Louis RĂ©my
Carrière
En , l’école belge de pilotage, où était Louis Rémy, est évacuée vers le Maroc à Oujda. À l’armistice franco-allemand, certains pilotes joignent l’Angleterre, tandis que d’autres, dont Louis Rémy, rentrent en Belgique. Ils sont faits prisonniers. Louis Rémy tente alors une série d’évasions[1] et finit par réussir à s'évader depuis l'hôpital de la forteresse de Colditz[2] et à rejoindre l'Angleterre[3], où il sera affecté au Bomber Command comme pilote de Lancaster.
Il se verra attribuer la DFC (Distinguished Flying Cross) pour sa conduite lors de missions de combat[4].
Après la guerre il continuera sa carrière dans la Force Aérienne Belge et deviendra aide de camp du Roi et Général de Brigade[5].
Sources
- Mike Donnet, Les aviateurs belges dans la Royal Air Force, Bruxelles, Racine, , 335 p. (ISBN 2-87386-472-9, lire en ligne), p. 132
- Charles Terlinden, Histoire militaire des Belges, vol. 2, p. 505, Histoire militaire des Belges, Ă©d. La Renaissance du livre, 1966
Notes et références
- Evasions le 25 avril 1942 de Louis REMY et le 18 octobre 1941 de Victor VAN LAETHEM
- (en) Michael McNally (ill. Peter Dennis), Colditz : Oflag IV-C, Oxford, Osprey, (ISBN 978-1-84603-583-8 et 1-84603-583-X), p. 49
- Zoersel: une stèle à la mémoire de l’équipage du PM-X
- L'Écho des ailes, vol.19, p. 58, 1949.
- La ConquĂŞte de l'air, no 47, p. 51, 1951
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