Idertia axillaris

C'est un arbuste ou petit arbre pouvant atteindre une hauteur de 8 m et un diamètre de 10 cm[2].

Selon les sources, l'espèce est présentée comme relativement rare, circonscrite au Cameroun (Sud-Ouest, Centre, Sud) et au Gabon[3], ou observable également dans plusieurs autres pays d'Afrique tropicale (Côte d'Ivoire, Ghana, Guinée, Guinée équatoriale, Liberia, Ouganda, République du Congo, République démocratique du Congo, Sao Tomé-et-Principe, Sierra Leone[2]).

• Claude Farron (es), Berichte der Schweizerischen Botanischen Gesellschaft, 73, 1963, p. 212
• Jean-Michel Onana, Synopsis des espèces végétales vasculaires endémiques et rares du Cameroun : check-liste pour la gestion durable et la conservation de la biodiversité, Yaoundé, Ministère de la Recherche scientifique et de l'Innovation, coll. « Flore du Cameroun » (n^o 40), 2013, p. 140
• (en) Marc S. M. Sosef, « The genus Idertia (Ochnaceae) », in Plant Ecology and Evolution, vol. 146, n^o 3, 2013, p. 351-359, [lire en ligne]

• (en) Référence Catalogue of Life : Idertia axillaris (Oliv.) Farron (consulté le 25 décembre 2020)
• (en) Référence Kew Garden World Checklist : nv (consulté le 6 février 2018)
• (en) Référence NCBI : Idertia axillaris (taxons inclus) (consulté le 6 février 2018)
• (en) Référence The Plant List : Idertia axillaris (Oliv.) Farron (source : KewGarden WCSP) (consulté le 6 février 2018)
• (en) Référence Tropicos : Idertia axillaris (Oliv.) Farron (+ liste sous-taxons) (consulté le 6 février 2018)
• Holotype, récolté par Gustav Mann en août 1862 au Gabon (mont John River Kongui)
• Spécimen, récolté par A. J. M. Leeuwenberg le 9 mars 1963 au Cameroun à 60 km au sud-ouest d'Éséka, au sud de la rivière Nyong, à 12 km de Songbong.