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MadĂĄre Sefr Darajeh

MadĂĄre Sefr Darajeh (en persan : Ù…ŰŻŰ§Ű± Ű”ÙŰ± ŰŻŰ±ŰŹÙ‡, en français : Longitude de zĂ©ro degrĂ©) est une sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e en coproduction de l’Iran, la Hongrie, la France, et le Liban diffusĂ©e entre le et sur le Canal 1 de IRIB en Iran.

MadĂĄre Sefr Darajeh
Titre original Ù…ŰŻŰ§Ű± Ű”ÙŰ± ŰŻŰ±ŰŹÙ‡
Translittération Zéro degré
Autres titres
francophones
Longitude de zéro degré
Genre SĂ©rie politique, romantique et historique
Création Hassan Fathi
Acteurs principaux Mostafa Abdollahi
Shahab Hosseini
Nathalie Matti
Roya Teymourian
Masoud Rayegan
Pierre Dagher
Laya Zanganeh
Iraj Rad
Ateneh Faghih Nasiri
Payam Dehkordi
Rahim Noroozi
Farrokh Nemati
Esmail Shangaleh
Fadi Edward
Hasmiq Taschgian
Ahmad Saatchian
Ali Ghorban Zadeh
Kiumars Malek Motiei
Pays d'origine Drapeau de l'Iran Iran
Drapeau de la France France
Drapeau de la Hongrie Hongrie
Drapeau du Liban Liban
ChaĂźne d'origine Canal 1 de IRIB
Nb. de saisons 1
Nb. d'Ă©pisodes 30
Durée environ 50 minutes
Diff. originale –

C’est la sĂ©rie la plus dispendieuse et la plus Ă©laborĂ©e de toute l’histoire de la tĂ©lĂ©vision iranienne qui a attirĂ© l’attention d’un grand nombre de tĂ©lĂ©spectateurs[1]. Elle est basĂ©e sur une histoire vraie de la vie d’un diplomate iranien, Abdol Hossein Sardari, qui a sauvĂ© la vie d’un nombre de Juifs Ă  Paris dans les annĂ©es 1940 durant l’Occupation Nazi, en leur donnant refuge Ă  l’ambassade d’Iran et les sortant du pays avec des passeports iraniens.

Synopsis

Se dĂ©roulant dans le temps de la Seconde Guerre mondiale, MadĂĄre sefr darajeh suit la vie d’un Ă©tudiant iranien, Habib Parsa (Shahab Hosseyni) qui part Ă  Paris pour continuer ses Ă©tudes. LĂ -bas, il rencontre une femme juive française, Sarah Astrok (Nathalie Matti), Ă©tudiante Ă  la mĂȘme universitĂ©. Au dĂ©but, ils s’opposent dans les dĂ©bats de cours, mais cette opposition d’idĂ©e les amĂšnent Ă  tomber amoureux l’un de l’autre. Ils discutent des sujets divers, entre autres, la persĂ©cution par les Nazis et par l’oncle Sioniste de Sarah, mais Ă  la fin ils tombent d’accord sur le sujet[1].

Opinions

Il semblerait que le gouvernement iranien ait financĂ© le projet pour dĂ©montrer ses positions Ă  l’égard de la diffĂ©rence entre les Juifs et Sionistes, en montrant de la sympathie pour les Juifs, entreprenant un point de vue orthodoxe Ă  ce sujet, en restant hostile au Sionisme.

Le rĂ©alisateur de la sĂ©rie, Hassan Fathi, a dit Ă  ce sujet : « J’ai dĂ©cidĂ© de produire cette sĂ©rie en 2002, et dans ce temps-lĂ , l’Holocauste n’était pas encore mis en question. MĂȘme s’il y a juste un seul Juif tuĂ© dans les camps Nazis, le monde entier doit se sentir coupable. De la mĂȘme façon, si un seul Palestinien est tuĂ©, le monde entier doit se sentir coupable. Je sympathise avec les victimes juifs de la Seconde Guerre mondiale, autant que pour les femmes et enfants palestiniens victimes de la guerre en Palestine. »[1]

Cette sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e a suscitĂ© l’acclamation et le support de l’Association des Juifs de l’Iran, une organisation indĂ©pendante qui sauvegarde l’hĂ©ritage culturel de la communautĂ© juive. L’association a critiquĂ© des commentaires de M. Ahmadinejad au sujet de l’Holocauste mais il soutient la sĂ©rie de M. Fatthi.

Références

Liens externes

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