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Jane Stick

Jane Stick, de son vrai nom Émilie Joséphine Jeanne Briard[1], née le à Marseille et morte le dans le 18e arrondissement de Paris, est une chanteuse et comédienne française des années 1920 et 1930[2].

Jane Stick
La chanteuse Jane Stick (Studio Intran)
Biographie
Naissance

21 boulevard PĂ©rier, Marseille
Décès
(Ă  74 ans)
HĂ´pital Bichat, Paris (18e)
SĂ©pulture
Nom de naissance
Émilie Joséphine Jeanne Briard
Pseudonyme
Jane Stick
Nationalité
Activité
chanteuse, comédienne, directrice et responsable artistique, gérante de cabaret et boites de nuit
Période d'activité
1922-1964
Autres informations
Domaine
musique
signature de Jane Stick
Signature
Vue de la sépulture.

Biographie

Famille

Émilie Joséphine Jeanne Briard, plus connue sous le nom de scène de Jane Stick, est née au 21 boulevard Périer à Marseille le . Elle est la fille aînée de Gabriel Joseph Louis Briard, un professeur de gymnastique et de canne, originaire du Mans et de Judith Louisa Magnin, une couturière née à Plainpalais en Suisse. Elle possède également trois sœurs.

Vers 1892, la famille de Jeanne déménage de Marseille vers Paris, puis, à Courbevoie. Elle voit son père mourir de maladie en [3] à l'hôpital Beaujon au 208 Faubourg Saint-Honoré, alors qu'elle n'est âgée que de 14 ans. Il est enterré au cimetière de Saint-Ouen. Après ce décès, sa mère se remarie le avec un certain Louis Lepage, avec qui elle eu un nouvel enfant en 1906.

Début de carrière

Elle débute la chanson sur le tard, à 32 ans, dans des petits cabarets de Montmartre, près de la Place du Tertre. En rentrant dans le monde du spectacle, elle va mentir sur son âge et se rajeunit de 9 ans, comme le faisaient beaucoup d'artistes à l'époque, comme par exemple Jean Lumière. Car, en ces temps, il était beaucoup plus difficile aux artistes les moins jeunes de trouver des engagements.

En décembre , elle rentre au théâtre comique, Le Coucou, situé au 33 boulevard Saint-Martin où elle est engagée durant plus de six mois pour jouer dans des revues. Elle y est repérée par le directeur et chansonnier Charles Fallot[4], qui la qualifie de « petite vedette en herbe » et va la convier à chanter dans son petit cabaret de La Pie qui chante, au 159-163 rue Montmartre, en 1924.

Elle fait aussi du théâtre et de la comédie, comme dans la pièce Tat's tu tes talons, présentée au théâtre du Quat'-z-Arts à Paris. Elle joue avec Gabriello, Renée Jean et Christiane Delyne en . À la fin de cette même année et jusqu'au début 1925, à Marseille, elle joue à l'Alcazar ou encore à La Lune Rousse. Elle se rend également au Clos Mayol sur les hauteurs du Cap Brun près de Toulon. On peut l'apercevoir en compagnie de Félix Mayol dans un film muet tourné durant l'été 1925 et s'intitulant Les vacances de monsieur Mayol à Toulon, film sorti au cinéma Kursaal de Toulon le 8 mars 1926.

De retour dans la capitale, elle fait sa rentrée à l'Olympia jusqu'en octobre de la même année et fréquente plusieurs cabarets, notamment Chez Fysher, un des hauts lieux interlopes des années 1920, où chante aussi d'autres chanteuses lesbiennes comme la tragique Yvonne George et la mystérieuse Dora Stroëva, toujours accompagnée de sa guitare.

Au début des années 1930, elle se rend Chez Lulu, établissement tenu par Lulu de Montmartre, mais aussi à La Vie parisienne, le cabaret de Suzy Solidor ou encore au célèbre Bœuf sur le Toit, des cabarets fréquentés également par plusieurs autres artistes homosexuels comme O'dett, Sidonie Baba ou encore Damia.

Succès

Jane Stick en 1935.

Jane Stick grave ses premiers disques pour les marques Parlophone et Polydor en , où elle enregistre sa chanson la plus célèbre[5], Tu m'as voulue Tu m'as eue. Elle devient un succès à sa sortie et sera par la suite réenregistrée en 1935 (chez Gramophone). Il s'agit d'une chanson de Jean Eblinger et Louis Despax. Cette chanson sera reprise plus d'une fois par des artistes, comme la chanteuse Colette Chevrot en 1957 ou Mistigri dans les années 1980.

En 1930, elle va également être conviée chez Virginia, une marque de disques souples et transparents, où elle va y enregistrer quelques titres.

Jane Stick est également directrice et responsable artistique, elle gère les ouvertures de spectacles ainsi que l'entrée des artistes sur scène, comme à la Réserve en 1933[6], au Rococo en 1934[7]ou aux Capucins en 1935[8].

En 1937, elle joue dans deux films : Trois Artilleurs au pensionnat, où elle interprète son propre rôle, et dans Cinderella de Pierre Caron, où elle joue le rôle de Colette, une femme de chambre.

Elle fréquente plusieurs cabarets et autres music-halls au cours de sa carrière : en 1924 à Boul-Var-Dia ; en 1927 à la Cigale ; à L'Olympia de Paul Frank en 1925, 1926 et 1928 ; au Moulin de la Chanson en 1926 et 1929; en 1930 au Casino Montparnasse ; à l'Eldorado ; en 1931 au Casino Saint-Martin ; en 1932 au Grand Écart ; en 1934 à La Scala de Paris et au Palace ; à L’Étoile en 1939 et 1941 ; en 1947 au Falbalas, en 1951 au Caveau du Miroir, à l'Echanson d'André Pasdoc, ou encore au bistrot de Chez Graff en fin 1953[9].

Ses cabarets

À partir de juin 1937, elle détient un cabaret parisien, initialement inauguré en janvier par la compositrice Jacqueline Batell et Jean Breynat, sous le nom du Sirocco et se trouvant au 70 rue de Ponthieu[10]. Jane Stick va alors le rebaptiser Chez Jane Stick[11] ; il devient un cabaret lesbien (dit « féminin » à l'époque) où l'on pouvait y voir « des cols et des cravates mais au cou de jeunes filles en flirt[12] ». Durant l'Occupation, la clientèle est composée de quelques officiers allemands ainsi que de lesbiennes fortunées. Il accueille plusieurs vedettes de l'époque, comme Django Reinhardt[13] et le Quintette du Hot Club de France entre 1941 et 1942, ce qui va attirer le Tout-Paris dans son petit établissement. Elle le tiendra jusqu'en 1944, racheté alors par l'acteur Lucien Gallas et devient le Club Ginette Leclerc, puis le Baccara-Club dans les années 1950. Elle devient ensuite directrice du cabaret Le Perroquet en janvier 1952, pendant trois mois, après l'avoir repris à la directrice de cabaret Frede qui était obligée de le fermer après quelque mois d'activité en 1950.

Fin de carrière

Quelque temps après, vers 1955, elle arrête sa carrière musicale, du moins de se produire sur scène. Elle vit en ces temps au 9 rue d'Artois avec son neveu. Elle chantera cependant une toute dernière fois en octobre 1960 sa chanson la plus connue Tu m'as voulue Tu m'as eue dans une émission à la radio.

La tombe de Jane Stick (Jeanne Briard) Ă  Bagneux
la tombe de Jane Stick (Jeanne Briard) Ă  Bagneux.

Quelques années plus tard, elle tient un autre club lesbien situé au 17 rue Laferrière, l'Entre Nous, un des nombreux lieux du monde nocturne entre Pigalle et la Place Blanche. Elle va le tenir jusqu'à sa mort. L'établissement est légué par la suite à son neveu.

Fin de vie

Elle meurt dans son sommeil le , à l'âge de 74 ans à l'hôpital Bichat, au 170 boulevard Ney à Paris, et est inhumée trois jours plus tard au cimetière parisien de Bagneux (76e division).

Partitions

  • Partition de J'suis mĂ»re (1923)
  • Partition de La Petite Pomme d'Api (1925).
    Partition de La Petite Pomme d'Api (1925).
  • Partition de Montmartre dans les Salons (vers 1930).
    Partition de Montmartre dans les Salons (vers 1930).
  • Partition de la java des ceuss' qui n's'en font pas (1931).
    Partition de la java des ceuss' qui n's'en font pas (1931).
  • Partition de Toute la banlieue fait la bringue (1935).
    Partition de Toute la banlieue fait la bringue (1935).
  • Partition du P'tit Bal (1936).
    Partition du P'tit Bal (1936).
  • Partition de la Roustalamagna (1936).
    Partition de la Roustalamagna (1936).
  • Partition de Ah les gangsters ! (1936).
    Partition de Ah les gangsters ! (1936).

Filmographie

Théâtre et Revues

  • La Gamine, une comĂ©die en quatre actes de Pierre Veber et de Henry de Gorsse, au théâtre de la Renaissance en
  • CĂ©cile... en Cieux ! une revue, avec Jean Marsac et LĂ©on Berton, au Coucou en dĂ©cembre 1922
  • Vas-y...Va-lĂ  ! une revue, avec Germaine Derny, au Coucou en janvier 1923
  • Ta Ruhr... ta Ruhr... ! une revue avec Claire Leblond et Yvonne Maxy, au Coucou en fĂ©vrier 1923
  • Rhin... pour rien ! une revue de Tasta avec Germaine Derny et Lizzie Samy au Coucou en mars 1923
  • En douze...Travaux ! une revue en deux actes, avec Jean Marsac, au Coucou en mai 1923
  • Ah ! Mai..., une revue avec LĂ©on Berton au Coucou en mai 1923
  • Viens... Rire une revue en un acte de LĂ©once Paco au Coucou en mai 1923
  • A Cou... coups de Bec ! une revue au Coucou en juin 1923
  • Soyons Ă  l'Apache, une revue en deux actes au théâtre du Moulin-Bleu en
  • Tat's tu tes talons ? une comĂ©die, au théâtre du Quart'z'Arts en
  • C'est rĂ©gulier ! une revue en 2 actes de AndrĂ© Dahl et Charles Fallot Ă  la Pie qui chante en septembre 1924
  • Monte lĂ -dessus tu verras Malmousque une revue, Ă  la Lune-Rousse, Marseille, en dĂ©cembre 1924
  • Tout Ă  la Chine, une revue de Quinel et Moreau, Ă  la Cigale, en mai 1927[14]
  • La revue de Rip, au Moulin de la Chanson, Paris, en novembre 1929
  • Un chien qui rapporte une pièce de Paul Armont et Gerbidou, reprĂ©sentation Ă  la Potinière en
  • Le roman d'une femme de chambre, un mĂ©lodrame, au théâtre de la Renaissance en mars 1931[15]
  • Savinien ou L'envers du CinĂ©ma, une comĂ©die en trois actes, de Maurice Favière au théâtre des Mathurins en
  • La rue du Chapeau Rouge, soirĂ©e organisĂ©e par Biancheri, avec Marianne Oswald, prĂ©sentĂ©e au Palm Beach Ă  Cannes en aoĂ»t 1933[16]
  • L'ArlĂ©sienne, une pièce jouĂ© Ă  Montgenèvre en [17]

Chansons interprétées

  • J'suis mĂ»re ou je suis un peu mĂ»re (1923), du compositeur Legay Jules et du parolier Jean Marsac
  • La Petite Pomme d'Api (crĂ©Ă©e et chantĂ©e Ă  l'Olympia en 1925) de Vincent Scotto
  • Houppe et Youppe (chantĂ©e Ă  l'Olympia en 1925)
  • La ceinture (chantĂ©e Ă  l'Olympia en 1925)
  • Le Mal de dent (chantĂ©e Ă  l'Olympia en 1925) de E. Gistral et V. Scotto, du rĂ©pertoire de Mayol
  • C'est un comme ça qui 'm 'faudrait (1926)
  • L'Empoisonneuse (1926) de Willems, Dommel et L. Henriett
  • L'accordĂ©on du p'tit père LĂ©on (1926) de A. Hornel, J. Monteux et J. Bos
  • C'est l'beau Charlot (1927) de RenĂ© Bussy et TrĂ©molo
  • Elle a mis sa Redingote... chochotte (1927) de Bertal-Maubon et Jean Lenoir
  • Il est pas PoĂ©tique ou Mon FrĂ©dĂ©ric (1927) de GĂ©o Koger et LĂ©on Raiter
  • Faut c'que faut (1927) de Bertal-Maubon et Jean Lenoir
  • DĂ©dĂ© la Terreur (vers 1927) de L. Neyouser's et Paul Chaubet
  • Le cinĂ©ma populaire (1928) de RenĂ©-Paul Groffe et Jean Eblinger
  • La Leçon de couture (1929, enregistrĂ©e chez Parlophone - 22490) de Line Deberre et Abel Bourgeois
  • Tu m'as possĂ©dĂ©e par surprise (1929, enregistrĂ©e chez Parlophone - 22490)
  • Tu m'as voulue, tu m'as eue ( juillet 1929, 1re version, enregistrĂ©e chez Polydor- 521527) de Jean Eblinger et Louis Despax
  • Elles n'en n'ont pas ( juillet 1929, enregistrĂ©e chez Polydor - 521527) de Crayssac
  • C'est la Vraie de Vrai ( chantĂ©e Ă  l'Olympia en 1928) de E. Doloire et A. Decaye, du rĂ©pertoire de FrĂ©hel
  • Ah ! Les fraises et les framboises ! (chantĂ©e Ă  Bobino[18] en 1929) de E. Wollf et Serge Plaute
  • Je ne peux pas faire ça (1930, enregistrĂ©e chez Virginia - C133) de RenĂ© Mercier
  • Elle s'en allait Ă  petit pas (1930, enregistrĂ©e chez Virginia - C133) de Ernest CloĂ«rec-Maupas
  • Le (mon) bel amigo (1930, enregistrĂ©e chez Virginia - C134) de Maurice Urhy et Jean Valmy
  • tu m'as voulue, tu m'as eue (1930, 2e version, chez Virginia - C134)
  • Je ne sais pas (1930, enregistrĂ©e chez Virginia - C135) de Vincent Scotto
  • Rouptidedec (1930, enregistrĂ© chez Virginia - C135) de M. Zimmermann, Mauricet et Pierre Varenne
  • Ça fait passer le dimanche (1930, enregistrĂ©e chez Polydor - 521548) de Jean Lenoir
  • J'ai l'air comme ça (1930, enregistrĂ©e chez Polydor - 521548) de Jean Lenoir
  • Ah ! Si j'Ă©tais une p'tite femme de Paris (1930)
  • Ça m'agace (vers 1930) de Claude Loris
  • La Pièce de dix sous (1930)
  • Youp et Youp (1930)
  • Montmartre dans les Salons (1930), du compositeur Sarrut Yvonne
  • La java des ceuss' qui n's'en font pas (chantĂ©e et crĂ©Ă©e au théâtre de la Renaissance en 1931)
  • La Javamanie (1933), du compositeur Gregson Francis
  • Ce que tu as voulu (1934)
  • Camille (juin 1935, enregistrĂ©e chez Gramophone- K7549) de Georgius et TrĂ©molo
  • Tu m'as voulu, tu m'as eu (3e version, juin 1935, enregistrĂ©e chez Gramophone - K7549)
  • Joinville-musette (juin 1935, enregistrĂ©e chez Gramophone - K7624) de Bertal-Maubon
  • Moi c'est pas ça (octobre 1935, enregistrĂ©e chez Gramophone - K7594) E. Armengol et Roger Sarbib
  • Negro negra (octobre 1935, enregistrĂ©e chez Gramophone - K7594) de E. Armengol et Tom Waltham
  • Celle que l'amour respectera ou les vieilles filles (1935)
  • C'est pas l' PĂ©rou (1935) de Jamblan
  • J'suis pas uniprix (enregistrement chez Gramophone refusĂ©)
  • Toute la banlieue fait la bringue (octobre 1935, 1re version crĂ©Ă©e, chantĂ©e et enregistrĂ©e chez Gramophone - K7624)
  • Me V'lĂ  Dans D'Beaux Draps (septembre 1936, enregistrĂ©e chez PathĂ© - PA 997)
  • Toute la banlieue fait la bringue (septembre 1936, 2e version enregistrĂ©e chez PathĂ© - PA 997)
  • Nous autres ( septembre 1936, enregistrĂ©e chez PathĂ© - PA 998) de Jean Lenoir
  • Quand je valse le soir (septembre 1936, enregistrĂ©e chez PathĂ© - PA 998)
  • Par politesse (dĂ©cembre 1936, enregistrĂ©e chez PathĂ© - PA 1097) de Georgius
  • Le P'tit Bal (dĂ©cembre 1936, enregistrĂ©e chez PathĂ© - PA 1097), de Michel Vaucaire et Paul Nicolas
  • Le Cas de Lucile (dĂ©cembre 1936, enregistrĂ©e chez PathĂ© - PA 1098) de Line Deberre et Abel Bourgeois
  • Les Entourloupettes dĂ©cembre 1936, enregistrĂ©e chez PathĂ© - PA 1098) de Vincent Scotto
  • Ah ! Les Gangsters ! (1936)
  • La Roustalamagna (mai 1937, enregistrĂ©e chez PathĂ© - PA 1180) de GĂ©o Koger et Vincent Scotto
  • Mon bel amigo (mai 1937, 2eversion, enregistrĂ©e chez PathĂ© - PA 1180)
  • Obsession proverbiale (1937)
  • Dans une valse (mai 1937, enregistrĂ©e chez PathĂ© - PA 1189) de Lionel Cazaux
  • Julot si tu voulais (mai 1937, enregistrĂ©e chez PathĂ© - PA 1189)
  • Il a mal aux reins… Tintin ! (1937), du film Cinderella
  • PĂ©tronille-java (avril 1938, enregistrĂ©e chez PathĂ© - PA 1492) de GĂ©o Koger, Julsam et R. de Soutter
  • Moi... j'ai toi (avril 1938, enregistrĂ©e chez PathĂ© - PA 1492) de Sarthel et Gesky
  • Sa mie (avril 1938, enregistrĂ©e chez PathĂ© - PA 1493) de Jean Blanc
  • Bien l'bonjour… Madame Bertrand (avril 1938, enregistrĂ©e chez PathĂ© - PA 1493)[19]
  • Tu m'as voulue, tu m'as eue (octobre 1960, enregistrĂ©e et chantĂ©e Ă  la radio)

Enregistrements

Parlophone

Polydor

Gramophone

Pathé

Bibliographie

  • La vie parisienne sous l'occupation, HervĂ© Le Boterf, 1997 (ISBN 9782704808342)
  • Le cocher de la TroĂŻka, AndrĂ© Pascdoc, 1964
  • Les jours comme ils viennent, Georges van Parys, 1969
  • Théâtre-passions, Christian Gilles, 2002
  • Montmartre : Hier et Aujourd'hui, avec les souvenirs de ses artistes et Ă©crivains , Jean Emile-Bayard, 1925
  • Les boulevards de ceinture, Patrick Modiano, 1972
  • Père, impair et père, Laure Charpentier, 1998
  • Les dessous lesbiens de la chanson, LĂ©a Lootgieter et Pauline Paris, 2019
  • Article biographique sur Jane Stick, de NaĂŻs Nolibos, dans la revue Chansonia n°62, juillet 2022
  • Article sur l'Ă©volution de la visibilitĂ© des chanteuses lesbiennes [...] (1920-1960), de NaĂŻs Nolibos, chez Jeanne Magazine, n°99 aoĂ»t 2022

Notes et références

  1. Pierrefitte-sur-Seine, « Culture ; Direction du théâtre et des spectacles ; Bureau professions du spectacle (1970-1979) ; Bureau spectacles (1980-) (1946-1989) », sur www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr, (consulté le )
  2. « Jane Stick (chanteuse) », sur data.bnf.fr (consulté le )
  3. « L’Auto 14 octobre 1904 - (14-octobre-1904) », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le )
  4. « Les débuts de Jane Stick, la rencontre avec Fallot », sur Gallica, BNF
  5. « Oran spectacles… Hebdomadaire satirique », sur Gallica, (consulté le )
  6. Paris-soir, (lire en ligne)
  7. « L'ouverture du cabaret Le Rococo, 1934 », sur Gallica, BNF
  8. « Comoedia / rédacteur en chef : Gaston de Pawlowski », sur Gallica, (consulté le )
  9. « Combat : organe du Mouvement de libération française », sur Gallica, (consulté le )
  10. « The Brussels Magazine, ZAZOUS »
  11. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6449205t/f2.image.r=
  12. « Candide : grand hebdomadaire parisien et littéraire ["puis" littéraire et parisien] », sur Gallica, (consulté le )
  13. Paris-soir, (lire en ligne)
  14. L’Intransigeant, (lire en ligne)
  15. « Le Journal », sur Gallica, (consulté le )
  16. The Chicago Tribune and the Daily News, New York, (lire en ligne)
  17. L’Intransigeant, (lire en ligne)
  18. (en) Vanity Fair, Vanity Fair Publishing Company, (lire en ligne)
  19. https://www.discogs.com/fr/artist/6206899-Jane-Stick

Articles connexes

Liens externes

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