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Legallais

L’entreprise Legallais, anciennement Legallais Bouchard, est une entreprise commerciale de Normandie, une des principales entreprises en France de vente Ă  distance et de distribution omnicanale d’outillages et de quincaillerie pour le marchĂ© des professionnels du second Ɠuvre. Elle a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e en 1889.

Legallais
logo de Legallais

Création 1889
Fondateurs Daniel Legallais
SiĂšge social 7 rue de l'Atalante
14200 HĂ©rouville-Saint-Clair
Drapeau de la France France
Direction Philippe Casenave-Péré, président
Daniel Malouf, directeur général
Activité Négoce
Produits quincaillerie, outillage, aménagement, pour les professionnels et collectivités
Effectif >1000 personnes depuis 2019
SIREN 563 820 489
Site web legallais.com

C’est initialement un magasin de dĂ©tail dans la ville de Caen, ouvert au grand public et tournĂ© vers une clientĂšle locale. Mais cette sociĂ©tĂ© s’est maintenue et a grandi, en s’adaptant Ă  l’évolution de la sociĂ©tĂ© française et de ses modes de consommation. Elle a dĂ» faire face Ă©galement Ă  deux Ă©vĂ©nements majeurs. Le premier rĂ©sulte en 1944 des consĂ©quences de la fin de la DeuxiĂšme Guerre mondiale , avec des bombardements alliĂ©s massifs pour assurer la rĂ©ussite du dĂ©barquement de Normandie : la ville de Caen est dĂ©truite, et, avec la ville, tous les bĂątiments de cette entreprise. Le deuxiĂšme Ă©vĂ©nement majeur est la mise en liquidation judiciaire de la sociĂ©tĂ© en 1984, liĂ©e cette fois Ă  l’évolution de la distribution en France et Ă  la fin des Trente glorieuses. Dans les deux situations, l’entreprise met Ă  profit les difficultĂ©s rencontrĂ©es pour faire repartir son activitĂ© sur de nouvelles bases, en mettant Ă  plat son organisation. Elle est dĂ©sormais tournĂ©e vers le marchĂ© national des professionnels, avec une force commerciale itinĂ©rante de plus de 450 commerciaux sur toute la France, une Ă©quipe commerciale sĂ©dentaire de plus de 200 tĂ©lĂ©conseillers, des Ă©quipes implantĂ©es dans plus d'une vingtaine d'agences et un usage de la tĂ©lĂ©phonie et d’internet, en ayant adaptĂ© ses implantations et sa logistique.

Historique

Émergence de l’entreprise

DĂ©but de l'entreprise : une boutique rue de Vaucelles

L’entreprise est crĂ©Ă©e en 1889[1] - [2] par Daniel Legallais (1866-1945), qui rachĂšte, Ă  23 ans, rue de Vaucelles Ă  Caen, un commerce de quincaillerie, proposant une offre hĂ©tĂ©roclite de matĂ©riels pour le bĂątiment ou pour les mĂ©nages, comme des mĂ©taux, des outillages, de la brosserie et de la coutellerie[3]. Ce commerce prĂ©existait sous la fĂ©rule d’un autre commerçant, : ce Daniel Legallais y avait commencĂ© comme vendeur. Il Ă©tait le fils d’un marin-pĂȘcheur, qui dirigeait un bateau de grande pĂȘche (la pĂȘche en mer et en Ă©quipage pendant de longs mois).

Le quartier de Vaucelles, dans cette prĂ©fecture, est proche de la gare construite Ă  la fin des annĂ©es 1850. C’est alors un quartier en plein dĂ©veloppement, qui bĂ©nĂ©ficie de l’essor du chemin de fer. La boutique s’adresse aux familles caennaises, aux artisans pour leur matĂ©riel et outillage, mais aussi au monde agricole de la rĂ©gion qui passe en prĂ©fecture, notamment pour les marchĂ©s et les foires aux bestiaux[3].

Le dĂ©veloppement des commerces d’outillage et de quincaillerie correspond en effet Ă  un besoin induit par l’évolution de la sociĂ©tĂ© française. Pendant longtemps, chaque ville ou chaque bourg, en campagne, a vĂ©cu en Ă©conomie fermĂ©e avec ses artisans travaillant le fer, le bois, le cuir, et autres matiĂšres : forgerons, ferblantiers, coquetiers, vanniers, boisseliers, galochers, cordiers, bourreliers, etc. Durant le XIXe siĂšcle, des industries se sont crĂ©Ă©es (comme Ă  Tinchebray dans l’arriĂšre-pays normand), proposant des produits concurrents, en mĂȘme temps que l’exode rural s’amorçait. Un certain artisanat dissĂ©minĂ© sur tout le territoire a disparu progressivement, ce d’autant plus que l’industrie a su proposer des produits plus sophistiquĂ©s, utilisant par exemple des procĂ©dĂ©s tels que la galvanisation. Le quincaillier est devenu ainsi un intermĂ©diaire indispensable entre ce monde industriel naissant et les mĂ©nages ou professionnels. Ses produits ont souvent fait partie des premiers biens de consommation [3] - [4].

La crise Ă©conomique des annĂ©es 1930 renforce paradoxalement la rĂ©putation de l’entreprise Legallais, celle-ci complĂ©tant son offre avec des matĂ©riaux nouveaux, tel l’isorel, qui n’attirent pas l’attention des diffuseurs traditionnels. Elle met en avant Ă©galement les appareils fonctionnant au gaz ou Ă  l’électricitĂ©. La sociĂ©tĂ© obtient aussi des exclusivitĂ©s, sur des gaziniĂšres par exemple, ou encore sur la commercialisation du butane par Butagaz. L’entreprise s’étend rue de Vaucelles, mais aussi sur les quais, le long de l’Orne[3].

Destruction des locaux de l’entreprise en 1944 et redĂ©marrage

La Seconde Guerre mondiale va avoir un impact important, non pas tant la Bataille de France en 1940 ou les annĂ©es d’occupation, mais les derniers mois du conflit. Pour aider le succĂšs du dĂ©barquement de Normandie, et ralentir l’arrivĂ©e d’éventuels renforts allemands, la ville de Caen (comme d’autres villes normandes), est Ă©crasĂ©e sous un tapis de bombes par les bombardements alliĂ©s[5].

Les bĂątiments de l’entreprise sont anĂ©antis comme la plus grande partie de la ville (68 % du volume bĂąti dans la ville est dĂ©truit). La direction dĂ©cide cependant de relancer l’activitĂ©. Des locaux a priori provisoires sont trouvĂ©s dans un grand bĂątiment restĂ© debout, toujours dans le quartier de Vaucelles, rue de la ChaussĂ©e ferrĂ©e, qui est consolidĂ© par les Ă©quipes de la sociĂ©tĂ©. Ce provisoire va durer une dizaine d’annĂ©es. Une inauguration est organisĂ©e en juin 1945. Quelques camions sont trouvĂ©s pour effectuer des livraisons.

Alors que la ville se reconstruit progressivement, la direction de Legallais lance l’édification d’un nouvel immeuble , un bĂątiment de cinq Ă©tages et de 10 000 m2 de surface, avec 45 mĂštres de façade sur les quais, et Ă  peu prĂšs autant rue de Vaucelles. Les rĂ©serves sont Ă©galement reconstruites sur le quai. Les travaux dĂ©marrent en juin 1950[6].

Les Trente Glorieuses

L’offre comprend toujours de l’outillage, des produits de serrurerie, de la quincaillerie de marine (particularitĂ© historique de cette entreprise), des Ă©quipements sanitaires, des produits d’entretien (la droguerie), mais aussi de l’électromĂ©nager, et de l’amĂ©nagement de cuisine. Le matĂ©riel Ă©lectrique prend aussi une place de plus en plus significative. En parallĂšle, le service aprĂšs-vente devient une institution chez Legallais. C’est le dĂ©but d’une pĂ©riode en France appelĂ©e par Jean FourastiĂ© les Trente Glorieuses, caractĂ©risĂ©e par une croissance Ă©conomique, une Ă©lĂ©vation du niveau de vie des mĂ©nages et un besoin de confort. C’est aussi le triomphe des Ă©quipements en « arts mĂ©nagers », machine Ă  laver, aspirateurs, cuisiniĂšres, rĂ©frigĂ©rateurs, salles de bains, cuisines Ă©quipĂ©es, etc. MĂȘme si la plupart de ces Ă©quipements ont Ă©tĂ© imaginĂ©s avant la Seconde Guerre mondiale, ils se diffusent plus largement dans les mĂ©nages entre 1946 et 1975. En 1975, 90 % des mĂ©nages disposent d’un rĂ©frigĂ©rateur domestique contre 5% en 1950[7].

La fin des annĂ©es 1970 et le dĂ©but des annĂ©es 1980 sont Ă©conomiquement plus difficiles. Une nouvelle concurrence a Ă©mergĂ© les dĂ©cennies prĂ©cĂ©dentes avec la grande distribution spĂ©cialisĂ©e sur l’électro-mĂ©nager ou sur le bricolage et l’outillage : Boulanger est crĂ©Ă© en 1954, Darty en 1957, Leroy Merlin en 1960, et Castorama en 1969. Ces entreprises, s’appuient sur des concepts de la grande distribution, antinomiques des concepts de dĂ©part de Legallais, notamment les grandes surfaces commerciales en libre-service, installĂ©es en pĂ©riphĂ©rie de ville, avec des parkings favorisant l’accĂšs en voiture. Il n’est plus question non plus, par exemple, d’y faire changer les ressorts d’une serrure, comme dans le magasin Legallais rue de Vaucelles : un produit qui ne fonctionne plus doit souvent y ĂȘtre remplacĂ©[7].

Adaptations, dĂ©pĂŽt de bilan et redĂ©marrage de l’activitĂ©

En fĂ©vrier 1981, l’entreprise sĂ©pare davantage les ventes aux particuliers des ventes aux professionnels en crĂ©ant un site destinĂ© aux professionnels Ă  Mondeville en fĂ©vrier 1981. Puis elle se sĂ©pare de l’activitĂ© de vente aux particuliers en la cĂ©dant au BHV en dĂ©cembre 1984, ainsi que l’immeuble rue de Vaucelles (qui deviendra plus tard, en 2011, un Adagio City Aparthotel)[8].

DĂšs le lendemain de cette vente, toujours confrontĂ©e Ă  un manque de trĂ©sorerie, elle se dĂ©clare provisoirement en cessation de paiement. Elle rĂ©duit ses effectifs pour prendre en compte sa spĂ©cialisation sur le marchĂ© des professionnels (et collectivitĂ©s) et adapter ses coĂ»ts, et nĂ©gocie un accord avec ses principaux crĂ©anciers (un concordat selon le terme utilisĂ© Ă  l’époque) pour Ă©chelonner le remboursement de ses dettes sur un peu moins d’une dizaine d’annĂ©es.

Le catalogue en 2020

Un nouveau dirigeant, Philippe Casenave-PĂ©rĂ©, prend en charge le dĂ©veloppement commercial. Il anime, avec sa direction gĂ©nĂ©rale, un dĂ©veloppement du chiffre d’affaires auprĂšs des professionnels, en privilĂ©giant une expansion gĂ©ographique : de 1986 Ă  2002, l'entreprise crĂ©e ainsi des agences commerciales Ă  Rouen, puis Rennes, Paris, Tours, Saint-Denis, Vaulx-en-Velin dans la rĂ©gion lyonnaise, et d’autres encore les annĂ©es suivantes Ă  Strasbourg, Marseille, Bordeaux, Lille, Nantes , etc.. Cette entreprise, dĂ©sormais plus que centenaire, renoue Ă©galement en 1991 avec un catalogue papier (permettant de prĂ©senter aux professionnels 20 000 produits Ă  l’époque, 60 000 en 2023), et se rĂ©organise sur ses diffĂ©rentes implantations, au dĂ©but du XXIe siĂšcle, dans un plan baptisĂ© PhĂ©nix 2 : le site de Mondeville devient le stock central, un nouveau site (inaugurĂ© en 2002) Ă  HĂ©rouville-Saint-Clair, dans la pĂ©riphĂ©rie de Caen, devient le siĂšge social, le centre administratif et le centre de contact tĂ©lĂ©phonique[1] - [9]. L’entreprise investit aussi sur sa logistique, crĂ©ant une nouvelle plateforme logistique Ă  Saint-AndrĂ©-sur-Orne dans le Calvados, en 2005[10], puis l’agrandissant en 2012[11].

Vente par catalogue, vente par centre de contact tĂ©lĂ©phonique, vente par catalogue, elle est prĂ©sente Ă©galement sur le web, sous diffĂ©rents noms de site web et avec des outils spĂ©cifiques Ă  ce mĂ©dia, tels que des configurateurs pour aider les professionnels Ă  combiner au mieux les produits proposĂ©s. En 2019, elle passe le cap des 1 000 salariĂ©s[2].

L’entrepĂŽt logistique s'agrandit. Une nouvelle plateforme est inaugurĂ©e en dĂ©cembre 2022[12].

Actionnariat et dirigeants

L’entreprise Legallais est initialement un commerce indĂ©pendant dĂ©tenu par Daniel Legallais. En 1920, celui-ci transforme le statut de la sociĂ©tĂ© en sociĂ©tĂ© anonyme par actions de type SARL. Ses associĂ©s sont son fils, Maurice Legallais, et un collaborateur entrĂ© en 1905, Émile Bouchard. L’entreprise s’appelle d’ailleurs, dĂ©sormais, Legallais-Bouchard. Pour autant, cette sociĂ©tĂ© reste clairement une entreprise familiale[3].

En 1934, Maurice Legallais meurt, du vivant de son pĂšre. Celui-ci fait appel Ă  un neveu qu’il a embauchĂ© depuis quelques annĂ©es, Lucien Dudouit, pour devenir directeur gĂ©nĂ©ral puis prĂ©sident du conseil d’administration. L’affaire compte alors une quarantaine de salariĂ©s[3]. Lucien Dudouit part Ă  la retraite en 1965. LĂ©on Elie, gendre d’Émile Bouchard lui succĂšde pour une pĂ©riode de cinq ans, puis arrive Jean Dudouit, fils de Lucien Dudouit[7]. Lucien Dudouit quitte le poste de prĂ©sident du conseil d’administration en 1984 et est remplacĂ© par son beau-frĂšre, Daniel Saintin[8].

Les difficultĂ©s des annĂ©es 1980 et la nouvelle relance de l’activitĂ© provoquent aussi une rupture au niveau de l’actionnariat en 1999. La famille Legallais (et ses hĂ©ritiers) reste prĂ©sente, et assure, de fait, une continuitĂ© historique. La famille Bouchard (et ses hĂ©ritiers lĂ  encore) se retire. Le nom de l’entreprise redevient Legallais. L'Ă©quipe dirigeante est remaniĂ©e autour de Philippe Casenave-PĂ©rĂ© qui la prĂ©side dĂ©sormais. Des membres de l’équipe de direction entrent dans le capital par LBO. Enfin, une sociĂ©tĂ© britannique de capital-investissement, la sociĂ©tĂ© 3i, devient un actionnaire supplĂ©mentaire, investissant Ă  hauteur de 40 % du capital, et contribuant ainsi Ă  crĂ©er les conditions financiĂšres d’un redĂ©marrage. Cet actionnaire revend sa part de capital en 2007. L’équipe de direction dĂ©tient dĂšs lors 55 % de ce capital, les 45 % autres restant la propriĂ©tĂ© des hĂ©ritiers de la famille fondatrice[1] - [9].

Les annĂ©es suivantes, ce capital est amĂ©nagĂ© Ă  nouveau pour permettre aux salariĂ©s d’en dĂ©tenir 5 %. Des sociĂ©tĂ©s d’investissement ont, ou ont eu, des participations minoritaires, dans une part nettement moindre que 3i, telles que la sociĂ©tĂ© belge Gimv, et les sociĂ©tĂ©s françaises Siparex ou, ensuite, NCI[13] - [14].

Une société mÚre est créée englobant Legallais et quelques autres entreprises, le Groupe Grand Comptoir. Et en 2022, Daniel Malouf devient Directeur Général de Legallais[15] - [16].

Fondation d’entreprise

En 2010, Legallais a crĂ©Ă© une fondation d’entreprise, dans la continuitĂ© d’actions ponctuelles de solidaritĂ© et de soutien Ă  des initiatives Ă©ducatives, sociales ou humanitaires[17] - [18] - [19]. En France, le statut de fondation d’entreprise a Ă©tĂ© crĂ©Ă© en 1990, et cette loi a constituĂ© un tournant dans le dĂ©veloppement de la philanthropie privĂ©e, les dispositifs lĂ©gislatifs successifs encourageant les crĂ©ations de telles fondations, par exemple par des rĂ©ductions fiscales. Par rapport Ă  des fondations trĂšs mĂ©diatiques de groupes multinationaux, la structure mise en place par Legallais ne vise pas des opĂ©rations de prestige : il s’agit d’actions de soutien Ă  des projets de solidaritĂ© (formation, aide aux dĂ©munis en France, aide au dĂ©veloppement, etc.), encadrĂ©es durablement par cette structure spĂ©cifique de fondation. L’écho auprĂšs du grand public reste plus local, mais la vingtaine ou trentaine d’opĂ©rations soutenues chaque annĂ©e[17] constituent aussi un outil de communication interne, offrant aux salariĂ©s un accĂšs facilitĂ© et commun Ă  une diversitĂ© d’engagements sociaux et humanitaires, en Asie par exemple[20], dans l’hexagone[21], ou quelquefois Ă  cĂŽtĂ© du lieu de travail[22]. Puis elle privilĂ©gie comme domaine d’action l’insertion professionnelle et le logement[23].

Engagement dans le domaine artistique

Outre sa fondation d’entreprise, l’entreprise Legallais s’engage Ă©galement en matiĂšre de culture et d’art, en partenariat avec des artistes Ă©mergents, qui interviennent soit sur la couverture du catalogue soit dans le cadre de performances artistiques rĂ©alisĂ©es dans des locaux de la sociĂ©tĂ©. Dans ce cadre, elle a eu ses derniĂšres annĂ©es des partenariats avec diffĂ©rents artistes, comme VanLuc en 2014, Decaroline en 2015 (cette artiste Ă©tant intervenue l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente, en 2014 sur la façade du MĂ©morial de Caen), Chanoir en 2016, Jo Di Bona en 2017, Astro en 2018, Bishop Parigo en 2019, Le CyKlop en 2020, Jace en 2021, Skwak en 2022, Speedy Graphito en 2023, etc. Cet engagement a un double effet : encourager le travail d’un artiste, mais aussi se diffĂ©rencier et crĂ©er l’évĂ©nement autour de la sortie du cataloque[24] - [25] - [26] - [27].

Références

  1. Philippe Legueltel, « Legallais, le quincailler qui surfe sur la Toile », Les Échos,‎ (lire en ligne)
  2. « Caen. Legallais passe le cap des 1 000 salariĂ©s », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  3. Michel Giard et Olivier Londeix, La quincaillerie Legallais, une destinĂ©e exceptionnelle, Éditions Le TĂ©lĂ©gramme, , 142 p. (ISBN 978-2-84833-245-1), « L‘ascension d’un bon dĂ©taillant », p. 10-31
  4. Gilbert Carrier, « Permanences fonciÚres et maintenances sociales », dans Pierre Léon, Histoire économique et sociale du Monde, vol. 4, Armand Collin, , p. 429-454
  5. Jean Quellien, « 1944 : une terre normande bouleversĂ©e », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  6. Michel Giard et Olivier Londeix, La quincaillerie Legallais, une destinĂ©e exceptionnelle, Éditions Le TĂ©lĂ©gramme, , 142 p. (ISBN 978-2-84833-245-1), « Les annĂ©es terribles », p. 32-52
  7. Michel Giard et Olivier Londeix, La quincaillerie Legallais, une destinĂ©e exceptionnelle, Éditions Le TĂ©lĂ©gramme, , 142 p. (ISBN 978-2-84833-245-1), « Les “Vingt Glorieuses ” de Legallais & Bouchard », p. 52-69
  8. Michel Giard et Olivier Londeix, La quincaillerie Legallais, une destinĂ©e exceptionnelle, Éditions Le TĂ©lĂ©gramme, , 142 p. (ISBN 978-2-84833-245-1), « La tentative d’adaptation aux mutations Ă©conomiques et commerciales », p. 70-81
  9. Michel Giard et Olivier Londeix, La quincaillerie Legallais, une destinĂ©e exceptionnelle, Éditions Le TĂ©lĂ©gramme, , 142 p. (ISBN 978-2-84833-245-1), « Le retour Ă  une stratĂ©gie offensive », p. 82-95
  10. Patrick Bottois, « Legallais-Bouchard inaugure sa nouvelle base logistique », L'Usine nouvelle,‎ (lire en ligne)
  11. Nicolas Guillon, « SAS Legallais agrandit son site logistique dans le Calvados », L'Usine nouvelle,‎ (lire en ligne)
  12. Lucas Larcher, « PrĂšs de Caen, Legallais double la taille de son entrepĂŽt logistique : 50 postes crĂ©Ă©s », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  13. Xavier Demarle, « Gimv et NCI se retirent de Legallais », Les Échos,‎ (lire en ligne)
  14. « Legallais reprend son capital en main », sur zepros.fr date= 27 août 2019
  15. BenoĂźt Le Breton, « AprĂšs Auchan, Daniel Malouf rejoint la « famille » Legallais », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  16. Pierre PichĂšre, « Un nouveau DG pour Legallais », Le Moniteur,‎ (lire en ligne)
  17. Philippe Legueltel, « Philippe Cazenave-PĂ©rĂ© de la quincaillerie au social », Les Échos,‎ (lire en ligne)
  18. Manon Sandrini, « La quincaillerie Legallais outillĂ©e pour la croissance responsable », Daf Mag,‎ (lire en ligne)
  19. Michel Giard et Olivier Londeix, La quincaillerie Legallais, une destinĂ©e exceptionnelle, Éditions Le TĂ©lĂ©gramme, , 142 p. (ISBN 978-2-84833-245-1), « Une entreprise citoyenne », p. 132-138
  20. Nathalie Lecornu-Baert, « Quincaillerie. La fondation Legallais a sa place au NĂ©pal », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  21. Marie-HĂ©lĂšne Nougaret, « Habitat et artisanat au cƓur de la fondation Legallais », Le Moniteur,‎ (lire en ligne)
  22. « HĂ©rouville-Saint-Clair. La fondation Legallais brade ses invendus », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  23. « HĂ©rouville-Saint-Clair. La fondation Legallais fĂȘte ses 12 ans », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  24. Daniel Diguet, « ResponsabilitĂ© SociĂ©tale de l’Entreprise. Quand l’art s’invite dans l’entreprise », sur Aqm,
  25. « VanLuc rĂ©alise la couverture du catalogue Legallais », Ouest-France,‎ 11 dĂ©cembre2013 (lire en ligne)
  26. B.V., « Street art : Legallais a son "Chanoir" du bĂątiment », Le Moniteur,‎ (lire en ligne)
  27. BenoĂźt Le Breton, « Chez Legallais, les murs laissĂ©s aux soins d’un street-artiste », Ouest-France,‎ (lire en ligne)

Liens externes

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