Intervention (Gendarmerie nationale française)
Dans le vocabulaire de la Gendarmerie nationale en France, « lâintervention est une opĂ©ration de police administrative ou judiciaire, exĂ©cutĂ©e collectivement â de maniĂšre planifiĂ©e ou dans lâurgence â et qui sâinscrit dans un cadre juridique ou administratif dĂ©terminĂ© »[1].
La notion dâintervention englobe une action graduĂ©e, proportionnĂ©e, allant de la mĂ©diation Ă la nĂ©gociation et se prolongeant Ă©ventuellement jusquâĂ lâemploi de la force, afin dâinterpeller ou dâapprĂ©hender â et Ă dĂ©faut de « neutraliser[N 1] » â un ou des individus pour anticiper ou faire cesser une infraction ou un trouble Ă lâordre public.
Pour la Gendarmerie, il existe trois niveaux d'intervention :
- lâintervention professionnelle, ou « IP » parfois Ă©galement appelĂ©e « intervention Ă©lĂ©mentaire », qui est enseignĂ©e Ă tous les gendarmes et qui s'applique Ă la gestion de situations ou d'Ă©vĂ©nements rencontrĂ©s quotidiennement et donc souvent imprĂ©vus.
- lâintervention intermĂ©diaire qui regroupe un ensemble de techniques mises en Ćuvre par certaines unitĂ©s dans des situations comportant un niveau de danger potentiellement plus Ă©levĂ©. Il s'agit en gĂ©nĂ©ral d'interventions planifiĂ©es, comme les interpellations domiciliaires mais il peut s'agir Ă©galement d'interventions en urgence, par exemple Ă l'occasion d'une attaque terroriste[2].
- lâintervention spĂ©cialisĂ©e qui est rĂ©servĂ©e aux situations les plus complexes et les plus dangereuses. Elle concerne principalement le Groupe d'intervention de la Gendarmerie nationale (GIGN).
La Gendarmerie a formé ses premiÚres unités d'intervention au début des années 1970, en réponse à la multiplication des prises d'otages (notamment à la centrale de Clairvaux (10) en 1971 et lors des Jeux olympiques de Munich en 1972). Les rÎles et missions des unités d'intervention ont été reprécisés dans le Schéma national d'intervention des forces de sécurité présenté le par le ministÚre de l'intérieur à la suite notamment des attentats de novembre 2015.
Par ailleurs, la formation de l'ensemble des personnels de la Gendarmerie a été rationalisée, notamment à la suite de la mise en place en 1984 des premiers stages de moniteurs d'intervention professionnelle au Centre national d'entraßnement des forces de gendarmerie (CNEFG) de Saint-Astier (24)[3]
Généralités
Si l'intervention professionnelle concerne l'ensemble des personnels pour les prĂ©parer Ă toutes les situations et notamment Ă celles qui sont imprĂ©vues, l'intervention intermĂ©diaire s'applique plutĂŽt lors d'opĂ©rations planifiĂ©es, l'intervention spĂ©cialisĂ©e Ă©tant rĂ©servĂ©e aux situations les plus complexes et dangereuses (voir dĂ©finitions ci-dessous). Cependant, il n'existe pas de correspondance exacte entre les diffĂ©rents niveaux d'intervention et les types d'unitĂ©s impliquĂ©s. Ainsi, par exemple, le GIGN, qui est l'unitĂ© de rĂ©fĂ©rence en matiĂšre d'intervention spĂ©cialisĂ©e, peut ĂȘtre amenĂ© Ă effectuer une opĂ©ration qui relĂšve de la « simple » intervention Ă©lĂ©mentaire parce que les circonstances, la topographie d'un site ou les moyens Ă mettre en Ćuvre justifient son emploi[4].
Par ailleurs, l'« intervention » n'implique pas nĂ©cessairement l'emploi de la force et peut se limiter, dans le meilleur des cas, Ă une phase, qui, dans le vocabulaire de la Gendarmerie, est appelĂ©e « mĂ©diation » s'il s'agit d'intervention Ă©lĂ©mentaire et « nĂ©gociation » dans les autres cas â interventions intermĂ©diaire ou spĂ©cialisĂ©e. Les nĂ©gociateurs rĂ©gionaux, qui appartiennent Ă la gendarmerie dĂ©partementale, et ceux de la cellule nationale de nĂ©gociation (« CNN ») du GIGN sont tous sĂ©lectionnĂ©s, formĂ©s et suivis par le GIGN[5].
Les rÎles et missions des unités d'intervention sont précisés dans le schéma national d'intervention présenté le par le ministÚre de l'intérieur à la suite notamment des attentats de novembre 2015. Il prévoit notamment des modalités d'intervention étendues - en dérogation aux critÚres usuels de compétence technique ou territoriale - pour les forces de la Gendarmerie et de la Police nationales dans le cadre d'une procédure d'urgence absolue (PUA)[2]. En pratique, en cas d'urgence absolue, une unité d'intervention de la Gendarmerie peut intervenir en zone Police et réciproquement.
DĂ©finitions
L'intervention professionnelle
L'intervention professionnelle (« IP ») â ou intervention Ă©lĂ©mentaire â est le terme utilisĂ© pour dĂ©finir « un ensemble de techniques et tactiques, individuelles ou collectives, destinĂ© Ă contraindre ou maĂźtriser un ou plusieurs adversaires avec le strict niveau de force nĂ©cessaire[6] ».
La formation en intervention professionnelle est dispensée à l'ensemble des personnels de la Gendarmerie et en particulier à ceux qui sont chargés des missions de police au quotidien, afin de les préparer à disposer de la force au service de la loi et avec discernement, tout en assurant leur propre sécurité, celle des adversaires et celle des tiers. En pratique, l'IP concerne plus particuliÚrement certaines unités comme les brigades territoriales (« BT »), les groupes d'observation et de surveillance (« GOS ») et les pelotons de surveillance et d'intervention (« PSIG ») de la gendarmerie départementale.
Les trois critĂšres privilĂ©giĂ©s dans le cadre de l'IP sont la lĂ©galitĂ©, la sĂ©curitĂ© et l'efficacitĂ©. Le but de la formation est de modeler le comportement opĂ©rationnel de l'ensemble des militaires de la Gendarmerie afin qu'ils adoptent une mĂȘme approche d'intervention graduĂ©e lors de la confrontation Ă diffĂ©rents niveaux d'agressivitĂ© ou de violence.
Trois niveaux de formation sont assurés :
- la formation initiale ou continue dispensĂ©e Ă l'ensemble des personnels d'active et de rĂ©serve â dans les Ă©coles pour la formation initiale et dans les unitĂ©s pour la formation continue ;
- la formation de moniteurs d'intervention professionnelle (MIP) qui ont pour mission d'assurer Ă leur tour la formation des personnels â tant en Ă©cole que dans les unitĂ©s ;
- la formation des instructeurs en intervention professionnelle (IIP) qui ont un rÎle de conseil auprÚs de leur commandement et qui sont aussi chargés de la conception, de l'animation, de la coordination et de l'enseignement de l'IP.
Par ailleurs, certains moniteurs reçoivent une formation spécialisée, celle de moniteur d'intervention professionnelle et de franchissement opérationnel (MIPFO) qui leur permet de former ensuite les gendarmes devant intervenir dans des conditions particuliÚres : lieux élevés, confinés ou difficilement accessibles.
Les formations de moniteur et d'instructeur sont dispensées au Centre national d'entraßnement des forces de gendarmerie (« CNEFG ») de Saint-Astier, en Dordogne.
L'intervention intermédiaire
Le niveau de l'intervention intermĂ©diaire constitue un ensemble de techniques ayant pour but d'apporter une rĂ©ponse adaptĂ©e Ă des situations plus complexes. LĂ oĂč l'intervention professionnelle est un domaine de compĂ©tence visant Ă former les militaires de la gendarmerie Ă rĂ©pondre Ă des situations classiques rencontrĂ©es dans l'accomplissement de leur service courant, l'intervention intermĂ©diaire a pour objet de prĂ©parer les militaires appartenant Ă certaines unitĂ©s Ă intervenir face Ă des situations relevant d'un niveau de dangerositĂ© supĂ©rieur.
Ce domaine d'intervention s'applique Ă des unitĂ©s spĂ©cifiques d'une part de par leur constitution, les techniques de l'intervention dite intermĂ©diaire Ă©tant prĂ©vues pour ĂȘtre mise en Ćuvre par des unitĂ©s constituĂ©es et articulĂ©es en plusieurs Ă©lĂ©ments, et d'autre part par la nature des moyens matĂ©riels mis en Ćuvre, dans le cadre d'opĂ©rations commandĂ©es et planifiĂ©es. Ă ce cadre traditionnel d'opĂ©rations planifiĂ©es (typiquement des interpellations domiciliaires dans le cadre d'opĂ©rations de police judiciaire) s'ajoutent les interventions en urgence en cas d'attaques terroristes telles que la France en a connu Ă l'automne 2016[2] - [N 2].
L'interpellation intermĂ©diaire est le domaine privilĂ©giĂ© des pelotons d'intervention (« PI ») de la gendarmerie mobile et de la Garde rĂ©publicaine mais Ă©galement des pelotons spĂ©cialisĂ©s de protection de la Gendarmerie (« PSPG ») de la gendarmerie dĂ©partementale dans la mesure oĂč leur mission prioritaire de protection des centrales nuclĂ©aires le permet. Ces unitĂ©s d'intervention intermĂ©diaire comprennent Ă©galement les PSIG renforcĂ©s appelĂ©s « PSIG Sabre » crĂ©Ă©s en 2016 et qui, comme les PI et les PSPG, sont Ă©quipĂ©s et entraĂźnĂ©s pour intervenir en urgence en rĂ©ponse Ă une attaque terroriste[2].
L'intervention spécialisée
Lâintervention spĂ©cialisĂ©e s'applique Ă des Ă©vĂ©nements nĂ©cessitant notamment la neutralisation d'individus armĂ©s et retranchĂ©s dans des circonstances exceptionnelles : terrorisme ou banditisme, prises d'otages, etc. C'est le domaine d'action du Groupe d'intervention de la Gendarmerie nationale (GIGN). En cas de nĂ©cessitĂ©, les autoritĂ©s hiĂ©rarchiques de la Gendarmerie sollicitent son concours.
Au sein du MinistĂšre de lâIntĂ©rieur, la coordination et lâinteropĂ©rabilitĂ© entre le GIGN et le RAID de la Force d'intervention de la police nationale (FIPN) sont assurĂ©es par lâUcofi (UnitĂ© de coordination des forces dâintervention), crĂ©Ă©e en 2010[7]. La procĂ©dure dâurgence absolue (P.U.A.) instaurĂ©e en par le Ministre de l'IntĂ©rieur en rĂ©ponse aux attentats de 2015 autorise - en cas de crise majeure ou de crises multiples - l'intervention de toute unitĂ© en mesure de la faire en tout point du territoire (donc en s'affranchissant du critĂšre de compĂ©tence gĂ©ographique qui s'impose habituellement). Ces interventions sont organisĂ©es sous l'autoritĂ© de commandants et de coordinateurs des opĂ©rations en cas de pluralitĂ© de forces dâintervention (Police et Gendarmerie)[2].
Chronologie des créations d'unités
L'intervention est un des savoir-faire de base de tout gendarme et fait partie de la formation initiale dispensée à tous les personnels. Cependant, les besoins d'expertise dans ce domaine se sont traduits par la création d'unités spécialisées à partir du début des années 1970 (voir les articles consacrés aux différentes unités pour un historique détaillé).
- 1971 : Création de l'escadron parachutiste de gendarmerie mobile ou EPGM 9/11 à Mont-de-Marsan.
- 1973 : Créations quasi simultanées d'un premier GIGN au sein de l'EPGM de Mont-de-Marsan et de l'équipe commando régionale d'intervention ou ECRI à Maisons-Alfort. Ces deux unités deviendront respectivement les GIGN 4 et 1 en 1974 avant de fusionner pour former le GIGN en 1976.
- 1975 : Création de détachements d'intervention au sein de la gendarmerie départementale. Ils prendront en 1977 l'appellation de pelotons de surveillance et d'intervention de Gendarmerie ou « PSIG ».
- 1981 Création des équipes légÚres d'intervention (ELI) au sein des escadrons de gendarmerie mobile[N 3]. En 1997, certains escadrons seront dotés d'un peloton léger d'intervention ou PLI puis, en 2001, l'ensemble des escadrons adoptera une structure dite quaternaire : 4 pelotons de marche dont un peloton d'intervention[N 4].
- 1984 Dissolution de l'EPGM de Mont-de-Marsan et création simultanées de l'escadron parachutiste d'intervention de la gendarmerie nationale ou EPIGN à Satory (78).
- 1984 : Création du Groupement de sécurité et d'intervention de la Gendarmerie nationale ou GSIGN à Satory. Il sera réorganisé en 1986 lorsque ses composantes initiales (GIGN et EPIGN) seront rejointes par le Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR) et le groupe « instruction ».
- 1998 Création à Ajaccio (Corse) d'un groupe de pelotons de sécurité (GPS). Il sera dissous en à la suite de l'Affaire des paillotes[8].
- 2004 Création du premier Peloton d'intervention interrégional de Gendarmerie ou PI2G à Toulouse (suivi par les PI2G d'Orange en 2007 et de Dijon en 2012).
- 2007 Dissolution du GSIGN et de ses composantes (notamment EPIGN) et création simultanée du GIGN actuel, qui reprend les missions du GSIGN mais avec un niveau d'intégration supérieur ainsi que des structures de commandement et de soutien plus développées.
- 2009 à 2012 Création de 20 pelotons spécialisés de protection de la Gendarmerie (PSPG) en remplacement des « PSIG nucléaires » qui avaient été créés à la suite des attentats de 2001. à la suite d'une expérimentation commencée en 2007, les PSPG sont le fruit d'un partenariat avec EDF. Leur mission principale est la protection des centrales nucléaires (Centres nucléaires de production d'électricité ou CNPE) mais ils reçoivent une mission secondaire d'intervention, principalement au bénéfice de la gendarmerie départementale.
- 2010 CrĂ©ation de l'UnitĂ© de coordination des forces dâintervention (UCoFI) - composĂ©e de gendarmes et de policiers - afin de coordonner l'action des unitĂ©s d'intervention spĂ©cialisĂ©e de la Gendarmerie nationale et de la Police nationale (notamment GIGN et RAID).
- 2016 Mise en place des premiers PSIG Sabre : PSIG renforcĂ©s, Ă©quipĂ©s et entraĂźnĂ©s pour intervenir sur des situations dĂ©gradĂ©es (terrorisme) dans l'attente des unitĂ©s d'intervention spĂ©cialisĂ©e. Un total de 150 PSIG Sabre doit ĂȘtre opĂ©rationnel, dont 50 dĂšs l'annĂ©e 2016.
- 2016 Création de trois PI2G supplémentaires à Nantes, Reims et Tours à la suite des attentats de novembre 2015.
- 2016 Les six PI2G (en avril) puis en juillet, les sept GPI (groupes de pelotons d'intervention implantés outre-mer[9]) sont renommés antennes du GIGN.
- Une antenne du GIGN (AGIGN) est créée à Caen le 1er février 2021[10].
- Les antennes de métropole et d'outre-mer sont entiÚrement intégrées au GIGN le 1er août 2021 dans le cadre d'une réorganisation qui voir la création, au sein de l'unité, d'une Force Antennes[11] - [12].
Notes et références
Notes
- Dans le vocabulaire militaire, cela signifie rendre l'adversaire incapable de poursuivre son action de nuisance Ă la suite dâune immobilisation pouvant ĂȘtre la consĂ©quence dâune blessure Ă©ventuellement mortelle.
- La Gendarmerie distingue les « primo-engagés » (simple patrouille ou PSIG par exemple) et les « primo-intervenants » (unités formés au minimum à l'intervention intermédiaire comme un PSIG-Sabre, un PI ou un PSPG, capables de relever les primo-engagés, de stabiliser la situation dans l'attente des forces d'intervention spécialisée et, en cas de péril imminent, de neutraliser l'adversaire - Gend'info n° 386 - avril 2016.
- Avant 1981, on parlait également d'« équipe commando » Ces ELI et équipes commandos n'étaient pas des formations organiques mais étaient constituées en prélevant temporairement des personnels dans les escadrons de marche - ou les sections de marche dans la Garde républicaine.
- Chaque escadron comporte de plus un peloton hors rang ou PHR chargé de l'administration et de la logistique. Certains escadrons comportent un ou plusieurs pelotons supplémentaires, généralement chargés de missions de sécurité. Dans la Garde républicaine, il existait 7 ELI (une par compagnie) avant 2004 puis 2 pelotons d'intervention (1 par régiment) de 2004 à 2007. Depuis 2007, chacune des 7 compagnies de sécurité et d'honneur (CSH) comprend un peloton d'intervention organique.
Références
- Niveaux d'intervention en gendarmerie, 2010.
- « Présentation du schéma national d'intervention des forces de sécurité », sur le site du MinistÚre de l'Intérieur (consulté le ).
- Centre national d'entraßnement des forces de gendarmerie Saint Astier 1969-1999. Service Diffusion Gendarmerie Limoges. DépÎt légal : 2000-12. ISBN n° 2-11-092472-1.
- GIGN 2012.
- Dubois 2013.
- Présentation de l'intervention professionnelle, CEGN.
- « Attaques terroristes : Le patron du GIGN raconte ». Interview du colonel Hubert Bonneau, commandant du GIGN. Propos recueillis par Pierre-Marie Giraud et Matthieu Guyot. LâEssor de la Gendarmerie nationale n°478 â fĂ©vrier 2015. http://www.lessor.org.
- Source : Rapport 69 (1999-2000)de la commission d'enquĂȘte du SĂ©nat sur la SĂ©curitĂ© en Corse remis le 10 novembre 1999
- en Guadeloupe, en Martinique, en Guyane, à La Réunion, en Nouvelle-Calédonie,en Polynésie française et à Mayotte.
- https://www.ouest-france.fr/normandie/caen-14000/le-gign-officialise-son-arrivee-a-caen-7142912
- L'Essor de la Gendarmerie nationale : Nouvelle organisation pour le GIGN avec le rattachement intégral des antennes https://lessor.org/vie-des-personnels/nouvelle-organisation-pour-le-gign-avec-le-rattachement-des-antennes-gign
- ArrĂȘtĂ© du 26 juillet 2021 relatif aux attributions et Ă l'organisation du groupe d'intervention de la gendarmerie nationale NOR : INTJ2120405A https://media.interieur.gouv.fr/bomi/BOMI2021-8-2/textes/I40_20210726_INTJ2120405A.pdf
Annexes
Bibliographie
- GIGN, Le GIGN par le GIGN, Paris, LBM Ăditions, coll. « Histoire », , 194 p. (ISBN 978-2-915347-94-4 et 2-915347-94-8).
- Collectif, Histoire de la Gendarmerie mobile d'Ile-de-France, 3 volumes, Ăditions SPE-Barthelemy, Paris, 2007, (ISBN 2-912838-31-2)
- Christophe Dubois, Gendarmes, t. 3, Antony, Ăditions techniques pour l'automobile et l'industrie (ETAI), coll. « Au cĆur de l'action », , 143 p. (ISBN 978-2-7268-9631-0 et 2-7268-9631-6).
- Christophe Dubois, Devenir Gendarme, Antony, Ăditions techniques pour l'automobile et l'industrie (ETAI), coll. « Au cĆur de l'action », .
Presse
Liens externes
- MinistĂšre de lâ IntĂ©rieur, « PrĂ©sentation de l'intervention professionnelle en gendarmerie », sur Gendarmerie nationale, Commandement des Ă©coles de la Gendarmerie nationale (CEGN) (consultĂ© le ).
- MinistĂšre de lâ IntĂ©rieur, « MatiĂšres dispensĂ©es lors de la formation aux techniques dâintervention professionnelle de la Gendarmerie » [PDF], sur Gendarmerie nationale, Commandement des Ă©coles de la Gendarmerie nationale (CEGN), (consultĂ© le ).
- MinistĂšre de lâ IntĂ©rieur, « PrĂ©sentation du schĂ©ma national d'intervention des forces de sĂ©curitĂ© », sur MinistĂšre de l'intĂ©rieur, (consultĂ© le ).