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Georges ManiakĂšs

Georges ManiakĂšs (Î“Î”ÏŽÏÎłÎčÎżÏ‚ ΜαΜÎčÎŹÎșης en grec) est un gĂ©nĂ©ral byzantin d’origine grecque du XIe siĂšcle, identifiĂ© aussi sous le nom de Gyrgir[1] dans les sagas scandinaves. Fils de Goudelios Maniakes, il parvient Ă  se hisser au rang de gĂ©nĂ©ral malgrĂ© ses origines modestes[2]. Il fait valoir ses talents militaires lorsqu’il parvient Ă  prendre la ville d’Édesse aux Seldjoukides en 1032 ainsi que d’autres territoires de l’actuelle Syrie[3]. Il est surtout renommĂ© pour sa reconquĂȘte partielle de la Sicile qui commence en 1038. Au cours de sa vie, le tempĂ©rament colĂ©rique de ManiakĂšs lui attire plusieurs problĂšmes avec le pouvoir impĂ©rial de Byzance. Il se fait emprisonner et plus tard, son mĂ©contentement envers l’empereur Constantin IX Monomaque le pousse finalement Ă  la rĂ©volte en 1042, oĂč il trouve la mort durant une importante bataille. Le dĂ©cĂšs de ManiakĂšs, en l’an 1043, est une Ă©nigme pour ses contemporains, car aucun d’eux n’est en mesure de prouver qui l’a achevĂ©.

Georges ManiakĂšs
Représentation de Georges ManiakÚs, selon le Chronique de SkylitzÚs
Biographie
Naissance
DĂ©cĂšs
Activités
Autres informations
Grade militaire

L’intellectuel byzantin Michel Psellos, son contemporain, affirme avoir connu Georges ManiakĂšs et le dĂ©crit comme un homme que la nature a destinĂ© Ă  ĂȘtre un commandant militaire, car « sa taille atteignait au dixiĂšme pied, et ceux qui le regardaient levaient la tĂȘte comme vers une colline ou un sommet de montagne. Sa figure n’était ni douce ni agrĂ©able, mais Ă©voquait l’idĂ©e d’un ouragan ; sa voix Ă©tait un tonnerre, et ses mains Ă©taient capables d’ébranler des murailles et de briser des portes de bronze ; son Ă©lan Ă©tait celui d’un lion et son sourcil Ă©tait terrible. Et tout le reste, en cet homme, s’accordait et concordait avec ces traits. Et ce qui se disait de lui renchĂ©rissait sur ce qui se voyait ; et tous les barbares en avaient peur, l’un pour l’avoir vu et admirĂ©, l’autre pour avoir entendu parler de lui en des rĂ©cits terrifiants »[4].

Son armĂ©e est composĂ©e de mercenaires de toutes sortes. Certains viennent d’Italie et de Lombardie, et il a sous son commandement le semi-lĂ©gendaire hĂ©ros scandinave Harald Hardrara, qui commandait la garde varĂšgue. Harald Hardrara devient plus tard roi de NorvĂšge[5]. Un autre personnage notoire sous ses ordres est Guillaume de Hauteville, commandant des mercenaires normands, surnommĂ© Bras-de-fer aprĂšs avoir vaincu, en combat singulier, l’émir musulman de Syracuse, Ă  Troina[6]. Ces deux commandants quittent Ă  des moments diffĂ©rents les troupes de ManiakĂšs et ne sont donc pas Ă  ses cĂŽtĂ©s lors de sa mort.

Il est reprĂ©sentĂ© dans les Chronique de SkylitzĂšs de Madrid, oĂč se trouvent des miniatures de ses diffĂ©rents accomplissements.

Sa carriĂšre militaire

Le massacre de Telouch

Le massacre de Telouch, dans le Chronique de SkylitzĂšs de Madrid.

En 1030, l’empereur Romain III Argyre subit une dĂ©faite face aux Arabes et est forcĂ© de fuir. Il trouve refuge en Cappadoce[7]. Une troupe d’environ 800 Arabes se prĂ©sente devant le gĂ©nĂ©ral ManiakĂšs et tente de lui faire croire que l’empereur a Ă©tĂ© capturĂ© et le somme de leur remettre la ville de Telouch, le centre administratif du thĂšme du mĂȘme nom, dont Georges est le commandant[8]. Loin d’ĂȘtre dupĂ©, il feint l’obĂ©issance et leur envoie des vivres, incluant une grande quantitĂ© de vin, et prĂ©tend qu’il leur remettra la ville le lendemain. Or, il attaque le camp ennemi en plein milieu de la nuit, alors que ces derniers sont hors d’état de se dĂ©fendre parce qu’ils sont en plein sommeil ou en Ă©tat d’ébriĂ©tĂ© aprĂšs avoir consommĂ© le vin offert par les Byzantins. Ce qui s’ensuivra sera davantage un massacre qu’un vrai affrontement entre deux armĂ©es. AprĂšs l’attaque, ManiakĂšs fait couper le nez et les oreilles des cadavres ennemis pour les prĂ©senter Ă  l’empereur qui rĂ©compensera son acte en le nommant catĂ©pan de Vaspourakan[9].

La prise d'Édesse

La saisie d'Édesse en Syrie par l'armĂ©e byzantine et la contre-attaque des Arabes, dans le Chronique de Skylitzes.

C’est sous l’empereur Romain III Argyre, en 1032, que la renommĂ©e de ManiakĂšs dĂ©bute. Alors commandant des citĂ©s de l’Euphrate, il part de sa rĂ©sidence de Samosate et tente de prendre la ville d’Edesse. La ville est sous la domination des seldjoukides et son contrĂŽle est confiĂ© par l’émir de Martyropolis Ă  un gouverneur turc du nom de Sulayman Ibn Al Kurgi[2]. Essuyant de nombreuses dĂ©faites face aux Byzantins, Sulayman finit par rendre la ville au milieu de la nuit, sous promesse de recevoir richesses et honneurs[2]. AussitĂŽt que les Byzantins entrent dans la ville, ManiakĂšs prend trois forteresses lourdement fortifiĂ©es afin de repousser efficacement l’émir, sachant que ce dernier rĂ©agira Ă  la perte d’Edesse[2].

À la suite de la dĂ©faite de Sulayman Ibn Al Kurgi, l’émir de Martyropolis, Nasr ad-Dawla ibn Marwan, va lui-mĂȘme guider une force armĂ©e pour assiĂ©ger les forteresses, mais sans succĂšs devant la dĂ©fense de ManiakĂšs, il rĂ©cupĂšre le plus de richesses possible et abandonne finalement la rĂ©gion, car il lui semble impossible de la reprendre[2].

Georges ManiakĂšs peut maintenant prendre possession de la ville d’Édesse en prenant la forteresse qui se trouve en son centre[2]. Sa conquĂȘte accomplie, il est chargĂ© de gouverner la rĂ©gion. En prenant les richesses de la ville, il trouve un ensemble de deux lettres Ă©crites en syriaque, qui sont une correspondance entre JĂ©sus-Christ lui-mĂȘme, et le roi Abgar[2]. Cet item de grande valeur sera envoyĂ© Ă  l’empereur. Le tribut annuel que doit verser ManiakĂšs Ă  l’empereur, en tant que gouverneur de la ville d’Edesse, s’élĂšve Ă  cinquante livres d’or[10].

La conquĂȘte de la Sicile

En 1034, ManiakĂšs est envoyĂ© par l’empereur Michael IV Ă  Vaspourakan en tant que gouverneur[11].

En 1035, Apolaphar Mouchoumet, le gouverneur de la Sicile, dĂ©tenteur du titre de magistĂšre Ă  la suite de la conclusion d’une alliance avec l’empereur byzantin, demande l’aide de ses alliĂ©s byzantins, car il est dĂ©fait face Ă  une rĂ©volte menĂ©e par son frĂšre Apochaps. C’est le gĂ©nĂ©ral Georges ManiakĂšs qui est chargĂ© de venir en aide Ă  Apolaphar[12].

Les Byzantins sont retardĂ©s et plusieurs annĂ©es s’écoulent avant que ManiakĂšs n’arrive en Sicile, soit en 1038. Ce dĂ©lai entre le dĂ©part de Constantinople et l’arrivĂ©e en Italie de ManiakĂšs semble ĂȘtre dĂ» au fait qu’il devait rassembler ses troupes, il Ă©tait notamment accompagnĂ© par Harald Hardrara[13]. Entre-temps, Apolaphar se rĂ©concilie avec son frĂšre. Conscients que ManiakĂšs et son armĂ©e arriveront bientĂŽt, les deux frĂšres font appel Ă  un alliĂ© carthaginois du nom de Abdallah ben al-Mu’izz, afin de le repousser[14]. Ce sont les Byzantins qui sortent vainqueurs de cette confrontation, et les Carthaginois seront contraints de prendre la fuite. Petit Ă  petit, ManiakĂšs entreprend de conquĂ©rir de petites villes siciliennes jusqu’à dominer presque toute l’üle, incluant Syracuse, oĂč vivait un grand nombre de Grecs. Partout oĂč il passe, Georges prend bien soin de faire bĂątir une citadelle et d’y laisser suffisamment d’hommes pour repousser toutes tentatives locales de reprendre les villes conquises[15].

L’émir carthaginois, Abdullah ben al-Mu’izz, revient plus tard et fait camper ses troupes sur une plaine nommĂ©e DraginaĂŻ, aujourd’hui Troina. Cette fois, ManiakĂšs est bien dĂ©cidĂ© Ă  ne pas laisser le commandant ennemi s’échapper. Il charge son officier commandant des flottes, Stephen, le beau-frĂšre de l’empereur, de dĂ©fendre les cĂŽtes et de ne laisser aucun ennemi fuir. Une fois de plus ManiakĂšs parvient Ă  vaincre les Carthaginois, mais l’émir parvient Ă  prendre la fuite par la voie maritime, malgrĂ© les prĂ©cautions des Byzantins[16].

Georges ManiakÚs (au centre, tenant un fouet) réprimande Stephan, dans la Chronique de Skylitzes.

Dans un Ă©lan de colĂšre, et tenant Stephen responsable de la fuite du commandant ennemi, le gĂ©nĂ©ral Byzantin insulte et frappe le beau-frĂšre de l’empereur Ă  rĂ©pĂ©tition[17]. L’officier insultĂ© profite de sa relation avec le pouvoir impĂ©rial et fait parvenir une missive Ă  Jean l’Orphanotrophe, qui est aussi le frĂšre de l'empereur et donc le beau-frĂšre de Stephen[18]. Dans cette lettre, il accuse faussement le gĂ©nĂ©ral d’entretenir des idĂ©es de rĂ©bellion envers l’empire. À la suite de ces accusations, ManiakĂšs sera ramenĂ© Ă  la capitale et y sera emprisonnĂ© en 1040[17]. La dĂ©fense de la Sicile est maintenant entre les mains de Stephen, mais ce dernier se rĂ©vĂšle ĂȘtre un commandant mĂ©diocre, et en une courte pĂ©riode de temps, la plupart des villes siciliennes prises par ManiakĂšs sont perdues[17].

Le retour en Italie

ManiakÚs est emmené à Constantinople, dans la Chronique de Skylitzes.

Durant l’emprisonnement de Georges, de nombreux envahisseurs profitĂšrent de l’incompĂ©tence des officiers byzantins maintenant chargĂ©s de la rĂ©gion. Mais arrive au trĂŽne, en 1041, l’empereur Michael V le Calfat, qui est le fils de Stephen[19], ce dernier est soucieux de reprendre la Sicile. Il libĂšre donc ManiakĂšs, puis le nomme MagistĂšre et commandant suprĂȘme de l’armĂ©e en Italie. Le gĂ©nĂ©ral fait route vers l’Italie avec un nombre de soldats insuffisant, mais parvient tout de mĂȘme Ă  chasser ses ennemis de la Sicile et y ramener l’ordre[20]. À peine arrive-t-il Ă  accomplir quoi que ce soit en Italie que, de nouveau, il se fera rappeler Ă  la capitale, sous de fausses accusations de trahison, qui sont le rĂ©sultat de manigances orchestrĂ©es par un de ses ennemis, Romain SklĂ©ros[20].

Sa tentative d'usurpation et sa mort

L’empereur Constantin IX Monomaque arrive au pouvoir en 1042. Selon l’intellectuel Psellos, qui faisait partie de la cour de cet empereur et qui connaissait bien les exploits de ManiakĂšs, l’empereur a commis une erreur en nĂ©gligeant son gĂ©nĂ©ral et en ne le couvrant pas d’honneurs pour lui montrer qu’il porte une haute estime Ă  ses capacitĂ©s militaires. Pour Psellos, l’indiffĂ©rence de l’empereur pourrait avoir crĂ©Ă© un sentiment de rancune chez ManiakĂšs[21].

Le succĂšs de ManiakĂšs semble lui avoir attirĂ© beaucoup d’ennemis. Un d’entre eux Ă©tait Romain SklĂšros, dont la propriĂ©tĂ© en Anatolie avoisinait celle de ManiakĂšs. Une dispute en 1034 concernant les limites de leurs terrains finit de façon violente, et ManiakĂšs tente de le tuer, en vain[7]. La sƓur de Romain, Maria, se trouve ĂȘtre la maĂźtresse de l’empereur Constantin IX. Ainsi, quand Constantin IX arrive au pouvoir, SklĂšros rĂ©ussit Ă  acquĂ©rir le rang de magistĂšre et a une certaine influence sur l’empereur[7]. Romain a encore de la rancune envers ManiakĂšs et comme ce dernier est absent, en campagne militaire, SklĂšros dĂ©cide de piller les villages se trouvant sur la propriĂ©tĂ© du gĂ©nĂ©ral ainsi que de sĂ©duire sa femme[7]. L’annĂ©e suivante, il entreprend de miner la position du gĂ©nĂ©ral Ă  la cour et parviendra Ă  lui faire perdre sa position de MagistĂšre ainsi que son haut rang militaire, en plus de le faire convoquer Ă  la capitale par l’empereur[7].

Pour savourer sa victoire, SklĂšros dĂ©cide d’aller lui-mĂȘme Ă  la rencontre de Georges afin de lui annoncer sa rĂ©trogradation[7]. Dans sa colĂšre envers son ennemi, le gĂ©nĂ©ral le tue en le faisant suffoquer avec de la bouse[7]. Sachant que seul l’emprisonnement l’attend s’il se rend Ă  la capitale, il dĂ©cide de dĂ©tourner l’armĂ©e impĂ©riale qu’il commande, chose qui se fait aisĂ©ment car son nom inspire l’admiration des soldats autour de lui, ces derniers le proclament mĂȘme empereur[22] - [23]. Alors que ManiakĂšs est en marche vers la capitale impĂ©riale, un Ă©missaire qui n’a aucune expĂ©rience diplomatique, le protestataire Pardos[7], apparaĂźt devant lui. L’envoyĂ© impĂ©rial a pour mission de garantir le pardon si ManiakĂšs cesse tout de suite sa rĂ©volte, mais il n’en fait rien et dĂ©cide plutĂŽt d’insulter et de faire Ă©tat des nombreux chĂątiments qui attendent le gĂ©nĂ©ral[24]. ManiakĂšs voit dans le comportement de l’émissaire la confirmation de ses soupçons et tue l’ambassadeur[25]. Il est maintenant dĂ©cidĂ© Ă  bel et bien attaquer l’empereur. Constantin IX est contraint de mettre sur pied une grande armĂ©e pour contrer l’usurpateur, mais il ne veut pas risquer que le gĂ©nĂ©ral de cette armĂ©e se rĂ©volte Ă  son tour, c’est pourquoi il nomme comme responsable de ces troupes un eunuque, le sĂ©bastophore Étienne Pergamos[7], qui lui est fidĂšle mais est inexpĂ©rimentĂ© en affaires militaires[23].

ManiakĂšs a vent de la mobilisation d’une grande armĂ©e pour le contrer, et dĂ©cide de surprendre la troupe envoyĂ©e par la capitale en allant lui-mĂȘme Ă  sa rencontre, prĂšs d’Ostrovo, en Bulgarie[26]. Ses soldats sont majoritairement des vĂ©tĂ©rans, tandis que le commandant ennemi est inexpĂ©rimentĂ©. Ses adversaires sont donc mal organisĂ©s, faisant en sorte que Georges et ses troupes dominent la totalitĂ© de la confrontation[26]. Mais ManiakĂšs est inexplicablement blessĂ© mortellement lors du combat. L’auteur de ce coup dĂ©cisif n’est pas connu, et plusieurs histoires confectionnĂ©es apparaĂźtront pour expliquer comment l’usurpateur a trouvĂ© la mort. l’historien AristakĂšs de Lastivert considĂ©rera plus tard que la mort de ManiakĂšs ne fut rien d’autre que la manifestation de la volontĂ© divine[27].

Certains soldats de ManiakĂšs parviendront Ă  prendre la fuite, tandis que la majeure partie se joindra Ă  l’armĂ©e impĂ©riale. La tĂȘte du gĂ©nĂ©ral sera envoyĂ©e Ă  l’empereur et un triomphe sera cĂ©lĂ©brĂ© Ă  Constantinople. L’empereur dĂ©filera avec ses soldats victorieux, exposant la tĂȘte coupĂ©e de l’usurpateur et faisant dĂ©filer de façon humiliante les troupes vaincues et capturĂ©es[28].

En mourant, ManiakĂšs laisse une femme habitant Ă  Syracuse, Teopapa, ainsi qu'un fils, Crisafo (parfois appelĂ© Crisafo Maniace). Ce Crisafo occupe ensuite de hautes fonctions de dignitaire de l'Empire byzantin en Sicile et se transfert Ă  Messine oĂč il Ă©pouse Eudoxia de LĂ©on. Ensemble, ils seraient les ancĂȘtres de la famille noble des Crisafi qui donna de nombreux gouverneurs de la ville de Messine, des archevĂȘques ainsi que les barons de Linguaglossa et comtes de Terranova[29] - [30].

Notes et références

  1. Benedikt SigurĂ°ur Benedikz, The Varangians of Byzantium, Cambridge Univ. Press, , 260 p. (ISBN 978-0-521-03552-1 et 0-521-03552-X, OCLC 845176382), p. 78
  2. Skylitzes (trad. John Wortley), p. 365.
  3. The Oxford dictionary of Byzantium/ 2, [Esot - Nika]., Oxford Univ. Pr, , 728 p. (ISBN 978-0-19-504652-6, OCLC 311413580)
  4. Michael Psellos et Émile Renauld, Chronographie, ou histoire d'un siùcle de Byzance (976-1077) Tome II, Paris, Les belles lettres, , p. 1-2
  5. Benedikt SigurĂ°ur Benedikz, The Varangians of Byzantium, Cambridge Univ. Press, , 260 p. (ISBN 978-0-521-03552-1 et 0-521-03552-X, OCLC 845176382), p. 54,62
  6. Bradbury, Jim (1937- )., The Routledge companion to medieval warfare, Routledge Taylor & Francis Group, , 381 p. (ISBN 978-0-415-22126-9, OCLC 891215027), p. 105,153
  7. (en) « Prosopography of the Byzantine World, Georgios Maniakes »
  8. Skylitzes (trad. John Wortley), p. 360.
  9. Skylitzes (trad. John Wortley), p. 361.
  10. Skylitzes (trad. John Wortley), p. 366.
  11. Skylitzes (trad. John Wortley), p. 374.
  12. Skylitzes (trad. John Wortley), p. 375-376.
  13. Skylitzes (trad. John Wortley), p. 376-378.
  14. Skylitzes (trad. John Wortley), p. 380.
  15. Skylitzes (trad. John Wortley), p. 382.
  16. Skylitzes (trad. John Wortley), p. 381-382.
  17. George Finlay, History of the Byzantine Empire, Volume 1, Blackwood, , p. 489
  18. « Prosography of the Byzantine World, Ioannes the Orphanotrophos, brother of Michael IV »
  19. Skylitzes (trad. John Wortley), p. 391.
  20. Skylitzes (trad. John Wortley), p. 402.
  21. Psellos (trad. Émile Renauld), p. 2.
  22. Skylitzes (trad. John Wortley), p. 403.
  23. Psellos (trad. Émile Renauld), p. 4.
  24. Psellos (trad. Émile Renauld), p. 3.
  25. Psellos (trad. Émile Renauld), p. 3-4.
  26. Psellos (trad. Émile Renauld), p. 5.
  27. Aristakes de Lastivert, Robert Bedrosian, History (lire en ligne)
  28. Psellos (trad. Émile Renauld), p. 6.
  29. (it) « La Casta Crisafi », sur Lupis.it (consulté le ).
  30. Giuseppe Galluppi, Nobiliario della città di Messina, (lire en ligne), « Crisafi », p. 68.

Bibliographie

Chroniqueurs contemporains de Georges ManiakĂšs
  • Michel Psellos : Michel Psellos et Émile Renauld, Chronographie, ou histoire d'un siĂšcle de Byzance (976-1077) Tome II, Paris, Les belles lettres,
  • Jean SkylitzĂšs : (en) Jean Skylitzes et John Wortley (trad.) (trad. du grec ancien), John Skylitzes : A Synopsis of Byzantine History, 811–1057 : Translation and Notes, New York, cambridge university press, , 491 p. (ISBN 978-0-521-76705-7)
Ouvrages sur l'Empire byzantin
Autres sources
  • Jim Bradbury, The Routledge companion to medieval warfare, Routledge Taylor & Francis Group, 2005 (ISBN 9780415221269)
  • Robert Bedrossian, AristakĂšs de Lastivert : History, 1985
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