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Lupus Hellinck

Lupus Hellinck, Wulfaert Hellinck ou Helling, né à Axel ( ? ) en 1493 ou en 1494 et mort à Bruges vers le , est un compositeur de l'école dite franco-flamande. Il a composé des messes, des chorals allemands, des motets et des chansons françaises et néerlandaises[1].

Lupus HellinckWulfaert Hellinck
Helling
Naissance 1493 ou 1494
Axel ( ? )
DĂ©cĂšs vers 1541
Bruges
Activité principale compositeur
Style Ă©cole franco-flamande
Lieux d'activité Ferrare
États pontificaux
Drapeau des Pays-Bas des Habsbourg Pays-Bas des Habsbourg
Éditeurs Pierre Attaingnant
Petrus Phalesius
Georg Rhau
Tielman Susato

Biographie

Les musicologues crurent longtemps qu'une fois établi à Bruges, il y vécut le reste de sa vie, mais la publication en 1989 de documents d'archives du Vatican a révélé qu'il fit un séjour à Rome. L'un de ces documents, daté d'avril 1518, lui donne 24 ans, ce qui situe sa date de naissance en 1493 ou en 1494 [1].

Il n'existe aucune certitude sur le lieu de naissance de ce fils d'un certain Johannes Hellinck qui, lui, Ă©tait originaire du diocĂšse d'Utrecht. On ne sait rien non plus des premiĂšres annĂ©es de Lupus. Son nom apparaĂźt pour la premiĂšre fois dans la liste des enfants de chƓur de l'Ă©glise Saint Donatien de Bruges, le . Il quitta l'Ă©glise en 1511 Ă  l'Ăąge de la mue pour aller faire ses Ă©tudes, mais y revint comme sacristain le . Dans une liste d'Ă©minents musiciens d'Europe du Nord actifs Ă  la cour de LĂ©on X en 1513, liste Ă©tablie par le thĂ©oricien de la musique et Ă©crivain Vincenzo Galilei, figure un Lupus qui a contribuĂ© Ă  jeter la confusion dans la chronologie de la biographie de Lupus Hellinck. Mais il est vrai que cette liste a Ă©tĂ© Ă©tablie plusieurs dĂ©cennies aprĂšs les faits[2].

Le Pape Léon X avec deux cardinaux, par Raphaël. Lupus Hellinck fut employé au service de Léon X.

Lupus Hellinck fit partie de l'entourage de LĂ©on X, et reçut l'ordination en 1518[3]. À la fin de 1515, il partit pour Ă©tudier afin de pouvoir obtenir le sacerdoce pour lequel il sollicita Ă  Rome en avril 1518, tout en Ă©tant employĂ© au service du Pape. Il lui fut accordĂ© une indulgence, encore le mĂȘme mois, comme il s'apprĂȘtait Ă  partir de Rome[4]. Du document Ă©crit concernant la supplication, nous apprenons qu'il Ă©tait ĂągĂ© de 24 ans et qu’il desservit l'aumĂŽnerie perpĂ©tuelle liĂ©e Ă  l'autel de Saint-Nicolas Ă  l'hĂŽpital Saint-Jean, Ă  Bruges[1].

En juin 1518, un musicien dĂ©signĂ© comme Lupo francese/fiammengo cantore figure dans les registres des comptes de Sigismond d'Este Ă  Ferrare ; les chercheurs semblent aujourd'hui vouloir admettre qu'il s'agit de Lupus Hellinck[5]. Il aurait demeurĂ© Ă  Ferrare de juin 1518 jusqu’à la fin du mois d'avril 1519[6]. Il est douteux, notamment pour des raisons stylistiques, qu'il soit l'auteur des motets signĂ©s par un Lupus dans les sources de l’époque. Hellinck revint dans les Pays-Bas au cours de 1519, car en octobre de cette annĂ©e, on trouve son nom dans les registres de l’église Saint Donatien de Bruges. En 1521, il accĂ©da au poste de succentor, ou second chanteur, de l'Ă©glise voisine de Notre-Dame de Bruges, mais il revint desservir l'Ă©glise Saint Donatien dans la mĂȘme position le . Hellinck fut rĂ©admis Ă  l'Ă©glise Saint Donatien comme clerc installĂ©, et sa tĂąche consistait Ă  chanter de la polyphonie dans le chƓur[1]. Les documents que nous ont laissĂ© ses exĂ©cuteurs testamentaires, un an aprĂšs sa mort, Ă©tablissent l'orthographe correcte de son prĂ©nom en nĂ©erlandais, Wulfaert, et font mention d'un fils qui s'appelait Wulfuekin. AprĂšs qu'il eut accĂ©dĂ© au poste de succentor, il fut inscrit comme Lupus sur les registres de l'Ă©glise, en vertu de la coutume de latiniser les noms de ceux qui atteignirent un certain grade dans l’ordre clĂ©rical[1].

Les compositions de Hellinck furent publiĂ©es en Italie, en France, en Allemagne et dans les Pays-Bas et furent notĂ©es dans des manuscrits conservĂ©s dans des endroits aussi Ă©loignĂ©s que le Portugal et la Pologne. De nombreuses sources ne donnent que le nom de Lupus ; toutefois, ses Ɠuvres sont rarement confondues avec celles de Johannes Lupi[1].

Il a longtemps existĂ© une certaine confusion dans sa biographie et des incertitudes quant Ă  l'attribution d’Ɠuvres Ă  ce compositeur en raison de l'existence d'autres musiciens diversement rĂ©pertoriĂ©s Lupus ou Lupi dans les recueils ou les registres du XVIe siĂšcle. La recherche n'est pas terminĂ©e ; l'exploitation de certaines archives du Vatican Ă  la fin du XXe siĂšcle a apportĂ© de nouvelles prĂ©cisions sur ce musicien catholique dont les rapports avec la RĂ©forme protestante intriguent les chercheurs[1].

Apparemment, Hellinck ne quitta plus Bruges. Un Ă©vĂ©nement particulier de sa vie fournit un lien avec d'Ă©ventuelles sympathies protestantes : en 1539, il participa Ă  un concours dramatique Ă  Gand, collaborant Ă  la mise en scĂšne d'une piĂšce de thĂ©Ăątre qui fut ensuite mise Ă  l'Index par l'Église catholique[1].

ƒuvre et influence

Hellinck a écrit treize messes, une quinzaine de motets, onze chorals, une demi-douzaine de chansons en français (notamment Reviens vers moi, Il n'est trésor, Plus revenir ne puis) et plusieurs chansons en néerlandais.

Hellinck Ă©tait un maĂźtre artisan qui s’intĂ©ressait particuliĂšrement Ă  l’unification thĂ©matique de ses compositions et qui utilisait diffĂ©rentes techniques pour y parvenir. La variĂ©tĂ© considĂ©rable de lignes mĂ©lodiques et rythmiques est Ă©quilibrĂ©e par une technique habile de dissonances et un sentiment assez dĂ©licat de la forme[1].

Messes

La principale contribution de Hellinck Ă  la musique polyphonique de l'Ă©cole franco-flamande est la messe. Il a composĂ© au moins 13 messes-parodies, pour la plupart dĂ©rivĂ©es de ses motets et Ă©crites dans une technique Ă©tonnamment uniforme utilisant le contrepoint ; trĂšs homogĂšnes, elles comprennent de nombreux passages qui se rĂ©pĂštent en tout ou en partie. Certains passages sont homophoniques, par exemple le « Et incarnatus est » : lente succession d'accords majestueux selon un procĂ©dĂ© dramatique efficace que l'on trouve dĂ©jĂ  chez Josquin des Prez, notamment dans sa Missa Pange Lingua. Dans l’Agnus Dei qui clĂŽt la messe, Hellinck revient Ă  des passages antĂ©rieurs, crĂ©ant une unitĂ© thĂ©matique qui annonce des techniques de composition musicale beaucoup plus tardives[1]. Sa messe Panis quem ego dabo est tirĂ©e d'un de ses propres motets qui inspirera plus tard Palestrina[7].

Son procĂ©dĂ© de la parodie n’impliquait pas la citation de passages verticaux significatifs, sauf dans la Missa ‘In te Domine speravi’, basĂ©e sur son propre motet. Il prĂ©fĂ©rait dĂ©velopper de nouvelles combinaisons contrapuntiques basĂ©es sur des thĂšmes d’un modĂšle. Il unifiait ses messes en revenant rĂ©guliĂšrement sur les mĂȘmes thĂšmes et en rĂ©itĂ©rant des passages des sections prĂ©cĂ©dentes d’une messe sur un texte diffĂ©rent. Le recours frĂ©quent Ă  l'auto-emprunt se manifeste surtout dans les sections de l’Agnus Dei qui servent de codas rĂ©flĂ©chies Ă  ses messes : seule la Missa ‘In te Domine speravi’ contient un Agnus Dei nouvellement composĂ©. L'auto-emprunt est particuliĂšrement Ă©vident dans la Missa ‘Veni sponsa Christi Missa’, qui contient pas moins de 25 passages rĂ©pĂ©tĂ©s, allant de quatre Ă  19 portĂ©es. Hellinck applique des procĂ©dĂ©s traditionnels lorsqu’il utilise des thĂšmes de la premiĂšre partie du modĂšle, dans l'ordre consĂ©cutif, dans le Kyrie, ainsi que dans les premiĂšres sections du Gloria et du Credo, du Sanctus proprement dit et le premier Agnus Dei. Des thĂšmes de la deuxiĂšme partie du modĂšle sont utilisĂ©s consĂ©cutivement dans la section « Qui tollis » du Gloria, la derniĂšre partie du Credo, l'« Osanna » et le dernier Agnus Dei. La section « Domine Deus » du Gloria et le « Benedictus » sont, en gĂ©nĂ©ral, librement composĂ©s Ă  deux exceptions prĂšs : le « Et incarnatus » est mis en musique en triple rĂ©pĂ©tition en des accords lents entrecoupĂ©s de brefs passages imitatifs[1].

Motets

Les deux parties de chacun de ses motets contiennent, en gĂ©nĂ©ral, environ le mĂȘme nombre de portĂ©es, et les points d'imitation ont en gĂ©nĂ©ral une mĂȘme longueur ; parfois, un groupe thĂ©matique court est Ă©quilibrĂ© par un plus long. Hellinck n’utilise ni le cantus firmus ni le canon, paraphrase rarement des mĂ©lodies de plain-chant et Ă©vite les sĂ©quences et les sections en accords, prĂ©fĂ©rant une polyphonie uniformĂ©ment flottante obtenue par l'utilisation de l'imitation omniprĂ©sente[1].

Les motets, qui tĂ©moignent de l'influence de Nicolas Gombert, ont plus rĂ©cemment attirĂ© l'attention des experts en raison du lien qui pourrait exister avec les Ă©crits de JĂ©rĂŽme Savonarole. Hellinck a rĂ©sidĂ© Ă  Ferrare, ville natale du rĂ©formateur dominicain; il a frĂ©quentĂ© le milieu de la cour d'Este oĂč Savonarole jouissait toujours d'un grand prestige et oĂč la critique contre la papautĂ© Ă©tait tolĂ©rĂ©e dans d'Ă©troites limites. AprĂšs avoir subi la torture, le rĂ©formateur emprisonnĂ© avait dictĂ© deux mĂ©ditations douloureuses sur les psaumes Infelix Ego et Tristitia obsedit me (psaumes 50 et 30) ; ces textes Ă©taient devenus trĂšs populaires parmi les compositeurs de motets du XVIe siĂšcle, surtout lorsqu'ils rĂ©sidaient loin de Rome ou qu'ils participaient activement Ă  la rĂ©forme. Cependant certains historiens pensent qu'avant d'utiliser ces textes verbatim, les compositeurs se seraient contentĂ©s d'y faire allusion de façon discrĂšte ; ce serait le cas des motets de Hellinck, basĂ©s sur les psaumes 50 et 30, et de la cĂ©lĂšbre version du Miserere de Josquin[8]. Ces trois motets datent sans doute du sĂ©jour ferrarrais. In te domine speravi date probablement de 1518 ou 1519, Ă  moins qu'il n'ait Ă©tĂ© composĂ© juste aprĂšs le retour de Hellinck Ă  Bruges. La premiĂšre version du Miserere, Miserere mei deus, qui rassemble diverses citations des psaumes, est stylistiquement trĂšs proche du Miserere de Josquin, dont il existe une copie italienne des environs de 1520, ce qui rend plausible l'idĂ©e que le morceau aurait Ă©tĂ© composĂ© Ă  Ferrare. La deuxiĂšme version du Miserere mei domine est basĂ©e sur le psaume 6, et Ă©voque de nouveau la version de Josquin, composĂ©e Ă  Ferrare vingt ans plus tĂŽt[1]. Les Ɠuvres plus anciennes de Hellinck manifestent une tendance vers la clartĂ© tonale et formelle ; le Beati omnes, In te Domine speravi et Qui confidunt in Domino, et le fameux Panis quem ego dabo sont de bons exemples. Ces Ɠuvres montrent l'influence de Josquin, bien qu'ils n'aient pas la lĂ©gĂšretĂ© de la texture des motets-psaumes de celui-ci. Les compositions plus tardives de Hellinck, notamment les motets O veneranda martyrum, et Joannes Jesu Christo et le motet en l'honneur de Saint Donatien, Cursu festa dies, semblent reflĂ©ter l'influence de Gombert. De courtes imitations se dĂ©veloppent en de longues lignes mĂ©lismatiques, dans lesquelles le texte occupe une position subalterne. Le compositeur Ă©vite les cadences par de larges chevauchements d’une texture homogĂšne et dense qui ne contient ni d'imitation en pairs ni d'autres contrastes dans la notation vocale. Des auto-emprunts se produisent Ă©galement dans les motets[1].

Chorals allemands

Vers la fin de sa carriĂšre Hellinck, composa onze chorals allemands Ă©crits dans le style motet, dont la mĂ©lodie est placĂ©e au tĂ©nor ; celui-ci est parfois notĂ© en brĂšves, mais se distingue peu des autres voix sur le plan rythmique. Ils indiquent que Hellinck, mĂȘme s’il Ă©tait un prĂȘtre catholique, Ă©tait favorable Ă  la RĂ©forme[1] ; cette thĂšse est renforcĂ©e par le fait de sa participation, lors du concours des chambres de rhĂ©torique Ă  Gand en 1539, Ă  un jeu qui a Ă©tĂ© placĂ© sur l'Index par la suite. Les chorals sont parus dans l'anthologie de l'imprimeur wittembourgeois Georg Rhau (vers 1488 - ) Deutsche geistliche Gesange fĂŒr Schulen, publiĂ©e en 1544[7] et ont peut-ĂȘtre Ă©tĂ© commandĂ©s par ce dernier.

ƒuvre

Messes

  • (la) Missa ‘Christus resurgens’, Ă  quatre voix, 1544 (sur le motet de Jean Richafort)
  • (la) Missa ‘Confitemini Domino’, Ă  quatre voix, (anonyme dans la source mais attribuable Ă  Hellinck pour des raisons stylistiques ; sur le motet de Mouton)
  • (la) Missa ‘Ego sum qui sum’, Ă  cinq voix, E-MO 776 (sur le motet de Richafort)
  • (la) Missa ‘Jam non dicam vos servos’, Ă  quatre voix, 1532 (sur le motet de Richafort)
  • (la) Missa ‘In te Domine speravi’, Ă  quatre voix, 1568 (sur son propre motet)
  • (la) Missa ‘Intemerata virgo’, Ă  quatre voix, 1545 (sur le motet de Josquin : 3p. et 4p. de Vultum tuum deprecabuntur)
  • (la) Missa ‘Mater Patris’, Ă  quatre voix, MO 776 (sur le motet de Brumel)
  • (la) Missa ‘Panis quem ego dabo’, Ă  quatre voix, 1532 (sur son propre motet)
  • (la) Missa ‘Peccata mea’, Ă  quatre voix, 1544 (sur le motet de Richafort)
  • (la) Missa ‘Surge propera amica’, Ă  quatre voix, MO 776 (sur le motet de Lupi)
  • (la) Missa ‘Surrexit pastor bonus’, Ă  cinq voix, 1543 (sur le motet de A. de Silva ; attribuĂ© Ă  Lupus Italus in GB-Cp 471-4)
  • (la) Missa ‘Veni sponsa Christi’, Ă  cinq voix, 1543 (sur le motet de Richafort ; attribuĂ© Ă  Hellinck, Lupus [Wulfaert]. Hesdin in I-Rvat C.S.17)
  • (la) Missa ‘Virgo mater salvatoris’, Ă  quatre voix, 1545 (sur un motet anonyme in F-CA 124)

Motet

  • (la) Beati omnes qui timent Dominum, Ă  quatre voix, 1532
  • (la) Cursu festa dies sydereo, Ă  cinq voix, 1545
  • (la) Ego sum panis vitĂŠ, Ă  quatre voix, 1539
  • (la) Hodiernae lux diei, Ă  quatre voix, 1532
  • (la) In te Domine speravi, Ă  cinq voix, 1532
  • (la) Treize livres de motets parus chez Pierre Attaingnant en 1534 et 1535
  • (la) Joannes Jesu Christo, Ă  quatre voix, 1553
  • (la) Laetetur omne saeculum, Ă  quatre voix, 153211
  • (la) Mane surgens Jacob, Ă  quatre voix, 1545
  • (la) Ne projicias me, Ă  cinq voix, 1545
  • (la) O veneranda martyrum, Ă  cinq voix, 1546
  • (la) Panis quem ego dabo, Ă  quatre voix, 1532, Ă©d. in Rhau, Musikdrucke
  • (la) Pater noster, Ă  cinq voix, 1540 ; Primo die Sabbatorum, Ă  quatre voix, 1554
  • (la) Qui confidunt in Domino, Ă  cinq voix, 1542
  • (la) Usquequo Domine oblivisceris me, Ă  quatre voix, 1535, Ă©d. 93 chorales

Chorals allemands

Édition : Newe deudsche geistliche Gesenge, 1544

  • (de) Ach, Vater unser, der du bist, Ă  quatre voix, W 70
  • (de) An WasserflĂŒssen Babylon, Ă  quatre voix, W 162
  • (de) Aus tiefer Not schrei ich zu dir, Ă  quatre voix, W 105
  • (de) Capitan Herre Gott, Ă  quatre voix, W 168
  • (de) Christ lag in Todesbanden, Ă  quatre voix, W 17
  • (de) Durch Adams Fall ist ganz verderbt, Ă  quatre voix, W 145
  • (de) Ein feste Burg ist unser Gott, W 95
  • (de) Frölich wollen wir Halleluia singen, Ă  quatre voix, W 158
  • (de) Mensch, wilt du leben seliglich, Ă  quatre voix, W 51
  • (de) Mit Fried und Freud ich fahr dahin, Ă  quatre voix, W 10
  • (de) Wohl dem, der in Gottes Furchte steht, Ă  quatre voix, W 101

Chansons françaises

  • (fr) Honneur sans plus, Ă  quatre voix, (attribuĂ© Ă  Jo. James en 1543)
  • (fr) Nouvel amour le mien cueur, Ă  quatre voix
  • (fr) O Attropoz viens bien tost, Ă  quatre voix
  • (fr) Quand l’amitiĂ©, Ă  quatre voix, 1557
  • (fr) Vostre beaultĂ© plaisant et lyĂ©, Ă  quatre voix
  • (fr) Chansons musicales Ă  quatre parties (Paris, 1533) (attribuĂ© Ă  Gombert in A et T de 1544, Hellinck in Sup et B) (attribuĂ© Ă  Gombert)

Chansons néerlandaises

  • (nl) Aenhoert al myn geclach, Ă  quatre voix, vers 1535 (anonyme en 1535, attribuĂ© Ă  Lupus in P-Cug 48 sur les paroles A fort quand Dieu plaira) :

Trois chansons sur des paroles néerlandaises de Lupus Hellinck furent publiées à titre posthume par Tielman Susato en 1551 dans ses musyck boexkens (une anthologie de chansons sur des paroles néerlandaises), à savoir :

Attributions douteuses

  • (la) Missa ‘Quem dicunt homines’, Ă  quatre voix, attribuĂ© Ă  Hellinck in F-CA 3, attribuĂ© Ă  Pierkin de Raedt in CA 124 (sur le motet de Richafort)
  • (la) Jerusalem luge, Ă  cinq voix, attribuĂ© Ă  Hellinck en 1534 ; attribuĂ© Ă  Richafort en 1532 et dans huit autres sources ; attribuĂ© Ă  Caen en 1559 et dans trois autres sources
  • (la) Laudate pueri Dominum, Ă  cinq voix, attribuĂ© Ă  Hellinck en 1544 ; attribuĂ© Ă  Vinders en 1557
  • (la) Pontificum sublime decus, Ă  cinq voix, attribuĂ© Ă  Hellinck in 1546, attribuĂ© Ă  Johannes Lupi en 1538, 1539
  • (fr) Je suis desheritĂ©e, Ă  quatre voix, attribuĂ© Ă  ‘Lupus’ en 1534, 1537, attribuĂ© Ă  CadĂ©ac en 1540 et dans six autres sources

Ressources

Notes et références

  1. Blackburn.
  2. Reese, p. 306.
  3. Macey, p. 239.
  4. Sherr, p. xi-xii.
  5. Macey, p. 239-240.
  6. Lockwood, 1979, p. 198-199.
  7. Aryeh Oron, « Lupus Hellinck, composer ».
  8. Macey, p. 240-241.
  9. Bonda, p. 505.

Sources

Bibliographie

Liens externes

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