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Cathédrale Saint-Vincent de Viviers

La cathédrale Saint-Vincent de Viviers est la cathédrale du diocèse catholique de Viviers depuis le IVe siècle. Elle est située à Viviers, dans le département de l'Ardèche, en France.

Cathédrale Saint-Vincent de Viviers
La cathédrale Saint-Vincent de Viviers.
La cathédrale Saint-Vincent de Viviers.
Présentation
Culte Catholique romain
DĂ©dicataire Saint Vincent
Type cathédrale
Rattachement Paroisse Charles de Foucauld Viviers / Le Teil - Diocèse de Viviers
Début de la construction XIe siècle
Fin des travaux XVIIIe siècle
Style dominant roman, gothique
Protection Logo monument historique ClassĂ©e MH (1906)
Site web Paroisse Charles de Foucauld - Viviers / Le Teil
GĂ©ographie
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
Département Ardèche
Ville Viviers
CoordonnĂ©es 44° 28′ 55″ nord, 4° 41′ 25″ est

Présentation

Transfert du siège épiscopal d'Alba à Viviers

La date du transfert du siège d'épiscopal d'Alba, capitale des Helviens, et le nom de l'évêque ayant fait ce transfert, a fait l'objet d'un débat au XIXe siècle. R. Lauxerois a repris l'avis de Louis Duchesne affirmant que ce transfert a été fait par un certain Promotus, et non Auxonius, 5e évêque d'Alba. L'histoire racontée au XIXe siècle d'un évêque assassiné, d'une population en fuite, et d'un évêque s'installant à Mélas puis à Viviers, est fantaisiste. La Vetus Carta, premier cartulaire de la cathédrale de Viviers datant du Xe siècle, donne dans la liste des évêques comme successeur de Promotus, Lucianus siégeant regnate Alarico, sous le règne d'Alaric II, mort en 507. On a trouvé une épitaphe d'un évêque mort en 487 à Saint-Thomé. Yves Esquieu en déduit que le transfert du siège épiscopal a bien été fait par Promotus, premier évêque installé à Viviers entre 474-475 et 487. Rien dans l'épitaphe et dans la Vetus Carta ne permet de savoir pourquoi le siège a été transféré. On ne sait pas à quelle date Alba a été abandonnée. Le transfert est probablement dû aux nouvelles conditions politiques et économiques. Après Promotus, il y a l'évêque Lucianus, puis vient Venance qui appartient à la famille des rois burgondes et qui a participé au concile d'Épaone en 517, et au concile de Clermont en 535. Il serait mort en 544. D'après les Acta sanctii Venantii, c'est l'évêque Venance qui aurait relevé les murailles de la cité, orné les églises, et restauré la cathédrale.

Il est possible que la cathédrale de Viviers ait été ruinée en 736 pendant une incursion de Sarrasins, puis reconstruite. C'est peut-être à la suite de cet évènement que l'implantation de la cathédrale a été déplacée vers le sud.

Quand l'évêque Léodégaire est élu en 1096, il trouve une cathédrale en ruine. Il entreprend sa reconstruction. La nouvelle cathédrale est consacrée le par le pape Calixte II, alors que le bâtiment n'est pas achevé. Le plan de l'abside à chapelles rayonnantes carrées, inhabituel dans la région, pourrait être inspiré de l'abbatiale de Tournus. La nef s'inscrit dans la période de diffusion des édifices à trois vaisseaux dans la vallée du Rhône, au second quart du XIIe siècle[1].

Des fouilles ont été entreprises en 1978 et 1983, place de la Plaine, au nord de la cathédrale. Elles ont mis au jour des structures paléochrétiennes et les vestiges d'un groupe de trois édifices qui devaient composer le groupe cathédral du haut Moyen Âge[2]. Ces fouilles ont aussi permis de trouver les fondations du cloître des chanoines du XIIIe siècle.

La cathédrale actuelle

Sur la base d’un édifice du XIe siècle (elle fut consacrée en 1119), succédant lui-même à un sanctuaire beaucoup plus ancien, remaniée aux XVIIe et XVIIIe siècles, la cathédrale Saint-Vincent juxtapose un élément défensif, une nef romane, et un chœur gothique flamboyant.

Au XVe siècle les chapelles rayonnantes sont reprises dans le goût gothique. Peu après, l’évêque Claude de Tournon (1498-1542) remanie l’édifice et fait bâtir le chœur de style gothique flamboyant (entre 1516 et 1521). Le dessin de la voûte est particulièrement remarquable. La richesse du programme sculpté se déploie tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du chevet, dont le couronnement est l'un des exemples des grandes réalisations du gothique flamboyant français[1].

Détails de la cathédrale.
Chevet de la cathédrale.

La cathédrale est dévastée par les guerres de religion en 1562 et 1567. Sa restauration est commencée par le préchantre du chapitre, François Monnier. Les murs de la nef sont relevés et reçoivent une couverture en bois. Au début du XVIIe siècle l'abside est entouré d'un déambulatoire, ce qui oblige à tronquer les chapelles rayonnantes, qui sont soit supprimées soit rallongées[1].

Le chapitre réintègre le choeur en 1606. La chapelle de la famille de Poitiers est transformée en sacristie en 1627. Il commande une chaire et un retable pour le maître-autel[1].

Des travaux d'embellissements ont lieu au XVIIIe siècle, dont il reste particulièrement le maître-autel de marbre. La voûte est reconstruite en pierre de 1757 à 1759 par l’architecte avignonnais Jean-Baptiste Franque.

La Révolution ne semble pas avoir beaucoup affecté le monument, qui se dégrada bien plus lors de la réunion du diocèse à celui de Mende entre 1801 et 1823. Des travaux de restaurations occupent les années 1820-30 et 1860. De 1864 à 1866 le couvrement du chevet est repris, afin de restaurer la riche sculpture qui le couronne. Ces ornements, particulièrement fragiles, sont à nouveau restaurés au début du XXe siècle, puis en 1983[1].

Dans son état actuel, le chœur, dont la largeur et la richesse contrastent avec les petites dimensions et la simplicité de la nef à trois travées sans transept, possède deux rangs de stalles. Des tapisseries des Gobelins ornent les murs. Le maître-autel baroque (XVIIIe siècle) est fait en mosaïque de marbres polychromes.

  • Reprise de la voĂ»te par Franque : voĂ»te d'arĂŞtes Ă  double arĂŞtier.
    Reprise de la voûte par Franque : voûte d'arêtes à double arêtier.
  • La voĂ»te du chĹ“ur.
    La voûte du chœur.
  • VoĂ»te de la chapelle latĂ©rale.
    Voûte de la chapelle latérale.

Le clocher, dit encore « campanile » ou tour Saint-Michel, remonte Ă  la construction du XIe siècle. Aujourd’hui reliĂ© Ă  la nef par un porche, il constituait la porte d’entrĂ©e du quartier canonial. Sa base carrĂ©e, ornĂ©e de bandes lombardes, abritait un baptistère, elle est maintenant murĂ©e. Au-dessus se trouve une chapelle dĂ©diĂ©e Ă  saint Michel Archange, Ă  la sculpture particulièrement soignĂ©e. Un Ă©tage supĂ©rieur devait constituer l’amorce d’un clocher inachevĂ© (XIIe siècle). Un Ă©tage octogonal fut rajoutĂ© au XIVe siècle, portant sa hauteur Ă  40 mètres. Le clocher comporte quatre cloches. L'apparence extĂ©rieur du bâtiment a peu changĂ© depuis la fin du Moyen Ă‚ge. Ă€ l'intĂ©rieur, les colonnette et chapiteaux de la chapelle ont Ă©tĂ© restituĂ©s au XIXe siècle[3].

  • Clocher de la cathĂ©drale.
    Clocher de la cathédrale.
  • Le porche.
    Le porche.

La cathédrale a été classée au titre des monuments historiques le [4] - [5].

Vocable

Saint Vincent, patron de la cathédrale et du diocèse de Viviers, est un diacre espagnol qui fut martyrisé au IVe siècle.

Quelques faits historiques

La cathédrale a été consacrée les et [6].

En 1906, son inventaire, prévu le dans le cadre de la loi de séparation des Églises et de l'État, est reporté au . Ce jour-là, en présence de manifestants barricadés à l'intérieur et d'une foule estimée à un millier de personnes, Mgr Joseph-Michel-Frédéric Bonnet présent, lit une protestation remarquée par les manifestants. À la sienne s'ajoute celle de M. Pavin de Lafarge, conseiller général. Les autorités ne peuvent pénétrer dans l'édifice qui demeure occupé jour et nuit par une centaine de paroissiens. Le , en présence de troupes militaires réquisitionnées pour l'occasion, l'opération se déroule après défonçage des portes. Là aussi une foule nombreuse réunie par le tocsin était présente.

Des dates récentes :

  • 1994 : les paroisses catholiques de Viviers, Saint-ThomĂ© et Valvignères forment l’« ensemble inter-paroissial de Viviers » ;
  • 2003 : crĂ©ation de la paroisse « Charles de Foucauld Viviers / Le Teil », par fusion des paroisses catholiques regroupĂ©es au sein des « ensembles inter-paroissiaux » de Viviers et du Teil soit celles d’Alba-la-Romaine, Aubignas Cruas, Le Teil, Meysse, Rochemaure, Saint-Martin-sur-Lavezon, Saint-Pierre-la-Roche, Saint-ThomĂ©, Sceautres, Valvignères, Viviers (1er octobre)[7] ;
  • 2013 : Ă  compter du , la cathĂ©drale Saint-Vincent est confiĂ©e Ă  un recteur, secondĂ© par une Ă©quipe rectorale, chargĂ© de l'organisation de cĂ©lĂ©brations et rassemblements diocĂ©sains et de l'accueil des visiteurs[8]… ;
  • 2019 :
    • le , environ 500 fidèles, les prĂŞtres et diacres du diocèse se rĂ©unissent auprès de Mgr Jean-Louis Balsa pour la messe chrismale et les 900 ans de la consĂ©cration de l'Ă©difice[9].
    • le , un sĂ©isme secoue la rĂ©gion Le Teil - Viviers fragilisant la cathĂ©drale qui demeure fermĂ©e par sĂ©curitĂ© durant plus d'une annĂ©e.
  • 2020 : après un mois de travaux de maçonnerie la cathĂ©drale accueille de nouveau les fidèles. La première cĂ©lĂ©bration est la messe de minuit le , prĂ©sidĂ©e par Mgr Jean-Louis Balsa, Ă©vĂŞque de Viviers[10].

Intérieur de l'édifice[11] - [12]

Le sanctuaire

Le chœur de la cathédrale Saint-Vincent de Viviers en 2011.

Plusieurs éléments aux fonctions liturgiques précises prennent place dans le chœur :

  • la cathèdre : siège de prĂ©sidence ne pouvant ĂŞtre occupĂ© que par l’évĂŞque. Elle donne son nom Ă  l’édifice : la « cathĂ©drale » ou Ă©glise de l’évĂŞque. De « style Empire », elle date du XIXe siècle. Ce fauteuil Ă©piscopal est classĂ© monument historique au titre d'objet depuis le [13] ;
  • Le Christ en croix dominant l’assemblĂ©e a Ă©tĂ© sculptĂ© en 1599 ou 1609 par le menuisier de Romans-sur-Isère : Antoine Rousset. Il est classĂ© monument historique au titre d'objet depuis le [14].
  • l’ambon ;
  • l’autel.

Ces deux derniers éléments ont été placés en 2005 à l’occasion de la béatification de Charles de Foucauld, patron de la paroisse nouvelle intégrant la cathédrale, et de la venue en ce lieu de Mgr Fortunato Baldelli, nonce apostolique en France.

Les socles en cuivre travaillés sont l’œuvre de l’artiste de Tournon-sur-Rhône : Jean Huard. Le porte livre de l’ambon et la table de verre de l’autel sont une création de Jean-Marie Dumolard [15] - [16]« Pour les chrétiens, ce verre - matière minérale - rappelle une autre matière minérale : la pierre, « le roc qu’est le Christ ». L’unité de facture entre l’ambon et l’autel leur évoque aussi le Christ : « Il est, dit le concile Vatican II, réellement présent dans l’Eucharistie et dans la Parole proclamée dans l’assemblée »[17]. En 2017-2018 l'environnement immédiat de ces deux éléments a été revu avec l'enlèvement d'une partie de l'ancienne table de communion et de diverses estrades supports, le tout permettant d'alléger l'ensemble du chœur, de libérer de l'espace autour et d'en faciliter l'accès[18].

  • la PrĂ©sence : le pain consacrĂ© Ă  la messe, Ă©lĂ©ment extrĂŞmement sacrĂ©, devenu Corps du Christ pour les catholiques. SignalĂ©e par une lumière invitant Ă  la dĂ©votion et Ă  l’adoration, elle est placĂ©e ici dans le tabernacle de l’ancien maĂ®tre-autel datant du XVIIIe siècle.

Mobilier

Une partie du mobilier de la cathédrale est recensé dans la base Palissy. Quelques pièces parmi les plus importantes :

Tabernacle

D’une manière générale, un tabernacle est la réserve où l’on garde le pain consacré à la messe, destiné à être porté à ceux qui ne peuvent participer aux célébrations, en particulier les malades ou les personnes âgées. Ici le tabernacle de la cathédrale est placé au sein de l’ancien maître-autel réalisé en 1727 par des marbriers génois ( ?) installés à Marseille. L’ensemble a été consacré en 1728. Constitué de marbre blanc incrusté de marbres polychromes formant sur certaines parties une marqueterie avec des détails réalistes comme des oiseaux, il est classé monument historique[19].

Statues

Quelques pièces classées monument historique au titre d'objet depuis le :

  • École française du XVIIe siècle, Vierge Ă  l'Enfant.
    École française du XVIIe siècle, Vierge à l'Enfant.
  • École française du XVIIe siècle, Ecce Homo.
    École française du XVIIe siècle, Ecce Homo.
  • Jean Magrou, Monument funĂ©raire de Mgr Bonnet (1928).
    Jean Magrou, Monument funéraire de Mgr Bonnet (1928).

Autres éléments

  • Tombeau des Ă©vĂŞques de Viviers avec sa dalle comportant leurs armoiries.
  • Les vingt-quatre stalles sur deux rangs, datant du XVIIe siècle, ensemble classĂ© monument historique au titre d'objet depuis le [24].
  • Le tambour du portail principal, première moitiĂ© du XIXe siècle[25].
  • La chaire Ă  prĂŞcher mise en place en 1944[26].

Tableaux

  • Reynaud Levieux, Le Retour d'Égypte.
    Reynaud Levieux, Le Retour d'Égypte.
  • Nicolas Mignard, L’Annonciation (1642).
    Nicolas Mignard, L’Annonciation (1642).
  • Jean-Baptiste de Hault, Le Rosaire (1627).
    Jean-Baptiste de Hault, Le Rosaire (1627).
  • École française du XVIIe siècle, Saint Nicolas.
    École française du XVIIe siècle, Saint Nicolas.

Durant l’épiscopat de Mgr François Blondel ont été placés des portraits de saints et bienheureux ardéchois comme :

conférant à la cathédrale un caractère ardéchois plus marqué. Ils portent la signature de sœur Françoise Ménétrier.

Orgues

L'orgue de tribune.

La cathédrale est dotée de deux orgues répertoriées à l’Inventaire général du patrimoine culturel :

  • le grand-orgue placĂ© au-dessus du portail principal, datant de 1841, est signĂ© John Abbey ; il possède 31 jeux sur 3 claviers manuels et pĂ©dalier, les transmissions sont Ă©lectriques [31] ;
  • l’orgue de chĹ“ur date de 1869. Il porte la signature de la Maison Merklin-Schutze [32].

Tapisseries de la Manufacture des Gobelins

Six scènes du Nouveau Testament datant du XVIIIe siècle sont classées monuments historiques au titre d'objet depuis le [33] :

  • La PĂŞche miraculeuse ;
  • RĂ©surrection de Lazare ;
  • JĂ©sus chassant les marchands du temple ;
  • BaptĂŞme du Christ ;
  • Lavement des pieds ;
  • La Cène.

Cette dernière, volée le , n'est pas localisée.

Verrières

Les verrières du chœur sont décorées par les armoiries d’évêques de Viviers et du chapitre de la cathédrale[34].

  • Le chĹ“ur
  • Cathèdre de l’évĂŞque, stalles et tapisseries.
    Cathèdre de l’évêque, stalles et tapisseries.
  • Tabernacle, ancien maĂ®tre-autel et tapisseries.
    Tabernacle, ancien maître-autel et tapisseries.
  • Dalle funĂ©raire des Ă©vĂŞques de Viviers inhumĂ©s dans le chĹ“ur de la cathĂ©drale.
    Dalle funéraire des évêques de Viviers inhumés dans le chœur de la cathédrale.
Le clocher ou tour Saint-Michel.

Les cloches

La tour Saint-Michel est dotée de quatre cloches sonnant à la volée :

  • Marie-Jeannette, donne un Si2 et pèse 2 439 kg ;
  • ThĂ©odorine-JosĂ©phine, donne un Mi3 pour 860 kg ;
  • Arsène-Élisabeth, Sol3 pour 446 kg ;
  • Antoinette-Sophie, Do4 avec 238 kg.

Fondues à Lyon par Gédéon Morel en 1847, elles sont répertoriées sur l’Inventaire général du patrimoine culturel [35].

Voir aussi

Bibliographie

  • Archives dĂ©partementales de l’Ardèche : La Croix de l’Ardèche, numĂ©ros consultĂ©s et .
  • Correspondance Ă©lectronique privĂ©e entre le recteur de la cathĂ©drale et M. Pasquion, .
  • Églises en Ardèche, Document du Service DiocĂ©sain de la Pastorale des RĂ©alitĂ©s du Tourisme et des Loisirs du diocèse de l’Ardèche et de la Commission d’Art SacrĂ©, 2010.
  • Jean Ribon, Reflets de l’Ardèche, Pages d’histoire civile et religieuse.- Édition et RĂ©gion, La bouquinerie, Valence.- 2007.- 376 p.
  • S. Pasquion, Talencieux et ses environs Ă  travers les âges, Tome 1, 2 et 3., dossier disponible Ă  la Bibliothèque Communautaire du Bassin d’Annonay, 2002 – 2004.
  • Yves Esquieu, CathĂ©drale de Viviers Ardèche, Aix-en-Provence, 2001.
  • Yves Esquieu, La cathĂ©drale Saint-Vincent de Viviers, p. 317-331, dans Congrès archĂ©ologique de France. 150e session. Moyenne vallĂ©e du RhĂ´ne. 1992, SociĂ©tĂ© française d'archĂ©ologie, Paris, 1995
  • Yves Esquieu, Rollins Guild, Le campanile de la cathĂ©drale de Viviers, p. 333-350, dans Congrès archĂ©ologique de France. 150e session. Moyenne vallĂ©e du RhĂ´ne. 1992, SociĂ©tĂ© française d'archĂ©ologie, Paris, 1995
  • Yves Esquieu, Viviers - CathĂ©drale, p. 214-217, dans Les premiers monuments chrĂ©tiens de la France, tome 1, Sud-Est et Corse, Picard Ă©diteur, Ministère de la Culture et de la Francophonie, Paris, 1995 (ISBN 2-7084-0442-3)
  • Robert Saint-Jean, Jean Nougaret, Vivarais GĂ©vaudan romans, p. 73-82, Éditions Zodiaque (collection La nuit des temps no 75), La Pierre-qui-Vire, 1991 (ISBN 2-7369-0186-X)
  • Yves Esquieu, Ardèche. Viviers, dĂ©couverte d'une sculpture romane, p. 37, Bulletin monumental, 1988, volume 146, no 1 (lire en ligne)
  • Yves Esquieu, La cathĂ©drale de Viviers et les bâtiments du cloĂ®tre, XIIe-XIIIe siècles, p. 121-148, dans Bulletin monumental, 1983, volume 141, no 2 (lire en ligne)
  • Yves Esquieu, Ardèche, Viviers : quelques notes sur les dĂ©couvertes archĂ©ologiques, p. 316-318, Bulletin monumental, 1982, volume 140, no 4 (lire en ligne)
  • J. Banchereau, Viviers, p. 194-214, dans Congrès archĂ©ologique de France. 86e session. Valence et MontĂ©limar. 1923, SociĂ©tĂ© française d'archĂ©ologie, Paris, 1925 (lire en ligne)
  • Jacques de Banne (1591-1657), MĂ©moyres des AntiquitĂ©s de l'Église cathĂ©drale de Viviers, recherchĂ©es par moy, Jacques de Banne, chanoine d'icelle, et de plusieurs autres choses arrivĂ©es en divers temps et particulièrement de celles qui se sont passĂ©es durant ma vie ; p. 240
  • Jacques de Banne, Chronologie des Evesques de Viviers et encore de ceux qui ont siĂ©gĂ© en la ville d'Abs auparavant que le siège fut transfĂ©rĂ© en cette ville, et plusieurs MĂ©moyres touchant l'anciennetĂ©, dotation et privilèges de l'Ă©glise cathĂ©drale de Viviers. Le tout tirĂ© des actes très authentiques
  • Jacques de Banne, MĂ©moires de Jacques de Banne, chanoine de Viviers, publiĂ©s d'après le manuscrit de la Bibliothèque Nationale, avec une introduction, des notes et une table par Auguste Le Sourd, Imprimerie de Habauzit, Aubenas, 1917 (lire en ligne)
  • collectif, Viviers : une petite cathĂ©drale... une longue histoire : Cahier de MĂ©moire d'Ardèche et Temps PrĂ©sent n°143, Privas, MĂ©moire d'Ardèche et Temps PrĂ©sent, .

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

  1. Yves Esquieu, « La cathédrale Saint-Vincent de Viviers », Congrès archéologique de France, vol. 1992, no 150,‎ , p. 317-331 (lire en ligne).
  2. Voir l'historique et la planche VII du dossier de l'inventaire général de la cathédrale.
  3. Yves Esquieu, Rollins Guild, « Le campanile de la cathédrale Saint-Vincent de Viviers », Congrès archéologique de France, vol. 1992, no 150,‎ , p. 333-350 (lire en ligne).
  4. « Cathédrale Saint-Vincent », notice no PA00116856, base Mérimée, ministère français de la Culture
  5. « Inventaire général : Cathédrale Saint-Vincent », notice no IA00048141, base Mérimée, ministère français de la Culture
  6. Diocèse de Viviers, Annuaire du diocèse de Viviers, 1996, 224 p.
  7. site de la paroisse Charles de Foucauld Viviers / Le Teil
  8. site du diocèse de Viviers
  9. Le Dauphiné libéré, éditions Annonay et nord Ardèche, 17 avril 2019
  10. Église en Ardèche (lettre d'information catholique du diocèse de Viviers), , no 6.
  11. site 40000clochers.com
  12. site du diocèse de Viviers
  13. Notice no PM07000361, base Palissy, ministère français de la Culture
  14. Notice no PM07000356, base Palissy, ministère français de la Culture
  15. autel photo Jean-Louis Zimmermann
  16. ambon photo Jean-Louis Zimmermann
  17. Correspondance électronique privée entre le recteur de la cathédrale et M. Pasquion, janvier 2015 (donc travail inédit).
  18. photo messe Toussaint 2018 (photo Diocèse de Viviers)
  19. Notice no PM07000349, base Palissy, ministère français de la Culture
  20. Notice no PM07000358, base Palissy, ministère français de la Culture
  21. Notice no PM07000357, base Palissy, ministère français de la Culture
  22. Notice no PM07000360, base Palissy, ministère français de la Culture
  23. Notice no PM07001045, base Palissy, ministère français de la Culture
  24. Notice no PM07000352, base Palissy, ministère français de la Culture
  25. Notice no IM07000281, base Palissy, ministère français de la Culture
  26. Notice no IM07000271, base Palissy, ministère français de la Culture
  27. Notice no PM07000366, base Palissy, ministère français de la Culture
  28. Notice no PM07000351, base Palissy, ministère français de la Culture
  29. Notice no PM07000353, base Palissy, ministère français de la Culture
  30. Notice no PM07001065, base Palissy, ministère français de la Culture
  31. Notice no IM07000283, base Palissy, ministère français de la Culture
  32. Notice no IM07000284, base Palissy, ministère français de la Culture
  33. Notice no PM07000350, base Palissy, ministère français de la Culture
  34. Notice no IM07000529, base Palissy, ministère français de la Culture
  35. Notice no IM07000360, base Palissy, ministère français de la Culture


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