Liste de tours et de campaniles d'Italie
Cette liste recense des tours et des campaniles d'Italie, pays comportant de nombreux exemples de ces types de monuments dans leurs centres historiques :
- des campaniles appelant les fidèles au culte pratiqué dans l'édifice religieux conjoint.
- des tours campanaires pour l'appel des citoyens aux Ă©difices publics de gestion de la ville.
Généralités
De façon générale, un campanile est une tour campanaire, un édifice abritant des cloches servant à appeler les fidèles à la prière. Le terme s'emploie surtout pour les édifices italiens de la Renaissance, où le campanile – à la différence d'un clocher — est un élément architectural à part entière, construit à côté de l'église et n'en faisant pas partie. De forme carrée ou ronde, un campanile est souvent percé d'arcades sur plusieurs niveaux. À la Renaissance, le campanile devient l'objet de rivalité entre les villes italiennes et sa construction est souvent confiée à de artistes majeurs. Certains sont particulièrement célèbres, comme le campanile de Giotto à Florence, la tour de Pise ou le campanile de Saint-Marc à Venise.
Des tours figurent également dans cette liste non exhaustive, car elles sont significatives et de l'architecture, et de la présence conjointe au cours de l'histoire de monuments civils et de monuments religieux permettant d'appeler les citoyens ou les fidèles par le moyen de volée de cloches.
Liste
La liste suivante recense les tours et campaniles italiens mesurant plus de 70 m de hauteur. Elles inclut Ă©galement des tours non-campanaires, constructions en briques creuses (laterizi).
Annexes
Liens internes
Références
- (it) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en italien intitulé « Lista delle torri e dei campanili più alti d'Italia » (voir la liste des auteurs).
- [PDF] (it) Armando Mammino, Fulvio Tonon, Giuliano Zen, « Un metodo generale di verifica statica per torri campanarie snelle »