Hermann Geyer
Hermann Geyer ( à Stuttgart – non loin de Wildsee) est un General der Infanterie allemand qui a servi au sein de la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale.
Hermann Geyer | ||
Le général d'infanterie Hermann Geyer (juillet 1940) | ||
Naissance | Stuttgart |
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Décès | (à 63 ans) Près de Wildsee |
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Origine | Allemand | |
Allégeance | Empire allemand République de Weimar Allemagne nazie |
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Arme | Deutsches Reichsheer Reichswehr Wehrmacht Heer |
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Grade | General der Infanterie | |
Années de service | 1900 – 1943 | |
Commandement | V. Armeekorps IX. Armeekorps |
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Conflits | Première Guerre mondiale, Seconde Guerre mondiale |
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Faits d'armes | Seconde Guerre mondiale | |
Distinctions | Croix de chevalier de la Croix de fer | |
Biographie
Hermann Geyer s'engage le 4 juillet 1900 à Stuttgart en tant que porte-drapeau dans le 119e régiment de grenadiers (de) de l'armée wurtembergeoise. et devient lieutenant en 1910.
En 1914, durant la Première Guerre mondiale, il est promu capitaine et est transféré à l'état-major général.
En , il a rédigé les nouvelles tactiques d'infanterie allemandes pour le manuel de commandement suprême pour les attaques dans la guerre de tranchées. Le , il participe à la Commission d'armistice de Spa, puis il fait partie de la délégation allemande qui signe l'armistice[1]. Le , il est membre de la délégation de paix allemande.
Après la première Guerre mondiale, il travaille au ministère de la Défense. En 1922 il est commandant de la compagnie dans un régiment d'infanterie dans la zone d'entraînement militaire de Döberitz. Le est nommé major. En 1923, il travaille pour la 5e Division. Le , il est promu lieutenant -colonel. Le , il travaille au ministère de la Défense et le il devient colonel et le il est nommé général.
Le , il est commandant de la 5e division d'infanterie.
Au début de la Seconde Guerre mondiale, le , il commande le IX corps d'Armée, durant la campagne à l'ouest et contre l'Union soviétique. Le , son détachement atteint le village de Borodino, à 130 kilomètres du centre de Moscou.
Le , il prend sa retraite.
Il a été récipiendaire de la Croix de chevalier de la Croix de fer. Cette décoration est attribué pour récompenser un acte d'une extrême bravoure sur le champ de bataille ou un commandement militaire avec succès.
Il devient après la guerre bourgmestre de Höfen an der Enz, dans le Bade-Wurtemberg.
Il se suicide le , laissant une lettre dans laquelle il explique son geste par la situation difficile du village et l'afflux prochain de réfugiés menaçant de l'aggraver[2].
DĂ©corations
- Croix de fer (1914)
- 2e Classe
- 1re Classe
- Croix hanséatique de Hambourg
- MĂ©daille de guerre de l'Empire Ottoman
- Croix de chevalier de Cross de la maison royale de l'Ordre de Hohenzollern avec Glaives
- Croix d'honneur
- Agrafe de la Croix de fer (1939)
- 2e Classe
- 1re Classe
- Croix de chevalier de la Croix de fer
- Croix de chevalier le en tant que General der Infanterie et commandant du IX. Armeekorps[3]
Notes et références
Notes
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Hermann Geyer » (voir la liste des auteurs).
Références
- GĂ©rard Courtois, Le calvaire de Rethondes, Le Monde du , p. 32-33
- Général Phillipe Boidot, Souvenirs (1925-1983), 2004, p. 51
- Fellgiebel 2000, p. 163.
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- (de) Fellgiebel, Walther-Peer (2000). Die Träger des Ritterkreuzes des Eisernen Kreuzes 1939-1945. Friedburg, Allemagne: Podzun-Pallas. (ISBN 3-7909-0284-5).
- (de) Scherzer, Veit (2007). Ritterkreuzträger 1939–1945 Die Inhaber des Ritterkreuzes des Eisernen Kreuzes 1939 von Heer, Luftwaffe, Kriegsmarine, Waffen-SS, Volkssturm sowie mit Deutschland verbündeter Streitkräfte nach den Unterlagen des Bundesarchives. Jena, Allemagne: Scherzers Miltaer-Verlag. (ISBN 978-3-938845-17-2).