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Melampsora medusae

Melampsora medusae est une espèce de champignons Basidiomycota du genre Melampsora (genre qui regroupe des champignons microscopiques pathogènes qui sont tous des parasites obligatoires).

Melampsora medusae
Description de cette image, également commentée ci-après
Feuille de peuplier atteinte.

Espèce

Melampsora medusae
ThĂĽm., 1878

Il occasionne une maladie foliaire[1], fongique, faisant partie des « rouilles du peuplier Â» (nom provenant de l'aspect confĂ©rĂ© aux feuilles par la fructification estivale, jaune Ă  orangĂ©e, du champignon). Cette coloration, qui peut recouvrir toute la feuille, Ă©voque les points de rouille sur le fer et donne aux arbres au printemps (vers le mois de mai dans l'hĂ©misphère nord) un aspect entièrement jaune-roux. Dans les cas de forte infection, une dĂ©feuillaison prĂ©coce est observĂ©e, parfois dès juillet[2].
Comme d'autres rouilles, Melampsora medusae semble dans certains cas pouvoir déjouer les défenses immunitaires naturelles des arbres (par exemple les composés phénoliques antifongiques qui permettent normalement aux peupliers de résister à la plupart des champignons)[3].

Il fait partie des parasites de quarantaine, à déclaration obligatoire en France[4].

Synonymes

Ce champignon a aussi autrefois été dénommé :

  • Melampsora albertensis Arthur, (1906)
  • Uredo medusae (ThĂĽm.) Arthur, (1906)

Origine et répartition[5]

Ce champignon semble venir d'Amérique du Nord où il est presque partout présent[6], et où il est par exemple l'une des deux rouilles qui apparaissent naturellement chez certains arbres en Colombie-Britannique[7], mais il est maintenant présent dans trois pays européens (Belgique, France (surtout dans le sud-ouest[8]) et plus ponctuellement en Espagne[6].

Une carte de répartition, à partir des données de santé des forêts et de quarantaine est tenue par l'EPPO (European and Mediterranean Plant Protection Organization) [6]

Espèces-hôtes parasitées

En France, les souches observées de Melampsora medusae ne l'ont jamais été sur des conifères[9], mais aux États-Unis Melampsora medusae est réputé pouvoir infecter presque tous les conifères

…ainsi que les certains peupliers dont notamment Populus tremuloides.

SymptĂ´mes

Sur les résineux ;

  • les aiguilles de l'annĂ©e en cours se dĂ©colorent et se nĂ©crosent. Elles portent des pycnies et des Ă©cidies; ces organes sporulants peuvent aussi parfois se trouver sur les cĂ´nes, mais rarement sur les jeunes pousses.
  • Les feuilles infectĂ©es meurent et tombent[10].

Sur les peupliers[8] ;

  • les premiers symptĂ´mes sont des taches jaunâtres portant des urĂ©dies orangĂ©e qui apparaissent en deux Ă  trois semaines sur la face infĂ©rieure des feuilles (ou les deux cĂ´tĂ©s, dans des cas graves d'infection, la face infĂ©rieure est alors touchĂ©e en premier et l'infection s'Ă©tend ensuite Ă  tout l'arbre.
  • dessèchement et chute prĂ©maturĂ©e des feuilles (dĂ©feuillage total possible en trois semaines après dĂ©colorations et nĂ©croses des feuilles ; mais attention : des symptĂ´mes similaires peuvent ĂŞtre causĂ©s par d'autres espèces de Melampsora couramment trouvĂ©s sur les peupliers en Europe (M. populnea, M. larici-populina).
  • mauvaise lignification des rameaux,
  • retard de croissance et faible croissance,
  • retard dans le dĂ©veloppement racinaire.

Diagnostic

Les mesures de la taille des spores de M. medusa ne suffisent généralement pas à déterminer avec certitude les Melampsora. L'observation de la surface des spores et de l'épaisseur des parois est un meilleur critère de diagnostic[9]. Les éciospores mesurent 16-21 x 19-26 µm, avec une paroi épaissie bilatéralement (3-4 µm) sur les côtés opposés. Les urédospores sont ellipsoïde ou obovoïdes, avec des parois semblables à celles des éciospores, et avec des zones lisses à l'équateur. Ces zones lisses étant mieux visibles quand les spores sont enfermées dans des bulles d'air, lors du montage pour la microscopie, il convient d'enfermer de l'air sous la lamelle pour une observation sous grossissement quarante fois ; des variations importantes de tailles de téliospores ont été rapportées, on n'utilise donc pas ce critère pour le diagnostic[11].

Cycle biologique du champignon

Melampsora medusae est thĂ©oriquement « hĂ©tĂ©roĂŻque Â», ce qui implique que son cycle annuel de passe par trois formes et deux hĂ´tes, mais en rĂ©alitĂ© sous un climat très doux, il peut effectuer tout son cycle dans un mĂŞme arbre, en hivernant (Ă©tape des urĂ©diospores) sur les bourgeons et/ou l'Ă©corce de peupliers (Populus spp.) ; En temps normal, on trouve :

  1. une forme printanière, se développant sur les aiguilles de résineux vivantes (mélèze fréquemment[2]), à partir des téleutospore (forme hibernante du champignon) apportés par le vent. Puis des pycnies apparaissent sur l'aiguille et produisent des écidiospores qui, aéroportées dans l'environnement; peuvent contaminer divers peupliers (mais non des résineux).
  • C'est alors la forme estivale du champignon qui se dĂ©veloppe, la plus visible, sur les feuilles du peuplier, induite par les Ă©cidiospores tombĂ©es sur des feuilles (de peupliers). Si l'air est chaud et humide, la spore produit un tube germinatifs qui rampe sur la feuille et la pĂ©nètre via les stomates (avec ou sans formation d'appressorium). Le champignon forme alors des vĂ©sicules substomatales, puis s'Ă©tend et emplit plusieurs cellules. Il peut ensuite infecter de nombreuses cellules de l'hĂ´te (Spiers & Hopcroft, 1988).

Les tests d'infection de peupliers par différents isolats de M. medusae ont démontré deux choses :

  1. l'existence de souches distinctes du champignon, caractérisées par des degrés différents d'agressivité [12]. Leur virulence semble plus élevée quand il fait chaud (Prakash & Thielges, 1989), mais varie aussi selon la localisation géographique de l'isolat ; des isolats plus nordiques infectent des peupliers du sud avec plus d'agressivité que les isolats échantillonnés à une latitude plus méridionale (Prakash & Thielges, 1987).
  2. l'existence de formes propres à certaines espèces ou variétés de peupliers (Shain en 1988 identifie deux groupes (formae) associés l'un à Populus deltoides et l'autre à P. tremuloides.
  • Après quelques semaines, le champignon fructifie en produisant des urĂ©dosores, qui semblent ĂŞtre la principale source d'inoculum (dans l'hĂ©misphère sud et les rĂ©gions chaudes de l'hĂ©misphère Nord, oĂą l'hivernage de tĂ©liospores avec la formation subsĂ©quente de printemps, les basidiospores et leur infestation par des hĂ´tes de conifères n'a pas encore Ă©tĂ© observĂ© selon Walker, 1975).
  • l'hivernage se fait sur les rĂ©sineux ou les bourgeons ou l'Ă©corce de peupliers.

Facteurs de risque

Plusieurs facteurs de risques ont été identifiés par les populiculteurs et organisations responsables de la santé des forêts depuis les années 1990[2] :

  • monospĂ©cificitĂ© de la populiculture
  • peuplements situĂ©s Ă  proximitĂ© d'autres hĂ´tes du champignon (mĂ©lèzes notamment)
  • Conditions climatiques favorables au champignon ; Il est rĂ©putĂ© favorisĂ© par la chaleur humide (il est en France depuis les annĂ©es 1990 surtout actif dans le midi, mais pourrait donc peut-ĂŞtre gagner du terrain avec le rĂ©chauffement climatique si ce dernier est accompagnĂ© d'une pluviomĂ©trie printanière ou estivale plus Ă©levĂ©e) ;
  • conditions microclimatiques (populicultures situĂ©s en fond de vallon peu aĂ©rĂ©s ou Ă  brouillards frĂ©quents)
  • dissĂ©mination par du matĂ©riel vĂ©gĂ©tal contaminĂ© lors de la plantation (ou par engins ou outils contaminĂ©s dans une parcelle infectĂ©e ?).
    En France à partir des années 1960 et jusqu'à la fin des années 1980, le fonds forestiers national a fortement favorisé (par d'importantes subventions) les populicultures et l'enrésinement, ce qui a favorisé les monocultures des deux plantes-hôtes de ce pathogène, parfois dans les mêmes zones géographiques, avec populiculture en fond de vallon, et résineux sur les zones plus sèches.

Les spores du champignon peuvent être aéroportées (par le vent, jusqu'à plusieurs kilomètres de distance), ou par le transport de plants ou matériels contaminés en provenance de pépinières, ou via des feuilles ou de la terre transportées par les engins de chantiers forestiers (en hiver le champignon hiverne sous forme d'une croute noirâtre sur les feuilles mortes)[2].

Aspects phytosanitaires

Les rouille du genre Melampsora forment un complexe d'espèces, souches et de pathotypes, en évolution constante, interagissant avec diverses espèces-hôtes de leur environnement.

Les contexte de monocultures intensive (cultures énergétiques, TCR (taillis courte rotation), TTCr (taillis très courte rotation) testés pour produire de la cellulose pour les papeteries, ou des populicutltures intensive destinées à production du bois) les ont nettement favorisé. En cultivant les arbres en monoculture, on a en quelque sorte aussi cultivé certains de leurs pathogènes. Ainsi de nouveaux pathotypes de rouilles ont récemment surgi au Royaume-Uni, « apparemment en réponse à la pression de sélection à long terme des plantations de certains clones. Des insectes ravageurs ont été trouvés sur tous les sites touchés, mais généralement sans qu'ils aient causé de dommages significatifs »[13].

On reconnait maintenant que les producteurs de cultivars dits résistants à la rouille ne peuvent pas garantir cette résistance à moyen à long terme. Des souches de Melampsora medusae normalement adaptées à des environnements sombres et humides ont par exemple réussi à rapidement s'adapter à une exposition plus intense à la lumière et aux UV solaires[14]. Pour les mêmes raisons, il pourrait également produire des souches résistantes aux divers pesticides fongicides utilisés en populiculture depuis le milieu du XXe siècle. « Le cultivar « miracle » n’existe pas et n’existera jamais (les interaméricains Beaupré et Boelare étaient considérés comme les plus résistants dans les années quatre-vingt et sont aujourd’hui les plus sensibles à la race E4) »[2] - [15].

Contrairement aux rouilles qui attaquent les saules, dont certaines attaquent les tiges et jeunes pousses en y complétant leur cycle végétatif, sans avoir besoin d'un hôte secondaire, les rouilles du peuplier semblent toujours nécessiter un second hôte[13]. Ceci laisse penser que de « nouvelles » formes de cultures plus hétérogènes et mélangées, plus riches en biodiversité, avec des méthodes plus douces (de type Prosilva, dites "proches de la nature") pourraient peut être diminuer les risques de contagion d'arbre à arbre, bien qu'au détriment des facilités culturales et des taux exceptionnels de croissance qui avaient pu être obtenus par la sélection de clones à croissance très rapide.

Pour les populiculteurs, la recherche sylvicole cherche à créer des tests qui pourrait permettre d'anticiper le degré de pathogénicité d'une infection[16] et d'identifier des gènes de résistance (que le champignon, par ses rapides mutations semble toutefois pouvoir souvent assez rapidement contourner dans les situations de grandes monocultures au moins).

Prévention, prophylaxie

Les solutions recommandées par les organismes encourageant ou encadrant la populiculture, comme pour les autres rouilles sont :

  • « diversifier au maximum les cultivars tant au niveau de la parcelle qu’à l’échelle rĂ©gionale »[2] ;
  • enterrer les feuilles tombĂ©es au sol (car porteuses de la forme dormante du champignon en hiver [2] ;
  • conserver une bonne aĂ©ration de la peupleraie en ne serrant pas trop les plants et le cas Ă©chĂ©ant en Ă©galant les arbres pour que l'air et la lumière circulent suffisamment[2] ;
  • en cas d'arrosage des plants, prĂ©fĂ©rer un arrosage au pied, sans mouiller le feuillage[8].
  • limiter la lutte chimique.

En Europe, les pesticides autorisés pour cet usage sont régulés par la directive Directive Européenne 2000/29/CE. La lutte chimique est pratiquée en pulvérisation par hélicoptère, à la poudreuse ou au "canon atomiseur" et, selon certaines recommandations, doit être faite dès les premières infections des feuilles de peuplier[2]. Le traitement n'est pas curatif (en particulier les arbres attaqués plusieurs années de suite) et ne peut avoir qu'un effet préventif[2] et ne dure que 4 à 5 semaines[2].

DĂ©claration et quarantaine obligatoire dans certains pays

En France, ce champignon fait partie des organismes contre lesquels certaines mesures de lutte sont obligatoires [17].
Les plants présentant des symptômes en pépinière et chez les revendeurs doivent être signalés au SRPV ou à la DRAF.
Sous réserve de changement de réglementation[18], la règlementation n'autorise en France que deux pesticides en arboriculture et sylviculture contre ce champignon[2] ;

  • « Antrex pĂ©pites » (matière active : cyproconazole) ;
  • « Systane paysage » (matière active : myclobutanil) ;

...qui peuvent poser problème pour la santé des animaux (gibier notamment) ou d'autres espèces de champignon utiles aux arbres (tous les arbres vivent en symbiose avec des champignons). Des risques d'apparition de résistance aux fongicides existent aussi.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

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  • OEPP/EPPO (1982) Data sheets on quarantine organisms No. 33, Melampsora medusae. Bulletin OEPP/EPPO Bulletin 12 (1).
  • OEPP/EPPO (1990) Specific quarantine requirements. EPPO Technical Documents No. 1008.
  • Pinon, J. (1986) Situation de Melampsora medusae en Europe. Bulletin OEPP/EPPO Bulletin 16, 547-551.
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  • Trench, T.N.; Baxter, A.P.; Churchill, H. (1987) Report of Melampsora medusae on Populus deltoides in Southern Africa. Plant Disease 71, 761.
  • Walker, J. (1975) Melampsora medusae. CMI Descriptions of Pathogenic Fungi and Bacteria No. 480. CAB International, Wallingford, Royaume-Uni.
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  • Ziller, W.G. (1974) The tree rusts of western Canada. Forest Service, British Columbia, Canada, Publications No. 1329, p. 144-147. Forest Service, British Columbia, Canada.

Références taxonomiques

Autres références et notes

  1. Maugard F., Pinon J., Soutrenon A. et Taris B.(1999) – Les maladies foliaires des peupliers –Plaquette d’information du Département de la santé des forêts.
  2. Abgrall J.-F. et Soutrenon A, Fiche sanitaire Rouilles Ă  Melampsora des peupliers
  3. J. Hakulinen, R. Julkunen-Tiitto, Variation in leaf phenolics of field-cultivated willow (Salix myrsinifolia) clones in relation to occurrence of Melampsora rust ; En ligne 2008-06-28 ; DOI: 10.1046/j.1439-0329.2000.00184.x Issue Forest Pathology Forest Pathology Volume 30, Issue 1, pages 29–41, February 2000 (Résumé, anglais)
  4. OEPP., 1980, Melampsora medusae ThĂĽm. Fiche sur les parasites de quarantaine
  5. CMI (1991) Distribution Maps of Plant Diseases No. 547 (edition 2). CAB International, Wallingford, Royaume-Uni.
  6. EPPO (European and Mediterranean Plant Protection Organization), Carte de monitoring du champignon Melampsora medusae, consultée
  7. "Melampsora Foliage Rusts." 2007-01-30 ; Melampsora medusæ ; Canadian Forest Service. Consulté 2007-09-09.
  8. SRPV Midi-Pyrénées, « Melampsora medusae Rouille du peuplier », consulté 201109 24
  9. source Ministère de l'agricultlure, Détection de Melampsora medusae ur feuilles par identification morphologique (avec clé de détermination), LNPV, Ref méthode MF/97/05a ; LNPV (unité de mycologie agricole et forestière de Nancy)/SSDPV/DGAL (voir p. 3/7)
  10. Pour plus d'informations, voir bibliographie : Ziller (1955), Hepting (1971), McMillan (1972), Walker & Hartigan (1972), Sharma & Heather (1977).
  11. Voir Kraayenoord et al. (1974), Ziller (1974) dans la bibliographie de cet article.
  12. Voir Prakash & Thielges, 1987, en bibliographie
  13. DJ Royle, ME Ostry, Disease and pest control in the bioenergy crops poplar and willow ; Biomass and Bioenergy Volume 9, Issues 1-5, 1995, Pages 69-79 International Energy Agency Bioenergy Agreement Progress and Achievements 1992/94 doi:10.1016/0961-9534(95)00080-1 (Résumé, en anglais)
  14. Prakash, C.S.; Heather, W.A. (1985) Adaption of Melampsora medusae to increasing temperature and light intensities on a clone of Populus deltoides. Canadian Journal of Botany 64, 834-841. (résumé en Français))
  15. Berthelot A., Bouvet A., Gastine F., Roy B. et Servant H.(2003), La protection phytosanitaire du cultivar « Beaupré » est-elle efficace ?
  16. Richard C. Hamelin, Richard S. Ferriss, Louis Shain, Bart A. Thielges, Prediction of poplar leaf rust epidemics from a leaf-disk assay ; Revue canadienne de recherche forestière, 1994, 24:(10) 2085-2088, 10.1139/x94-267 (résumé en Français)
  17. Arrêté du 31 juillet 2000 établissant la liste des organismes nuisibles aux végétaux, produits végétaux et autres objets soumis à des mesures de lutte obligatoire NOR : AGRG0001599A J.O. du 31.08.00, p. 13502
  18. La liste des peticides homologués en France pour cet usage est consultable sur le site internet du ministère de l'agriculture e-phy.
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