvereins, Bonn,‎ , p. 54-56.
  • Richard Hennig, Buch BerĂĽhmter Ingenieure, Leipzig, .
  • Wolfgang König (de), « Der Ingenieur als Politiker. », Technikgeschichte, vol. 73,‎ .
  • (de) Heinz-Dieter Olbrisch, « Intze, Otto », dans Neue Deutsche Biographie (NDB), vol. 10, Berlin, Duncker & Humblot, , p. 176–177 (original numĂ©risĂ©).
  • Hans-Dieter Sauer, « Otto Intze (1843–1904). Der BegrĂĽnder des deutschen Talsperrenbaus. », Ingenieurbaukunst in Deutschland, Jahrbuch 2007-08, Hambourg,‎ .
  • Catalogue de l'exposition de ses 125 ans organisĂ©e par la bibliothèque universitaire d'Aix-la-Chapelle, Aix-la-Chapelle, , p. 74 et suiv.
  • Oskar Schatz, Otto Intze (1843-1904), vol. VI : Rheinisch-Westfälische Wirtschaftsbiographien (de), Aschendorff, MĂĽnster, , p. 60-80.
  • Actes du 35e Symposium Internationales Wasserbau (IWASA) ; n° 142 des ConfĂ©rences de l’Institut fĂĽr Wasserbau und Wasserwirtschaft, Aix-la-Chapelle, Shaker Verlag, , 267 p. (ISBN 3-8322-4286-4), « Energie und Wasserkraft. Zum 100. Todestag von Otto Intze ».
  • « Nachruf auf Otto Intze », Zeitschrift des Vereines Deutscher Ingenieure, 49e annĂ©e no 4,‎ .
  • « Otto Intze † », Zentralblatt der Bauverwaltung, 25e annĂ©e no 3 (7 janvier 1905),‎ , p. 14-16.

Notes et références

  1. D’après (de) Heinz-Dieter Olbrisch, « Intze, Otto », dans Neue Deutsche Biographie (NDB), vol. 10, Berlin, Duncker & Humblot, , p. 176–177 (original numérisé)., ainsi que J. Köngeter et al., Talsperren in Deutschland, Wiesbaden, Springer Vieweg, , 492 p. (ISBN 978-3-8348-2107-2 et 3-8348-2107-1, lire en ligne), « Bildnachweis », p. 481.
  2. D'après Heinz-Dieter Olbrisch, Neue Deutsche Biografie, vol. 10 (lire en ligne), « Intze, Otto », p. 176-177
  3. Cf. Manuel de l'Ingénieur, vol. 3, Paris et Liège, Libr. polytechnique Ch. Béranger, , « Distribution de l'eau - Réservoirs », p. 886-888.
  4. « Wassertürme: Bauformen », sur zagermann.de (consulté le )
  5. « Moehnetalsperre : Technische Angaben », sur ruhrverband.de (consulté le )
  6. Cf. (de) Franz Schubert, « Das Hochwasser von 1897 », Striegistal-Bote,‎ (lire en ligne, consulté le )

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