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Joseph Bringas

Joseph Bringas (en grec : áżšÏ‰Ïƒáż†Ï† Î’ÏÎŻÎłÎłÎ±Ï‚) est un eunuque, haut fonctionnaire de l’Empire byzantin au Xe siĂšcle durant les rĂšgnes de Constantin VII et de Romain II. Sa date de naissance est inconnue. Il est nĂ© dans la province byzantine de Paphlagonie, qui se situe dans l’actuelle Turquie. Il meurt en exil en 965 dans le monastĂšre d’Asekretis en Bythinie, rĂ©gion qui se situe Ă©galement dans la Turquie actuelle. Il est de la mĂȘme famille que l’empereur qui rĂ©gna sur l’Empire byzantin au XIe siĂšcle, Michel Bringas.

Joseph Bringas
Biographie
Naissance
DĂ©cĂšs
Activités
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Grade militaire

Ascension dans le gouvernement byzantin

Sous Constantin VII

Solidus représentant Constantin VII et Romain II

Joseph Bringas est un serviteur byzantin sous le rĂšgne de Constantin VII. Il entra au service de ce dernier et il gravit rapidement les Ă©chelons. L’empereur le promeut au rang administratif de atrikios et par la suite de  praepositus ou grand prĂ©posite. Plus tard, il fut nommĂ© au rang de sakkellarios et devient le haut responsable financier chargĂ© du trĂ©sor impĂ©rial. Il fut ensuite promu comme droungarios ou grand drongaire, c’est-Ă -dire commandant de la flotte impĂ©riale basĂ©e Ă  Constantinople. C’est le grade militaire le plus Ă©levĂ© de la marine byzantine Ă  cette Ă©poque[1].

Sous Romain II

Ce n’est qu’aprĂšs la mort de Constantin VII en 960 que Joseph Bringas obtient son titre le plus important. Le nouvel empereur, Romain II, fils de Constantin VII, dĂ©cide de remplacer son parakimomĂšne, Basile LĂ©capĂšne. Ce titre et les charges qui y sont rattachĂ©es sont remis Ă  Joseph Bringas. Certains historiens suggĂšrent que cette dĂ©cision de l’empereur aurait Ă©tĂ© prise sous l’influence de sa femme, l’impĂ©ratrice ThĂ©ophano. Cette fonction rĂ©servĂ©e aux eunuques permet Ă  Bringas de s’élever dans les plus hautes sphĂšres du gouvernement byzantin. La charge de ParakimomĂšne Ă©tait la plus haute et la plus prestigieuse fonction que pouvait atteindre un eunuque. Il avait la garde de l’empereur jour et nuit et il devait veiller Ă  la sĂ©curitĂ© de celui-ci. NommĂ© par l’empereur, cette fonction tĂ©moignait de la confiance du suzerain en la personne Ă  qui il donnait ce poste[2]. Bringas devint Ă©galement, Ă  la mĂȘme Ă©poque, prĂ©sident du SĂ©nat. Il est chargĂ© d’administrer l’empire sous Romain II[1]. D’aprĂšs l’historien armĂ©nien contemporain StĂ©panos Taronetsi, Bringas Ă©tait le vĂ©ritable maĂźtre de l’empire, tirant les ficelles dans le dos de l’empereur[3].

Lors de la régence

À la mort de l’empereur en 963, il devient alors le corĂ©gent avec ThĂ©ophano, impĂ©ratrice veuve de Romain II. Cette rĂ©gence est mise en place en attendant que les fils hĂ©ritiers, Basile II et Constantin VIII, puissent ĂȘtre en Ăąge de gouverner. Toutefois, celle-ci ne durera que quelques mois et se terminera par une rĂ©volte. Joseph Bingras subit le coup d'État militaire du gĂ©nĂ©ral NicĂ©phore Phocas qui, appuyĂ© par la population et l’armĂ©e, s’empare du titre impĂ©rial en aoĂ»t 963. Bringas est exilĂ© dans un monastĂšre et meurt en 965.

Contexte historique

Le monde byzantin au Xe siĂšcle

Au Xe siĂšcle, l’Empire byzantin est dirigĂ© par la dynastie nommĂ©e la dynastie macĂ©donienne. La fin de ce siĂšcle est une pĂ©riode de conquĂȘtes et d'expansion. DĂšs le dĂ©but du siĂšcle, l’empire avait une Ă©conomie forte et une dĂ©mographie en croissance malgrĂ© des pertes de territoires qui eurent lieu durant les siĂšcles antĂ©rieurs. Cette forte Ă©conomie et l’augmentation de la population fournirent des troupes et les moyens nĂ©cessaires pour entreprendre les campagnes militaires de la seconde partie du Xe siĂšcle. De plus, avec la mort du roi bulgare SymĂ©on en 927, la Bulgarie se retrouve affaiblie et recherche la paix avec l’Empire byzantin. La frontiĂšre nord de l’empire avec les Bulgares est donc pacifiĂ©e permettant aux armĂ©es byzantines de se tourner vers le Sud et les royaumes musulmans.

À cette Ă©poque, l’effondrement du Califat abbasside s’accentue, les forces de Bagdad n’interviennent plus contre Byzance et les empires de l’Islam se divisent. La reconquĂȘte de ces anciennes possessions byzantines aux mains des Arabes dĂ©bute[4]. En 972, la Bulgarie est pour la majeure partie soumise Ă  l’empire. Le Levant et les Ăźles mĂ©diterranĂ©ennes furent Ă©galement pris Ă  cette mĂȘme Ă©poque.

Ainsi, vers la deuxiĂšme moitiĂ© du Xe siĂšcle, les conquĂȘtes militaires et les victoires sur les Arabes et sur  les Bulgares mĂšneront l’empire Ă  son apogĂ©e. La seconde pĂ©riode du Xe et le XIe siĂšcle entraine donc un agrandissement considĂ©rable du territoire de l’empire. Les nombreuses conquĂȘtes territoriales sur les royaumes musulmans et bulgares permettent Ă  l’empire de repousser ses frontiĂšres[5].

Ce siĂšcle tĂ©moigne Ă©galement d’un renforcement de l’importance et de la lĂ©gitimitĂ© des empereurs. La dynastie macĂ©donienne s’accommoda souvent de rĂ©gents menĂ©s au pouvoir par l’armĂ©e ou la marine, mais les princes hĂ©ritiers rĂ©ussirent toujours Ă  s’imposer une fois adulte[6].

Cette pĂ©riode coĂŻncide aussi avec le dĂ©but des premiers troubles internes sĂ©rieux que connaĂźtra la politique de l’empire tout au long des prochains siĂšcles. La prise violente du pouvoir par le gĂ©nĂ©ral NicĂ©phore Phocas et les Ă©meutes crĂ©Ă©es par cet Ă©vĂ©nement offrent un aperçu de l’agitation et des problĂšmes internes qui Ă©branleront Constantinople durant les deux siĂšcles suivants[7].

Les eunuques dans l’Empire byzantin

Durant l’Empire byzantin, les eunuques ont un rĂŽle privilĂ©giĂ© dans l’administration. Bien que la castration pour des raisons autres que mĂ©dicales soit prohibĂ©e, plusieurs familles de toutes classes sociales dĂ©cident tout de mĂȘme de castrer un ou plusieurs enfants. L’enjeu en valait souvent la peine, car un enfant castrĂ© pouvait nourrir l’espoir de s’introduire dans les plus hautes sphĂšres du gouvernement byzantin mĂȘme s’il provenait d’une classe sociale moins Ă©levĂ©e.

Plusieurs privilĂšges leur Ă©taient accordĂ©s. Les eunuques impĂ©riaux pouvaient acquĂ©rir des propriĂ©tĂ©s fonciĂšres et de riches domaines dans la banlieue de Constantinople. Leurs influences auprĂšs de l’empereur et le pouvoir qu’ils obtenaient par leur fonction leur permettaient de se constituer une puissante clientĂšle au sein de la capitale. Cette clientĂšle Ă©tait constituĂ©e d’amis, de parents ou de serviteurs et ils s'en servaient Ă  des fins politiques. Avec le soutien de celle-ci, ils possĂ©daient une grande influence politique et un pouvoir important. Par exemple, l’eunuque, Basile LĂ©capĂšne, a rĂ©ussi  Ă  recruter 3 000 hommes de sa clientĂšle pour l’aider Ă  crĂ©er l’émeute qui renversa Bringas en 963. Comme ils sont profondĂ©ment impliquĂ©s dans la politique byzantine, leurs maisons Ă©taient souvent la cible des Ă©meutes. Les eunuques Ă©taient issus de toutes les couches sociales. Avoir des eunuques dans son entourage familial Ă©tait, pour les familles, un moyen d’avancement dans la hiĂ©rarchie byzantine[8]. Ce n’était donc pas seulement une façon pour un individu de gravir les Ă©chelons et de se retrouver haut fonctionnaire de l’État, mais cela permettait Ă©galement aux familles de gravir les Ă©chelons impĂ©riaux. Par exemple, l’empereur Michel Bringas qui Ă©tait apparentĂ© Ă  Joseph Bringas bĂ©nĂ©ficia du statut de haut fonctionnaire de son ancĂȘtre pour s’élever dans la hiĂ©rarchie byzantine[9].

L’implication de Joseph Bringas dans les conquĂȘtes de l’empereur Romain II

La conquĂȘte de la CrĂšte

Le contrĂŽle de l’üle de CrĂšte est d’une grande importance pour l’économie byzantine. Elle servait de comptoir, mais Ă©galement de poste militaire pour protĂ©ger la mer ÉgĂ©e et l’important commerce byzantin. Depuis la conquĂȘte de la CrĂšte par les Arabes en 824, celle-ci devient une Ă©pine constante pour l’Empire byzantin. Plusieurs raids de pirates arabes provenant de CrĂšte pillent les routes commerciales et menacent le commerce byzantin. En 911 et en 949, de grandes expĂ©ditions militaires organisĂ©es par les empereurs byzantins furent envoyĂ©es pour reconquĂ©rir l’üle sans succĂšs[10].  

En 960, Joseph Bringas voit une occasion pour le jeune empereur Romain II et pour lui-mĂȘme de gagner en popularitĂ© et en prestige en reconquĂ©rant cette Ăźle. Sous la recommandation de l’eunuque, l’empereur lance une large opĂ©ration militaire vers l’üle de CrĂȘte. Bringas est chargĂ© d’organiser l’opĂ©ration. Il choisit, pour commander l’armĂ©e, le gĂ©nĂ©ral NicĂ©phore Phocas qu’il place Ă  la tĂȘte de l’armĂ©e.

La plus grande partie de l’armĂ©e impĂ©riale byzantine et une Ă©norme flotte de navires commandĂ©es par le gĂ©nĂ©ral Phocas partent pour la CrĂšte. La campagne dura jusqu’au mois de mars de l’annĂ©e 961. Les Byzantins, victorieux, s’emparent de l’üle. Cette victoire permet Ă  l'empire de s'Ă©tendre et de reprendre le contrĂŽle sur la mer ÉgĂ©e. Elle eut Ă©galement des effets importants sur la politique interne byzantine. Les rapports de forces se modifient, car c’est le gĂ©nĂ©ral NicĂ©phore Phocas qui reçoit la grande majoritĂ© des honneurs au dĂ©triment du jeune empereur Romain II.

La conquĂȘte d'Alep

NicĂ©phore Phocas, sous les ordres de l’empereur, attaque ensuite la ville levantine d’Alep qui, comme l’üle de CrĂšte, permettait aux Arabes d’aisĂ©ment s’introduire et de piller les rĂ©gions frontaliĂšres de l’empire. L’armĂ©e des Byzantins, mieux Ă©quipĂ©e, gagne facilement la bataille, chassant l’armĂ©e arabe de la rĂ©gion. Les Byzantins entrent dans Alep le [11].

Les conquĂȘtes de Phocas lui permet d'acquĂ©rir un grand prestige et une admiration de la part de la population byzantine, mais, encore plus dangereux pour l’empereur, l’armĂ©e soutient le gĂ©nĂ©ral. Maintenant que les Arabes qui pillaient le territoire byzantin ont Ă©tĂ© vaincus, l’armĂ©e avait deux choix: rester fidĂšle Ă  l’Empereur ou Ă  son gĂ©nĂ©ral victorieux. La mort de Romain II, probablement empoisonnĂ© par l’impĂ©ratrice[12] le , rĂ©sout la question.

Le coup d’État

À la mort de Romain II, la rĂ©gence fut exercĂ©e par Bringas et l’impĂ©ratrice veuve, ThĂ©ophano. Elle devait ĂȘtre exercĂ©e jusqu’à la maturitĂ© des princes hĂ©ritiers. Craignant une insurrection militaire, Joseph Bringas convoque le gĂ©nĂ©ral Phocas Ă  Constantinople et l’envoie dans l’est de l’empire, espĂ©rant ainsi Ă©viter une rĂ©volte militaire.

Histamenon nomisma en or représentant Nicéphore II Phocas et Basile II.

NicĂ©phore Phocas possĂ©dait une grande armĂ©e Ă  sa disposition et des officiers plus loyaux au gĂ©nĂ©ral conquĂ©rant qu’à un empereur mort et qu’à ses fils mineurs. D’aprĂšs l’historien contemporain des Ă©vĂ©nements, LĂ©on le Diacre, les soldats prĂ©fĂ©raient servir Phocas, car il Ă©tait plus apte qu’un « eunuque ignoble et des nourrissons (les princes hĂ©ritiers Basile II et Constantin VIII) pour donner des ordres Ă  des hommes de sang »[12]. En juillet 963, cinq mois aprĂšs la mort de l’empereur, alors que NicĂ©phore Phocas sĂ©journe dans la ville de CĂ©sarĂ©e, loin de la capitale, l’armĂ©e le dĂ©clare empereur de l’Empire byzantin.

NicĂ©phore avait le soutien de l’armĂ©e, mais il avait Ă©galement un soutien essentiel, celui de l’eunuque Basile LĂ©capĂšne, le parakimomĂšne sous l’empereur Constantin VII que Bringas avait remplacĂ© lors de l’ascension au trĂŽne de Romain II. Les deux eunuques avaient longtemps Ă©tĂ© en compĂ©tition et LĂ©capĂšne voyait un moyen d’éjecter son vieil ennemi du poste qu’il convoitait.

Durant le coup d'État, la population de Constantinople soutient le nouvel empereur Phocas et tente de renverser Bringas. Utilisant sa clientĂšle, Joseph Bringas demande l’aide de la guilde des pĂątissiers afin de bloquer la vente de pain dans la capitale pour forcer la population a stopper les Ă©meutes. De son cĂŽtĂ©, LĂ©capĂšne arme 3 000 hommes de sa clientĂšle et rĂ©ussit Ă  provoquer une Ă©meute contre le rĂ©gent Bringas Ă  Constantinople. L’émeute dĂ©truisit un grand nombre de demeures dont la grande villa de Joseph Bringas. Les dĂ©sordres qu’entraina ce coup d’État furent violents et les meurtres nombreux. LĂ©capĂšne, alliĂ© de Phocas, rĂ©ussit Ă  prendre le contrĂŽle de la capitale et Bringas dut se rendre[1]. Avant mĂȘme l’arrivĂ© du gĂ©nĂ©ral dans la ville, le nom de NicĂ©phore Phocas, le victorieux, Ă©tait acclamĂ© dans la capitale impĂ©riale. Basile LĂ©capĂšne s’empara par la suite de la flotte byzantine qui mouillait Ă  Constantinople pour la mettre au service du nouvel empereur. Joseph Bringas dĂ» s’avouer vaincu. NicĂ©phore entra Ă  Constantinople le 16 aoĂ»t 963 et fut couronnĂ© empereur dans la basilique Sainte-Sophie[1]. Le nouvel empereur nomma Basile LĂ©capĂšne au titre de parakimomĂšne et bannit Bringas dans sa rĂ©gion natale de Paphlagonia, puis dans le monastĂšre d’Asekretis prĂšs de la ville de NicomĂ©die. Il y meurt en 965[1].

Références

  1. Cheynet, Jean-Claude (1947-....)., Congourdeau, Marie-HĂ©lĂšne (1947-....)., Flusin, Bernard. et Kaplan, Michel (1946-....)., Le monde byzantin. Tome 2, L'Empire byzantin, 641-1204 (ISBN 2-13-052007-3 et 978-2-13-052007-8, OCLC 493124046, lire en ligne)
  2. Rodolphe Guilland, « Fonctions et dignitĂ©s des eunuques », Revue des Ă©tudes byzantines, vol. 2, no 1,‎ , p. 191 (DOI 10.3406/rebyz.1944.916, lire en ligne, consultĂ© le )
  3. Cheynet, Jean-Claude., Pouvoir et contestations Ă  Byzance (963-1210), Publications de la Sorbonne, (ISBN 978-2-85944-168-5, 2-85944-168-9 et 2-85944-840-3, OCLC 949652467, lire en ligne), p.21
  4. Cheynet, Jean-Claude., Histoire de Byzance, Presses universitaires de France, (ISBN 2-13-054585-8 et 978-2-13-054585-9, OCLC 300283802, lire en ligne), p. 70
  5. Cheynet, Jean-Claude., Histoire de Byzance, Presses universitaires de France, (ISBN 2-13-054585-8 et 978-2-13-054585-9, OCLC 300283802, lire en ligne), p. 71
  6. Cheynet, Jean-Claude., Histoire de Byzance, Presses universitaires de France, (ISBN 2-13-054585-8 et 978-2-13-054585-9, OCLC 300283802, lire en ligne), p. 62
  7. Jean-Claude Cheynet, « La colĂšre du peuple Ă  Byzance (Xe -XIIe siĂšcle) », Histoire urbaine, vol. n° 3, no 1,‎ , p. 29 (ISSN 1628-0482 et 2101-003X, DOI 10.3917/rhu.003.0025, lire en ligne, consultĂ© le )
  8. Rodolphe Guilland, « Fonctions et dignitĂ©s des eunuques », Revue des Ă©tudes byzantines, vol. 2, no 1,‎ , p. 193 (DOI 10.3406/rebyz.1944.916, lire en ligne, consultĂ© le )
  9. Les villes capitales au Moyen Âge., Éditions de la Sorbonne (ISBN 979-10-351-0189-3, OCLC 1125938500, lire en ligne), p. 244
  10. Konstam, Angus,, Byzantine warship vs Arab warship : 7th-11th centuries, Osprey Publishing Ltd, (ISBN 978-1-4728-0759-5 et 1-4728-0759-6, OCLC 893732530, lire en ligne), p. 12
  11. Shepard, Jonathan., The Cambridge history of the Byzantine Empire c. 500-1492, Cambridge University Press, (ISBN 978-0-521-83231-1, 0-521-83231-4 et 978-0-511-75670-2, OCLC 221147316, lire en ligne), p. 519-520
  12. Shepard, Jonathan., The Cambridge history of the Byzantine Empire c. 500-1492, Cambridge University Press, (ISBN 978-0-521-83231-1, 0-521-83231-4 et 978-0-511-75670-2, OCLC 221147316, lire en ligne), p. 519

Bibliographie

Monographie

1) Cheynet, Jean-Claude, Le Monde byzantin II. L'Empire byzantin (641-1204). Presses universitaires de France, « Nouvelle Clio », 2006, 624 pages. (ISBN 9782130520078)

2) Cheynet, Jean-Claude, Histoire de Byzance. Presses universitaires de France, 2017, Paris, 128 pages. (ISBN 978-2130545859)

3) Cheynet, Jean-Claude, Pouvoir et contestations à Byzance (963-1210), Éditions de la Sorbonne, Paris, 523 pages. (ISBN 978-2859441685)

4) Konstam, Angus, Byzantine warship vs Arab warship 7th-11th centuries, Osprey Publishing, 2015, 80 pages, (ISBN 978-1472807571)

5) Shepard, Jonathan, The Cambridge History of the Byzantine empire c.500-1492, Combridge University Press, 2009, 1228 pages. (ISBN 978-0521832311)

Chapitre de Livre

1) SidĂ©ris George , Une sociĂ©tĂ© de ville capitale : les eunuques dans la Constantinople byzantine, Les Villes capitales au Moyen Âge, Éditions de la Sorbonne, Paris, 2006, p.243-274. (ISBN 9791035101893)

Article Scientifique

1) Cheynet, Jean-Claude. « La colĂšre du peuple Ă  Byzance (Xe – XIIe siĂšcle) [1] », Histoire urbaine, vol. 3, no. 1, 2001, pp. 25-38.

2) Guilland, Rodolphe, « Fonctions et dignités des eunuques », Revue des études byzantines, tome 2, 1944, pp. 185-225.

Ouvrage de référence

1) Kazhdan, Alexander. "Bringas, Joseph." The Oxford Dictionary of Byzantium. : Oxford University Press, 2005. Oxford Reference. Accéder le 5 Nov. 2020.

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