Liziane Bayer da Costa

Liziane Bayer da Costa a travaillé comme pasteur à l'Église Internationale de la Grâce de Dieu avec le missionnaire RR Soares à Rio de Janeiro, s'impliquant dans le mouvement "Mulheres que Vencem" (Les femmes qui gagnent). Elle a oeuvré pendant trois ans dans l'État du Paraná et à partir de 2009, elle a poursuivi sa mission dans le Rio Grande do Sul[5].

Elle a participé aux élections nationales de 2014 et a été élue députée d'État. Elle a voté en faveur de l'augmentation de la Taxe sur la circulation des biens et services (pt), des privatisations, de l'approbation de la loi sur la responsabilité fiscale (pt) de l'État, de l'extinction des fondations et de l'adhésion au régime de redressement fiscal (RRF)[6].

Parmi les lois de l'État approuvées par ses soins figurent celles instituant la Semaine de l'allaitement maternel, Octobre rose (pour la prévention du cancer du sein ), Novembre bleu (en faveur de prévention du cancer de la prostate ), le Jour de marche pour Jésus et la Semaine de l'État pour la prévention des maladies rénales[2].

Lors des élections de 2018, elle a été élue députée fédérale pour l'état du Rio Grande do Sul, comme candidate du Parti Socialiste Brésilien[7].

Durant son mandat à l'hémicycle, elle a voté contre le Projet de loi 867 (qui modifiait le Code forestier et amnistiait les responsables de déforestation[8],en faveur de la pénalisation des responsables de rupture de barrages[9] ; en faveur de la réforme de la sécurité sociale[9] ; en faveur du changement du fonds électoral ; contre les frais de bagages par les compagnies aériennes[10] - [9] contre l'inclusion des politiques LGBT dans le portefeuille des droits de l'homme[11] ; en faveur de la PL 3723 qui réglemente la pratique des tireurs et des chasseurs[9] ; en faveur du "paquet anti-crime" de Sergio Moro[9] ; en faveur d'une aide financière aux États pendant la pandémie de COVID-19[12] ; en faveur d'un assouplissement des règles du travail pendant la pandémie[9] ; en faveur de l'amnistie de la dette de l'église[13] ; en faveur de la convocation d'une Convention inter-américaine contre le racisme[9] ; et en faveur de la qualification de l'enseignement en "service essentiel" (permettant de reprendre les cours en présentiel pendant la pandémie)[14].