Médicaments et grossesse
Cet article traite de l'utilisation de médicaments pendant la grossesse
Utilisation de médicaments pendant la grossesse
La prudence est de mise lors de l'utilisation de médicaments pendant la grossesse. Le risque est double :
- risque tératogène (la tératogénicité est le risque d'avoir des enfants mal formés, voir Thalidomide)
- risque de compromettre le bon déroulement de la grossesse.
Citons :
- Cœur-circulation :
- anticoagulants oraux : à éviter (pendant toute la grossesse)
- β-bloquants : à proscrire (2e et 3e trimestre)
- inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l’angiotensine (IECA) : à éviter (pendant toute la grossesse)
- Analgésiques : préférer le paracétamol à l'acide acétylsalicylique (aspirine)
- salicylés : à proscrire (2e et 3e trimestre)
- anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) : à proscrire (2e et 3e trimestre)
- thalidomide : à proscrire (1er trimestre)
- antiépileptiques : à éviter (1er trimestre)
- Hormones :
- hormones sexuelles : à éviter (1er trimestre)
- antithyroïdiens : à proscrire (2e et 3e trimestre)
- Antibactériens : préférer les pénicillines
- aminosides : à proscrire (2e et 3e trimestre)
- cyclines : à proscrire (2e et 3e trimestre)
- antitumoraux : à éviter (1er trimestre)
- rétinoïdes et vitamine A, en particulier l'acitrétine (Neotigason) et l'isotrétinoïne (Roaccutane) : à proscrire (1er trimestre)
Articles connexes
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