Accueil🇫🇷Chercher

Maubec (Vaucluse)

Maubec est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Maubec
Maubec (Vaucluse)
Beffroi de Maubec.
Blason de Maubec
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Vaucluse
Arrondissement Apt
Intercommunalité Communauté d'agglomération Luberon Monts de Vaucluse
Maire
Mandat
Frédéric Massip
2020-2026
Code postal 84660
Code commune 84071
DĂ©mographie
Gentilé Maubecquois, Maubecquoises
Population
municipale
1 914 hab. (2020 en augmentation de 1,65 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 210 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 50′ 38″ nord, 5° 08′ 22″ est
Altitude 105 m
Min. 97 m
Max. 663 m
Superficie 9,13 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Avignon
(banlieue)
Aire d'attraction Cavaillon
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Cheval-Blanc
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Maubec
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Maubec
GĂ©olocalisation sur la carte : Vaucluse
Voir sur la carte topographique de Vaucluse
Maubec
GĂ©olocalisation sur la carte : Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur
Maubec
Liens
Site web http://www.mairiemaubec-luberon.fr

    Ses habitants sont les Maubecquois.

    GĂ©ographie

    Maubec est un bourg du parc naturel régional du Luberon, situé à 8 kilomètres de Cavaillon et à environ 30 kilomètres d'Avignon.

    Communes limitrophes de Maubec
    Cabrières-d'Avignon
    Robion Maubec Oppède
    Cheval-Blanc

    Transports

    La route nationale 100 passe en bordure nord.

    Les départementales 2, 3, 178 traversent le territoire de la commune et les départementales 29 et 144 passent par le village.

    La commune dispose également d'une ancienne voie de chemin de fer et d'une gare maintenant désaffectée.

    Relief et géologie

    Au sud de la commune s'élèvent les contreforts du Luberon jusqu'au sommet des Fourcats.

    La plaine alluviale du Calavon s'Ă©tend du centre jusqu'au nord de la commune

    Hydrographie

    Le Calavon traverse la commune d'est en ouest.

    Sismicité

    Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[1].

    Climat

    La commune est située dans la zone d'influence du climat méditerranéen. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée en latitude des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux. Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare.

    La station météorologique de référence est située à Cavaillon[2].

    Relevé météorologique de Cavaillon
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 3 6 8 12 15 18 18 14 11 6 3 9,6
    Température moyenne (°C) 6 8 11,5 13 17,5 22 24,5 24 19 15 10 6,5 15,1
    Température maximale moyenne (°C) 10 12 16 18 23 27 30 30 24,7 20 13,1 10 20,3
    dont pluie (mm) 36,5 23,3 24,9 47,7 45,6 25,4 20,9 29,1 65,8 59,6 52,8 34 437

    Histoire

    Préhistoire

    Le site fut utilisé dès le néolithique comme l'atteste la sépulture trouvée à la grotte Maillet avec son mobiler funéraire.

    Moyen Ă‚ge

    Maubec vue depuis le rocher de Baude.

    Ce fief des comtes de Toulouse arriva, par mariage, à Alphonse de Poitiers, le frère de Louis IX, avec l’ensemble du marquisat de Provence dont son épouse était l’héritière. En 1253, il fit recenser ses droits et bans dans le célèbre Livre Rouge conservé à la Bibliothèque Inguimbertine de Carpentras. Il cite pour la première fois le village Castrum de Malbec [3].

    Le premier seigneur connu est Bernard de Claret qui prend possession du fief en 1269. Cette seigneurie, tout en restant aux Claret, devient terre pontificale comme tout le marquisat en 1274. Un de leurs héritiers, Pierre cède une partie de « Mabobecco » aux chanoines de Saint-Didier d’Avignon, en 1385, alors qu’Urbain V était retourné à Rome. En même temps, Guillaume Raynardi, baile de Barcelonnette (1361), était noble et coseigneur de Maubec.

    Le XIVe siècle fut une longue suite de désastres pour le village qui subit trois épidémies de peste, la guerre de Cent Ans et ses séquelles (Routiers), la sécheresse et deux famines.

    Renaissance

    Possession des Taulignan au XVe siècle, une partie du fief est vendue par Bertrand à Gaucher de Brancas. Son fils, Gaucher II rachète, en 1529, la partie que les chanoines avaient cédée à la Révérende Chambre Apostolique d’Avignon.

    Pendant les guerres de Religion, en 1562, le baron des Adrets, Ă  la tĂŞte de ses 4 000 religionnaires, brĂ»le le « mauvais château ». Son propriĂ©taire Aymon de Brancas, baron d’Oyze, avait eu la bonne idĂ©e de se rĂ©fugier Ă  Oppède. Le village fut pris et incendiĂ© ; les habitants dĂ©sertèrent les lieux[4].

    PĂ©riode moderne

    Le château sera reconstruit par la famille puisque c'est là, en 1657, que décède le duc et pair de France Georges de Brancas-Villars. Il avait convolé avec Julienne d’Estrées, la sœur de Gabrielle, la maîtresse d'Henri IV. Leur fils Charles servit, dit-on, de modèle à La Bruyère pour le portrait du « distrait ».

    PĂ©riode contemporaine

    Maubec-le-Vieux, qui fut le fief des Brancas jusqu'à la Révolution, a été rasé en 1964 pour laisser place à ce que certains ont appelé « un hôtel particulier de style grand siècle ». Au hameau de Coustellet, tous les dimanches, de mai à novembre, se tient un marché paysan où toutes les célébrités du Luberon[5] se donnent rendez-vous.

    HĂ©raldique

    Blason de Maubec (1983)

    Les armes peuvent se blasonner ainsi :

    D'azur au beffroi accompagné de quatre pattes de lion[6] mouvant des flancs de l'écu, deux de chaque côté, l'une sur l'autre, le tout d'or.

    Politique et administration

    Maubec fait partie de l'aire urbaine de Cavaillon.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1995 1995 Alain Coudouneau
    juin 1995 mars 2014 René Valentino UMP
    mars 2014 En cours Frédéric Massip DVD
    Les données manquantes sont à compléter.

    Fiscalité

    L'imposition des ménages et des entreprises à Maubec en 2009[7]
    TaxePart communalePart intercommunalePart départementalePart régionale
    Taxe d'habitation (TH)6,90 %0,00 %7,55 %0,00 %
    Taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s bâties (TFPB)17,71 %0,00 %10,20 %2,36 %
    Taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties (TFPNB)33,37 %0,00 %28,96 %8,85 %
    Taxe professionnelle (TP)00,00 %22,41 %13,00 %3,84 %

    La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

    Urbanisme

    Typologie

    Maubec est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [8] - [9] - [10]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine d'Avignon, une agglomĂ©ration inter-rĂ©gionale regroupant 59 communes[11] et 455 711 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12] - [13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cavaillon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[14] - [15].

    Depuis plus d'une trentaine d'années, de nombreux projets de développement urbain ont vu le jour (lotissement, zone commerciale, etc.). Les deux principaux sont situés : autour du village (qui lui-même s'est développé au nord et au pied de l'ancien village) et sur le hameau de Coustellet.

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (42,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (42,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (32,6 %), forêts (26,9 %), zones urbanisées (15,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (15,7 %), zones agricoles hétérogènes (9,1 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[19].

    En 2020, la commune comptait 1 914 habitants[Note 3], en augmentation de 1,65 % par rapport Ă  2014 (Vaucluse : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    512543571577583607612626621
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    593623611573542535500490462
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    423417404382428479469468525
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    5705686979731 1991 5811 7631 7911 867
    2017 2020 - - - - - - -
    1 9301 914-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee Ă  partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune bénéficie de tous commerces sur site avec, entre autres, une importante zone commerciale en extension sur Coustellet.

    Toujours sur la commune, deux coopératives vinicoles et deux coopératives agricoles. Les bâtiments importants de la distillerie de Coustellet peuvent se voir des kilomètres à la ronde.

    Industrie

    Parc d’activité de la ZAC du Tourail (26 lots).

    Carrière de graviers et sables en bordure de Calavon.

    Tourisme

    Comme la plupart des communes du Vaucluse, mais surtout du secteur du parc du Luberon, une partie des revenus de la commune est obtenue grâce au tourisme. Plusieurs gîtes, meublés de tourisme, chambres d'hôtes et camping municipal (2 étoiles, 75 emplacements).

    Agriculture

    Sur la commune sont principalement cultivés les fruitiers (cerisiers) et les asperges. Elle produit des vins AOC côtes-du-luberon. Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément, le label vin de pays d'Aigues[22].

    Équipements ou Services

    Salle des FĂŞtes.

    Enseignement

    La commune possède une école primaire publique[23], puis les élèves vont au collège Vallée-du-Calavon [24], puis vers les lycée Ismael-Dauphin (enseignement général) et lycée Alexandre-Dumas (enseignements techniques) tous deux à Cavaillon.

    Sports

    L'équipement sportif le plus visible est le terrain de football et de rugby situé au pied du vieux village.

    Terrain de pétanque.

    Plusieurs associations sportives dont un club de rugby Ă  XV.

    Santé

    La commune dispose de plusieurs médecins spécialistes ou généralistes, ainsi que, sur le secteur de Coustellet, de deux cabinets d'analyse médicale.

    Vie locale

    Cultes

    Catholique (église et cimetière).

    Environnement

    Déchèterie sur Coustellet et conteneurs pour le tri sélectif.

    Lieux et monuments

    Le campanile devant le vieux village.

    Au sommet du bourg, maisons restaurées du vieux village avec niches, passages sous voûtes, ruelles calladées, etc.

    • Château restaurĂ©.
    • Église paroissiale Saint-Maurice datant de 1753, construction d'aspect baroque : contreforts, clocher latĂ©ral surmontĂ© d'une cloche, abside Ă  trois pans, trois chapelles, porte Ă  archivolte surmontĂ©e d'un oculus[25].
    • Beffroi de l'Horloge du XVIIIe, surmontĂ© d'une statue de la Vierge.
    • Pont sur le Calavon, reconstruit en 1886.
    • Croix de mission sur l'esplanade.
    • Oratoire près de la ferme Saint-Baudile.
    • Ancien relais de diligences (privĂ©, sĂ©parĂ© en deux) et chapelle (privĂ©e) en bordure de la RN 100 Ă  Coustellet.
    • Plusieurs puits et norias.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
    2. « Station météo la plus proche : Cavaillon », MSN Météo.
    3. Charles Rostaing, grand spécialiste de la toponymie provençale, le fait dériver de Malbecco, composé de «malum» (mauvais) et de «beccus» (nom celto-ligure appliqué à une fortification).
    4. L'abandon du village de Maubec-le-Vieux se fit peu à peu et, à la fin du XIXe siècle, les derniers habitants s'installèrent dans la plaine à quelque distance de l'ancien village, totalement abandonné.
    5. Cf. Peter Mayle, Une année en Provence.
    6. Le lion est celui de la famille des Brancas.
    7. « Impôts locaux à Maubec », taxes.com.
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Unité urbaine 2020 d'Avignon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cavaillon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    22. Le label Vin de pays d'Aigues concerne les communes suivantes dans le département de Vaucluse : Ansouis, Apt, Auribeau, La Bastide-des-Jourdan, La Bastidonne, Les Beaumettes, Beaumont-de-Pertuis, Bonnieux, Buoux, Cabrières-d'Aigues, Cabrières-d'Avignon, Cadenet, Caseneuve, Castellet, Cavaillon, Cheval-Blanc, Cucuron, Gargas, Gignac, Gordes, Goult, Grambois, L'Isle-sur-la-Sorgue, Joucas, Lacoste, Lagarde-d'Apt, Lagnes, Lauris, Lioux, Lourmarin, Maubec, Ménerbes, Mérindol, Mirabeau, La Motte-d'Aigues, Murs, Oppède, Pertuis, Peypin-d'Aigues, Puget, Puyvert, Robion, Roussillon, Rustrel, Saignon, Saint-Martin-de-Castillon, Saint-Martin-de-la-Brasque, Saint-Pantaléon, Saint-Saturnin-d'Apt, Sannes, Saumane, Sivergues, Les Taillades, La Tour-d'Aigues, Vaugines, Viens, Villars, Villelaure, Vitrolles-en-Luberon.
    23. Enseignement public primaire en Vaucluse
    24. Carte scolaire du Vaucluse
    25. Émile Bonnel, L'église de Maubec , p. 85-94, dans Provence historique, tome 5, fascicule 22, 1955 (lire en ligne)

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jules Courtet, Dictionnaire gĂ©ographique, gĂ©ologique, historique, archĂ©ologique et biographique des communes du dĂ©partement de Vaucluse, Avignon, Seguin AinĂ©, , 400 p. (lire en ligne)
    • Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, Éd. A. BarthĂ©lemy, Avignon, 1986.

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.