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D'Allainval

Léonor Jean Soulas, dit l'abbé d'Allainval, est un auteur dramatique français né à Chartres le [1] et mort à Paris le [2].

LĂ©onor Jean Soulas d'Allainval
Biographie
Naissance
Décès
(Ă  56 ans)
Paris
Pseudonyme
Abbé d'Allainval - George Wink
Activité
Auteur dramatique
signature de LĂ©onor Jean Soulas d'Allainval
Signature

Biographie[3]

La famille Soulas est établie à Auneau, au nord de Chartres, depuis le XVIe siècle. Elle a ses armoiries d'office, de sinople à un chat d'argent[4]. C'est une famille de bonne bourgeoisie de judicature solidement implantée dans la baronnie d'Auneau. Léonor Jean est issu du mariage de "Jean Caezar Soulas, directeur des droits du Roy et de Louyse Desnoyers" (fille d'un maître vitrier de Chartres). Son parrain est "Christin Gravelle, conseiller du Roy et son lieutenant particulier assesseur criminel au baillage présidial de Chartres"[1]. Il ajoutera plus tard le prénom de Christin à ceux de Léonor Jean, en hommage à son parrain.

Léonor Jean Christin Soulas quitte Chartres pour Paris vers 1720 et adopte le pseudonyme sous lequel il sera connu dans le monde littéraire : l'Abbé d'Allainval. Bien que ce titre ecclésiastique lui fût contesté par des critiques bien après sa mort, il est pourtant attesté dans plusieurs actes de l'époque où Soulas est mentionné comme clerc tonsuré du diocèse de Chartres[5]. Quant au nom de D'Allainval, on le trouve dans un lieu-dit d'Auneau, face au château[6].

Un rapport rédigé par l'officier de police Marais, chargé de la surveillance des ecclésiastiques nous en apprend plus sur le physique de D'Allainval : « Labé d'Alinval a été autrefois bien fait, d'une jolie figure et plein de gentillesse. Sa taille est de cinq pieds trois pouces [170 cm] bien prise. Il est brun et porte perruque, le visage ovale, a les yeux forts beaux et à fleur de tête, la bouche et le nez bien faits, et l'abord gracieux[7]. »

Il commence sa carrière en participant aux ouvrages du poète Autreau puis se consacre à la poésie, sans véritable succès. Mais c'est avec L'Embarras des richesses, jouée en 1725 que commence véritablement sa carrière d'auteur. A cette comédie en trois actes, viendront s'ajouter une autre comédie du même volume, L'Ecole des bourgeois, ainsi que cinq autres pièces en un acte : Le Tour de carnaval, La Fausse comtesse, Les Réjouissances publiques ou le gratis, Le Mari curieux, L'Hiver - et un petit opéra-comique : La Fée Marotte, qui ponctuera sa production pour le théâtre en 1734.

Le succès de ces pièces est assez relatif et ne suffit pas, ni à établir sa notoriété, ni à l'assurer de moyens de subsistance suffisants. Sa vie bascule dans la tourmente. En 1738 il est arrêté[8] et enfermé à La Bastille pour avoir publié des libelles et pièces satiriques. Il sera libéré quatre mois plus tard. Bien que pouvant compter sur l'appui d'amis sûrs (comme L'Affichard et Pannard), on lui prête la réputation "de passer la nuit dans quelqu'une des chaises à porteur qui sont au coin des rues". A l'indigence il faut ajouter la débauche si l'on en croit le rapport de l'officier de police Marais[7] : "Son visage ovale a beaucoup de couleurs quand il est en santé ce qu'il lui arrive rarement car il paye maintenant bien cher ses excès et ses débauches".

Lui qui portait l'image d'une assez grande misère, mourut en quittant la table d'un Financier chez qui il dînait. C'était un mercredi et la veille avait été la dernière fête de Pâques. Frappé d'apoplexie il fut conduit à l'Hôtel-Dieu où il rendit le dernier soupir, le 2 mai 1753[9]

Ĺ’uvres[3]

Théâtre

  • L'Embarras des richesses[10], comĂ©die en trois actes de prose et un prologue avec des divertissements, reprĂ©sentĂ©e sur le Théâtre de l'HĂ´tel de Bourgogne, par les ComĂ©diens italiens ordinaires du Roy, le (disponible sur Google Livres), et y sera jouĂ©e vingt fois oĂą elle rencontra le plus grand succès. D'Allainval y expose deux idĂ©es du bonheur, celle du jardinier Arlequin qui l'exprime de façon simple dans les chants et l'amour, et celle du riche Midas qui ne l'imagine pas sans richesse. GrĂ©try en fera une comĂ©die lyrique crĂ©Ă©e Ă  l'OpĂ©ra en 1782 et Monselet et Poise en tireront en 1884 un opĂ©ra-comique Le Joli Gilles. Il sera repris par l'orchestre de l'ORTF en 1969.
  • Le Tour de Carnaval[10], comĂ©die en un acte de prose avec des divertissements, reprĂ©sentĂ©e sur le Théâtre de l'HĂ´tel de Bourgogne, par les ComĂ©diens italiens ordinaires du Roy, le (lire en ligne sur Gallica), et y sera jouĂ©e quinze fois avant d'ĂŞtre reprise en 1727. Le divertissement du Cahin Caha de Pannard eut une si grande vogue qu'il donna le titre Ă  la pièce. Dans cette comĂ©die, d'Allainval brocarde le petit bourgeois de robe, qui reprĂ©sente pourtant le milieu familial dont il est lui-mĂŞme issu.
  • La Fausse Comtesse[11], comĂ©die en un acte de prose avec des divertissements, reprĂ©sentĂ©e sur le Théâtre de la ComĂ©die-Française (salle des FossĂ©s-Saint-Germain), le , mais ne sera jouĂ©e que cinq fois. JugĂ©e faible et d'un comique commun, ce fut un Ă©chec et ne fut pas imprimĂ©e.
  • L'École des bourgeois[10], comĂ©die en trois actes de prose avec un prologue, est reprĂ©sentĂ©e Ă  la ComĂ©die-Française le (lire en ligne sur Gallica ). Elle connaĂ®tra un sort pour le moins chaotique. A ses dĂ©buts elle ne sera jouĂ©e que neuf fois. D'Allainval y dĂ©peint la sociĂ©tĂ© de l'Ă©poque oĂą les bourgeois monnayent leur intĂ©gration Ă  la noblesse qui y voit l'opportunitĂ© de compenser sa dĂ©crĂ©pitude financière. A sa crĂ©ation la pièce "ne fut point goĂ»tĂ©e"[10], "le comique jugĂ© bas"[12]. Reprise en 1770, elle ne connut pas un meilleur sort, CollĂ© la qualifiant de "rapsodie indigne"[13] et ne fut jouĂ©e que trois fois. Il fallut attendre 1787 pour que le succès soit au rendez-vous, en partie grâce Ă  l'interprĂ©tation brillante du comĂ©dien Fleury qui s'appropria le rĂ´le de Moncade jusqu'Ă  la fin de sa carrière au Théâtre Français en 1818[14]. Objet de multiples reprises jusqu'en 1932, elle sera jouĂ©e près de 300 fois. Cette comĂ©die est jugĂ©e comme l'Ĺ“uvre majeure de D'Allainval le classant parmi les hĂ©ritiers de Molière[15].
  • Les RĂ©jouissances publiques, ou le Gratis, comĂ©die en un acte de prose, ComĂ©die-Française,
  • Le Mari curieux[11], comĂ©die en un acte de prose avec un divertissement, est reprĂ©sentĂ©e Ă  la ComĂ©die-Française le (lire en ligne sur Gallica), et sera jouĂ©e quinze fois, connaissant un succès mitigĂ©.
  • L'Hiver[16], comĂ©die en un acte et en vers libres avec des divertissements, est reprĂ©sentĂ©e sur le Théâtre de l'HĂ´tel de Bourgogne, par les ComĂ©diens italiens ordinaires du Roy, le (lire en ligne sur Gallica), mais n'y sera jouĂ©e que deux fois. Cette comĂ©die allĂ©gorique est une caustique critique des mĹ“urs de l'Ă©poque.
  • La FĂ©e Marotte[17], opĂ©ra-comique en un acte de prose Ă  scènes Ă©pisodiques, est reprĂ©sentĂ©e Ă  la Foire Saint-Laurent le samedi . Les dialogues sont entrecoupĂ©s de vers dĂ©clamĂ©s sur fond d'air de musique, reprenant un style qui avait fait le succès de Lesage au Théâtre de la Foire. La pièce ne connut aucun succès et marqua la fin de la carrière de D'Allainval au théâtre. Il avait 38 ans.

Autres Ă©crits

  • Éloge de car, dĂ©diĂ© Ă  très-haute et très puissante dame la langue française, A. de Heuqueville, Paris, 1731 (lire en ligne sur Gallica). Objet des plus vives critiques, au sein mĂŞme de l'AcadĂ©mie Française, d'Allainval entreprend de prendre la dĂ©fense du mot Car, et d'en faire l'Ă©loge.
  • Le temple du goĂ»t, comĂ©die en un acte, La Haye 1733, la pièce fut refusĂ©e par le Théâtre des Italiens, jugĂ©e trop satirique vis-Ă -vis de Voltaire. C'est en effet un brocard contre l'Ĺ“uvre de Voltaire du mĂŞme titre.
  • Anecdotes du règne de Pierre premier, dit le Grand, czar de Moscovie, contenant l'histoire d'Eudochia Federowna, & la disgrace du prince de Mencikow, 1re partie, 1744
  • Anecdotes du règne de Pierre premier, dit le Grand, czar de Moscovie, contenant son ordonnance du 10-, pour la rĂ©formation de son clergĂ©, 2e partie, 1745
  • Almanach astronomique, gĂ©ographique et qui plus est, vĂ©ritable, 1745
  • Lettres du Cardinal Mazarin, Amsterdam 1731, rĂ©Ă©dition 1745
  • La Nonette, dĂ©diĂ©e Ă  son Altesse SĂ©rĂ©nissime M. le Prince de CondĂ©, arrivant pour la première fois Ă  Chantilly, texte en vers, 1748

Sous le pseudonyme de George Wink :

  • Lettre Ă  Mylord *** sur Baron et la demoiselle Le Couvreur, oĂą l'on trouve plusieurs particularitĂ©s théâtrales, A. de Hauqueville, Paris, 1730 (rĂ©Ă©d. L. Willem, Paris, 1870, lire en ligne sur Gallica). C'est un tĂ©moignage prĂ©cis et contemporain sur deux acteurs fameux de ce siècle.

Ouvrages dont l'attribution est contestée

  • Ana, ou Bigarrures calotines, J.-B. Lamesle et A. de Heuqueville, Paris, 1732-1733 (lire en ligne sur Gallica). Bien qu'attribuĂ©s Ă  d'Allainval, plusieurs indices infirment cette parentĂ©, mais on ignore qui aurait pu Ă©crire ces textes.
  • Eloge de la mĂ©chante femme, 1732. En fait le dictionnaire des Lettres françaises attribue cet ouvrage Ă  Louis Caqueret, auteur de nombreux Ă©crits facĂ©tieux.
  • Le Jugement de Pâris, ou le Triomphe de la beautĂ©, comĂ©die en un acte, reprĂ©sentĂ©e sur le Théâtre de Toulouse, . Aucune trace de cette pièce n'existe. La notice de prĂ©sentation[18] crĂ©e une confusion car elle l'attribue Ă  M. Dalinval, comĂ©dien du Roy. Or s'il a bien existĂ© un Jean Baptiste Charles Augustin Canavas dit Dalinval, comĂ©dien, celui-ci n'est entrĂ© Ă  la ComĂ©die-Française qu'en 1767.
  • Connaissance de la Mythologie, 1739, 1743, 1748. Le manuscrit original est probablement du Père François-Xavier Rigord. D'Allainval aurait apportĂ© des corrections et additions dans la troisième Ă©dition de 1748.

Critiques

Un des biographes de Léonor Jean Christin Soulas dit l'Abbé d'Allainval résume la vie de celui-ci : "On s'est beaucoup déchaîné contre les mœurs et les manières de vivre de D'Allainval. Il fut malheureux aussi au théâtre, où sa meilleure pièce, L'Ecole des bourgeois, ne jouit d'une considération réelle et méritée que trop tard pour l'utilité de l'auteur. Si ces considérations ne disculpent pas d'Allainval, au moins elles doivent réclamer pour lui quelque indulgence"[19].

Les critiques n'ont retenu du théâtre de D'Allainval que L'Ecole des bourgeois pour sa peinture des mœurs d'une époque où les Marquis s'encanaillent au détriment de bourgeois impatients de les rejoindre, et L'Embarras des richesses pour le contraste qu'elle offre entre la condition d'indigent prêtée à d'Allainval et le thème de la richesse repris dans la pièce.

Pourtant, Martial Poirson voit dans ces deux pièces "une intéressante lecture en miroir de la mobilité sociale, et par conséquent de tenir un propos sur les grands bouleversements sociaux du siècle nouveau"[20].

Charles Monselet[21] reconnaît dans l'Ecole des bourgeois la lignée de Molière : "Il y a juste cent trente-six ans qu'un pauvre diable, moitié gentilhomme, moitié abbé, mais tout à fait écrivain, dînant de deux jours l'un, et couchant pendant les nuits d'hiver dans une chaise à porteurs, Soulas d'Allainville [sic], faisait jouer à la Comédie-Française la très-brillante comédie intitulée l’École des Bourgeois. Cette comédie, qui donnait une vigoureuse leçon à la bourgeoisie, sans ménager la noblesse, a été jugée depuis longtemps comme une des meilleures et des plus charmantes qui aient été faites après Molière et Regnard. Cela n'a pas empêché son auteur, le pauvre d'Allainval, de mourir dans la peau d'un indigent".

Louis Petit de Julleville[22] conforte ce jugement : "Les héritiers de Molière ne chôment pas. Et d'abord d'Allainval, dont l’École des Bourgeois (1728) est une des meilleures contrefaçons du Bourgeois Gentilhomme, en petit. S'il n'est pas le premier qui ait mis en scène un marquis à l'affût d'une dot bourgeoise, chez lui le portrait est plus fouillé que d'habitude. En face d'une riche bourgeoise, hypnotisée par les titres et qui gagne sa fille à ses folies, et d'autres comparses amusants, se détache la figure du marquis de Moncade, le plus aimable, le plus badin, le plus fat, le plus spirituel et le plus insolent des marquis, comme aussi le plus dédaigneux des gendres, même des fiancés. Démasqué, joué à son tour à la fin, il s'en va, riant, l'air vainqueur, remerciant ceux qu'il n'a pu duper de l'empêcher de « ternir sa gloire ». Il est bien régence. Le portrait est fait de main de maître. Il faut attendre maintenant jusqu'à Piron et Gresset pour trouver des œuvres dignes d'une étude attentive".

Geoffroy[23], va encore plus loin : "L'Ecole des bourgeois est une pièce fort supérieure à tout ce qu'ont fait Marivaux et Boissy : on y trouve un naturel, une vérité, une force comique, un but moral qu'on cherche en vain dans les productions philosophiques et pédantesques de tous nos petits dramaturges".

L'Embarras des richesses n'a fourni que le prétexte de railler d'Allainval : "car assurément, s'il est un embarras que d'Allainval n'ait jamais connu, c'est celui dont il a tracé le tableau"[9].

"L'abbé d'Allainval nous présente une singulière particularité, un étrange contraste : durant son extrême indigence, ne s'avise-t-il pas d'écrire une pièce sur L'Embarras des richesses? Ce qui prouve, une fois de plus, comme l'a si bien déclaré Beaumarchais après Voltaire qu'il n'est pas nécessaire de tenir les choses pour raisonner, et qu'il est plus aisé d'écrire sur l'argent que d'en avoir"[24].

Il est dommage que les critiques n'aient pas considéré avec plus d'attention l'ensemble des pièces de D'Allainval, car L'Embarras des richesses, Le Tour de carnaval, L'Ecole des bourgeois et Le Mari curieux, forment une quadrilogie assez cohérente sur la société du XVIIIe siècle. Et comment ne pas s'étonner de l'indifférence manifestée à propos de L'Hiver, cette comédie allégorique tellement originale. C'est donc bien l'auteur de la lignée moliéresque que retient l'histoire, et c'est dans cette veine-là, celle de la comédie satirique, que s'inscrivait d'Allainval. Ce fut sa perte, car un théâtre nouveau naissait, "intermédiaire entre la tragédie héroïque et la comédie plaisante"[25], illustré par Nivelle de La Chaussée.

Notes et références

Notes

    Références

    1. Acte de baptĂŞme Ă  Chartres, paroisse Saint-Aignan, vue 17/24.
    2. Notice d'autorité de la BNF.
    3. On se reportera à l'ouvrage de Jean-Claude Montanier : D'Allainval (L'Abbé) - Auteur dramatique - 2021
    4. Registre d'Orléans de l'Armorial d'Hozier
    5. Registres paroissiaux de Chartres 1715 - 1716 - 1720 et acte notarié à Paris 1751
    6. Cadastre d'Auneau
    7. Archives Nationales AB/XIX/3192 Dossier 7, partie II
    8. Archives de la Bastille, documents inédits recueillis et publiés par François Ravaison - Les Lettres de cachet à Paris de Funck-Brentano, Bibliothèque de l'Arsenal 10384 folio 30 et 12581
    9. Les Hommes Illustres de l'Orléanais - T1 - Charles Brainne - 1852
    10. Bibliothèque des Théâtres - Maupoint
    11. Abrégé de l'Histoire du Théâtre Français - M. le Chevalier de Mouhy - Paris 1780
    12. Chevalier de Mouhy
    13. Journal Historique ou Mémoires critiques et littéraires - Charles Collé - 1807
    14. MĂ©moires de Fleury - Paris 1836-1838
    15. Histoire de la Littérature Française - Frédéric Godefroy - Paris 1879
    16. Dictionnaire des Théâtres de Paris - Parfaict - Paris 1767
    17. Anecdotes dramatiques - Joseph La Porte et J.M.B. Clément - Paris - chez la veuve Duchesne 1775
    18. Base CĂ©sar - Calendrier Ă©lectronique des Spectacles sous l'Ancien RĂ©gime
    19. Rapporté dans Les Hommes illustres de l'Orléanais - Charles Braine - Orléans 1852
    20. L'Ecole des bourgeois suivi de L'Embarras des richesses - Edition présentée et établie par Martial Poirson - 2006
    21. Les Premières Représentations célèbres - Degorce-Cadot - Paris ca 1875 - p. 293-294
    22. Histoire de la langue et de la littérature française des origines à 1900 - Vol. VI - Armand Colin - Paris 1925 - p. 578
    23. Cours de LIttérature Dramatique - Tome Deuxième - Blanchard - Paris 1819
    24. Récréations littéraires - Albert Cim - Hachette 1920
    25. Essai sur le genre dramatique sérieux - Beaumarchais

    Annexes

    Bibliographie

    • MĂ©moires sur Molière, et sur Mme GuĂ©rin, sa veuve , suivis des MĂ©moires sur Baron et sur Mlle Lecouvreur, Ponthieu, Paris, 1822 (rĂ©Ă©d. Slatkine, Genève, 1968, lire en ligne sur Gallica)
    • Ĺ’uvres de l'abbĂ© d'Allainval, Petite bibliothèque des théâtres, Paris, 1785
    Contient Vie de l'abbé d'Allainval, Catalogue des pièces, L'Embarras des richesses et L'École des bourgeois.

    Liens externes

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