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Enrique Peña Nieto

Enrique Peña Nieto, nĂ© le Ă  Atlacomulco, est un homme d'État mexicain. Membre du Parti rĂ©volutionnaire institutionnel, il est prĂ©sident de la RĂ©publique de Ă  .

Enrique Peña Nieto
Illustration.
Enrique Peña Nieto en 2013.
Fonctions
PrĂ©sident des États-Unis mexicains
–
(6 ans)
Élection 1er juillet 2012
Gouvernement Peña Nieto
Prédécesseur Felipe Calderón
Successeur Andrés Manuel López Obrador
Gouverneur de l'État de Mexico
–
(5 ans, 11 mois et 30 jours)
Prédécesseur Arturo Montiel Rojas
Successeur Eruviel Ávila Villegas
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Atlacomulco (État de Mexico, Mexique)
Nationalité mexicaine
Parti politique Parti révolutionnaire institutionnel
Conjoint MĂłnica Pretelinia (1993-2007)
Angélica Rivera (2010-2019)
DiplÎmé de Université panaméricaine
Profession avocat
Religion Catholicisme
RĂ©sidence Los Pinos

Signature de Enrique Peña Nieto

Enrique Peña Nieto Enrique Peña Nieto
Gouverneurs de l'État de Mexico
PrĂ©sidents des États-Unis mexicains

Biographie

DĂ©putĂ© au CongrĂšs de l'État de Mexico

En 2003, Peña Nieto est Ă©lu dĂ©putĂ© du district XIII, Ă  Atlacomulco, au CongrĂšs de l'État de Mexico pour la LVe lĂ©gislature. Entre et , il est coordinateur du groupe parlementaire du Parti rĂ©volutionnaire institutionnel (PRI) et prĂ©side l'AssemblĂ©e de coordination politique.

Gouverneur de l'État de Mexico

Le , le PRI lance le processus pour la dĂ©signation du candidat au poste de gouverneur de l'État de Mexico. Les candidats dĂ©clarĂ©s sont, outre Peña Nieto, Guillermo GonzĂĄlez MartĂ­nez, Oscar Gustavo CĂĄrdenas Monroy, Jaime VĂĄzquez Castillo, Eduardo Bernal MartĂ­nez, Ferdinand Alberto GarcĂ­a Cuevas, CuauhtĂ©moc GarcĂ­a Ortega, Isidro Pastor Medrano, Enrique Jacob Rocha, HĂ©ctor Luna de la Vega et Carlos Hank Rhon. En avril 2005, Enrique Peña Nieto est dĂ©signĂ© comme le candidat unique du PRI et de son partenaire de coalition, le Parti vert Ă©cologiste du Mexique.

Le , il est Ă©lu gouverneur de l'État de Mexico en obtenant 49,2 % des voix, largement devant ses adversaires du PAN et du PRD. Il exerce cette fonction entre le et le [1].

Candidat à la présidence de la République

Le 17 décembre 2011, il reçoit l'investiture comme candidat unique du PRI pour l'élection présidentielle du 1er juillet 2012, à l'issue de laquelle il est élu en obtenant 38,21 % des voix devant son principal adversaire Andrés Manuel López Obrador. Il est officiellement proclamé président élu le , aprÚs un rejet du recours en annulation de l'élection présidentielle[2] - [3].

Président de la République

Il prend ses fonctions de président de la République le et forme immédiatement son gouvernement.

Politique Ă©trangĂšre

En janvier 2015, le prĂ©sident amĂ©ricain Barack Obama renouvelle son engagement Ă  aider militairement l'État mexicain dans sa lutte contre les cartels de la drogue[4]. En aoĂ»t 2016, le prĂ©sident mexicain invite Donald Trump, alors candidat Ă  la prĂ©sidence des États-Unis, dans son pays. Le candidat rĂ©publicain Ă©tant opposĂ© Ă  un rapprochement États-Unis-Mexique, sa visite est vue comme une humiliation et suscite la polĂ©mique dans le pays. Le 11 novembre 2016, Enrique Peña Nieto se dit « trĂšs optimiste » par rapport Ă  la nouvelle relation qui liera les États-Unis du prĂ©sident Trump rĂ©cemment Ă©lu au Mexique, affirmant qu'« un dialogue constructif » entre les deux pays permettra la prospĂ©ritĂ© de leurs deux sociĂ©tĂ©s[5].

Enrique Pena Nieto entreprend un rapprochement avec le gouvernent israĂ©lien, rencontrant Benyamin Netanyahou en septembre 2017 et signant avec lui plusieurs accords renforçant les liens et la coopĂ©ration entre les deux pays. Il prend position en faveur d’IsraĂ«l dans le cadre du conflit israĂ©lo-palestinien, s'engageant Ă  soutenir ce pays Ă  l'ONU et dans d’autres organismes internationaux. Quelques tensions Ă©taient cependant apparues Ă  la suite du soutien du Premier ministre israĂ©lien au projet du prĂ©sident amĂ©ricain de faire construire un mur Ă  la frontiĂšre avec le Mexique[6].

Ses relations sont bonnes avec le prĂ©sident français François Hollande. Il reçoit de celui-ci la grand-croix de la LĂ©gion d’honneur en 2014[7] - [8].

Politique Ă©conomique

Dans le domaine économique, il fait modifier la Constitution mexicaine de façon à introduire une privatisation du secteur pétrolier, nationalisé depuis 1938 par le président Låzaro Cårdenas[9].

En novembre 2013, alors que le taux d'obĂ©sitĂ© chez les adultes mexicains est plus Ă©levĂ© au Mexique qu'aux États-Unis, il impose une nouvelle taxe sur les produits sucrĂ©s[10].

Le Mexique est confronté sous sa présidence à une hausse de la pauvreté (53,2 % de la population en 2014 contre 51,6 % en 2012 selon la Cepal) et des inégalités (baisse de 3,5 % des revenus des ménages entre 2012 et 2014 tandis que les quatre plus grandes fortunes détiennent désormais 9,5 % du PIB)[11].

Augmentation de la criminalité

En 2014, il lance l'initiative de former une gendarmerie nationale[7].

La banche française d'Amnesty International souligne en 2014, à l'occasion de la visite à Paris d'Enrique Peña Nieto, les nombreuses exactions imputables à la police et à l'armée au Mexique. Les disparitions forcées, la torture et les détentions arbitraires sont des pratiques répandues[7].

Le massacre d'Iguala en 2014 (assassinat de 43 Ă©tudiants de gauche de l'Ă©cole normale d'Ayotzinapa par une organisation criminelle avec la collaboration probable de la police) est devenu emblĂ©matique de l’insĂ©curitĂ©, de l’impunitĂ© et de la collusion des pouvoirs au Mexique. Des enquĂȘteurs internationaux ont suggĂ©rĂ© que des membres haut placĂ©s de l'administration du prĂ©sident Peña Nieto Ă©taient impliquĂ©s. Une enquĂȘte dirigĂ©e par le Groupe interdisciplinaire d'experts indĂ©pendants (GIEI) a rĂ©vĂ©lĂ© l'existence Ă  Iguala d'un centre d'opĂ©rations stratĂ©giques Ă  travers lequel la police, l'armĂ©e et le ministĂšre public gĂ©nĂ©ral surveillaient les Ă©tudiants d'Ayotzinapa bien avant les meurtres. L'Ă©cole figurait sur une liste confidentielle des organisations constituant une « menace pour la sĂ©curitĂ© nationale » remise au chef de l’État par ses conseiller[12]. AprĂšs la fin de l'administration Peña Nieto, l’ex-procureur gĂ©nĂ©ral Jesus Murillo Karam et le juge chargĂ© de l’enquĂȘte Tomas Zeron, tous deux proches du gouvernement, sont recherchĂ©s pour « disparition forcĂ©e, torture et dĂ©lits contre l’administration de la justice » Ă  la suite de la publication d’un rapport d’une commission officielle qui a qualifiĂ© cette affaire de « crime d’État », des preuves ayant Ă©tĂ© falsifiĂ©es[13].

En 2017, les mĂ©dias indiquent que le Mexique est le deuxiĂšme pays le plus dangereux du monde, aprĂšs la Syrie. Selon les chiffres officiels, les journalistes sont plus souvent menacĂ©s par les forces de police que par les cartels de la drogue ou les petits dĂ©linquants[14]. Le pays connait en outre une augmentation considĂ©rable de la criminalitĂ©, avec des meurtres en hausse de 58 % depuis l’arrivĂ©e au pouvoir de Peña Nieto[15].

Popularité et élections

En juin 2015, Ă  la suite des Ă©lections de mi-mandat, Enrique Peña Nieto prĂ©serve une fine majoritĂ© de 33 % au CongrĂšs de l'Union[16]. D'aprĂšs The New York Times, prĂšs de deux milliards de dollars ont Ă©tĂ© utilisĂ©s par son gouvernement en cinq ans pour acheter les mĂ©dias – en partie en payant pour des publicitĂ©s en Ă©change d'une couverture favorable[14]. La presse, en particulier celle proche des milieux d'affaires, a largement soutenu son action[8].

Il devient le prĂ©sident le plus impopulaire de l'histoire du Mexique en raison des scandales de corruption Ă  rĂ©pĂ©tition, des violations des droits de l’homme et des mauvais rĂ©sultats Ă©conomiques de son administration[17]. Personnellement mis en cause pour l'achat d'une propriĂ©tĂ© d'une valeur de sept millions de dollars, connue comme la « Maison Blanche »[18], puis contestĂ© par d'imposantes manifestations contre l'augmentation des prix du carburant dĂ©cidĂ©e par son gouvernement (5 personnes sont tuĂ©es et 1 500 arrĂȘtĂ©es), sa popularitĂ© s'Ă©croule Ă  12 % d'opinions favorables en 2017[19].

Fin de mandat

Enrique Peña Nieto quitte ses fonctions présidentielles le tandis qu'Andrés Manuel López Obrador (Morena, centre gauche), vainqueur de l'élection présidentielle du précédent avec 53 % des voix, lui succÚde. Le candidat du PRI et ancien ministre des Finances de Peña Nieto, José Antonio Meade Kuribreña, a pour sa part rassemblé 16 % des voix lors de ce scrutin.

Enrique Peña Nieto s’exile Ă  Madrid Ă  partir de 2020, Ă©tant mis en examen au Mexique pour enrichissement illicite, blanchiment d'argent et pour dĂ©lits Ă  caractĂšre Ă©lectoral et patrimonial. Selon El PaĂ­s, l'ancien prĂ©sident mexicain est titulaire d'un « visa dorĂ© », un document accordĂ© par le gouvernement espagnol aux personnes qui investissent au moins 500 000 euros dans une propriĂ©tĂ© en Espagne, qu'il renouvelle en 2022 pour une durĂ©e de cinq ans. Il rĂ©side dans un quartier chic de la capitale espagnole oĂč il se consacrerait au golf selon la presse[20].

Controverses

Image et proximité avec les médias

Enrique Peña Nieto est accusĂ© d’utiliser Ă  son avantage son image, notamment son physique, pour charmer les Ă©lecteurs[21]. Il souhaite renvoyer l’image d’un mari faisant partie d'une famille parfaite, apparaissant rĂ©guliĂšrement avec sa femme, ancienne actrice de tĂ©lĂ©romans populaire au Mexique[22]. En 2012, le magazine Le Temps fait Ă©tat de contrats tenus secrets entre Enrique Peña Nieto et une chaine de tĂ©lĂ©vision populaire du Mexique afin de contribuer Ă  l’embellissement de son image publique[22]. Azam Ahmed fait mention de sommes exorbitantes dĂ©pensĂ©es en publicitĂ©[23]. Il aurait Ă©galement eu recours Ă  la censure de la presse[23] et Ă  la corruption entre son gouvernement et les journalistes locaux afin de faire taire tout commentaire nĂ©gatif[23]. Mais Ă  la fin de sa prĂ©sidence, son image n’évoque que la corruption et de l’inefficacitĂ©, et se voit Ă©cornĂ©e par l’assassinat des 43 Ă©tudiants d’Ayotzinapa[24]. Une autre raison du dĂ©clin de son image est qu’il n’assistait qu’aux rĂ©unions politiques ayant lieu dans les grandes villes cosmopolites du Mexique au lieu d’aller rendre visite aux zones pauvres du pays[24].

Le , le quotidien britannique The Guardian publie des informations dĂ©nonçant l'existence d'un accord entre le conglomĂ©rat multimĂ©dia Televisa et Enrique Peña Nieto sur des informations relatives Ă  lui-mĂȘme et Ă  LĂłpez Obrador aux Ă©lections fĂ©dĂ©rales mexicaines de 2006 dans l'objectif de favoriser le premier et porter prĂ©judice au second. Bien que les informations du Guardian correspondent Ă  d'autres faits et informations antĂ©rieurs, les documents et leur degrĂ© d'exactitude ou de vĂ©racitĂ© sont difficiles Ă  Ă©valuer[25] - [26]. En novembre 2012, l'institut Ă©lectoral fĂ©dĂ©ral rejette la pertinence juridique de ces accusations, affirmant qu'aucun acte illĂ©gal n'a Ă©tĂ© commis[27]. Le , Ă  la suite de sa participation au forum de l'universitĂ© ibĂ©ro-amĂ©ricaine, le mouvement Yo soy 132 est crĂ©Ă©[28] - [29]. Un de ses objectifs est (sauf pour les reprĂ©sentants de l'Institut technologique autonome de Mexico[30]) de s'opposer Ă  l'« imposition mĂ©diatique » opĂ©rĂ©e par Enrique Peña Nieto ou de tout autre candidat[29] - [31] - [32] - [33].

Affaire Banca Monex

Pendant la campagne Ă©lectorale pour la prĂ©sidence, le PRD et le PAN ont dĂ©noncĂ© l'achat de votes de la part du PRI[34]. L'unitĂ© de contrĂŽle de l'Institut fĂ©dĂ©ral Ă©lectoral (IFE) a confirmĂ© qu'une personne morale Ă  caractĂšre marchand avait financĂ© 9 924 comptes bancaires Ă©lectroniques, pour un montant total de 70 815 534 pesos. Selon le PRD et le PAN, ces fonds auraient Ă©tĂ© destinĂ©s Ă  payer la structure du PRI dans les bureaux de vote pour influencer illĂ©gitimement et illĂ©galement le vote des Ă©lecteurs. Cet avis a Ă©tĂ© garanti Ă  la suite de la dĂ©couverte de relations entre le PRI, Alkino et d'autres entreprises marchandes pour un montant de 66 millions de pesos distribuĂ©s par l'intermĂ©diaire de la banque Banca Monex. En janvier 2013, l'IFE valide l'avis de l'unitĂ© de contrĂŽle et a avisĂ© le PRI-PVEM qu'il recourait Ă  des opĂ©rations illicites pour le financement de la campagne d'Enrique Peña Nieto.

L'Ă©quipe de campagne de Peña Nieto a Ă©galement bĂ©nĂ©ficiĂ© des services du consultant politique controversĂ© Juan JosĂ© RendĂłn (qui avait auparavant contribuĂ© aux campagnes d'Álvaro Uribe, de Porfirio Lobo ou encore d'Henrique Capriles) et de son pirate informatique AndrĂ©s SepĂșlveda. Ce dernier, selon ses propres aveux, disposait avec son Ă©quipe de 600 000 dollars de budget pour manipuler les rĂ©seaux sociaux et crĂ©er un enthousiasme factice pour la campagne de Peña Nieto, injecter des logiciels espions dans les programmes informatiques des candidats adverses, et voler des plans de campagnes. AndrĂ©s SepĂșlveda est actuellement emprisonnĂ© en Colombie pour avoir, en relation avec la campagne prĂ©sidentielle d'Óscar Zuluaga, espionnĂ© des responsables politiques et militaires ; tandis que Juan JosĂ© RendĂłn est suspectĂ© d'avoir reçu de fortes rĂ©tributions financiĂšres des narcos-paramilitaires pour faire valoir leurs intĂ©rĂȘts auprĂšs des autoritĂ©s colombiennes[35] - [36].

Affaire Odebrecht

Selon les aveux de trois anciens responsables de l'entreprise brĂ©silienne Odebrecht, cette derniĂšre aurait injectĂ© 4 millions de dollars dans la campagne prĂ©sidentielle de Peña Nieto[37]. Elle aurait ensuite obtenu des contrats de Pemex (la compagnie pĂ©troliĂšre nationale mexicaine), alors dirigĂ©e par Emilio Lozoya, un proche collaborateur de Peña Nieto et cadre du PRI, qui aurait lui-mĂȘme touchĂ© personnellement 10 millions de dollars de la multinationale brĂ©silienne[38]. Il est arrĂȘtĂ© en fĂ©vrier 2020[39].

Selon des informations publiées par l'association Mexicains contre la corruption et l'impunité, Peña Nieto aurait rencontré quatre fois Marcelo Odebrecht, le principal dirigeant de l'entreprise, entre 2010 et 2014[38].

El Chapo

En novembre 2018, lors du procÚs du mafieux mexicain Joaquín Guzmån, dit El Chapo, il est accusé par l'avocat de ce dernier, tout comme son prédécesseur à la présidence, Felipe Calderón, d'avoir reçu lors de son mandat des millions de dollars du cartel de la drogue de Sinaola. Tous les mis en cause nient fermement[40].

Espionnage d'opposants politiques et de journalistes

De 2014 Ă  2017, quelque 15 000 personnes ont Ă©tĂ© ciblĂ©es par Pegasus, un logiciel espion piratant les tĂ©lĂ©phones mobiles. Cette surveillance de masse a coĂ»tĂ© des centaines de millions de dollars Ă  l’État mexicain. Les cibles Ă©taient des responsables politiques, des journalistes, des militants, des magistrats ou encore des diplomates[41] - [42]

Prix et distinctions

  • Prix de l'« Homme d’État de l’annĂ©e » en 2014 : « honore les dirigeants qui soutiennent la paix et la libertĂ©, par la promotion de la tolĂ©rance, la dignitĂ© humaine et les droits de l’homme ». Prix remis par la fondation Appeal of Conscience.

Annexes

Publications abordant Enrique Peña Nieto

  • (es) Enrique Olivares, El neopresidencialismo mexicano y Enrique Peña Nieto, Mexico, Plaza y ValdĂ©s, , 298 p. (ISBN 9786074023886, OCLC 769479587)
  • (es) Rafael RodrĂ­guez Castañeda, El lado oscuro de Enrique Peña Nieto, Mexico, Planeta, coll. « Temas de hoy », , 303 p. (ISBN 9786070711145, OCLC 797001137)
  • (es) Emeterio Guevara Ramos, Los medios en la democracia : Enrique Peña Nieto presidente, Bloomington, Palibrio, , 366 p. (ISBN 9781463335700, OCLC 805046136)
  • en2016">(es) Sanjuana MartĂ­nez (en), Soy la dueña : una historia de poder y avaricia, Mexico, Planeta, coll. « Temas de hoy », , 295 p. (ISBN 9786070736520, OCLC 986674473)
  • d2016">(es) Ricardo Ravelo GalĂł (d), En manos del narco : el nuevo rostro del crimen y su relaciĂłn con el poder, Mexico, Ediciones B, , 226 p. (ISBN 9786075291017, OCLC 1040585254)
  • (es) MartĂ­n Moreno, El derrumbe : retrato de un MĂ©xico fallido, Mexico, Aguilar, , 295 p. (ISBN 9786073148412, OCLC 967728978)
  • (es) Carmen del Pilar Loboguerrero Carrasco, Enrique Peña Nieto : el arquitecto del MĂ©xico posmoderno, Toluca, Conocimiento y Saber Siglo XXI, , 352 p. (ISBN 9786077647140, OCLC 1084814069)
  • (es) Daniel Kerner et Carlos Petersen, Aplauso perdido : anĂĄlisis del sexenio de Enrique Peña Nieto, Mexico, Turner, , 163 p. (ISBN 9786077711162, OCLC 1139836862)

Publications d'Enrique Peña Nieto

  • (es) Enrique Peña Nieto, MĂ©xico, la gran esperanza : un estado eficaz para una democracia de resultados, Mexico, Grijalbo, , 212 p. (ISBN 9786073107655, OCLC 970493640)

Références

  1. States of Mexico M-Z
  2. Peña Nieto officiellement élu au Mexique, Le Figaro, 31 août 2012.
  3. (en) « Mexico's Pena Nieto declared president, rival calls rally », AFP, 31 août 2012.
  4. Karl Baker, Jo Tuckman, Dan Roberts, « Obama backs Mexico government amid calls to suspend military aid », sur Theguardian.com,
  5. « Mexico tend la main à Donald Trump pour éviter le pire », sur lemonde.fr,
  6. « Mexico votera dorĂ©navant en faveur d’IsraĂ«l dans les instances internationales », sur fr.timesofisrael.com,
  7. Celia Guillon, « Peña Nieto, l'invité encombrant du 14 Juillet », sur Libération,
  8. Serge Halimi, « Saviez-vous qu'en Bolivie
 ? », sur Le Monde diplomatique,
  9. « Le Mexique privatise son pĂ©trole », Le Monde diplomatique,‎ (lire en ligne)
  10. (en) Sarah Boseley, « Mexico to tackle obesity with taxes on junk food and sugary drinks », sur Theguardian.com,
  11. « Mexique : le bilan accablant de Enrique Peña Nieto à un an des présidentielles », sur franceameriquelatine.org,
  12. Benjamin Fernandez, « Au Mexique, oĂč sont les « quarante-trois » ? », sur Le Monde diplomatique,
  13. « EnquĂȘte sur les Ă©tudiants disparus au Mexique : arrestation de l’ex-procureur gĂ©nĂ©ral », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  14. (en) Mark Weisbrot, « The Threats, Real and Imagined, of Mexico’s Election », sur The New York Review of Books,
  15. Mathieu Paris, « Mexique : un nouvel espoir pour la gauche latino-amĂ©ricaine ? », Bastamag,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  16. (en) « Mexican president Enrique Peña Nieto set to keep majority after midterms », sur Theguardian.com,
  17. « Mexique: Enrique Peña Nieto n'est pas Ă  la fĂȘte sur les rĂ©seaux sociaux », RFI,‎ (lire en ligne)
  18. (en) « Mexican President Peña Nieto apologizes for $7 million corruption scandal », UPI,‎ (lire en ligne)
  19. « AprobaciĂłn de Peña Nieto cae a un 12 por ciento, segĂșn encuesta », teleSUR,‎ (lire en ligne)
  20. « Poursuivi au Mexique, l'ex-président mexicain Nieto veut rester à Madrid », sur LEFIGARO,
  21. « C'est une rock star », La Presse,‎
  22. « Enrique Pena Nieto gagne la prĂ©sidence », eureka,‎
  23. Ahmed Azam, « Avec son Ă©norme budget de publicitĂ©, le gouvernement mexicain contrĂŽle », The New York Times,‎
  24. (es) Ruben Aguilar, « La comunicacion presidencial al final del sexenio », sur eleconomista.com.mx, (consulté le )
  25. InvestigaciĂłn y declaraciones de the guardian y televisa, 6 de junio de 2012.
  26. The guardian revela pacto Televisa-EPN, 6 de junio de 2012.
  27. (en) Jo Tuckman, « Mexican legal challenge to Enrique Peña Nieto's election win dismissed », sur Theguardian.com,
  28. (es) « Nacen los enojados mexicanos », sur EL PAÍS, (consultĂ© le ).
  29. « El ideario del movimiento mexicano '132' : no a Peña Nieto, no al voto nulo », sur El Mundo (consulté le ).
  30. http://www.animalpolitico.com/animal-electoral/2012/05/29/alumnos-del-itam-confirman-permanencia-en-yo-soy-132-pero-no-iran-contra-pena-nieto/
  31. (es) « El movimiento estudiantil mexicano se define contra el candidato Peña Nieto », sur EL PAÍS, (consultĂ© le ).
  32. (es) « Elecciones », sur Excélsior (consulté le ).
  33. (es) « La Silla Rota / Noticias esenciales de México », sur La Silla Rota (consulté le ).
  34. La Jornada, 28/Julio/2012
  35. « How to Hack an Election », sur Bloomberg.com (consulté le )
  36. C. N. N. Por, « J.J. Rendón renuncia a campaña de Santos por escåndalo de presunta mediación con narcos », sur CNNEspañol.com, (consulté le )
  37. (es) « La corrupciĂłn sacude de nuevo a Peña Nieto », EL PAÍS,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  38. « Caso de corrupciĂłn de Odebrecht salpica a presidente de MĂ©xico », TeleSur,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  39. « L’arrestation de l’ancien directeur de Pemex relance le volet mexicain de l’affaire Odebrecht », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  40. Alix Hardy, « Au procĂšs d'El Chapo, les autoritĂ©s au banc des accusĂ©s Â», Le Figaro, 1er-2 dĂ©cembre 2018.
  41. « Le Mexique, premier client de NSO Group, devenu un « gouvernement espion » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  42. « Informe revela espionaje de Gobierno mexicano a periodistas », teleSUR,‎ (lire en ligne)

Liens externes

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