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Groupement de commandos de montagne

Le groupement de commandos de montagne (GCM) est une unité spécialisée de la 27e brigade d'infanterie de montagne.

Groupement Commandos Montagne
Image illustrative de l’article Groupement de commandos de montagne
Écusson du Groupement de commandos de montagne

Création 1997
Pays Drapeau de la France France
Branche Armée de terre
Fait partie de 27e brigade d'infanterie de montagne
Guerres Guerre d'Afghanistan (2001-2021)
Opération Barkhane

Pour emploi, le GCM dépend de l'état-major de la brigade mais ses sections restent intégrées dans chacune des unités (bataillon ou régiment) de la brigade. Ces unités peuvent utiliser la section GCM qui lui est rattachée pour un usage propre, hors temps de crise ou de mobilisation OPEX[1].

Historique

Des militaires français du groupement de commandos de montagne au nord-est de Gao, en , lors de l'opération Barkhane.

Les GCM sont les héritiers directs des URH 27 (Unités de recherche humaine) composées à cette période des sections de renseignement (SR), ces dernières ayant succédé aux sections d'éclaireurs skieurs (SES) de la Seconde Guerre mondiale.

Les sections de renseignement (des sections composées à l'époque de la conscription à 50 % d'appelés VSL et 50 % d'engagés) étaient reconnues pour leur rusticité et leur capacité d'adaptation en haute montagne. Pour perpétuer ces spécificités, les GCM suivent des stages d'aguerrissement au froid extrême[2] - [3].

La fin de la conscription, décidée en 1997 par le Président de la République française Jacques Chirac, a entraîné une évolution des sections de renseignement et de leurs missions dans le cadre de la professionnalisation des armées françaises. Les compétences initiales des anciennes sections de renseignement de l'URH 27 sont complétées par l'apport de techniques à caractère offensif. C'est ainsi que sont créées les GCM[1].

Afghanistan

Le , l'adjudant Laurent Pican[4] est tué lors d'une mission en Afghanistan. Sa disparition révèle alors l'existence du groupement de commandos de montagne qui n'avait jusqu'alors pas été rendue publique[5].

Le , deux sous-officiers, le major Mohammed El Gharrafi[6] - [7] et le sergent-chef Damien Zingarelli[8], tous deux membres du GCM du 2e régiment étranger de génie et déployés au sein du Battle Group TIGER, Task Force La Fayette (TFLF), sont abattus lors de l’opération « Hunting Spear 2 »[9] en vallée de Tagab, dans le Sud de la province du Kâpîssâ.

Ces deux militaires sont les deux premières victimes françaises en Afghanistan[10] d'une attaque de type « green on blue »[11] - [12] : une attaque par des soldats afghans de l'armée régulière afghane (ANA) qui trahissent et se retournent contre des forces occidentales alliées.

Bande sahélo-saharienne

Le , au sud d'In Delimane (Nord-Est malien), lors d'une opération antiterroriste nocturne dans la vallée d'Eranga, deux hélicoptères du commando se percutent. La totalité des équipages périssent lors du crash[13]. Six membres des GCM sont identifiés parmi les victimes[14], dont quatre du 4e RCH[15] :

  • le chef d'escadrons Romain Chomel de Jarnieu, intĂ©grĂ© depuis plusieurs annĂ©es au sein du 4e RCH, il Ă©tait devenu chef d’équipe commando GCM ;
  • l'adjudant JĂ©rĂ©my Leusie avait rejoint le GCM du 93e RAM en fĂ©vrier 2018 ;
  • l'adjudant AndreĂŻ Jouk, engagĂ© en 2008 au sein de la LĂ©gion Ă©trangère, avait choisi de rejoindre le 2e REG et a pu par la suite intĂ©grer le GCM ;
  • l'adjudant Alexandre Protin du 4e RCH depuis 2009, devenu Ă©quipier GCM, en Ă©tait Ă  sa troisième mission au Sahel.
  • le marĂ©chal des logis-chef Valentin Duval qui, après avoir rejoint l'EMHM en 2017, intĂ©grait le GCM du 4e RCH en qualitĂ© de chef de cellule radio ;
  • le marĂ©chal des logis-chef Antoine Serre, passĂ© Ă©galement par l'EMHM, a intĂ©grĂ© le GCM du 4e RCH ;

Le , Ă  50 km Ă  l'est de Hombori dans la forĂŞt de N'Daki (partie centrale du Mali, Ă  15 km de la frontière avec le Burkina Faso), une reconnaissance est effectuĂ©e sur zone après la dĂ©tection d'une dizaine de membres d'un groupe armĂ© terroriste. Les membres du GCM dĂ©ployĂ©s ont Ă©tĂ© pris Ă  partie Ă  courte distance et le caporal-chef Maxime Blasco, du 7e BCA, dĂ©cède sous le feu d'un tireur embusquĂ©[16] - [17]. Il faisait partie du 7e bataillon de chasseurs alpins depuis le . Il Ă©tait devenu tireur d’élite au sein du GCM. Pour sa valeur sur le théâtre d'opĂ©ration malien, le caporal-chef Maxime Blasco s'est vu remettre par trois fois la croix de la Valeur militaire avec Ă©toile de bronze, puis la croix de la Valeur militaire avec Ă©toile de Vermeil[18], et enfin la MĂ©daille militaire remise des mains du prĂ©sident de la RĂ©publique[19] - [20].

Organisation et conditions opérationnelles

Près de deux cents commandos forment le groupement de commandos de montagne et sont répartis comme suit[1] :

Selon l'Armée de terre, les capacités attendues des commandos du GCM sont multiples[24] :

  • renseigner au contact et dans la profondeur (derrière les lignes ennemies) sur zone, axe, carrefour, de jour comme de nuit, le personnel Ă©tant camouflĂ© en surface ou bien sous terre (caches). Cette spĂ©cificitĂ© de poste est dĂ©signĂ©e sous le terme « observateur montagne ». Les techniques et moyens utilisĂ©s dans ce contexte opĂ©rationnel sont proches — car très directement inspirĂ©s — de ceux des Ă©quipes de renseignement du 13e rĂ©giment de dragons parachutistes[25] ;
  • faciliter la mobilitĂ© d'autres unitĂ©s : traces pour les approches dĂ©licates en ski de randonnĂ©e, aide au franchissement vertical en configuration de combat (Ă©quipement de parois et crĂŞtes)[26] ;
  • aider Ă  l'exfiltration de personnels civils par tout moyen, y compris par aĂ©rocordage, ou encore par vols tactiques crĂ©pusculaires en parapente biplaces (une spĂ©cificitĂ© propre aux GCM)[26] ;
  • opĂ©rer des actions offensives, en milieu urbain ou non-urbain, telles que :
    • des participations Ă  l'arrestation (en collaboration avec des instances judiciaires par exemple) de criminels ou de responsables de premier plan[27] - [28] - [29] (appelĂ©s cibles de haute valeur, ou encore High-value target (en))[30],comme des personnes recherchĂ©es par la Cour pĂ©nale internationale par exemple, ou encore des leaders de groupuscules armĂ©s[31] ;
    • l'extraction d'otage, permise par l’acquisition d'aptitudes au combat en milieu clos, et par la formation de deux personnels par section au tir de prĂ©cision au sol ou embarquĂ©[32],
    • la prise d'objectifs clefs sur le terrain[26],
    • les missions de recherche et action dans la profondeur[30], durant lesquels les personnels ennemis sont poursuivis sur leur terrain de prĂ©dilection et selon un calque de leur propres modus operandi tactiques[33]. Cet objectif ainsi que le mode opĂ©ratoire choisi font Ă©cho - dans l'histoire militaire française - avec ceux des commando de chasse durant les annĂ©es 1959-1962[34],
    • la destruction d'infrastructures dĂ©signĂ©es, mais aussi le dĂ©minage, grâce aux Ă©lĂ©ments provenant du 2e REG[35],
    • guider des frappes (artillerie, tirs air-sol, appuis aĂ©riens rapprochĂ©s) dans la profondeur et en observer les rĂ©sultats : un savoir-faire tenu initialement par les personnels NFO (national fire observer) et JTAC (Joint terminal attack controller (en))[36] - [37] - [38] de la section EOP (Ă©quipe d'observation dans la profondeur) puis BRB-S rattachĂ©e au 93e rĂ©giment d'artillerie de montagne[21],
    • dĂ©fense et soutien lors d'opĂ©rations de secours et rĂ©cupĂ©ration de personnels Ă  la suite d'un crash d'aĂ©ronef, avec le GTD-A au Mali par exemple[39].

Cette liste d'objectifs multiples n'est in fine ni exhaustive ni limitative : par exemple, les commandos du GCM engagés sur le théatre afghan ont pu l'être en tant que Operational Mentoring Liaison Teams (OMLT), chargés de la formation et du conseil auprès des militaires de l’Armée nationale afghane. Comme ils ont pu également s'illustrer depuis 2001 en Afghanistan[40] - [41], ou depuis 2014 sur les territoires de la bande sahélo-saharienne[30] (rotation des équipes GCM dans le cadre de l'opération Spartan[42] - [43], Aconit[44] - [45]), par des opérations de renseignement auprès des populations, des actions offensives intenses d'ordre tactiques, ce dans le cadre d'une guerre de type asymétrique en milieux montagneux et désertiques sur les terrains afghans[40] - [41] - [46] comme malien[47] - [48] - [49]. Les terrains pour ces actions du GCM se localisent préférentiellement en milieux hostiles comme les zones de montagnes ou encore de grands froids (zones arctiques, par exemple)[50], mais la pratique montre que les lieux d'action ne sont pas limités (avec le développement des aptitudes du GCM pour le combat urbain ou en milieu clos).

Bien que non rattachés à la liste des unités françaises des forces spéciales et ce de façon officielle, les GCM utilisent couramment les techniques, modes d'entraînements, modes opératoires et matériels de ces dernières. Sur le terrain, il est constaté que la polyvalence, les capacités d'autonomie et d'adaptation, ainsi que la maîtrise poussée des techniques par les commandos des GCM s'apparentent dans la pratique aux talents identifiés et nécessaires au sein des forces spéciales[1] - avec lesquelles ils sont d'ailleurs parfois appelés à la coopération[1] - ce pour autant sans en avoir aussi clairement les attributs et objectifs à caractère stratégique.

Une spécificité unique dans l'armée de Terre : le parapente opérationnel

L'utilisation du parapente au sein du GCM[51] fait suite aux tests menés dans les années 1990 au sein des sections de renseignement rattachées alors à la 27e division d'infanterie de montagne (qui sera par la suite renommée la 27e brigade d'infanterie de montagne). Le parapente est durant cette période identifié comme un vecteur possible du personnel en montagne. L'objectif étant de faciliter - lors de contextes précis et adaptés - le déplacement comme la discrétion lors de phases d'infiltration et plus particulièrement d'exfiltration, par bond au-dessus des obstacles naturels[51].

Avec les tests de ce nouveau moyen aérien de déplacement alpin, effectués durant ces années par les SR, ces derniers ont pu démontrer par la pratique les possibilités et apports du parapente[51] en phase d'exfiltration :

  • lors de dĂ©collages et atterrissages sur neige (parapente utilisĂ© skis aux pieds) ou non ;
  • lors de phases dites crĂ©pusculaires : le vol s'effectuant après le coucher du soleil ou avant son lever, Ă  l'aide d'appareils de vision nocturne Ă  intensificateur de lumière de dernière gĂ©nĂ©ration, et autres matĂ©riels de vol comme le GPS ou l'anĂ©momètre. Ce type de vol est absolument interdit dans le domaine civil, et seuls les militaires et donc les GCM ont une dĂ©rogation de la direction gĂ©nĂ©rale de l'aviation civile pour des vols parapente de nuit, dans les nuages, ou sous la pluie[52] ;
  • l'emport de charges lourdes (Ă©quipement du personnel ou autre) par le biais d'une technique de dĂ©lestage après dĂ©collage, le matĂ©riel se retrouvant alors rattachĂ© et suspendu sous la sellette du parapente ;
  • l'aide Ă  l'exfiltration de personnel civil, par l'utilisation de parapentes biplaces pilotĂ©s par des militaires brevetĂ©s et confirmĂ©s[53] ;

Au second trimestre de l'année 2002, ainsi qu'au premier semestre de l'année 2003, se déroulent les tests d'une campagne d'expérimentation tactique destinée à évaluer les différents modes opératoires (vol crépusculaire, vol biplace, vol lesté, phases de décollage et atterrissage sur neige) du vol sous parapente. Le rapport d'expérimentation tactique issu de cette campagne de tests est validé au cours de l'année 2003 par le chef d'état-major de l'armée de Terre. Cette étape décisive marque alors l'entrée en fonction du parapente pour un emploi opérationnel[51].

Références

  1. Vial 2021, p. 31.
  2. « 2017 - Uppick : Mission de formation des commandos montagne en milieu froid », sur https://www.youtube.com, (consulté le )
  3. « Les Commandos Montagne s'entraînent au Groënland », sur https://www.youtube.com, (consulté le )
  4. « Adjudant-chef Laurent PICAN », sur https://www.ecpad.fr/ (consulté le )
  5. Corine Sabouraud, « Le jour où "j'ai rejoint les forces spéciales", confie le catalan Laurent Mahé alias Gadjo Lolo », sur www.lindependant.fr, (consulté le )
  6. « La biographie de l'Adjudant-chef Mohammed el-Gharrafi, tué en Kapisa le 29 décembre », sur www.lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr, (consulté le )
  7. « Major Mohammed Larbi Elgharrafi », sur https://www.lechevron.fr, -- (consulté le )
  8. « le sergent damien zingarelli mort en Afghanistan », sur www.defense.gouv.fr, (consulté le )
  9. Ministère des Armées - Opérations, « Afghanistan : la 3ème brigade de l’ANA poursuit ses opérations en vallée de Tagab », sur www.defense.gouv.fr, (consulté le )
  10. « Cérémonie d’hommage au Major El Gharrafi et au Sergent-chef Zingarelli », sur www.defense.gouv.fr, (consulté le )
  11. Stéphanie de Silguy avec Didier François, « Afghanistan : le scénario de l’attaque », sur www.europe1.fr, (consulté le )
  12. (en) Bill Roggio et Lisa Lundquist, « Green-on-Blue Attacks in Afghanistan: The Data », sur www.realcleardefense.com, (consulté le )
  13. « Mort de treize militaires en opération au Mali », sur www.defense.gouv.fr, (consulté le )
  14. « Qui sont les 13 militaires morts pour la France au Mali ? », sur http://www.opex360.com, (consulté le )
  15. « Et on se souviendra - TiBZ / 4e RCh », sur https://www.youtube.com, (consulté le )
  16. Élysée, « Décès d'un militaire français au Mali », (consulté le )
  17. Le Monde avec AFP, « Un soldat français tué au combat au Mali, annonce l’Elysée », sur www.lemonde.fr, (consulté le )
  18. Zoé Lauwereys, « « Une scène de film d’action » : le jour où Maxime Blasco, soldat mort au Mali, a sauvé les pilotes de son hélicoptère », sur www.leparisien.fr, (consulté le )
  19. Philippe Chapleau, « Un caporal-chef du 7e BCA tué au combat au Mali », sur http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/, (consulté le )
  20. France 2 Télévision, « Images et récit du sauvetage de l'équipage de la Gazelle à bord de laquelle se trouvait cette nuit de juin 2019 le caporal-chef Maxime Blasco », (consulté le )
  21. Vial 2021, p. 44.
  22. Ministère des Armées - Actu Terre, « Sapeur, plongeur et commando montagne », sur www.defense.gouv.fr, (consulté le )
  23. Vial 2021, p. 50.
  24. Vial 2021, p. 31-32.
  25. Vial 2021, p. 47.
  26. Vial 2021, p. 32.
  27. Ministère des Armées - Actualités Terre, « Camaricas : capture de high-value target par le 5e RHC », sur www.defense.gouv.fr, (consulté le )
  28. Edouard Josse, « Mali : Barkhane mène une opération commando visant le chef djihadiste Hamadou Kouffa », sur www.rfi.fr, (consulté le )
  29. Vial 2021, p. 61.
  30. Ministère des armées, « Barkhane : Le groupement des commandos de montagne, une unité d’élite sur tous les fronts », sur www.defense.gouv.fr, (consulté le )
  31. « Groupement Commando Montagne 2017 », sur https://www.youtube.com, (consulté le )
  32. Vial 2021, p. 36-37-66.
  33. Vial 2021, p. 65.
  34. Pierre André Cerutti et Jean-Christophe Damaisin d'Arès, Commandos de chasse : les têtes chercheuses du général Challe, Sceaux, Esprit du livre, coll. « Histoire & mémoires combattantes », , 191 p. (ISBN 978-2-363-18183-1)
  35. Vial 2021, p. 55.
  36. Ministère des Armées - Actu Terre, « JTAC : les spécialistes de l’appui aérien », sur www.defense.gouv.fr, (consulté le )
  37. Ministère des Armées - Actu Terre, « Close Air Support dans les Alpes », sur www.defense.gouv.fr, (consulté le )
  38. « JTAC, les spécialistes de l'appui aérien », (consulté le )
  39. Bastien Carris, « Crash d'un Mirage 2000D et intervention des commandos », sur www.air-cosmos.com, (consulté le )
  40. Jean-Marc Gonin, « Afghanistan : commandos français en territoire ennemi », sur www.lefigaro.fr, (consulté le )
  41. Georges Malbrunot, « Afghanistan : Paris veut sécuriser sa présence », sur www.lefigaro.fr, (consulté le )
  42. William Vuillez, « Mali, au cœur de l’opération Barkhane », sur www.rtl.fr, (consulté le )
  43. Ministère des Armées - Opérations, « Barkhane - Opération commando dans le Liptako malien », sur www.defense.gouv.fr, (consulté le )
  44. Ministère des Armées - Opérations, « Barkhane : Au cœur d’Aconit avec les commandos montagne », sur www.defense.gouv.fr, (consulté le )
  45. Ministère des Armées - Opérations, « Barkhane - Aconit : opération conjointe dans le Liptako avec les forces armées maliennes et nigériennes », sur www.defense.gouv.fr, (consulté le )
  46. Olivier Zajec, « L'Afghanistan, un paradigme asymétrique relatif », sur www.cairn.info, Revue internationale et stratégique 2003, (consulté le )
  47. Le Point avec AFP, « Mali : la guerre asymétrique commence », sur www.lepoint.fr, (consulté le )
  48. Vial 2021, p. 58.
  49. ECPAD-Images Défense, « Le Groupement de Commandos de Montagne au Mali », sur www.ecpad.fr, (consulté le )
  50. Vial 2021, p. 48.
  51. Vial 2021, p. 34.
  52. « Les commandos de la 27e BIM en formation parapente à Flaine », (consulté le )
  53. Ministère des Armées - École militaire de haute montagne, « Instructeur Militaire Parapente (IMP) », sur www.emhm.terre.defense.gouv.fr, (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • Michel Vial, RAIDS - Hors-sĂ©rie n°78 : commandos montagne en action, Paris, Sophia Histoire & Collections, , 84 p.
  • Benjamin GUINDRE, Des hommes et des cimes - Rencontre avec le Groupement Commando Montagne, France, Lumen Et Verbum, 1er dĂ©cembre 2014, 232 p. (ISBN 978-2955106907)
  • Daniel Reiner, Jacques Gautier et GĂ©rard Larcher, Rapport d'information fait au nom de la commission des affaires Ă©trangères, de la dĂ©fense et des forces armĂ©es no 525 (2013-2014), 13 mai 2014
  • Philippe Poulet, Commandos montagne - 27e brigade d'infanterie de montagne, France, Mission connaissance-Hommes d'action, 1er janvier 2013, 55 p. (ISBN 979-10-90936-11-9)
  • Arnaud Borremans, Le statut juridique des unitĂ©s françaises d’opĂ©rations spĂ©ciales, France, UniversitĂ© PanthĂ©on-Assas – Paris II, Master recherche SĂ©curitĂ© et DĂ©fense, 2012, 93 p.
  • Éric DenĂ©cĂ©, Histoire secrète des forces spĂ©ciales : De 1939 Ă  nos jours, France, Nouveau Monde Éditions, 18 fĂ©vrier 2010, 470 p. (ISBN 978-2847364958)
  • « Les commandos de montagne », magazine RAIDS, no 261, .
  • « L'URH 27, des alpins très spĂ©ciaux », magazine Terre Magazine, mensuel d'information et de liaison de l'ArmĂ©e de terre, mai 1996, numĂ©ro 73, page 23.
  • GĂ©rard Chaliand, StratĂ©gies de la guĂ©rilla, France, Grande Bibliothèque Payot, 1er mai 1994, 942 p. (ISBN 978-2-228-88779-3)

Autres sources

  • Soldats de Montagne - revue semestrielle (depuis janvier 2013) de la FĂ©dĂ©ration des soldats de montagne (FRESM).

Lien externe

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