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Dispositif intra-utérin

Le dispositif intra-utérin (DIU), ou stérilet, est un dispositif contraceptif réversible inventé en 1928 par Ernst GrÀfenberg. Il s'agit d'un petit objet actuellement le plus souvent en forme de T, inséré dans l'utérus par le vagin pour prévenir la fécondation et secondairement la nidation. Il est doté de fils destinés à en faciliter le retrait.

Coupe schématique représentant un dispositif intra-utérin en place (DIU) équipé de ses deux fils de retrait (DIU string).

Le dispositif est installé dans l'utérus (ou retiré) par un médecin ou un personnel médical qualifié et reste en place tant que la contraception est désirée (au maximum 5 à 10 ans suivant les modÚles).

Le DIU serait dĂ©sormais utilisĂ© par quelque 150 millions de femmes dans le monde entier[1] et constitue la mĂ©thode contraceptive temporaire la moins coĂ»teuse pour une utilisation Ă  long terme. Depuis le dĂ©but des annĂ©es 1960, Ă©poque Ă  laquelle les DIU Ă©taient fabriquĂ©s Ă  partir de matĂ©riaux inertes, ces dispositifs ont connu de nombreuses amĂ©liorations, notamment grĂące Ă  l’utilisation de cuivre, puis d’un systĂšme qui libĂšre un progestatif. Le DIU au cuivre peut Ă©galement ĂȘtre utilisĂ© en guise de mĂ©thode contraceptive d’urgence[1].

Les DIU ne protÚgent pas des infections sexuellement transmissibles malgré certaines idées reçues.

Historique

Un modÚle d'anneau de GrÀfenberg.

Le premier stĂ©rilet fut mis au point en 1929. ComposĂ© de fil de soie, et en forme d'anneau, il porte le nom de son inventeur, Ernst GrĂ€fenberg, qui l'amĂ©liore en y intĂ©grant un alliage de fils d'argent, contenant du cuivre Ă  son insu. Toutefois ce remplaçant des pessaires a du mal Ă  convaincre les gynĂ©cologues d'alors. En 1959, deux communications sur de bons rĂ©sultats obtenus en IsraĂ«l et au Japon relancent l'intĂ©rĂȘt pour ce mode contraceptif. En IsraĂ«l, l'Ă©tude compare l'efficacitĂ© d'un anneau d'argent et d'un anneau de crin tandis qu'au Japon, un anneau mĂ©tallique, dit anneau d'Ota, est concurrencĂ© par un DIU en polyĂ©thylĂšne. L'obstĂ©tricien Lazar C. Margulies (en) imagine en 1960 un stĂ©rilet en plastique en forme de spirale, tandis que Jack Lippes en 1962 lui donne une forme de double S et y adjoint deux fils de nylon pour pouvoir le retirer. Le modĂšle en plastique devient le plus utilisĂ©[2].

Le modÚle en plastique Dalkon Shield, utilisé dans les années 1970.

Aux États-Unis, dans les annĂ©es 1970, le procĂšs du Dalkon Shield met un coup d'arrĂȘt provisoire Ă  leur utilisation. Les stĂ©rilets furent interdits aprĂšs avoir causĂ© plusieurs morts indirectes en augmentant le risque de contracter des infections utĂ©rines qui peuvent ĂȘtre fatales. Les DIU modernes sont plus sĂ»rs et les complications rares[3].

L'expression « dispositif intra-utérin » est désormais préférée au mot « stérilet »[4]. En effet, la désignation « stérilet » tend à suggÚrer un effet stérilisateur, que les DIU n'ont pas, bien que des effets sur la fertilité aient été mis en évidence[5].

Types et indications

Le DIU au cuivre

TĂȘte de DIU Ă  fil de cuivre.

Ces dispositifs intra-utérins se présentent habituellement sous un nom composé d'une marque commerciale et d'un nombre. Le nombre correspond approximativement à la surface recouverte de cuivre, et exprimée en mm2. Le DIU au cuivre est indiqué comme une méthode de contraception alternative aux contraceptifs hormonaux, notamment aux méthodes de contraception orale en prévention de leurs effets indésirables à court ou long terme.

Un DIU au cuivre peut rester en place avec la mĂȘme efficacitĂ© pendant une pĂ©riode de 5 Ă  10 ans selon les modĂšles. Les donnĂ©es d'efficacitĂ© Ă  grande Ă©chelle, dans des Ă©tudes randomisĂ©es par plusieurs centres internationaux et dans des Ă©tudes comparatives non randomisĂ©es sur le long terme avec le GyneFix 330 version standard et avec le GynĂ©fix 220 version rĂ©duite, ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es sur 15 000 annĂ©es-femmes exposition nullipares et multipares. Elles dĂ©montrent que ces DIU sont des systĂšmes de contraception intra-utĂ©rine de trĂšs grande efficacitĂ©.

Les taux d'échec varient de 0 % à 2,5 % (en taux cumulés) de la premiÚre année jusqu'à 9 années. Cette efficacité à long terme a été confirmée dans un essai clinique comparable et randomisé par l'Organisation mondiale de la santé[6]. Toutefois il s'agit de moyennes, et l'efficacité est moindre lorsque la surface de cuivre diminue. Le modÚle Nova T 200, qui ne contenait pas assez de cuivre et dont l'efficacité chutait à 94 % aprÚs trois ans (il était pourtant posé pour 5 ans), a été retiré du marché en 2007[7]. En 2019, le Vidal ne répertorie que des modÚles 375 et 380.

Couramment nommé « stérilet classique », celui-ci a un double effet :

  1. d'une part le cuivre a un effet spermicide qui le rend contraceptif[8] ;
  2. d'autre part, le DIU constitue un corps Ă©tranger dans l'utĂ©rus, qui empĂȘche la nidation (effet contragestif)[9]. Toutefois les mĂ©canismes d'action exacts ne sont pas connus, et le Vidal indique en 2019 : « L'effet contraceptif repose probablement sur une rĂ©action inflammatoire stĂ©rile Ă  corps Ă©tranger qui a lieu dans l'utĂ©rus. Il est observĂ© une augmentation intra-utĂ©rine et intra-tubaire des globules blancs, des prostaglandines et d'enzymes. Ces modifications influencent la mobilitĂ© des spermatozoĂŻdes dans les voies gĂ©nitales et limitent ainsi leur capacitĂ© de fĂ©condation. Le nombre de spermatozoĂŻdes dans les trompes utĂ©rines, lieu de la fĂ©condation, est diminuĂ© chez les femmes qui utilisent un DIU au cuivre par rapport Ă  celles qui n'utilisent pas de DIU au cuivre. Par consĂ©quent, le mode d'action essentiel de cette mĂ©thode repose vraisemblablement sur une modification de la qualitĂ© des spermatozoĂŻdes et des ovules avant la fĂ©condation. »[10].

La plupart des femmes peuvent recourir à un DIU[8]. Cependant, des contre-indications existent. La pose d'un DIU est ainsi déconseillée aux femmes qui présentent[1] :

  • des saignements utĂ©ro-vaginaux inexpliquĂ©s ;
  • une grossesse Ă©ventuelle ;
  • une infection pelvienne aigĂŒe ;
  • une malformation de l'utĂ©rus incompatible avec la pose d'un DIU ;
  • une allergie au cuivre ou Ă  un autre des composants du DIU.

Contrairement aux idées reçues il n'y a aucune contre-indication à la pose d'un DIU chez une patiente nullipare[11], dans ce cas le DIU est plus petit (short au lieu de standard), puisque l'utérus l'est aussi.

Le DIU au cuivre peut rendre les menstruations plus abondantes ou plus douloureuses chez certaines femmes, en particulier pendant les premiers mois aprĂšs l'insertion.

Certains types de DIU, comme le GyneFix 330 (constitué de 6 manchons de cuivre) ou GyneFix 220 (4 manchons)[12] sont conçus pour ne pas perturber les menstruations.

Le DIU au cuivre peut ĂȘtre utilisĂ© comme contraception d'urgence pour prĂ©venir la grossesse, jusqu'Ă  cinq jours aprĂšs le rapport sexuel Ă  risque.

En 2017, une Ă©tude observationnelle menĂ©e sur plus de 12 000 femmes indiquait que les utilisatrices de DIU auraient 36 % de risques en moins de contracter un cancer du col de l’utĂ©rus. Une analyse analogue et suggĂ©rant les mĂȘmes types de conclusion avait Ă©tĂ© publiĂ©e en 2011[13], mais avait fait l'objet de critiques mĂ©thodologiques appelant Ă  poursuivre les Ă©tudes[14].

Effets indésirables

  • rĂšgles plus abondantes et douloureuses
  • douleurs en dehors des rĂšgles, pendants les rapports
  • diminution de la libido
  • empoisonnement au cuivre
  • lacunes en fer

Le DIU hormonal

D'un effet local, ce type de dispositif intra-utérin diffuse une hormone progestative dans l'utérus.

Il a un double effet :

  1. il Ă©paissit les sĂ©crĂ©tions du col de l'utĂ©rus et empĂȘche ainsi le passage des spermatozoĂŻdes dans l'utĂ©rus (effet contraceptif) ;
  2. il diminue l'Ă©paisseur de l'endomĂštre, le rendant impropre Ă  la nidation (effet contragestif).

Le DIU hormonal peut ĂȘtre utilisĂ© dans les cas d'hyper-mĂ©norrhĂ©e (menstruations abondantes) idiopathique : comme les contraceptifs oraux, celui-ci peut induire une rĂ©duction de la durĂ©e et du flux des rĂšgles, voire une amĂ©norrhĂ©e (disparition des rĂšgles)[15].

Le DIU hormonal ne convient pas Ă  la contraception post-coĂŻtale[16].

Effets indésirables

À la suite de nombreux signalements en France d'effets jugĂ©s indĂ©sirables aprĂšs la pose de DIU de marque MirĂ©na, les effets indĂ©sirables ont Ă©tĂ© mis Ă  jour en 2017 et comprennent :

Efficacité

Selon le type, les DIU restent habituellement efficaces pendant 2, 5 ou 10 ans.

Dans des conditions optimales d'usage, l'efficacité des DIU, qu'ils soient hormonaux ou au cuivre, est comparable à celle des différentes pilules contraceptives, ainsi qu'à la stérilisation chirurgicale[18], à savoir un taux moyen de grossesse à un an de 0,4 % d'échec pour les modÚles au cuivre[18] et de 0,2 % pour les modÚles contenant de la progestérone[19].

Dans les conditions ordinaires d'usage, les DIU conservent leurs performances lĂ  oĂč le taux d'Ă©chec de la contraception orale monte Ă  environ 8 % (due Ă  des oublis de pilule, troubles digestifs
). Les DIU sont ainsi avec la stĂ©rilisation la mĂ©thode contraceptive la plus efficace.

UtilisĂ© comme contraception d'urgence, le DIU au cuivre est une alternative trĂšs efficace Ă  la pilule du lendemain[20]. Cette mĂ©thode montre une efficacitĂ© importante avec un taux d'Ă©chec de 0,1 Ă  0,2 % sur un Ă©chantillon de 8 300 femmes[21].

Accidents

La perforation utérine reste un événement exceptionnel[22]. Cette complication est plus fréquente lorsque le dispositif est posé peu de temps aprÚs un accouchement mais est suffisamment rare pour ne pas contre-indiquer son implantation dans ce cas[23].

AprÚs un accouchement, posé trop tÎt, une expulsion du dispositif est possible mais rare[24] et il semble préférable de le poser aprÚs six semaines[25].

Retrait

Le retrait se fait en tirant sur les deux fils de retrait qui sont normalement prĂ©sents dans le vagin, en sortie de l'endocol. La rupture des fils lors du retrait peut ĂȘtre due Ă  un enfoncement d'une des branches dans le myomĂštre. Une Ă©chographie pelvienne peut permettre un contrĂŽle, avec toutefois des faux-positifs de l'ordre de 70 %[26]. En cas d'absence de fils, l'Ă©chographie pelvienne reste l'indication de premiĂšre intention, pour vĂ©rifier la prĂ©sence intra-utĂ©rine du DIU. Il est possible alors de tenter de rĂ©cupĂ©rer les fils Ă  l'aide d'une cytobrosse. Si la manƓuvre Ă©choue, certains gynĂ©cologues français prĂ©conisent l'utilisation de diverses pinces, avec contrĂŽle Ă©chographique[27] ou en cas d'Ă©chec Ă  l'ablation avec contrĂŽle hystĂ©roscopique[26] et utilisation d'une injection prĂ©alable de lidocaĂŻne en raison du caractĂšre douloureux des manipulations[27]. Dans d'autres pays, une hystĂ©roscopie opĂ©ratoire avec anesthĂ©sie gĂ©nĂ©rale est envisagĂ©e en dernier ressort[28].

Stérilets défectueux

Cent mille DIU à risque auraient été posés en France entre 2014 et 2019. l'ANSM est défaillante dans l'information des médecins des patientes en octobre 2020, dans l'étude du dossier et des tests fournis par un fabricant de dispositif médical, eurogyne[29] - [30]. Ces DIU défectueux s'inscrivent dans la suite du scandale des dispositifs Implant Files depuis 2018.

Opposition de l'Église catholique

L'Église catholique s'oppose Ă  l'utilisation du DIU comme tous les moyens de contraception, mais plus fortement en raison de son mode d'action. Elle considĂšre que l'ovule fĂ©condĂ© constitue un ĂȘtre humain en puissance dĂšs la fĂ©condation et recommande donc Ă  ses fidĂšles de ne pas empĂȘcher son bon dĂ©veloppement. Elle estime que le DIU au cuivre a un effet abortif[31]. Elle ne prend alors en compte que le mode d'action secondaire du DIU, qui est d'empĂȘcher la nidation d'un Ă©ventuel ovule fĂ©condĂ©.

Cependant, le mode d'action principal des DIU est spermicide, la probabilitĂ© de fĂ©condation est donc extrĂȘmement limitĂ©e, comme le rĂ©affirment des mĂ©decins tels que Martin Winckler[32].

DIU en Chine

La Chine, qui a longtemps été prescriptrice de DIU dans le cadre de sa politique de l'enfant unique a souvent préféré implanter des stérilets sans fils de contrÎle, en en rendant le retrait plus difficile[33]. L'utilisation de tels DIU sans fils a également été rapportée en 2020 à l'occasion d'un rapport faisant le point sur les traitements infligés aux Ouïghours dans la province du Xinjiang[34].

Notes et références

  1. « DĂ©claration de l’IMAP sur les dispositifs intra-utĂ©rins » Bulletin mĂ©dical de l’IPPF 2003; Volume 37 NumĂ©ro 2.
  2. LĂ©on Tabah, « La contraception dans le tiers Monde », Population, nos 22-6,‎ , p. 1001-1003 (lire en ligne).
  3. Doctissimo, « Stérilet : la fin d'une mauvaise réputation »
  4. « Choisir sa contraception - Le stérilet (DIU) (site du ministÚre de la santé Français). » (consulté le )
  5. « Stérilet et fertilité ultérieure » (consulté le )
  6. (en)Wildemeersch D, BatĂĄr I, Affandi B, Andrade ATL, Wu S, Hu J, Cao X. « The ‘frameless’ intrauterine system for long-term, reversible contraception: A review of 15 years of clinical experience » J Obstet Gynaecol Res. 2003;29/3:160–9.
  7. Affirmé dans la thÚse de doctorat en médecine Alice De Verbizier, « Dispositifs intra-utériens en médecine générale en Lorraine », , p. 108. Sa notice est toutefois toujours mise à joue en 2015 par son fabricant.
  8. Santé de la reproduction - Les DIU bloquent la fécondation - Family Health International (FHI), Network en français : hiver 1996, vol. 16, no 2.
  9. (en) Faculty of Sexual & Reproductive Healthcare,, Clinical guidance: emergency contraception, (lire en ligne).
  10. Exemple pour des dispositifs de type Mona Lisa Cu375 et NT Cu380 Vidal en ligne]
  11. ANAES (Agence Nationale d’AccrĂ©ditation et d’Évaluation en SantĂ©), « Recommandations pour la pratique clinique », StratĂ©gies de choix des mĂ©thodes contraceptives chez la femme, (consultĂ© le ).
  12. GyneFix n'est plus commercialisé en France (cf. Vidal, cf. Base du médicament).
  13. (en) CastellsaguĂ© X. et al., « Intrauterine device use, cervical infection with human papillomavirus, and risk of cervical cancer: a pooled analysis of 26 epidemiological studies. », The Lancet Oncology,‎ (DOI 10.1016/S1470-2045(11)70223-6).
  14. (en) Lopez-del Burgo C., Osorio A. et De Irala J., « Intrauterine device and cervical cancer: we need more evidence », The Lancet Oncology,‎ (DOI 10.1016/S1470-2045(11)70354-0)
  15. INPES, « Les DIU (dispositifs intra-uterins ou stérilets) »
  16. Compendium Suisse des médicaments, Stérilets, posologies/mode d'emploi.
  17. Aurélie Franc, « Stérilet Mirena: la plupart des effets indésirables étaient «déjà connus» », Le Figaro, .
  18. William R. Finger et Kim Best, « FHI-Le DIU au cuivre », sur Family Health International, (consulté le )
  19. « Le stérilet », sur www.planningchrr.com/ (consulté le )
  20. Anaes, Afssaps, Inpes, « Recommandations pour la pratique clinique », Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme, (consulté le )
  21. Rédaction prescrire « Contraception postcoïtale par un dispositif intra-utérin » Rev prescrire 2009;29(304):117.
  22. (en) Clare Barnett, Sabine Moehner, Thai Do Minh et Klaas Heinemann, « Perforation risk and intra-uterine devices: results of the EURAS-IUD 5-year extension study », The European Journal of Contraception & Reproductive Health Care, vol. 22, no 6,‎ , p. 424–428 (ISSN 1362-5187 et 1473-0782, DOI 10.1080/13625187.2017.1412427, lire en ligne, consultĂ© le )
  23. (en) Susan D Reed, Xiaolei Zhou, Laura Ichikawa et Jennifer L Gatz, « Intrauterine device-related uterine perforation incidence and risk (APEX-IUD): a large multisite cohort study », The Lancet, vol. 399, no 10341,‎ , p. 2103–2112 (DOI 10.1016/S0140-6736(22)00015-0, lire en ligne, consultĂ© le )
  24. Averbach SH, Ermias Y, Jeng G et al. Expulsion of intrauterine devices after postpartum placement by timing of placement, delivery type, and intrauterine device type: a systematic review and meta-analysis, Am J Obstet Gynecol, 2020;223:177-188
  25. Averbach S, Kully G, Hinz E et al. Early vs Interval Postpartum Intrauterine Device Placement: A Randomized Clinical Trial, JAMA, 2023;329:910–917
  26. P. Faucher et D. Hassoun, « Morbidité des dispositifs intra-utérins », dans CNGOF, 38Úmes journées nationales, Paris, (lire en ligne), p. 630
  27. Philippe Faucher, Danielle Hassoun et Teddy LINET, La contraception: Répondre aux questions les plus fréquentes - Déconstruire les idées reçues - Retenir l'essentiel, Vuibert, (ISBN 978-2-311-66154-5, lire en ligne)
  28. Ma. Rosielyn D. Asto et Maria Antonia E. Habana, « Hysteroscopic-guided Removal of Retained Intrauterine Device: Experience at an Academic Tertiary Hospital », Gynecology and Minimally Invasive Therapy, vol. 7, no 2,‎ , p. 56–60 (ISSN 2213-3070, PMID 30254938, PMCID 6113989, DOI 10.4103/GMIT.GMIT_11_18, lire en ligne, consultĂ© le )
  29. Philippine Kauffmann et Ève Guyot, « StĂ©rilet dĂ©fectueux : l’ennemi de l’intĂ©rieur », sur LibĂ©ration.fr, (consultĂ© le )
  30. « Rappel de la conduite à tenir en cas de suspicion de stérilet défectueux - Point d'Information - ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé », info des femmes sur site ANSM !! sans demande d'information générale de toutes les femmes à qui le dispositif a été posé, sur www.ansm.sante.fr (consulté le )
  31. In l'encyclique Evangelium vitĂŠ du 25 mars 1995, point no 13, du pape Jean-Paul II, lire en ligne.
  32. « Le DIU est-il abortif ? » par JérÎme et Martin Winckler.
  33. (en) Vincent Y. T. Cheung, « A 10-year experience in removing Chinese intrauterine devices », International Journal of Gynecology & Obstetrics, vol. 109, no 3,‎ , p. 219–222 (ISSN 0020-7292, DOI 10.1016/j.ijgo.2009.12.018, lire en ligne, consultĂ© le )
  34. (en) Adrian Zens, « Sterilizations, IUDs, and Mandatory Birth Control: The CCP’s Campaign to Suppress Uyghur Birthrates in Xinjiang », sur jamestown.org,

Liens externes

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