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Emmanuel Adely

Emmanuel Adely est un écrivain français né à Paris en 1962.

Emmanuel Adely
Naissance
Paris 16e, France
Activité principale
Écrivain
Auteur
Langue d’écriture Français
Genres
Roman, nouvelles

Biographie

Emmanuel Adely publie son premier texte, Les Cintres, en 1993[1], à l'âge de 31 ans, aux éditions de Minuit. Il est depuis publié par divers éditeurs, dont les éditions du Seuil, éditions Stock, Joëlle Losfeld ou Actes Sud. Il écrit des romans, des nouvelles, des pièces radiophoniques, des films et vidéos, et donne des « lectures performées de ses textes[2] ».

Il mène parallèlement des ateliers d'écriture, dans les milieux carcéraux, professionnels, artistiques et scolaires[3].

En 2003, pour le magazine Lire, qui publie un article sur « Les élus des jeunes auteurs », il cite en premier lieu Thomas Bernhard, qui a été pour lui une « révélation[4] », puis « le Grec Thanassis Valtinos (el) et l'Américain Bret Easton Ellis ; pour les Français : Albert Cohen, Pierre Guyotat, et sans doute Patrick Modiano[4]. »

En 2014, il déclare : « L'écriture est une façon de comprendre l'autre, de dire l'autre, d'être l'autre (un moment - tout le temps). Parce que la vie ne suffit pas. Une vie ne suffit pas à être soi. Être celui que je ne suis pas, un étranger à moi-même, est un des moteurs de mes écritures : épuiser (dans le sens perequien du terme) le monde - en étant tous ses vivants : tous ceux que j'aurais pu être (cf encore une fois Sommes, 2009)[3]. »

Ses ouvrages

Les Cintres, sa première publication, paraît en 1993.

Pour son ouvrage Agar-Agar, publié en 1999, le magazine Le Matricule des anges écrit : « Le deuxième roman d'Emmanuel Adely saccage l'idéal du couple. Entre hystérie et pulsions meurtrières, la langue se fait implacable[5]. » Le magazine Lire souligne : « A côté de l' Inferno à la Strindberg, de la géhenne jouhandélienne, de l'enfermement à la Mirbeau, et de mille autres cellules de contention conjugale, Emmanuel Adely vient d'ouvrir sa propre succursale, fort réussie, et il nous la fait visiter dans son roman Agar-Agar[6]. »

En 2000 paraît Jeanne, Jeanne, Jeanne. L'avis critique du magazine Le Matricule des anges mentionne : « Dense et précise, la prose d'Emmanuel Adely ressasse indéfiniment, jusqu'à trouver la plus juste expression d'une douleur au fond de laquelle le narrateur plonge comme en apnée, jusqu'à ses plus sombres entrailles[7]. »

Mon amour est publié en 2005, et lors de sa parution, le magazine Lire écrit : « Depuis son premier récit, Les cintres (Minuit), l'écrivain se collette aux jeux narratifs. Déjà, dans Agar-agar (Stock), son héroïne hurlait « Aime-moi » à celui qui ne l'écoutait plus. Dans Jeanne, Jeanne, Jeanne (Stock), c'est à sa mère qu'il s'adressait dans une sorte d'enquête délirante. Mais dans ce dernier livre, le travail littéraire se plie totalement au sujet, aux personnages, brisant toutes les frontières pour offrir au lecteur des fragments bruts de l'existence et une vision de la société qui rejette les solitaires ou les ratés vers de lointains terrains vagues[8]. » Pour Le Matricule des anges, « Emmanuel Adely rend un hommage cruel à ceux qui, dévorés par le besoin d'aimer, cherchent encore à savoir comment[9] », et où, pour Le Magazine littéraire, « tous se heurtent à un problème séculaire et universel : la relation amoureuse[10] ». Pour le magazine L'Express , « À travers des dialogues croisés et de longs monologues intérieurs, Emmanuel Adely nous offre un roman polyphonique bouleversant[11] » et ajoute : « Le livre connaît un succès d'estime assuré quasi exclusivement par le bouche-à-oreille et un bon accueil des libraires[11] ».

Son ouvrage Genèse, en 2008, est sélectionné pour le Prix Wepler[12]. Le journal Libération précise : « le roman se présente tête-bêche, avec deux récits dans le même volume, deux couvertures : Genèse, sous-titré « Chronologie » et Genèse, sous-titré « Plateaux »[13] » et mentionne : « En fait, l’œuvre entière de ce romancier est une quête des origines, dont Genèse marquerait le terme[13]. »

Sommes, publié en 2009, « évoque le vol Rio-Paris abîmé en mer en juin 2009[14] », et est illustré d’œuvres de Roman Opałka.

Lors la parution de son ouvrage La Très Bouleversante Confession de l'homme qui a abattu le plus grand fils de pute que la terre ait porté, en 2014, il est choisi pour la couverture du magazine Le Matricule des anges[15], qui lui consacre un dossier[16], dont le sommaire mentionne : « Longtemps hanté par le mystère de sa naissance, il a trouvé dans la littérature une manière de vivre d’autres vies que la sienne. Son nouveau livre, La Très Bouleversante Confession..., vidange nos cerveaux des clichés qui l’obstruent[16]. » L'ouvrage est un « récit par un "Navy Seal" de l'opération qui amena un commando américain à tuer Oussama Ben Laden en 2011[14]. ». Le journal L'Humanité écrit : « Emmanuel Adely s’implante dans le cerveau d’un de ces guerriers, de ces anonymes, dont le corps, le cerveau, les armes sont des rouages à peine différenciés de l’impeccable machine à tuer de l’Occident. Ils sont les victimes de la société de consommation et la lame qu’elle dirige vers ceux qui la contestent[17] ». Selon l'avis critique de La Nouvelle Quinzaine littéraire : « Ni brûlots, ni pamphlets, ses livres sont des œuvres littéraires puissantes qui ne réduisent pas le dehors à un discours mais cherchent au contraire à réintroduire du mouvement et une complexité dans les images qu'elles nous proposent[14]. »

En 2016, il publie Je paie, qui, selon le journal L'Humanité est « une chronique de notre époque, non comme l’établirait un historien, mais éclairée par une subjectivité personnelle [...], une autobiographie minimaliste et gigantesque[2] » et dont l'avis critique mentionne : « En mettant au premier plan, nu et cru, l’argent, éternel refoulé du romanesque, Emmanuel Adely désigne un manque aveuglant, et propose un texte où la littérature se donne à voir sans masque[18]. » Pour le magazine Diacritik, l'ouvrage « est tout à la fois un journal d’écrivain, d’homme et de citoyen, une installation d’art contemporain, une archive sociologique et une confession (mais sans exposition complaisante de l’intime), un récit fascinant, une ample fresque à partir de petites « unités de valeur », matrices du récit et départs de fiction[19]. » Pour le site Mediapart, le roman est « Social. Politique. Intime[20] ». Je paie est sélectionné pour le Grand Prix SGDL de la fiction 2017[21].

Å’uvres

fictions

  • et sic in infinitum, Maison Malo Quirvane, dans la collection xviième, 2019
  • Je paie[2] - [18] - [19], éditions Inculte, 2016
  • La Très Bouleversante Confession de l'homme qui a abattu le plus grand fils de pute que la terre ait porté[14] - [17], éditions Inculte, 2014 ; rééd coll. « Babel » n° 1406, éd. Actes Sud, 2016 (ISBN 978-2-330-06678-9)
  • Sommes, illustré d’œuvres de Roman OpaÅ‚ka, éditions Argol, 2009
  • Cinq Suites pour violence sexuelle, Éditions Argol, 2008
  • Genèse[13], éditions du Seuil, 2008
  • J'achète, éditions Inventaire/Invention, 2007
  • Édition limitée, éditions Inventaire/Invention, 2007
  • Mon amour[8] - [9] - [11], éditions Joëlle Losfeld, 2005
  • Mad about the boy, éditions Joëlle Losfeld, 2003
  • Fanfare, éditions Stock, 2002
  • Jeanne, Jeanne, Jeanne[7], éditions Stock, 2000
  • Dix-sept Fragments de désir, éditions Fata Morgana, 1999
  • Agar-agar[5] - [6], éditions Stock, 1999
  • Les Cintres, éditions de Minuit, 1993

textes

  • Clichés, in revue "Mixte" n° 18, février 2017
  • [makijaÊ’], in revue "Mixte" n°17, novembre 2016
  • Le freak c’est chic, in revue "Mixte" n°16, septembre 2016
  • God bless America (Le Procès de William Jefferson Clinton), in collectif "En Procès", Inculte, avril 2016
  • Droit de vote, in L'Humanité, 20 juillet 2015
  • mororless, in revue "Décapage" no 53, été 2015
  • tous les jours ça, in revue "Espace(s)" no 11, mars 2015
  • Impression Péremptoires, in revue "Muscle" no 2, novembre 2014
  • Digestio Historiae, in "Magazine Littéraire", septembre 2014
  • la fiction est tout ce qui a lieu, in collectif "Devenirs du roman", Inculte, 2014
  • fondation, in revue "303", catalogue Estuaire, juillet 2012
  • Décanecdotes, in revue "Décapage" no 45, automne 2012
  • etsuacoloh, in "Face à Sebald", éditions Inculte, automne 2011
  • nevermore, in "Jamais", éditions moos/Brugger, octobre 2011
  • ie, collection PickPocket, on I-Phone, mai 2011
  • PlayLife, tiré à part de la revue "formation", de l'afpa, printemps 2011
  • opus 48, in revue "Décapage" no 43, printemps 2011
  • De Viris Illistribus, in "Cahier du Refuge" no 198, revue du Cipm, février 2011
  • HOMO MMIX, in "Overwriting", mars 2010
  • Vade mecum, in revue "Décapage" no 40, automne 2009
  • Still life, in "La Meute", éditions Lieu Unique / Coiffard, mai 2009
  • jardin à la française, in Runbook[22], mai 2009
  • No more reality - Éléments pour les années 00, 2007-2008-2009-2010[23]
  • je paierai je paierai je paierai comme j’ai payé, in Libération[24], 8 oct. 2008
  • BabyLand, Éditions Le Passager clandestin, juin 2008
  • (vous désire) (vous attend), in revue "Décapage" no 33, janvier 2008
  • Suite pour violences visuelles #1, in revue "Décapage" no 31, juin 2007
  • Le Couteau entre les dents, in revue "Inculte" no 12, 2007
  • Emo ergo sum 20 (extrait), in revue "Rhinocéros", automne 2006
  • Ce n’est que le début, on site net publie.net[25], 2009
  • Sarab, Éditions Jean-Claude Loubières, 2006
  • Au moins ces deux-là, in revue "Décapage" no 25, 2005
  • Par exemple arrêter, in revue "Décapage" no 24, 2005
  • Nous, in revue "Inculte" no 2, 2004
  • Hommage au corps, in "Lettres de résistances", Éditions Pocket, 2004
  • Violons, reblochon et cinéma, in revue "Écritures" no 13, 2001
  • Mektoub, in revue "Écritures" no 12, 2000
  • Monos pros monon, in revue "Écritures" no 9, 1997
  • Parfois je marche et la nuit aussi, in revue "Écritures" no 7, 1995
  • Vue du château B. avec l’Archimignon, in "45° Nord, Longitude 0", Éditions Mollat, 1995

design littéraire

  • Ce qui nous regarde, ensemble de neuf textes à écouter dans une nouvelle interaction entre spectateur et Å“uvres d’art, LVAN 2016
  • antichambre, création d’une chambre littéraire au Château du Pé avec l’artiste frédéric dumond, Saint-Jean-de-Boiseau, Estuaire 2012
  • A.P.R.V., Rimbaud et la Commune, Maison d’Arthur Rimbaud, Charleville-Mézières, 2004

films & vidéos

  • Kazakhstan, naissance d'une nation, réalisation Christian Barani et Guillaume Reynard, 2008
  • & Coutumes, vidéo, 2008 (collection est-ce une bonne nouvelle[26])
  • P.M.A.M.P.A.S.M.K.D.D., vidéo, 2008 (collection est-ce une bonne nouvelle)
  • Le Couteau entre les dents, vidéo, 2004 (collection est-ce une bonne nouvelle)
  • Mafish Durrell[27], réalisation Nicolas Barrié, 2003

pièces radio

  • Vaudeville, France-Culture, réalisation Claude Guerre, 1er mars 2002
  • Mad about the boy, France-Culture, réalisation Claude Guerre, 28 novembre 2001

textes critiques

  • Devenir bombe, autour de deux émissions consacrées l’une à Malraux et l’autre à Guyotat (Le Magazine Littéraire[28] avec la Maison des écrivains et de la littérature - M-e-l, l’Ina et le Petit Palais) octobre 2009
  • Suite pour violences visuelles #1, étude critique sur la télévision, in catalogue "Télémétries"[29], Nanterre 2007
  • Sans titre, étude critique sur le roman contemporain, in collectif "Devenirs du roman" Naïve-Inculte, 2007
  • L’équarrissage de la langue, étude critique # 2 de l’œuvre de Thanassis Valtinos, in revue "La lettre de la maison des écrivains" no 1, 2006
  • Les sirènes du port d’Alexandrie, étude critique du travail du vidéaste Nicolas Barrié, in revue "Turbulences vidéo" hiver 2005-2006
  • L’Illiade monstre, étude critique # 1 de l’œuvre de Thanassis Valtinos, in revue "Inculte" no 6, 2005

lectures performances (sélection)

  • La Très Bouleversante Confession de l’homme qui a abattu le plus grand fils de pute que la terre ait porté : Angers, décembre 2016 (avec la musicienne et cantatrice Claire Bergerault) / Montévidéo, Marseille, avril 2016 / Festival Sonorités, Montpellier, décembre 2014 / HAB, Nantes, novembre 2014 / Musée Commun, Paris, octobre 2014 / Palais de Tokyo, Paris, juin 2014 / Maison de la Poésie, Paris, mars 2014 / Montévidéo, Marseille, février 2014
  • Je paie : Festival Sonorités, Montpellier, octobre 2015
  • Sommes, : Espace de l’Art Concret, Mouans-Sartoux, octobre 2014 / Festival Ritournelles, Bordeaux, novembre 2013 / Le Grand R, La Roche sur Yon, avril 2013 / Le Phénix, Valenciennes, février 2013 / Festival Sonorités, Montpellier, 2010 / Maison de la Poésie, Paris, 2010 / Imec, Caen, 2010 / Montévidéo, Marseille, 2010 / Espace Khiasma, Les Lilas, 2009
  • le monde est tout ce qui a lieu : Clôture du Festival Hors Limites, Médiathèque de Saint-Ouen, avril 2013
  • Genèse : avec Gérard Desarthe, Théâtre La Roche sur Yon, septembre 2012 / La Terrasse de Gutenberg, Paris, 2008 / Mk2 Bibliothèque, Paris, 2008 (lectures à trois voix)
  • Tu vuo fa’ l’Americano, Musée d’Art Moderne, Paris, juin 2012
  • Cinq Suites pour violence sexuelle, Grand R, La Roche-sur-Yon, mai 2012 / Festival Poétiques, Saumur, 2010 / Lieu Unique, Nantes, 2008
  • In Memoriam, Soirée "Aux urnes, et caetera" avec revue Ravages et Radio Nova, La Cantine, Paris, avril 2012
  • No More Reality, Médiathèque de Drancy, printemps 2012 / Médiathèque de Bagnolet, printemps 2012 / Festival Perdu Gagné, Pantin, 2008 / Espace Khiasma, Les Lilas, 2008
  • Le Volume de la Vie, Galerie de l'Apocalypse, Angers, 2011
  • Présent, La Java, Paris, 2010, avec frédéric dumond, 2010
  • Mad about the boy, Galerie La Compagnie, Marseille, 2010 / Folie Wazemmes, Lille, 2004 (lectures à deux voix)
  • Chocolate City, Espace Khiasma, Les Lilas, 2008
  • Suite pour violence sexuelle #3, théâtre de l'Odéon, Paris, 2008
  • Édition limitée, Mk2 Bibliothèque, Paris, 2007
  • J'achète, Folie Inventaire/Invention 2007
  • Édition limitée, Ensci, Paris, 2006
  • Sarab, Galerie Paris Sud, 2006
  • Mon amour, Les Cahiers de Colette, Paris, 2005 (lecture à deux voix)
  • Vue du Château B. avec l’Archimignon, Capc, Bordeaux, 1994

Prix et distinctions

  • 2008 : Sélection Prix Wepler[12] pour Genèse
  • 2017 : Sélection Grand Prix SGDL de la fiction[21] pour Je paie

Bourses et aides à la création

Mentionnées sur le site culture.gouv.fr[3] jusqu'en 2014 :

  • Lauréat 2014 de la résidence d'écriture du Festival du livre de Mouans-Sartoux / Résidence du Conseil général de l’Oise 2005-2006 / Bourse d’aide à la création du Centre National du Livre 2004 / Lauréat Mission Stendhal à Palerme (Ministère des Affaires étrangères) 2003 / Lauréat Mission Stendhal à Alexandrie (Ministère des Affaires étrangères) 2000 / Bourse d’aide à la création du Centre National du Livre 1999 / Lauréat Mission Stendhal à Athènes (Ministère des Affaires étrangères) 1995 / Bourse d’aide à la création du Centre National du Livre 1994

Documentation

Références

  1. Fiche de Emmanuel Adely, sur le site de l'éditeur Inculte.
  2. Sophine Joubert, « Emmanuel Adely : « La seule subversion aujourd’hui est de ne rien acheter », article du journal L'Humanité, du 20 octobre 2016.
  3. Page sur Emmanuel Adely, site culture.gouv.fr de janvier 2014.
  4. Sean James Rose, « Les élus des jeunes auteurs », article du magazine Lire du 2 décembre 2003.
  5. Anne Riera, avis critique de Agar-Agar, magazine Le Matricule des anges N° 027 août-septembre 1999.
  6. Jean-Pierre Tison, « Cris d'une épouse délaissée », article du magazine Lire du 2 juin 1999.
  7. Anne Riera, avis critique de Jeanne, Jeanne, Jeanne, magazine Le Matricule des anges N° 032, septembre - novembre 2000.
  8. Christine Ferniot, « Des voix qui supplient », article du magazine Lire du 2 mars 2005.
  9. Camille Decisier, avis critique de Mon amour, magazine Le Matricule des anges N° 059, Janvier 2005.
  10. Jessica L. Nelson, article Le Magazine littéraire, de juin 2005.
  11. Fanny Guinochet, « Les polyphonies amoureuses », article du journal L'Express du 2 février 2005.
  12. Clément Solym, « Prix Wepler-Fondation La Poste : Pierre, Jack, mais surtout POL », article du site actualitte.com du 10 septembre 2008.
  13. Claire Devarrieux, « Il faut que genèse se passe », article du journal Libération du 29 mai 2008.
  14. Arno Bertina, « Cette si fragile virilité », article La Nouvelle quinzaine littéraire, du 2 mars 2014.
  15. Couverture du Magazine des anges n°152 - avril 2014, sur le site officiel.
  16. Sommaire du Magazine des anges n°152 - avril 2014, sur le site officiel.
  17. Alain Nicolas, « La parole vide des Marines « terriblement esthétiques » », article du journal L'Humanité du 13 février 2014.
  18. Alain Nicolas, « Est-ce ainsi que les hommes paient ? », article du journal L'Humanité du 20 octobre 2016.
  19. Christine Marcandier, « Emmanuel Adely : en avoir ou pas (Je paie) », article du magazine Diacritik du 26 octobre 2016.
  20. Dominique Conil, « Emmanuel Adely: «Je paie» (donc je suis) », article du site mediapart.fr du 11 octobre 2016.
  21. Antoine Oury, « Une deuxième sélection pour les Grands Prix SGDL 2017 », article du site actuallite.com du 30 mars 2017.
  22. « Des paysages - Aménagement du jardin et du potager », sur Des paysages (consulté le ).
  23. « "no more reality" - Emmanuel Adely », sur emmanueladely.free.fr (consulté le ).
  24. http://emmanueladely.free.fr/spip/IMG/gif/2008.10-libe-article.gif
  25. http://www.publie.net/tnc/spip.php?article239
  26. « Est-ce une bonne nouvelle », sur eubn.org.free.fr (consulté le ).
  27. « dailymotion.com/relevance/sear… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
  28. « Lire Magazine Littéraire, la passion des livres et des écrivains », sur Lire Magazine Littéraire (consulté le ).
  29. « Télémétries, artistes et télévision - Hacked By Bahxak & Luzgar », sur fredericdumond.free.fr (consulté le ).

Liens externes

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