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Centre hospitalier de PĂ©rigueux

Le Centre hospitalier de PĂ©rigueux, ayant comme sigle CHP, est un centre hospitalier français situĂ© Ă  PĂ©rigueux, dans le dĂ©partement de la Dordogne, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine. Il est reconnu par le schĂ©ma rĂ©gional d'organisation sanitaire III d'Aquitaine (2006- 2011) comme l'Ă©tablissement de recours pour le territoire du PĂ©rigord (400 000 habitants). Il possède un Ă©quipement mĂ©dico-technique pour assurer une prise en charge mĂ©dicale et chirurgicale des patients, comme l'exigent les conditions de sĂ©curitĂ© de la rĂ©glementation[1].

Centre hospitalier de PĂ©rigueux
Image illustrative de l’article Centre hospitalier de Périgueux
Image illustrative de l’article Centre hospitalier de Périgueux
En haut de la colline, le centre hospitalier de PĂ©rigueux en 2014.
Présentation
CoordonnĂ©es 45° 11′ 35″ nord, 0° 43′ 49″ est
Pays Drapeau de la France France
Ville PĂ©rigueux
Adresse 80, avenue Georges Pompidou
24019 PĂ©rigueux Cedex
Fondation 1937
Site web www.ch-perigueux.fr
Services
Nombre de lits 1 284
(Voir situation sur carte : PĂ©rigueux)
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)

Historique

Histoire des hĂ´pitaux de PĂ©rigueux

Plusieurs hôpitaux[2] ont précédé le centre hospitalier de Périgueux.

  • L'hĂ´pital de Brunet, aussi appelĂ© hĂ´pital Sainte-Marthe ou maison-dieu de Brunet : cet hĂ´pital a Ă©tĂ© fondĂ© en 1339 par le chanoine Pierre Brunet, aumĂ´nier de la collĂ©giale Saint-Front, au sud de la collĂ©giale, près du moulin Saint-Front avec des arcades franchissant la rue du Niveau, entre la rue de l'Harmonie et l'impasse du Niveau. Il a rapidement prise le nom d'hĂ´pital de Sainte-Marthe quand cet Ă©tablissement a Ă©tĂ© pris en charge par la communautĂ© des sĹ“urs de Sainte-Marthe en 1643[3]. Il est abandonnĂ© en 1792-1793. Les bâtiments sont vendus comme bien national le 26 ventĂ´se an III (16 mars 1795). Ils sont entièrement dĂ©truits entre 1970 et 1973. Des peintures murales du XVe siècle dĂ©couvertes dans la chapelle ont Ă©tĂ© dĂ©posĂ©es et sauvegardĂ©es dans la cathĂ©drale[4] - [5] - [6].
  • La maladrerie de Charroux Ă  Coulounieix-Chamiers, citĂ©e dans le registre de la CharitĂ© en 1247 sous le nom d'ÉcornebĹ“uf. Elle a Ă©tĂ© fondĂ©e par W. de Charroux citĂ© comme commandeur de la commanderie de l'hĂ´pital. La famille de Charroux Ă©tait une riche famille de bourgeois de PĂ©rigueux. La maladrerie, ou l'hĂ´pital de Charroux, est situĂ©e en rive gauche de l'Isle, près du pont de Pierre.
  • L'hĂ´pital de L'Arsault ou hĂ´pital Saint-Cosme, ou Saint-Cosme et Saint-Damien, ou Sainte-Marie, citĂ© pour la première fois en 1247 dans un registre de cens et de rente de la CharitĂ©. Il a Ă©tĂ© abandonnĂ© entre 1575 et 1588[7] - [8].
  • L'hĂ´pital du Pont-de-Pierre, attestĂ© en 1247. Il est abandonnĂ© entre 1271 et 1290. Il Ă©tait sous la tutelle du chapitre de la CitĂ© de PĂ©rigueux[9].
  • L'hĂ´pital Saint-Pierre attestĂ© pour la première fois en 1310 dans le testament d'un bourgeois de PĂ©rigueux, HĂ©lie de Vitrac, disparaĂ®t après 1340[10].
  • L'hĂ´pital Saint-Silain, attestĂ© en 1304 avec les hĂ´pitaux de Larsaut, de Charroux et du Pont-de-Pierre. Il est situĂ© dans la paroisse de Saint-Silain. Il Ă©tait, avec l'hĂ´pital de Brunet, un hĂ´pital de Puy-Saint-Front. Au XVIe siècle, l'hĂ´pital Saint-Silain est devenu un lieu de rassemblement des populations considĂ©rĂ©es comme indĂ©sirables. Il est abandonnĂ© en 1585[11].
  • L'hĂ´pital du Toulon se trouvant Ă  proximitĂ© de la source du Toulon, dĂ©pendance de l'abbaye de Chancelade qui l'aurait reçu de Pierre de Sarnhac ou de Jarnac, possĂ©dant une tour Ă  la CitĂ© entre 1189 et 1205. Il l'aurait construit sur un terrain lui appartenant et y aurait inhumĂ© sa femme. Les comptes consulaires montrent que cet hĂ´pital accueillait aussi des lĂ©preux. Il devait ĂŞtre situĂ© près de l'Ă©glise Saint-Charles. L'hĂ´pital est aussi citĂ© dans un testament en 1302. L'hĂ´pital est abandonnĂ© en 1321 et dĂ©truit après 1421[12].
  • L'hĂ´pital de La Cueilhe fondĂ© après le don Ă  l'hĂ´pital de Sainte-Marthe par Jean de La Cueilhe d'un clos, jardin et maison près de la CitĂ© en 1587. En 1646, la maison est dans un tel Ă©tat de dĂ©labrement que l'hĂ´pital est vendu Ă  Jean de La Cropte de Chanterac pour y fonder un sĂ©minaire, dit la Grande Mission[13]. L'hĂ´pital est dĂ©placĂ© sur les ruines d'une ancienne chapelle dĂ©diĂ©e Ă  sainte Anne. En 1793, une estimation est faite pour un jardin situĂ© dans un lieu « appelĂ© l'hĂ´pital de la Cueilhe » dont les bâtiments tombent en ruines[14] - [15].
  • L'hĂ´pital gĂ©nĂ©ral ou hĂ´pital de la Manufacture. Cet Ă©tablissement est attestĂ© depuis 1649. Gabriel de Raymond, seigneur de Vignoles, et sa femme Marguerite de Makanam, font don de la propriĂ©tĂ© du Chapeau-Rouge, paroisse de Saint-Martin, le 11 juillet 1615 pour y fonder un couvent Notre-Dame, mais le projet n'est pas rĂ©alisĂ©. Le 23 juin 1663, leur fils, Christophe de Raymond, seigneur de Saint-Paul, donne la mĂŞme propriĂ©tĂ© pour y fonder un hĂ´pital gĂ©nĂ©ral[16] afin d'y regrouper et instruire les mendiants en leur apprenant des mĂ©tiers manuels. Il prend le nom d'hĂ´pital de la Manufacture. L'hĂ´pital est reconnu par le roi en avril 1665. L'hĂ´pital est inaugurĂ© le 22 fĂ©vrier 1669 bien que sa construction ne soit pas terminĂ©e[17]. Une chapelle dĂ©diĂ©e Ă  saint Louis est construite entre 1688 et 1695 par les architectes Montastier père et fils. Un retable est rĂ©alisĂ© par François BĂ©chet[18], maĂ®tre-sculpteur Ă  PĂ©rigueux, dont le paiement est effectuĂ© le 6 mai 1694 par Anne de la Borie, demoiselle de la Rampinsole[19]. Les SĹ“urs de Nevers ont remplacĂ© celles de Sainte-Marthe en 1825 pour la direction de l'hĂ´pital. La chapelle initiale est dĂ©molie en 1851 et reconstruite en 1854 par l'architecte Bouillon. Cette chapelle ainsi que l'hĂ´pital sont rasĂ©s en 1955 pour faire place Ă  l'avenue d'Aquitaine[20] - [21].

D'autres établissement n'accueillaient que des lépreux. Une demi-douzaine de léproseries sont actives à Périgueux aux alentours de 1300, dont :

  • La lĂ©proserie Saint-Hippolyte, près de l'Ă©glise Saint-Hippolyte, proche de la fontaine des Malades. Elle a Ă©tĂ© construite avant 1217 et abandonnĂ©e au XVIIe siècle[22].
  • La lĂ©proserie de Salvanjou citĂ©e pour la première fois en 1284, situĂ©e dans le faubourg Saint-Martin, sur le chemin public allant de la paroisse Saint-Silain au Toulon. Dès 1315, les consuls envisagent de dĂ©placer cette maladrerie car considĂ©rĂ©e comme trop proche du faubourg Saint-Martin. La lĂ©proserie n'apparaĂ®t plus dans les comptes Ă  partir de 1321. Elle a dĂ» ĂŞtre dĂ©placĂ©e quand apparaĂ®t la lĂ©proserie du pont de Pierre[23].

Centre hospitalier de PĂ©rigueux

La première pierre de l'hĂ´pital est posĂ©e en 1895 par le prĂ©sident de la RĂ©publique FĂ©lix Faure[24]. Faute de dĂ©cision dĂ©finitive quant Ă  son emplacement puis faute de subventions[24], il faut attendre 1936 pour que les premiers plans du Centre hospitalier de PĂ©rigueux soient Ă©tablis par les architectes Daniel Beylard et Paul Cocula[25]. Le chantier dĂ©marre officiellement en 1937, rapidement interrompu par la Seconde Guerre mondiale mais repris en 1949[25]. Entre-temps, de l'autre cĂ´tĂ© de la route de Paris (devenue avenue Georges-Pompidou), une maternitĂ© est inaugurĂ©e en 1946[24]. Le bâtiment A du CHP est entièrement inaugurĂ© sur son site actuel en 1953[26] - [27]et le bâtiment B est Ă©difiĂ© dans les annĂ©es 1980[27]. Le 15 mars 2007, le Centre hospitalier de PĂ©rigueux est protĂ©gĂ© au titre du Patrimoine du XXe siècle[25]. En 2010 est mis en service le bâtiment C[27]. En 2014, un projet coĂ»tant 73 millions d'euros termine la mise aux normes du centre hospitalier[28]. D'une capacitĂ© de 180 lits, un nouveau bâtiment de trois Ă©tages doit ĂŞtre construit Ă  partir de 2018, Ă  cĂ´tĂ© du bâtiment B[27], Ă  la place d'un parking, sur environ 9 000 m2[29]. Durant cette pĂ©riode, le bâtiment B sera restructurĂ© et Ă  terme, le bâtiment A n'accueillera plus de malades[27]. Selon les plans de l'architecte Michel Beauvais et associĂ©s, le coĂ»t de cette nouvelle tranche de travaux est estimĂ© Ă  48,7 millions d'euros[29]. RetardĂ© pour cause de pandĂ©mie de Covid-19, le transfert des services dans le nouveau bâtiment s'effectue fin septembre-dĂ©but octobre 2020[30].

Description

Capacité

Total : 1 284 (2020)[26]

Classement

En janvier 2009, le centre hospitalier de Périgueux figure dans la liste noire des 162 hôpitaux et cliniques qui n'assurent pas le suivi des malades opérés, entraînant donc des infections nosocomiales. Selon Patrick Médée, le directeur du CHP à cette époque, le centre « aurait dû […] valoir la lettre B mais [il y a eu] une erreur matérielle dans la transmission des données »[31] - [32].

Dans le palmarès annuel des hĂ´pitaux et cliniques de France, rĂ©alisĂ© par Le Point en 2020, le centre hospitalier de PĂ©rigueux est classĂ© Ă  la 39e place (sur 711 Ă©tablissements) pour les infarctus du myocarde, Ă  la 40e place (sur 324 Ă©tablissements) pour les amygdales et vĂ©gĂ©tations, Ă  la 42e place (sur 422 Ă©tablissements) pour la vĂ©sicule biliaire et Ă  la 67e place (sur 458 Ă©tablissements) pour les accouchements normaux[33].

Direction de l'hĂ´pital

La présidente du conseil de surveillance est Delphine Labails, la maire de la ville de Périgueux depuis 2020. Le directeur de l'établissement hospitalier est Thierry Lefebvre (depuis décembre 2013). Le président de la CME est Yannick Monseau[34].

Notes et références

  1. « Centre hospitalier (Périgueux), fiche structure », sur Hôpital.fr (consulté le ).
  2. Louis Grillon, « Le sort des hôpitaux de Périgueux au XVe et XVIe siècles », dans Mémoire de la Dordogne, 1995, no 6, p. 13-17 (lire en ligne)
  3. Abbé A. Jarry, « Les sœurs de Sainte-Marthe du Périgord. Fondations et supérieures générales (1643) », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. 50,‎ , p. 259-268 (lire en ligne)
  4. Clément Fleury, Pascal Ricarrère-Caussade, « Hôpital de Brunet, Maison-Dieu de Brunet, Hôpital de Sainte-Marthe », dans Hervé Gaillard, Hélène Mousset (dir.), Périgueux, Ausonius (collection Atlas historique des villes de France no 53), Pessac, 2018, tome 2, Sites et Monuments, p. 308-317, (ISBN 978-2-35613241-3)
  5. Louis Grillon, « L'hôpital Sainte-Marthe de Périgueux », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1996, tome 123, 1re livraison, p. 43-58, 2e livraison, p. 165-175, 3e livraison, p. 309-324, 4e livraison, p. 431-446, 1997 tome 124, 1re livraison, p. 91-108, 2e livraison, p. 245-260, 3e livraison, p. 391-399, 4e livraison, p. 531-540, 1998, tome 125, 1re livraison, p. 67-80
  6. Jean Secret, « Les églises et chapelles de Périgueux existantes ou disparues », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1973, tome 100, 3e livraison, p. 167-168 (lire en ligne)
  7. Clément Fleury, « Hôpital de Larsaut, Saint-Cosme, Saint-Cosme et Saint-Damien, Sainte-Marie », dans Hervé Gaillard, Hélène Mousset (dir.), Périgueux, Ausonius (collection Atlas historique des villes de France no 53), Pessac, 2018, tome 2, Sites et Monuments, p. 324-327, (ISBN 978-2-35613241-3)
  8. Jean Secret, « Les églises et chapelles de Périgueux existantes ou disparues », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1973, tome 100, 3e livraison, p. 175 (lire en ligne)
  9. Clément Fleury, « Hôpital du Pont-de-Pierre », dans Hervé Gaillard, Hélène Mousset (dir.), Périgueux, Ausonius (collection Atlas historique des villes de France no 53), Pessac, 2018, tome 2, Sites et Monuments, p. 329-330, (ISBN 978-2-35613241-3)
  10. Clément Fleury, Johan Picot, « Hôpital Saint-Pierre », dans Hervé Gaillard, Hélène Mousset (dir.), Périgueux, Ausonius (collection Atlas historique des villes de France no 53), Pessac, 2018, tome 2, Sites et Monuments, p. 337-338, (ISBN 978-2-35613241-3)
  11. Clément Fleury, « Hôpital Saint-Silain », dans Hervé Gaillard, Hélène Mousset (dir.), Périgueux, Ausonius (collection Atlas historique des villes de France no 53), Pessac, 2018, tome 2, Sites et Monuments, p. 339-342, (ISBN 978-2-35613241-3)
  12. Clément Fleury, Claude Lacombe, « Hôpital du Toulon, léproserie du Toulon », dans Hervé Gaillard, Hélène Mousset (dir.), Périgueux, Ausonius (collection Atlas historique des villes de France no 53), Pessac, 2018, tome 2, Sites et Monuments, p. 339-342, (ISBN 978-2-35613241-3)
  13. Chanoine Joseph Roux, « Hôpitaux de la Cueilhe et de Sainte-Anne », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. 49,‎ , p. 218-221 (lire en ligne)
  14. Claude Lacombe, Hélène Mousset, « Hôpital de La Cueille », dans Hervé Gaillard, Hélène Mousset (dir.), Périgueux, Ausonius (collection Atlas historique des villes de France no 53), Pessac, 2018, tome 2, Sites et Monuments, p. 430-431, (ISBN 978-2-35613241-3)
  15. Jean Secret, « Les églises et chapelles de Périgueux existantes ou disparues », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1973, tome 100, 3e livraison, p. 166-167, 180-181 (lire en ligne)
  16. L'hôpital général est une institution d'enfermement des pauvres, mendiants, gueux et vagabonds qui avaient envahi Paris à la suite des guerres, fondé par Louis XIV le 27 avril 1656 (Nicolas Sainte Fare Garnot, « L'Hôpital Général de Paris. Institution d'assistance, de police, ou de soins ? », dans Histoire, économie & société, 1984, no 3-4, p. 535-542). L'institution est généralisée à toutes les villes et gros bourgs du royaume par l'édit de Saint-Germain du 14 juin 1662.
  17. Jean Secret, « Les églises et chapelles de Périgueux existantes ou disparues », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1973, tome 100, 3e livraison, p. 168-171 (lire en ligne)
  18. François Béchet était originaire de Sainte-Radegonde-des-Noyers, diocèse de La Rochelle. Il a réalisé le mausolée en pierre et en marbre pour le cœur du marquis d'Hautefort dans la chapelle castrale du château de Hautefort, détruit en 1793.
  19. Noël Becquart, « Le retable disparu de l'hôpital général de Périgueux », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1976, tome 103, 1re livraison, p. 63-65 (lire en ligne)
  20. Claude Lacombe, « Hôpital de la Manufacture », dans Hervé Gaillard, Hélène Mousset (dir.), Périgueux, Ausonius (collection Atlas historique des villes de France no 53), Pessac, 2018, tome 2, Sites et Monuments, p. 431-435, (ISBN 978-2-35613241-3)
  21. Louis Grillon, « L'hôpital général de Manufacture de Périgueux », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 2002, tome 129, 3e livraison, p. 385-420, 4e livraison, p. 617-652
  22. Clément Fleury, « Léproserie Saint-Hippolyte, fontaine des malades », dans Hervé Gaillard, Hélène Mousset (dir.), Périgueux, Ausonius (collection Atlas historique des villes de France no 53), Pessac, 2018, tome 2, Sites et Monuments, p. 331-336, (ISBN 978-2-35613241-3)
  23. Clément Fleury, « Léproserie de Salvanjou, de Salvangon, ladrerie de Salvanjou », dans Hervé Gaillard, Hélène Mousset (dir.), Périgueux, Ausonius (collection Atlas historique des villes de France no 53), Pessac, 2018, tome 2, Sites et Monuments, p. 342-343, (ISBN 978-2-35613241-3)
  24. Guy Penaud, Le Grand Livre de PĂ©rigueux, Ă©ditions la Lauze, 2003, (ISBN 2-912032-50-4), p. 183-184.
  25. Clémence Préault et Anne Laborderie, « Hôpital, centre hospitalier Dujarric-de-la-Rivière », notice no EA24000003, base Mérimée, ministère français de la Culture (consultée le 28 octobre 2014).
  26. « Centre hospitalier (Périgueux) », sur la Fédération hospitalière de France (consulté le ).
  27. Anne-Marie Siméon, « Hôpital de Périgueux : la modernisation, enfin », Sud Ouest édition Périgueux,‎ , p. 16.
  28. Hervé Chassain, « Ça se passera (peut-être) en 2014 », Sud Ouest édition Périgueux,‎ , p. 14-15.
  29. Émilie Delpeyrat, « Le futur hôpital dévoilé », Sud Ouest édition Périgueux,‎ , p. 15.
  30. Émilie Delpeyrat, « L'hôpital emménage dans son nouveau vaisseau », Sud Ouest édition Dordogne,‎ , p. 17.
  31. Adrien Potocnjak-Vaillant, « Infections nosocomiales : une "liste noire" en "décalage avec la réalité" », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  32. « La liste noire des hôpitaux exclus du palmarès », L'Express,‎ (lire en ligne).
  33. Clément Bouynet, « Les bonnes notes du centre hospitalier de Périgueux », Sud Ouest,‎ (lire en ligne) Inscription nécessaire.
  34. « Centre hospitalier (Périgueux), fiche établissement », sur Hôpital.fr (consulté le ).

Annexes

Bibliographie

  • Henry François Athanase Wlgrin de Taillefer, « Des lĂ©proseries et des autres anciens hĂ´pitaux », dans AntiquitĂ©s de VĂ©sone, citĂ© gauloise, remplacĂ©e par la ville actuelle de PĂ©rigueux, Chez Dupont père et fils, PĂ©rigueux, 1826, tome 2, p. 581, 591, 600-605 (lire en ligne)

Liens externes

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