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DĂ©claration d'Helsinki

La déclaration d'Helsinki (Document 17.C) est un document officiel de l'Association médicale mondiale, représentante des médecins dans le monde.
Adoptée en 1964 à Helsinki (Finlande), elle fut révisée plusieurs fois lors d'assemblées générales :

  • AdoptĂ©e par la 18e AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, Helsinki, juin 1964 et amendĂ©e par les :
  • Addition d'une note explicative concernant le paragraphe 29 Ă  l'AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale de l'AMM, Washington 2002
  • Addition d'une note explicative concernant le paragraphe 30 Ă  l'AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale de l'AMM, Tƍkyƍ 2004
    • 59e AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, SĂ©oul, (CorĂ©e), octobre 2008
    • 64e AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, Fortaleza, (BrĂ©sil),

Introduction

La DĂ©claration d'Helsinki[1], Ă©laborĂ©e par l'Association mĂ©dicale mondiale, est une dĂ©claration de principes Ă©thiques dont l'objectif est de fournir des recommandations aux mĂ©decins et autres participants Ă  la recherche mĂ©dicale sur des ĂȘtres humains. Celle-ci comprend Ă©galement les Ă©tudes rĂ©alisĂ©es sur des donnĂ©es Ă  caractĂšre personnel ou des Ă©chantillons biologiques non anonymes ;

  • La mission du mĂ©decin est de promouvoir et de prĂ©server la santĂ© de l'ĂȘtre humain. Il exerce ce devoir dans la plĂ©nitude de son savoir et de sa conscience.
  • Le Serment de GenĂšve de l'Association mĂ©dicale mondiale lie le mĂ©decin dans les termes suivants : « La santĂ© de mon patient sera mon premier souci » et le Code international d'Ă©thique mĂ©dicale stipule : « le mĂ©decin devra agir uniquement dans l'intĂ©rĂȘt de son patient lorsqu'il lui procure des soins qui peuvent avoir pour consĂ©quence un affaiblissement de sa condition physique ou mentale ».
  • Les progrĂšs de la mĂ©decine sont fondĂ©s sur des recherches qui, in fine, peuvent imposer de recourir Ă  l'expĂ©rimentation humaine.
  • Dans la recherche mĂ©dicale sur les sujets humains, les intĂ©rĂȘts de la science et de la sociĂ©tĂ© ne doivent jamais prĂ©valoir sur le bien-ĂȘtre du sujet.
  • L'objectif essentiel de la recherche mĂ©dicale sur des sujets humains doit ĂȘtre l'amĂ©lioration des mĂ©thodes diagnostiques, thĂ©rapeutiques et de prĂ©vention, ainsi que la comprĂ©hension des causes et des mĂ©canismes des maladies. Les mĂ©thodes diagnostiques, thĂ©rapeutiques et de prĂ©vention, mĂȘme les plus Ă©prouvĂ©es, doivent constamment ĂȘtre remises en question par des recherches portant sur leur efficacitĂ©, leur efficience et leur accessibilitĂ©.
  • Dans la recherche mĂ©dicale comme dans la pratique mĂ©dicale courante, la mise en Ɠuvre de la plupart des mĂ©thodes diagnostiques, thĂ©rapeutiques et de prĂ©vention expose Ă  des risques et Ă  des contraintes.
  • La recherche mĂ©dicale est soumise Ă  des normes Ă©thiques qui visent Ă  garantir le respect de tous les ĂȘtres humains et la protection de leur santĂ© et de leurs droits. Certaines catĂ©gories de sujets sont plus vulnĂ©rables que d'autres et appellent une protection adaptĂ©e. Les besoins spĂ©cifiques des sujets dĂ©favorisĂ©s sur le plan Ă©conomique comme sur le plan mĂ©dical doivent ĂȘtre identifiĂ©s. Une attention particuliĂšre doit ĂȘtre portĂ©e aux personnes qui ne sont pas en mesure de donner ou de refuser elles-mĂȘmes leur consentement, Ă  celles qui sont susceptibles de donner leur consentement sous la contrainte, Ă  celles qui ne bĂ©nĂ©ficieront pas personnellement de la recherche et Ă  celles pour lesquelles la recherche est conduite au cours d'un traitement.
  • L'investigateur doit ĂȘtre attentif aux dispositions Ă©thiques, lĂ©gales et rĂ©glementaires applicables Ă  la recherche sur les sujets humains dans son propre pays ainsi qu'aux rĂšgles internationales applicables. Aucune disposition nationale d'ordre Ă©thique, lĂ©gal et rĂ©glementaire ne doit conduire Ă  affaiblir ou supprimer les mesures protectrices Ă©noncĂ©es dans la prĂ©sente dĂ©claration.

Principes fondamentaux applicables à toute forme de recherche médicale

  • Dans la recherche mĂ©dicale, le devoir du mĂ©decin est de protĂ©ger la vie, la santĂ©, la dignitĂ© et l'intimitĂ© de la personne.
  • La recherche mĂ©dicale sur des ĂȘtres humains doit se conformer aux principes scientifiques gĂ©nĂ©ralement reconnus. Elle doit se fonder sur une connaissance approfondie de la littĂ©rature scientifique et des autres sources pertinentes d'information ainsi que sur une expĂ©rimentation appropriĂ©e rĂ©alisĂ©e en laboratoire et, le cas Ă©chĂ©ant, sur l'animal.
  • Des prĂ©cautions particuliĂšres doivent entourer les recherches pouvant porter atteinte Ă  l'environnement et le bien-ĂȘtre des animaux utilisĂ©s au cours des recherches doit ĂȘtre prĂ©servĂ©.
  • La conception et l'exĂ©cution de chaque phase de l'expĂ©rimentation sur des sujets humains doivent ĂȘtre clairement dĂ©finies dans un protocole expĂ©rimental. Ce protocole doit ĂȘtre soumis pour examen, commentaires, avis et, le cas Ă©chĂ©ant, pour approbation, Ă  un comitĂ© d'Ă©thique mis en place Ă  cet effet. Ce comitĂ© doit ĂȘtre indĂ©pendant du promoteur, de l'investigateur ou de toute autre forme d'influence indue. Il doit respecter les lois et rĂšglements en vigueur dans le pays oĂč s'effectuent les recherches. Il a le droit de suivre le dĂ©roulement des Ă©tudes en cours. L'investigateur a l'obligation de fournir au comitĂ© des informations sur le dĂ©roulement de l'Ă©tude portant en particulier sur la survenue d'Ă©vĂ©nements indĂ©sirables d'une certaine gravitĂ©. L'investigateur doit Ă©galement communiquer au comitĂ©, pour examen, les informations relatives au financement, aux promoteurs, Ă  toute appartenance Ă  une ou des institutions, aux Ă©ventuels conflits d'intĂ©rĂȘts ainsi qu'aux moyens d'inciter des personnes Ă  participer Ă  une recherche.
  • Le protocole de la recherche doit contenir une dĂ©claration sur les implications Ă©thiques de cette recherche. Il doit prĂ©ciser que les principes Ă©noncĂ©s dans la prĂ©sente dĂ©claration sont respectĂ©s.
  • Les Ă©tudes sur l'ĂȘtre humain doivent ĂȘtre conduites par des personnes scientifiquement qualifiĂ©es et sous le contrĂŽle d'un mĂ©decin compĂ©tent. La responsabilitĂ© Ă  l'Ă©gard d'un sujet inclus dans une recherche doit toujours incomber Ă  une personne mĂ©dicalement qualifiĂ©e et non au sujet, mĂȘme consentant.
  • Toute Ă©tude doit ĂȘtre prĂ©cĂ©dĂ©e d'une Ă©valuation soigneuse du rapport entre d'une part, les risques et les contraintes et d'autre part, les avantages prĂ©visibles pour le sujet ou d'autres personnes. Cela n'empĂȘche pas la participation Ă  des recherches mĂ©dicales de volontaires sains. Le plan de toutes les Ă©tudes doit ĂȘtre accessible.
  • Un mĂ©decin ne doit entreprendre une Ă©tude que s'il estime que les risques sont correctement Ă©valuĂ©s et qu'ils peuvent ĂȘtre contrĂŽlĂ©s de maniĂšre satisfaisante. Il doit ĂȘtre mis un terme Ă  la recherche si les risques se rĂ©vĂšlent l'emporter sur les bĂ©nĂ©fices escomptĂ©s ou si des preuves consistantes de rĂ©sultats positifs et bĂ©nĂ©fiques sont apportĂ©es.
  • Une Ă©tude ne peut ĂȘtre rĂ©alisĂ©e que si l'importance de l'objectif recherchĂ© prĂ©vaut sur les contraintes et les risques encourus par le sujet. C'est particuliĂšrement le cas lorsqu'il s'agit d'un volontaire sain.
  • Une recherche mĂ©dicale sur des ĂȘtres humains n'est lĂ©gitime que si les populations au sein desquelles elle est menĂ©e ont des chances rĂ©elles de bĂ©nĂ©ficier des rĂ©sultats obtenus.
  • Les sujets se prĂȘtant Ă  des recherches mĂ©dicales doivent ĂȘtre des volontaires informĂ©s des modalitĂ©s de leur participation au projet de recherche.
  • Le droit du sujet Ă  la protection de son intĂ©gritĂ© doit toujours ĂȘtre respectĂ©. Toutes prĂ©cautions doivent ĂȘtre prises pour respecter la vie privĂ©e du sujet, la confidentialitĂ© des donnĂ©es le concernant et limiter les rĂ©percussions de l'Ă©tude sur son Ă©quilibre physique et psychologique.
  • Lors de toute Ă©tude, la personne se prĂȘtant Ă  la recherche doit ĂȘtre informĂ©e de maniĂšre appropriĂ©e des objectifs, mĂ©thodes, financement, conflits d'intĂ©rĂȘts Ă©ventuels, appartenance de l'investigateur Ă  une ou des institutions, bĂ©nĂ©fices attendus ainsi que des risques potentiels de l'Ă©tude et des contraintes qui pourraient en rĂ©sulter pour elle. Le sujet doit ĂȘtre informĂ© qu'il a la facultĂ© de ne pas participer Ă  l'Ă©tude et qu'il est libre de revenir Ă  tout moment sur son consentement sans crainte de prĂ©judice. AprĂšs s'ĂȘtre assurĂ© de la bonne comprĂ©hension par le sujet de l'information donnĂ©e, le mĂ©decin doit obtenir son consentement libre et Ă©clairĂ©, de prĂ©fĂ©rence par Ă©crit. Lorsque le consentement ne peut ĂȘtre obtenu sous forme Ă©crite, la procĂ©dure de recueil doit ĂȘtre formellement explicitĂ©e et reposer sur l'intervention de tĂ©moins.
  • Lorsqu'il sollicite le consentement Ă©clairĂ© d'une personne Ă  un projet de recherche, l'investigateur doit ĂȘtre particuliĂšrement prudent si le sujet se trouve vis-Ă -vis de lui dans une situation de dĂ©pendance ou est exposĂ© Ă  donner son consentement sous une forme de contrainte. Il est alors souhaitable que le consentement soit sollicitĂ© par un mĂ©decin bien informĂ© de l'Ă©tude mais n'y prenant pas part et non concernĂ© par la relation sujet-investigateur.
  • Lorsque le sujet pressenti est juridiquement incapable, physiquement ou mentalement hors d'Ă©tat de donner son consentement ou lorsqu'il s'agit d'un sujet mineur, l'investigateur doit obtenir le consentement Ă©clairĂ© du reprĂ©sentant lĂ©gal en conformitĂ© avec le droit en vigueur. Ces personnes ne peuvent ĂȘtre incluses dans une Ă©tude que si celle-ci est indispensable Ă  l'amĂ©lioration de la santĂ© de la population Ă  laquelle elles appartiennent et ne peut ĂȘtre rĂ©alisĂ©e sur des personnes aptes Ă  donner un consentement.
  • Lorsque le sujet, bien que juridiquement incapable (un mineur par exemple), est cependant en mesure d'exprimer son accord Ă  la participation Ă  l'Ă©tude, l'investigateur doit obtenir que cet accord accompagne celui du reprĂ©sentant lĂ©gal.
  • La recherche sur des personnes dont il est impossible d'obtenir le consentement Ă©clairĂ©, mĂȘme sous forme de procuration ou d'expression prĂ©alable d'un accord, ne doit ĂȘtre conduite que si l'Ă©tat physique ou mental qui fait obstacle Ă  l'obtention de ce consentement est une des caractĂ©ristiques requises des sujets Ă  inclure dans l'Ă©tude. Les raisons spĂ©cifiques d'inclure des sujets dans une Ă©tude en dĂ©pit de leur incapacitĂ© Ă  donner un consentement Ă©clairĂ© doivent ĂȘtre exposĂ©es dans le protocole qui sera soumis au comitĂ© pour examen et approbation. Le protocole doit Ă©galement prĂ©ciser que le consentement du sujet ou de son reprĂ©sentant lĂ©gal Ă  maintenir sa participation Ă  l'Ă©tude doit ĂȘtre obtenu le plus rapidement possible.
  • Les auteurs et les Ă©diteurs de publications scientifiques ont des obligations d'ordre Ă©thique. Lors de la publication des rĂ©sultats d'une Ă©tude, les investigateurs doivent veiller Ă  l'exactitude des rĂ©sultats. Les rĂ©sultats nĂ©gatifs aussi bien que les rĂ©sultats positifs doivent ĂȘtre publiĂ©s ou rendus accessibles. Le financement, l'appartenance Ă  une ou des institutions et les Ă©ventuels conflits d'intĂ©rĂȘts doivent ĂȘtre exposĂ©s dans les publications. Le compte-rendu d'une Ă©tude non conforme aux principes Ă©noncĂ©s dans cette dĂ©claration ne doit pas ĂȘtre acceptĂ© pour publication.

Principes applicables à la recherche médicale conduite au cours d'un traitement

  • Le mĂ©decin ne peut mener une recherche mĂ©dicale au cours d'un traitement que dans la mesure oĂč cette recherche est justifiĂ©e par un possible intĂ©rĂȘt diagnostique, thĂ©rapeutique ou de prĂ©vention. Quand la recherche est associĂ©e Ă  des soins mĂ©dicaux, les patients se prĂȘtant Ă  la recherche doivent bĂ©nĂ©ficier de rĂšgles supplĂ©mentaires de protection.
  • Les avantages, les risques, les contraintes et l'efficacitĂ© d'une nouvelle mĂ©thode doivent ĂȘtre Ă©valuĂ©s par comparaison avec les meilleures mĂ©thodes diagnostiques, thĂ©rapeutiques ou de prĂ©vention en usage. Cela n'exclut ni le recours au placebo ni l'absence d'intervention dans les Ă©tudes pour lesquelles il n'existe pas de mĂ©thode diagnostique, thĂ©rapeutique ou de prĂ©vention Ă©prouvĂ©e.
  • Afin de clarifier la position de l'AMM sur l'utilisation des essais avec tĂ©moins sous placebo, le Conseil de l'AMM a rĂ©digĂ© en octobre 2001 une note explicative, que vous trouverez sur cette page.
  • Tous les patients ayant participĂ© Ă  une Ă©tude doivent ĂȘtre assurĂ©s de bĂ©nĂ©ficier Ă  son terme des moyens diagnostiques, thĂ©rapeutiques et de prĂ©vention dont l'Ă©tude aura montrĂ© la supĂ©rioritĂ©. (Note explicative)
  • Le mĂ©decin doit donner au patient une information complĂšte sur les aspects des soins qui sont liĂ©s Ă  des dispositions particuliĂšres du protocole de recherche. Le refus d'un patient de participer Ă  une Ă©tude ne devra en aucun cas porter atteinte aux relations que le mĂ©decin entretient avec ce patient.
  • Lorsqu'au cours d'un traitement, les mĂ©thodes Ă©tablies de prĂ©vention, de diagnostic ou de thĂ©rapeutique s'avĂšrent inexistantes ou insuffisamment efficaces, le mĂ©decin, avec le consentement Ă©clairĂ© du patient, doit pouvoir recourir Ă  des mĂ©thodes non Ă©prouvĂ©es ou nouvelles s'il juge que celles-ci offrent un espoir de sauver la vie, de rĂ©tablir la santĂ© ou de soulager les souffrances du malade. Ces mesures doivent, dans toute la mesure du possible, faire l'objet d'une recherche destinĂ©e Ă  Ă©valuer leur sĂ©curitĂ© et leur efficacitĂ©. Toute nouvelle information sera consignĂ©e et, le cas Ă©chĂ©ant, publiĂ©e. Les autres recommandations appropriĂ©es Ă©noncĂ©es dans la prĂ©sente dĂ©claration s'appliquent.

Note explicative concernant le paragraphe 29

L'AMM note avec prĂ©occupation que le paragraphe 29 de la DĂ©claration d'Helsinki () est l'objet d'interprĂ©tations diverses et de possibles malentendus. Elle rĂ©affirme par ailleurs que les essais avec tĂ©moins sous placebo ne doivent ĂȘtre utilisĂ©s qu'avec de grandes prĂ©cautions et, d'une façon gĂ©nĂ©rale, lorsqu'il n'existe pas de traitement Ă©prouvĂ©. Toutefois, mĂȘme s'il existe un traitement Ă©prouvĂ©, les essais avec tĂ©moins sous placebo peuvent ĂȘtre Ă©thiquement acceptables dans les conditions suivantes :

lorsque, pour des raisons méthodologiques impérieuses et scientifiquement solides, il n'existe pas d'autres moyens qui permettent de déterminer l'efficacité ou l'innocuité d'une méthode prophylactique, diagnostique ou thérapeutique ;
ou lorsqu'une méthode prophylactique, diagnostique ou thérapeutique est mise à l'essai pour une affection bénigne et que la participation à l'essai n'expose pas à des risques supplémentaires de dommages significatifs ou durables[2].

Toutes les dispositions Ă©noncĂ©es dans la DoH doivent ĂȘtre respectĂ©es, en particulier, la nĂ©cessitĂ© d'un examen Ă©thique et scientifique approfondi.

Note explicative concernant le paragraphe 30

L'AMM rĂ©affirme par la prĂ©sente qu'il est important, pendant la phase de planification d'une Ă©tude, d'identifier l'accĂšs aprĂšs Ă©tude des patients impliquĂ©s aux traitements prophylactiques, diagnostiques et thĂ©rapeutiques, jugĂ©s comme bĂ©nĂ©fiques au cours de l'Ă©tude ou bien Ă  des soins adĂ©quats. Le mode d'accĂšs post Ă©tude ou les autres soins doivent ĂȘtre dĂ©crits dans le protocole de l'Ă©tude afin que le comitĂ© d'Ă©thique puisse Ă©tudier ces dispositions.

Notes et références

  1. « WMA - The World Medical Association-DĂ©claration d’Helsinki de L’AMM – Principes Ă©thiques applicables Ă  la recherche mĂ©dicale impliquant des ĂȘtres humains » (consultĂ© le )
  2. Bouvenot, Gilles., Guide du bon usage du médicament, Médecine sciences publications, dl 2011 (ISBN 978-2-257-20451-6 et 2-257-20451-4, OCLC 780253582, lire en ligne)

Voir aussi

Bibliographie

  • (en) « World Medical Association Declaration of Helsinki: Ethical Principles for Medical Research Involving Human Subjects », JAMA, vol. 310, no 20,‎ , p. 2191–2194 (ISSN 0098-7484, DOI 10.1001/jama.2013.281053, lire en ligne, consultĂ© le )

Articles connexes

Liens externes

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