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HMAS Sydney (D48)

Le HMAS Sydney est un croiseur de la Royal Australian Navy ayant servi entre 1934 et 1941. Le Sydney connaĂ®t d'importants succès durant les premières annĂ©es de la Seconde Guerre mondiale avant de disparaĂ®tre dans des conditions entourĂ©es de mystère. Il coule le avec tout son Ă©quipage de 645 hommes[1]. Ceci reprĂ©sente la plus grande perte humaine sur un navire de guerre australien.

Sydney
illustration de HMAS Sydney (D48)
Le Sydney en 1940

Autres noms HMS Phaeton
Type Croiseur léger
Classe Leander
Histoire
A servi dans Royal Australian Navy
Commandé 1921
Quille posée 8 juillet 1933
Armé 22 septembre 1934
Caractéristiques techniques
Longueur 171,3 m
Maître-bau 17,1 m
Tirant d'eau 5,8 m
DĂ©placement 6 830 t
Vitesse 32,5 nœuds
Caractéristiques militaires
Électronique HACS
Carrière
Pavillon Australie
Indicatif I48
Localisation
CoordonnĂ©es 26° 14′ 31″ sud, 111° 12′ 48″ est
Géolocalisation sur la carte : océan Indien
(Voir situation sur carte : océan Indien)
Sydney
Sydney

Après plusieurs annĂ©es de recherches, l'Ă©pave du navire allemand l'ayant coulĂ©, le croiseur auxiliaire Kormoran est retrouvĂ©e le . Le de cette mĂŞme annĂ©e, le premier ministre australien Kevin Rudd annonce que l'Ă©pave du Sydney a elle aussi Ă©tĂ© retrouvĂ©e. Elle repose Ă  150 km de la baie Shark et Ă  22,6 km des restes du Kormoran.

Description

Un Supermarine Walrus chargé sur un classe Leander dans la baie de Sydney en 1939.

Le Sydney est l'un des trois croiseurs commandĂ©s en 1931-132 par la Royal Navy et formant la classe Amphion. Il s'agit d'un sous-groupe amĂ©liorĂ© de la classe Leander. Les navires de type Amphion disposent d'une machinerie redondante, ils contiennent une salle des machines et des chaudières doublĂ©es. Ceci est rendu visible par la prĂ©sence de deux cheminĂ©es, alors que les croiseurs de la classe Leander n'en possèdent qu'une. Les navires de la classe Amphion font 171 m de long, ont un tirant d'eau de 4,6 m et un dĂ©placement de 6 830 tonnes[2].

L'armement des navires inclut 4 paires de canons de 6 pouces, quatre canons antiaĂ©riens de 4 pouces, trois groupes de mitrailleuses lourdes Vickers de 0,5 pouce montĂ©es par quatre et 8 lance-torpilles de 21 pouces[3]. Ils disposent d'une catapulte permettant de lancer des hydravions (d'abord des Supermarine Seagull (en) puis, des Supermarine Walrus[4]).

L'armement comporte certaines lacunes : les canons ne disposent pas de bouclier, la défense anti-aérienne n'a pas assez de puissance de feu. En 1938, le commandant Wallers indique au commandement naval australien que les canons du HMAS Sydney sont extrêmement vulnérables au feu de l'ennemi. Ces problèmes sont par la suite réglés sur le HMAS Hobart mais ne le sont pas sur le Sydney[2].

Histoire

Construction et mise en service

Le Sydney est construit par la Swan Hunter & Wigham Richardson Limited à Wallsend en Angleterre sous le nom de HMS Phaeton. En 1934, juste avant son lancement, il est acheté par le gouvernement australien et renommé en mémoire du premier Sydney (en)[2]. Il est baptisé en présence d'Ethel Bruce, la femme de S. M. Bruce, haut-commissaire en Grande-Bretagne et ancien premier-ministre australien. Un an plus tard, après des essais en mer, il fait cap le sur Portsmouth sous le commandement du capitaine John Fitzgerald de la Royal Navy[5]. Il est officiellement mis en service à Portsmouth le .

Le , il part pour l'Australie mais est dérouté vers la mer Méditerranée à la suite de l'invasion italienne de l'Abyssinie. Là il participe à la mise en œuvre du blocus contre l'Italie décidé par la SDN jusqu'en [5]. Il rejoint finalement l'Australie le [6].

DĂ©ploiement lors de la Seconde Guerre mondiale

Les premières missions du Sydney consistent à effectuer des patrouilles et des convoyages dans l'océan Indien[6]. Puis, lorsque l'Italie entre en guerre, le navire rejoint la mer Méditerranée le après être passé par le canal de Suez. Il est placé sous le commandement du capitaine John Augustine Collins (en) et rattaché au 7e escadron de croiseurs basé à Alexandrie[2]. L'un des faits d'armes du Sydney en Méditerranée est la destruction du destroyer italien Espero (lors de la bataille du convoi Espero) malgré la ténacité de son équipage qui lutte jusqu'aux derniers instants[7] - [8].

Le , lors de la bataille du cap Spada à proximité de la Crète, de concert avec une escadre de destroyers britanniques, il part à la poursuite des croiseurs légers italiens à haute vitesse Bartolomeo Colleoni et Giovanni dalle Bande Nere[9]. Lors de la bataille qui s'ensuit, le Bartolomeo Colleoni est touché puis coulé par les torpilles lancées depuis les destroyers tandis que le Giovanni dalle Bande Nere parvient à échapper à ses poursuivants. Durant l'affrontement, le Sydney connaît les seuls dommages de sa campagne méditerranéenne lorsqu'un obus transperce l'une de ses cheminées[10]. Cette victoire a des répercussions stratégiques importantes, elle permettra aux Alliés de contrôler sans partage la Méditerranée orientale jusqu'à la chute de la Grèce face aux forces de l'Axe 9 mois plus tard[11].

Le , lors d'un convoyage dans le détroit des Dardanelles en compagnie du HMS Neptune, le Sydney participe à la destruction du petit navire-citerne grec Ermioni[9] chargé d'approvisionner en carburant la garnison italienne du Dodécanèse. d'août à septembre, le Sydney prend part à plusieurs opérations dont les bombardements des positions italiennes de Bardia en Libye[12] et d'un aérodrome situé à Scarpanto dans le Dodécanèse[9]. Le Sydney retourne ensuite à Alexandrie pour des opérations de maintenance puis repart.

En octobre, le Sydney accompagné d'un autre croiseur de la classe Leander, le HMS Orion bombarde le port d'Astypalée (port Maltesana) dans le Dodécanèse. En novembre, il achemine des troupes et du matériel en Crète[9]. Dans la nuit du 11 au , dans le cadre de l'opération MB8, le Sydney, l'Orion, l'HMS Ajax (autre croiseur de la classe Leander) ainsi que deux destroyers attaquent un convoi italien constitué de quatre cargos escortés par deux navires de guerre lors de la bataille du canal d'Otrante[12]. L'ensemble des navires marchands est coulé mais leur escorte parvient à s'échapper[9].

Le Sydney se rend ensuite à Malte pour des opérations d'entretien puis prend le départ pour l'Australie le dans le cadre d'un redéploiement décidé à la suite des attaques allemandes sur Nauru dans le Pacifique[13]. En cours de route, il participe à des convoyages. Il arrive au port de Fremantle le puis de nouvelles opérations de maintenances ont lieu en baie de Sydney. Durant ce laps de temps, le capitaine Joseph Burnett prend le commandement du navire. L'équipage du navire est honoré par la ville lui ayant donné son nom de baptême, les écoliers ont droit à un jour férié pour pouvoir se rendre à leur défilé[3]. Le , le navire quitte la métropole australienne pour se rendre à sa nouvelle base, Fremantle. De là il est déployé dans l'océan Indien où il mène des opérations de patrouille et de convoyage, s'aventurant occasionnellement dans les eaux du Pacifique.

Dernière bataille et disparition

Les 645 homme du Sydney Ă  son bord en 1941

Le à Albany en Australie-Occidentale, le Sydney entame l'escorte du transport de troupes Zealandia[14], en route pour Singapour. Les deux navires arrivent à Fremantle le . Le , le Sydney passe la main au HMS Durban dans le détroit de la Sonde, il est prévu qu'il soit de retour à Fremantle le . À cette époque, il y a déjà des opérations de l'Axe dans les eaux australiennes, il est donc demandé au commandement du navire de se livrer à des inspections en cours de route.

Ă€ environ 4h du matin le , Ă  l'ouest de la baie Shark en Australie-Occidentale, le Sydney dĂ©tecte la prĂ©sence de ce qu'il croit ĂŞtre un navire marchand et le somme de s'identifier. Ce dernier dĂ©clare ĂŞtre un bateau nĂ©erlandais nommĂ© Straat Malakka[15]. Il s'agit en fait du croiseur auxiliaire Kormoran, un cargo converti en navire de guerre aisĂ©ment camouflable et naviguant sous faux pavillon. Selon les tĂ©moignages des survivants du Kormoran, le Sydney s'approche alors sans crainte Ă  1 000 m du navire allemand et est pris de court lorsque l'Ă©quipage du Kormoran ouvre le feu pratiquement Ă  bout portant au moyen de son artillerie et de ses lance-torpilles dissimulĂ©s[12]. En 2009, l’Australian Defence Science and Technology Organisation, après une Ă©tude du site du naufrage ainsi que des tĂ©moignages des rescapĂ©s du Kormoran, parvient Ă  la conclusion que lors de l'attaque, le Sydney connaĂ®t d'importantes destructions Ă  la suite de la mise en action de pièces d'artillerie de diffĂ©rents calibre Ă  bout portant. Les munitions dont le poids total avoisine les quatre tonnes ainsi que des torpilles s'abattent sur le navire australien. Plusieurs feux se dĂ©clarent alors et la majeure partie des canots de sauvetage est dĂ©truite[16].

Memorendum de Frederick Shedden (en) du ministère de la guerre adressé au premier ministre John Curtin. C'est le premier document officiel indiquant que le Sydney a en toute probabilité disparu en mer.

Le Kormoran est aussi sévèrement endommagé lors de la bataille. Il doit être abandonné et sabordé en raison d'une avarie moteur et d'un feu ne pouvant être contrôlé[17]. Les survivants sont recueillis au bord des navires Koolinda (31), Aquitania (26), Trocas (25) et HMAS Yandra (2), 103 autres membres d'équipage parvenant à rejoindre Carnavon sur leurs canots de sauvetage[18]. Ils rapportent que le Sydney a coulé corps et bien après avoir été vu en feu. Aucun survivant du croiseur australien n'est retrouvé[1].

Il faut 6 jours après la disparition du navire (le ) pour que la Royal Australian Navy acquière la certitude que le Sydney a bel et bien été perdu et pour qu'elle en informe le secrétaire du ministère de la guerre qui à son tour rapporte le fait au premier ministre par écrit.

DĂ©bris flottants du Sydney

Mémorial dédié au HMAS Sydney à Geraldton.

L'Australian War Memorial expose un canot de sauvetage endommagé par des éclats d'obus découvert en mer par le HMAS Heros (en) neuf jours après la disparition du Sydney[19]. Jusqu'à la découverte de l'épave il s'agissait de l'unique relique substantielle du navire.

Autour du , un autre canot de sauvetage contenant le corps d'un adulte de peau blanche est dĂ©couvert au large de l'Ă®le Christmas Ă  environ 2 500 km du théâtre de la bataille entre le Sydney et le Kormoran. On ne parvient alors Ă  identifier ni le corps, ni les origines du canot bien qu'il soit de nos jours certain que les deux aient pour provenance le Sydney[20]. Les documents concernant le corps et sa sĂ©pulture semblent avoir Ă©tĂ© perdus Ă  la suite de l'occupation japonaise de l'Ă®le. Plusieurs recherches dans un cimetière, ne permettent pas de retrouver les restes du militaire jusqu'en , date Ă  laquelle une mission archĂ©ologique parvient enfin Ă  retrouver le corps du marin inconnu. Lors de son examen, des Ă©clats d'obus sont retrouvĂ©s dans son crâne. Il n'est pas possible de retrouver l'identitĂ© de l'homme mais ses liens avec le Sydney sont indiscutablement Ă©tablis. Des recherches Ă  partir de son ADN sont rĂ©alisĂ©es et le 19 novembre 2021, 80 ans jour pour jour après de la meurtrière bataille navale, la marine australienne dĂ©voile l’identitĂ© de l’homme qui a survĂ©cu au naufrage pour mourir seul au milieu de l’ocĂ©an : il s’agit de Thomas Welsby Clark, 21 ans, qui Ă©tait en poste Ă  bord du Sydney depuis deux mois et demi. Son ADN, rĂ©cupĂ©rĂ© lors d’une exhumation en 2008, a parlĂ© après 13 ans de recherches intensives dans toute l’Australie. La nièce du marin inconnu, Leigh Lehane dĂ©clare bouleversĂ©e : «Il m’a portĂ©e dans ses bras juste avant d’embarquer Ă  bord du HMAS Sydney alors que j’étais encore une toute petite fille. Je suis sans doute la seule personne encore en vie qui a connu Thomas.»[21] - [22] - [23]

En , une bouée de sauvetage provenant du Sydney est retrouvée à proximité de Comboyuro Point sur l'île Moreton dans le Queensland. Il n'est cependant pas possible de déterminer si elle a été perdue avant ou après la bataille avec le Kormoran.

DĂ©couverte du Kormoran et du Sydney

La Finding Sydney Foundation annonce le que l'Ă©pave du Kormoran a Ă©tĂ© retrouvĂ©e après une campagne de recherche lancĂ© dĂ©but mars[24], financĂ©e Ă  hauteur de 3,9 millions de $AUD sur des fonds publics et privĂ©s[25]. L'Ă©quipe est dirigĂ©e par David Mearns (en), un expert en recherche d'Ă©paves anglo-amĂ©ricain. Le navire est retrouvĂ© Ă  207 km Ă  l'ouest de Steep Point gisant Ă  2 560 m de fond[26].

Le , l'Ă©pave du Sydney est retrouvĂ©e Ă  26° 14′ 37″ S, 111° 13′ 03″ E Ă  approximativement 190 km Ă  l'ouest de Steep Point et Ă  22,6 km de l'Ă©pave du Kormoran[26]. Le , le premier ministre australien Kevin Rudd confirme la dĂ©couverte et prĂ©cise que l'Ă©pave gĂ®t Ă  2 470 m de fond. Le mĂŞme jour, la Finding Sydney Foundation publie les premières images de l'Ă©pave obtenues par un vĂ©hicule ROV. Les images montrent que la proue a Ă©tĂ© arrachĂ©e.

L'épave du Sydney est protégée au titre de l'arrêt australien de 1976 portant sur les épaves de navires historiques[27] et est considérée comme étant un cimetière militaire[28].

Commission d'enquĂŞte

Une commission d'enquête sur la perte du Sydney est annoncée à la suite de la découverte des deux épaves. Bien que des recherches aient été menées auparavant, il s'agit de la première investigation officielle menée par une commission d'enquête qui donne ses conclusions en [29].

Des Ă©tudes sur les circonstances des naufrages sont toujours en cours[30]

Notes et références

  1. Frame 2004, sources secondaires, p. 168
  2. Stevens 2005, sources secondaires
  3. Royal Australian Navy, sources primaires
  4. London 2003, sources secondaires, p. 275
  5. Frame 2004, sources secondaires, p. 145
  6. McKernan 2006, sources secondaires, p147
  7. Johnston 1942, sources secondaires, p. 39-40
  8. Pratt 1979, sources secondaires, p. 406
  9. Swain 2001, sources secondaires, p. 10-14
  10. Johnston 1942,sources secondaires, p. 14
  11. Australian War Memorial, sources secondaires
  12. United States Naval Institute, sources secondaires, p. 416-418
  13. (en) Gill, Royal Australian Navy 1939–1942, p. 284
  14. Plowman 2007, sources secondaires, p130-131
  15. Grove 2002, sources secondaires, p. 21
  16. « Withering bombardment doomed Sydney », The Australian, (consulté le )
  17. Action Report 1941, sources primaires, p. 3
  18. Grove 2002, sources secondaires, p. 11
  19. Hardstaff 1995, sources secondaires
  20. Gibbs 1997, sources secondaires
  21. « ID for sailor's remains getting closer », The New Zealand Herald, (consulté le )
  22. Le corps a été transféré au cimetière militaire de Geraldton
  23. Paris Match, « Australie : le mystère du marin inconnu enfin résolu », sur parismatch.com (consulté le )
  24. Finding Sydney Foundation, 16 mars 2008, sources primaires
  25. « Sponsors », HMAS Sydney Search Pty Ltd, (consulté le )
  26. Finding Sydney Foundation 17 mars 2008, sources primaires
  27. « Historic Shipwrecks Act 1976 », Ministère de l'Environnement (Australie), (consulté le )
  28. ABC News, secondary sources
  29. « HMAS Sydney II Commission of Inquiry », Ministère de la Défense, 05-28-2008 (consulté le )
  30. Doug Conway, « Digging for the truth about HMAS Sydney », news.com.au, (consulté le )

Sources

Sources primaires consultées
Sources secondaires consultées
  • « HMAS Sydney II and the Kormoran », Australian War Memorial (consultĂ© le )
  • (en) Bernard Edwards, "Salvo! : Classic Naval Gun Actions", Londres, Brockhampton, (ISBN 978-1-86019-959-2, lire en ligne)
  • (en) T.R. Frame, No Pleasure Cruise the Story of the Royal Australian Navy, Crows Nest, Allen & Unwin, (ISBN 978-1-74114-233-4, LCCN 2004444900, lire en ligne)
  • (en) Eric Grove, German Capital Ships and Raiders in World War II, Londres, Routledge, , 1re Ă©d. (ISBN 978-0-7146-5208-5, LCCN 2002019225, lire en ligne)
  • (en) Reginald John Hardstaff, Leadline to Laser : The Hydrographic Service, Royal Australian Navy, 1920–1995, Northwood, NSW, R.J. Hardstaff, (ISBN 978-0-646-25053-3, lire en ligne)
  • (en) Martin David Gibbs, The Corpse in the Carley Float) — An archaeological survey of the Christmas Island Cemetery and the possible site of an HMAS Sydney sailor, Dept. of Maritime Archaeology, Western Australian Maritime Museum, (lire en ligne)
  • (en) George Henry Johnston, Action at Sea : The Saga of the « Sydney », Houghton Mifflin Company, (lire en ligne)
  • (en) John Keegan et Sydney L. Mayer, The Rand McNally Encyclopedia of World War II, Rand McNally, (lire en ligne)
  • (en) Peter London, British Flying Boats, Stroud, Sutton, (ISBN 978-0-7509-2695-9, lire en ligne)
  • (en) Michael McKernan, The Strength of a Nation : Six Years of Australians Fighting for the Nation, Crows Nest, Allen & Unwin, , 1re Ă©d., poche (ISBN 978-1-74114-714-8, lire en ligne)
  • (en) Peter Plowman, Coast to Coast : The Great Australian Coastal Liners, Dural, Rosenberg Publishing, , 1re Ă©d., poche (ISBN 978-1-877058-60-8, lire en ligne)
  • (en) Bruce W. Pratt, The Australian Encyclopaedia, Grolier Society of Australia, (lire en ligne)
  • (en) David Stevens, The Royal Australian Navy in World War II, Crows Nest, Allen & Unwin, , 2e Ă©d. (ISBN 978-1-74114-184-9, lire en ligne)
  • (en) Bruce T. Swain, A Chronology of Australian Armed Forces at War 1939–45, Allen & Unwin, (lire en ligne)
  • (en) Proceedings of the United States Naval Institute, United States Naval Institute (lire en ligne)
  • (en) « Historic protection for HMAS « Sydney », « Kormoran » », ABC News,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • (en) Nick Squires, « HMAS « Sydney » found off Australia's west coast », The Telegraph,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
Sources tertiaires consultées
  • (en) Timothy O’Leary, Frank Leahy et Joseph Leach, « A Method For Handling Uncertainty in the Search for HMAS Sydney », Hydrographic Surveying II, Washington,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )

Annexes

Bibliographie

Liens externes

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