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Olivares de Duero

Olivares de Duero (appelée Olivares jusqu'en 1857[1]) est une commune de la province de Valladolid dans la communauté autonome de Castille-et-León en Espagne.

Olivares de Duero
Blason de Olivares de Duero
HĂ©raldique
Drapeau de Olivares de Duero
Drapeau
Olivares de Duero
Retable majeur de l'Ă©glise San Pelayo.
Administration
Pays Drapeau de l'Espagne Espagne
Communauté autonome Drapeau de Castille-et-León Castille-et-León
Province Drapeau de la province de Valladolid Province de Valladolid
Comarque Páramos del Esgueva
District judic. Valladolid
Maire
Mandat
Raquel Sánchez Villorejo (PSOE)
2015
Code postal 47359
DĂ©mographie
Population 307 hab. ()
DensitĂ© 10 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 41° 38′ 15″ nord, 4° 21′ 54″ ouest
Altitude 744 m
Superficie 2 930 ha = 29,30 km2
Distance de Valladolid 38 km
Localisation
Localisation de Olivares de Duero
Localisation dans la province de Valladolid
GĂ©olocalisation sur la carte : Espagne
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Olivares de Duero
GĂ©olocalisation sur la carte : Espagne
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Olivares de Duero
GĂ©olocalisation sur la carte : Castille-et-LeĂłn
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Olivares de Duero
Liens
Site web www.olivaresdeduero.
ayuntamientosdevalladolid.es

    Administration

    Jumelages

    Économie

    Olivares se trouve dans la région de l'AOC Ribera del Duero.

    Sites et patrimoine

    • Église San Pelayo (es).
    • Chapelle Nuestra Señora de la Virgen de la Estrella.
    • Pont de Olivares-Quintanilla.

    Le retable de l'Ă©glise San Pelayo, a Ă©tĂ© peint vers 1532 par le peintre de la Renaissance Juan Soreda, et d'abord attribuĂ© Ă  Topaz[3]. San Pelayo est un jeune courdouan martyrisĂ© par Abd al-Rahman III, et canonisĂ© par l’Église catholique, comme exemple de vertu de la chastetĂ© juvĂ©nile. Les premières panneaux racontent la lĂ©gende du saint. On y perçoit l'intĂ©rĂŞt de Soreda pour la figure humaine et les nus masculins, comme on le voit dans la scène de sa torture (110 x 85 cm)[4]. Les aspects les plus dramatiques sont Ă©vitĂ©s[5]. ComposĂ© de 51 tableaux, on peut apprĂ©cier dans ce retable la participation des diffĂ©rents compagnons de l'atelier Ă  qui Soreda a demandĂ© de suivre les gravures de Lucas van Leyden, DĂĽrer ou Marcantonio Raimondi. On y voit aussi la reproduction des fresques de Michel-Ange Ă  la Chapelle Sixtine, utilisĂ©e dans les reprĂ©sentations des prophètes et sibylles de la prĂ©delle.

    Notes et références

    1. (es) Varaciones de los municipios de España desde 1842, Ministerio de administraciones públicas, , 364 p. (lire en ligne) [PDF]
    2. Bruno Boucharel, « Un jumelage avec l'Espagne », Sud Ouest édition Périgueux, 20 septembre 2016, p. 20b.
    3. Ramos Gómez, F. Javier, «Juan Soreda y las tablas del antiguo retablo de Luzón (Guadalajara)», Archivo Español de Arte, LXXV, 299 (2002), págs. 293-334.
    4. Raphaël Pic, « Exposition, Fièvre flamande dans l’Espagne très catholique », Muséart, no 53,‎ , p.92
    5. Las edades del hombre. El contrapunto y su morada, catálogo de la exposición, Salamanca, 1993, (ISBN 84-88265-03-4)

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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