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François-Gabriel Lépaulle

Guillaume François-Gabriel Lépaulle[1], né à Versailles le et mort à Ay le , est un peintre français de l'école de Barbizon.

François-Gabriel Lépaulle
François-Gabriel Lépaulle, Autoportrait (vers 1825),
localisation inconnue.
Naissance
Décès
(à 82 ans)
Ay (France)
Nom de naissance
François-Gabriel-Guillaume Lépaulle
Nationalité
Activité
Formation
Maître

Biographie

Élève de Regnault, de Vernet et de Bertin, François-Gabriel Lépaulle étudia tour à tour l’histoire, le genre et le paysage et peignit simultanément à peu près tous les genres. Entré en même temps à l’École des beaux-arts, il débuta au Salon de 1824 avec L’Invention de la lyre. Il a figuré depuis à toutes les expositions annuelles avec une profusion de sujets de toutes sortes, malgré de nombreux voyages en Espagne, en Italie, en Flandre, en Afrique et en Turquie.

Salons et expositions

  • Salon de Paris :
    • 1824 : L’Invention de la lyre ;
    • 1857 : Le Maréchal Leroy Saint-Arnaud ;
    • 1861 : Le Rêve d’amour ; Chasse ;Madeleine ; Portrait de Caroline Miolan-Carvalho ;
    • 1863 : Victor-Emmanuel ; Le Général comte de Pontwès ; Tamberlick dans le rôle de Poliuto ;
    • 1864 : Rendez-vous de chasse de l’Empereur à Pierrefonds ; plusieurs portraits ;
    • 1865 : deux portraits ;
    • 1866 : deux portraits ;
    • 1868 : Chasse à courre ; Portrait ;
    • 1869 : Le Pape visitant des prisonniers garibaldiens ; deux portraits.
  • Salon de la Société des amis des arts de Lyon de 1840 : Ariane abandonnée.
  • Exposition universelle de 1855 : Le Maréchal Leroy Saint-Arnaud.

Œuvre

Parmi toutes ces scènes tragiques, humoristiques, ces vues pittoresques, ces portraits d’artistes ou d’hommes politiques, qu’il exécutait pendant ses incessants voyages, bien peu eurent un vrai mérite. Il eut cependant de hautes relations, car il est représenté aux galeries de Versailles par les portraits en pied de l’Amiral de Rigny, du duc de Plaisance, de Napoléon III (1853 et de nombreuses autres personnalités.), et travaillé à la décoration intérieure de Saint-Merry.

On lui doit encore les peintures de la chapelle Saint-Vincent-de-Paul à l’église Saint-Merry.

Collections publiques

Collections particulières

  • Chevaux à l'écurie, huile sur toile, 35 × 41 cm, Galerie Fréderick Chanoit[2]



Notes et références

  1. Aussi orthographié « Lépaule ».
  2. Françoise Deflassieux, « Fête équestre au Quartier Drouot », Connaissance des arts, , p. 138

Annexes

Bibliographie

  • Gustave Vapereau, Dictionnaire universel des contemporains, 5e éd., Paris, Hachette, p. 1144.

Liens externes

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