Nico and the Red Shoes
Nico and the Red Shoes, stylisé Nico & The Red Shoes, est un groupe de rock camerounais.
Pays d'origine | Cameroun |
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Genre musical | Electropop, house, new wave |
Instruments | Voix, guitare basse, synthétiseur |
Années actives | Depuis 2013 |
Labels | Wagram Music |
Membres |
Nico Olivier Cavaillé Gaël Étienne |
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Biographie
Originaire du Cameroun, Nico voyage partout dans le monde : Buéa et Douala (Cameroun), Rome (Italie), Kansas City et Washington D.C. (États-Unis), Eskilstuna (Suède), Londres (Royaume-Uni), pour finalement s'installer à Paris[1]. Elle forme en 2013 son groupe imaginaire, Nico and the Red Shoes, à l'occasion d'un concert à Bruxelles[2]. Le nom vient de sa passion pour la danse et est un clin d'œil au film britannique de 1948, Les Chaussons rouges[3] - [4]. Elle se fait repérer dès son premier concert par Wagram Music[5] et se fait rapidement connaître pour ses titres Shame et Paper Bag[2]. Elle est alors accompagnée sur scène par Olivier Cavaillé à la guitare basse et Gaël Étienne au synthétiseur[3] - [4] - [2].
Quelques semaines avant ses concerts aux Rencontres Trans Musicales de Rennes, elle sort son premier EP le [6], grâce à un appel aux dons en ligne[3]. Les titres qui constituent l'EP ont été composés depuis fin 2013[7]. Par la suite, elle prend plaisir à monter sur scène pour pouvoir danser, chanter et être en interaction avec le public[8].
En novembre 2015, Nico and the Red Shoes réalise la première partie des concerts du duo français, AaRON[9], Oscar and the Wolf.
Style et influences
Même si elle ne s'identifie à aucun style, Nico crée son propre style de musique à partir de la new wave, de l'electropop et de la house[2]. Nico qualifie elle-même sa musique comme étant « intrigante, vivante… froide et chaude à la fois, mais pas tiède »[1].
Pour ses morceaux, Nico s'est inspirée de la musique camerounaise pour ses « lignes de basse ultra sensuelles », comme dans le makossa et le bikutsi, et plus particulièrement du groupe de funk des années 1980, Les Têtes brûlées, pour les bases rythmiques[1]. Le Cameroun est aussi un pays multiculturel où elle pouvait écouter Dolly Parton, Francis Bebey et Serge Gainsbourg à la radio, qui ont influencé sa musique[4].
En 2015, le magazine spécialisé Les Inrockuptibles compare Nico à Christine and the Queens[11]. Le Huffington Post la qualifie comme étant la « danseuse étoile du dance floor »[12].
Discographie
EP
2015 : Nico and the Red Shoes
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Collaborations
- 2015 : Il filo (feat. Cassandra Raffaele)
Notes et références
- Le Martien, « Interview Nico & The Red Shoes – « La vie à Paris est très inspirante » », sur Chaaabert, (consulté le ).
- « Nico & The Red Shoes », sur Gaîté-Lyrique (consulté le ).
- « Nico And The Red Shoes - Premier EP », sur Kiss Kiss Bank Bank (consulté le ).
- Pascal Schouwey, « Nico and the Red Shoes », sur Coups de pousses, (consulté le ).
- « Nico & The Red Shoes », sur Opening Light Musique (consulté le ).
- « Nico & The Red Shoes, 1er EP à paraître le 20 novembre », sur Live-Boutique.com, (consulté le ).
- Cath, « Nico and The Red Shoes, une voix venue de la Ville Lumière », sur RennesMusique, (consulté le ).
- (en) Leah Davis, « Nico and the Red Shoes » [radio], sur Eur@dioNantes, (consulté le ).
- « AaRON au premier plan », sur OÜI FM, (consulté le ).
- Jean-Daniel Beauvallet, « Nico & The Red Shoes // Paper Bag », sur Les Inrockuptibles, (consulté le ).
- Abigaïl Aïnouz, « Découverte du lab #98 : Nico And The Red Shoes », sur Les Inrockuptibles, (consulté le ).
- Abigaïl Aïnouz, « Nico And The Red Shoes, danseuse étoile du dance floor », sur Le Huffington Post, (consulté le ).
Liens externes
- Yasmine Chouaki, « Nico (chanteuse de Nico and The Red Shoes) » [radio], sur En Sol Majeur, RFI, .