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Canton de Belmont-de-la-Loire

Le canton de Belmont-de-la-Loire est une ancienne division administrative française située dans le département de la Loire et la région Rhône-Alpes.

Canton de Belmont-de-la-Loire
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement Loire
Arrondissement(s) Roanne
Chef-lieu Belmont-de-la-Loire
Conseiller général
Mandat
Jean-Paul Defaye
2011-2014
Code canton 42 01
DĂ©mographie
Population 5 582 hab. (2010)
DensitĂ© 56 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 08′ 23″ nord, 4° 19′ 08″ est
Superficie 99,81 km2
Subdivisions
Communes 9

    GĂ©ographie

    Ce canton Ă©tait organisĂ© autour de Belmont-de-la-Loire dans l'arrondissement de Roanne. Son altitude variait de 371 m (La Gresle) Ă  881 m (Belleroche) pour une altitude moyenne de 547 m.


    Cuinzier est une commune du nord du département de la Loire dans l'arrondissement de Roanne. Elle faisait partie jusqu'à une date récente de l'ancien canton de Belmont-de-la-Loire et elle est englobée depuis la réforme 2013-2015 dans le nouveau canton de Charlieu, beaucoup plus vaste.

    Cuinzier est limitrophe de six autres communes. C'est avec Jarnosse au sud-ouest que les limites - 2,7 km -sont les plus longues. En revanche c'est avec Sevelinges au sud qu'elles sont les plus courtes soit 850 mètres. A l'est Cuinzier confine avec Le Cergne sur 2 km, au nord-est avec Arcinges sur 2 km, avec Mars au nord sur 1,6 km, avec Villers à l'ouest sur 1,5 km. Le périmètre du territoire cuinzerot est ainsi d'environ 11 km. Son aire municipale est de dimension nettement inférieure à la moyenne des communes du canton avec un peu moins de 6 km2[1].

    . Sa situation place Cuinzier sur le plan humain et économique dans le Roannais mais la géographie physique l'inclut dans les marges du haut Beaujolais.

    L'ovale approximatif dans lequel s'inscrit le territoire municipal de Cuinzier constitue une surface inclinée, d'une manière générale, du sud-est au nord-ouest. Aménagée à peu près entièrement dans les terrains cristallins parcourus de taille de directions orhogonales la morphologie géologique inclut la commune dans le massif beaujolais même si la modestie des altitudes la place sur les marges occidentales de ce massif; toujours est-il que le granit ne cesse d'affleurer que sur les limites ouest de la commune[2].

    Cependant le relief de la commune peut ĂŞtre dĂ©crit comme un shed surbaissĂ© Ă  trois pans, chacun de ces pans s'Ă©levant ou s'abaissant du sud-ouest au nord-est. Ce modelĂ© est dĂ©terminĂ© par le cours du ruisseau le Cuinzerot ou Jarnossin de Cuinzier qui traverse la commune et par l'interfluve qui sĂ©pare ce ruisseau d'un autre cours d'eau, le Chandonnet celui-ci formant la limite du territoire de Cuinzier au nord-est. Cet interfluve commence, du moins dans le cadre de la commune, sur les hauteurs du Mont Rolland autour de 610 m. d'altitude au sud-est. Cette Ă©minence n'est en quelque sorte que le rebond de hauteurs plus considĂ©rables situĂ©es Ă  l'est - le Bois de Joux (plus de 700 m.) au Cergne et au sud -le Bois Grangent (près de 700 m.) Ă  Sevelinges. L'interfluve en question reprĂ©sente en quelque sorte l'ossature de la commune son flanc nord constituant un premier plan inclinĂ© qui descend vers le Chandonnet. Le flanc sud de l'interfluve forme un autre plan, inclinĂ© en sens inverse du prĂ©cĂ©dent, descendant vers le cours du Jarnossin.  Au sud du Jarnossin une troisième surface, en pente plus forte, s'Ă©lève jusqu'aux hauteurs qui culmine au CrĂŞt Châtelus (577 m. d'alt.) . La pente de ce versant est effectivement assez importante : un dĂ©nivelĂ© de 127 mètres sur 500 m. de distance aboutissant Ă  25 % de pente.

    Enfin, au-delà du Crêt Châtelus s'amorce ce qui pourrait constituer, si ce n'était sa superficie très limitée dans la commune, un quatrième plan incliné descendant vers le Jarnossin (de Jarnosse).

    Le point culminant de la commune est représenté par le sommet du Mont Rolland à 614 m. d'alt., les points les plus bas se situant à la sortie du territoire municipal des deux cours d'eau vers 390 m. dans les deux cas.

    L'altitude moyenne de l'aire municipale s`établit à 480 mètres.

    Le Cuinzerot, qui se jette à Jarnosse dans le Jarnossin, affluent direct de rive droite de la Loire, et le Chandonnet sous affluent du fleuve par le Sornin naissent tous deux sur les flancs du Bois Grangent le premier sur le territoire-même de Cuinzier, le second sur le territoire du Cergne[1].Le débit du Chandonnet mesuré en 2005 dans le secteur qui nous occupe à la limite de Cuinzier et d'Arcinges n'est encore que de 7,5 l./s., l'étiage quinquennal ne dépassant pas 4 l./s.

    Seul à être abondamment boisé le secteur du Crêt Châtelus concentre la plus grande partie des 78 ha de forêt de la commune dont le taux de boisement ne s'élève finalement qu'à 13 % du territoire (à rapprocher de la couverture forestière nettement plus forte des communes voisines dont l'altitude moyenne est plus élevée : 51 % à Écoche, 52 % au Cergne). La quasi-totalité du manteau forestier - 95 % - est constitué de conifères les feuillus y ayant donc une très faible part[3].

    Cependant une partie du territoire communal, la frange nord-ouest, échappe au schéma précédemment décrit. Un bloc allongé de terrains cristallins s'étirant à cet endroit du nord-est au sud-ouest oblige les deux cours d'eau, Chandonnet et Cuinzerot, qui coulaient depuis leur source du sud-est vers le nord-ouest à brusquement diverger, le Chandonnet obliquant vers le nord,-ouest, le Cuinzerot vers le sud-ouest. Ce bloc constitue une sorte de plateau qui est d'ailleurs couvert de terrains autochtones de décomposition, terrains fertiles qui en font un "fromental" (cf. le nom d'un quartier de la commune voisine de Villers).

    Cuinzier constitue une nĹ“ud routier Ă  l'Ă©chelle rĂ©gionale puisque en divergent, Ă  partir de deux carrefours, non moins de six voies le reliant Ă  son environnement gĂ©ographique. Le principal de ces carrefours est une patte d'oie situĂ©e Ă  la sortie ouest du bourg; de lĂ  s'Ă©loigne descendant vers le nord-nord-ouest la D70, très passante, qui se dirige vers la ville de Charlieu Ă©loignĂ©e de 11 km. Du mĂŞme point une route dĂ©partementale moins frĂ©quentĂ©e, la D39, mène vers le sud-ouest, en descendant vers le Jarnossin, au bourg de  Jarnosse et permet de rejoindre un peu avant ce village la "route de la vallĂ©e" suivant le cours de la rivière, ce qui reprĂ©sente un itinĂ©raire alternatif en direction de Roanne. Enfin, entre les deux prĂ©cĂ©dentes, une troisième route, la D13, montante celle-ci permet, au-delĂ  du  bourg de Villers Ă  3 km de lĂ  , d'aller Ă  Roanne en 21 km. selon un itinĂ©raire particulièrement frĂ©quentĂ©. Aussi bien, le carrefour en question reprĂ©sente t-il un point de divergence entre deux directions essentielles Ă  l'Ă©chelle rĂ©gionale puisque le choix s'offre ici Ă  la circulation venant du haut-Beaujolais entre une voie qui par Charlieu conduit Ă  la vallĂ©e de la Loire et ainsi Ă  Marcigny, Digoin et Nevers et une autre qui par Roanne permet d'atteindre Saint-Étienne et Clermont-Ferrand.

    D'une importance moindre, un autre carrefour existe, Ă  la sortie est de Cuinzier, donc  Ă  l'opposĂ© du premier par rapport au bourg; la mĂŞme D70, qui dans l'autre sens conduit Ă  Charlieu, en s'Ă©loignant d'ici vers le sud-est monte vers  le col de la Croix Couverte et permet de gagner Cours-la-Ville, Ă  6 km de Cuinzier. De ce mĂŞme point part un chemin vicinal qui, sans ĂŞtre donc classĂ© comme route en joue pleinement le rĂ´le, monte vers le bourg haut perchĂ© du Cergne reprĂ©sentant donc une bretelle de la voie menant Ă  cette commune par la Croix Couverte.

    Du centre-bourg de Cuinzier d'autre part la D39 qui vient de Jarnosse se prolonge en direction de la petite commune voisine d'Arcinges[1].

    Autant que de son chef-lieu de canton, Charlieu, distant  de 11 km Cuinzier est dans la zone d'influence de Cours-la-Ville situĂ© Ă  7 km seulement.

    Une ligne régulière d'autocar reliant Charlieu à Thizy-les-Bourgs dessert quotidiennement Cuinzier avec quatre arrêts, l'un au croisement de la route de Villers, un autre au centre du bourg, un autre encore à la Croix Rouge, un autre enfin au Mont Rolland. La gare ferroviaire la plus proche est celle de Chauffailles en Saône-et-Loire sur l'itinéraire Lyon-Paray-le-Monial éloignée de 16 km, celle de Roanne sur la ligne Lyon-Paris se trouve à 23 km. Pour se rendre à Lyon on peut si on le souhaite rejoindre en 19 km la gare de Saint-Victor-sur-Rhins. Un recours est représenté par la gare de Chauffailles sur la ligne de Lyon à Paray-le-Monial distante de 15 km. La ligne TGV Lyon-Paris peut être atteinte soit à Lyon à 85 km de Cuinzier, soit à Mâcon-Loché à 69 km soit encore en direction de Paris à la gare de Montchanin-Le Creusot certes éloignée de 94 km mais qu’une ligne d’autocar dessert à partir de Roanne ou à partir d’un arrêt plus proche à Pouilly-sous-Charlieu.

    En ce qui concerne l'attraction que peut exercer sur Cuinzier et les villages voisins une ville moyenne  (concept se rĂ©fĂ©rant Ă  une agglomĂ©ration de plus de 20 000 habitants) Roanne n'a pas de rivale. Sa proximitĂ© lui accorde sur la commune une influence prĂ©pondĂ©rante sur le plan culturel (sa presse notamment), Ă©conomique et social (l'emploi) et sanitaire (hĂ´pital, clinique). Quant Ă  la mĂ©tropole rĂ©gionale Lyon elle Ă©clipse par sa forte attractivitĂ© le chef-lieu du dĂ©partement auquel appartient la commune, Saint-Étienne ville moins considĂ©rable et plus Ă©loignĂ©e (plus de 100 km).

    Cuinzier a connu comme bien d'autres un essor dĂ©mographique important pendant les trois premiers quarts du XIXe Ă©poque de forte natalitĂ© dans les campagnes; le pic dĂ©mographique fut atteint en 1881 avec 1 261 habitants. L'exode rural induit par la rĂ©volution industrielle n'a pas Ă©pargnĂ© Cuinzier  par la suite  comme ce fut le cas pour la plupart des communes rurales de la rĂ©gion. C'est l'Ă©poque oĂą la main d'Ĺ“uvre en surabondance dans les campagnes va grossir les effectifs  ouvriers des petites villes des environs telles Cours ou Charlieu mais aussi de Roanne. S'ensuivit une longue pĂ©riode de dĂ©clin du peuplement aggravĂ© par l'hĂ©morragie humaine occasionnĂ© par la Première Guerre mondiale et l'effondrement de la natalitĂ© et qui se  poursuivit jusqu'Ă  un Ă©tiage très bas de 571 personnes en 1982 vidant ainsi la commune de plus de la moitiĂ© de sa population en un siècle. En revanche, depuis au moins le dĂ©but des annĂ©es 1990 du siècle dernier, une reprise sensible s'est produite au rythme annuel de 0,7 % assez soutenu pour porter Ă  720 le nombre actuel des habitants de la commune[4].

    La répartition de la population sur le territoire de la commune laisse apparaître une relative dispersion conforme aux caractéristiques d'un paysage bocager. La plupart des lieuxdits tels le Petit Bois, le Sapin, le Châtelet ou les Graffières ne groupent qu'un nombre restreint de foyers; seuls constituent des noyaux de peuplement plus importants les hameaux du Mont Rolland, de chez Cortant, du Pilon et du Mal Viré (celui-ci faisant face au nord). L'accroissement récent de la population a profité, outre le bourg, à des écarts comme Chevignon et Proton et un ensemble pavillonnaire est même apparu à la Grande Maison.

    Le bourg de Cuinzier attire l'attention par sa structure originale. D'abord, Ă  la diffĂ©rence de ce qui a lieu dans la plupart  des communes rurales de la rĂ©gion oĂą le bourg n'a qu'une prĂ©pondĂ©rance très relative sur les autres lieux habitĂ©s, celui de Cuinzier constitue une agglomĂ©ration nettement prĂ©dominante sur son territoire. Une autre spĂ©cificitĂ© rĂ©sulte dans son cas de l'existence de deux hameaux constituant pour lui de vĂ©ritables faubourgs, l'un, le Village, en contrebas du centre, l'autre la Croix Rouge un peu en amont, celui-ci si intimement liĂ© au bourg qu'aucune solution de continuitĂ© n'existe entre leurs habitations. Enfin, l'individualisation de vĂ©ritables quartiers Montclair ou Bel VirĂ© (car il fait face au sud; cf Tournemidi Ă  Cublize), l'existence de deux places publiques, de deux rues parallèles Ă  la rue principale, d' immeubles Ă  plusieurs Ă©tages,  la longueur mĂŞme - plus d'un kilomètre- de l'artère centrale tout cela concourt Ă  donner l'impression Ă  celui qui traverse Cuinzier d'avoir affaire Ă  une importante bourgade[1].

    Le rĂ©cent dynamisme dĂ©mographique de la commune n'est pas dĂ©menti par sa vie  Ă©conomique. Rien ne subsiste il est vrai aujourd'hui de l'ancienne activitĂ© textile, autrefois si prĂ©sente dans cette commune du Roannais. Il convient de rappeler Ă  ce propos qu'une usine de soierie fonctionnait jadis en plein cĹ“ur du village. En revanche l’industrie et l'artisanat sont particulièrement Ă©toffĂ©s Ă  Cuinzier. Deux zones artisanales, l'une plus rĂ©cente que l'autre situĂ©es Ă  la sortie occidentale de l’agglomĂ©ration de part et d’autre de la route de Villers groupent des activitĂ©s productives. S'y trouvent un atelier de mĂ©tallerie-serrurerie, un autre de tĂ´lerie-soudure-chaudronnerie, une sociĂ©tĂ© de chauffagisme, une autre de rĂ©paration de machines et Ă©quipements mĂ©caniques, une activitĂ© de conditionnement de produits de dĂ©coration. Ces zones d’activitĂ© ont aussi accueilli une entreprise de couverture, une autre de conditionnement de bois de chauffage et une sociĂ©tĂ© commercialisant des articles de visserie. Le domaine de l’automobile y est reprĂ©sentĂ© par une sociĂ©tĂ© de transport routier interurbain et une garage de mĂ©canique automobile.

    Dans le bourg mĂŞme est implantĂ©e une usine de mĂ©tallerie-serrurerie, l’artisanat y est reprĂ©sentĂ© Ă©galement par une activitĂ© de nettoyage de bâtiments; Ă  proximitĂ© du bourg par un important garage de mĂ©canique et de carrosserie de vĂ©hicules utilitaires lourds et, pour ce qui est du bâtiment  par une entreprise de maçonnerie et une autre de plâtrerie-peinture, une autre encore de sablage. Hors de l'agglomĂ©ration on rencontre au lieudit le Petit Bois une activitĂ© de terrassement et une autre de dĂ©sinsectisation.

    Le commerce rĂ©unit un magasin d'alimentation et un bar dans le centre oĂą un commerçant ambulant en textile a aussi sa rĂ©sidence. Des commerces spĂ©cialisĂ©s complètent ce domaine Ă©conomique : au lieudit le Pilon un commerce de gros d’instruments de mesure, Route de Villers un commerce de pneus; une activitĂ© de vente de bois de chauffage  fonctionne au lieudit le Mont Rolland et une activitĂ© de recyclage et brocante a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e dans le centre du bourg.

    Dans le domaine des services fonctionnent enfin un salon de coiffure, une auberge-restaurant, une pizzeria, un magasin d'alimentation, un bar,  deux gĂ®tes  ruraux. Au lieudit les Frontières travaille Ă  distance un scientifique.

    L'offre de santĂ© est reprĂ©sentĂ©e par une infirmière libĂ©rale  et une kinĂ©sithĂ©rapeute exerçant dans le bourg[5].

    La rĂ©gression de la part prise par l'agriculture par rapport Ă  l'ensemble des activitĂ©s Ă©conomiques, phĂ©nomène commun aux campagnes de la rĂ©gion, a connu Ă  Cuinzier l'ampleur avec laquelle elle s'est produite dans la plupart des communes rurales des environs.  Si du fait de la relative exiguĂŻtĂ© de son territoire et de sa vocation plus industrielle et artisanale la commune n'a jamais Ă©tĂ© un terroir agricole d'importance il y avait encore 14 exploitations actives en 1988. Leur nombre s'est  considĂ©rablement rĂ©duit au cours des dernières dĂ©cennies; il en restait 10 en 2000, 4 en 2010. Actuellement subsistent deux GAEC d'Ă©levage bovin l'un au lieudit le Pilon l'autre au lieudit Cortant. S'y ajoute un Ă©leveur indĂ©pendant au lieudit les Frontières, au Pilon un Ă©levage ovin et au Mont Rolland une activitĂ© de pressoir -transformation de fruits. On compte ainsi dans la commune une exploitation pour 180  habitants soit une proportion bien plus faible que dans certaines communes environnantes -1 exploitation pour 51 habitants Ă  Mars, 1 pour 57 Ă  Écoche, 1 pour 90 Ă  Jarnosse . La surface agricole utile totale - 428 hectares - en 2010 date du dernier recensement agricole en date)  s'est maintenue Ă  peu près au mĂŞme niveau depuis une trentaine d'annĂ©es.

    La pĂ©dologie et le climat expliquent la part très prĂ©dominante des herbages - 336 ha - par rapport aux labours, 62 ha. Les trois  exploitations de la commune pratiquant l'Ă©levage bovin relèvent de la filière viande, avec des cheptels de race charolaise, activitĂ© conforme Ă  la spĂ©cialitĂ© dominante dans la rĂ©gion. Le nombre de tĂŞtes de  gros bĂ©tail a notablement augmentĂ© depuis trois dĂ©cennies passant de 416 en 1988 Ă  580 en 2010[6].

    Administration

    Conseillers d'arrondissement (de 1833 Ă  1940)

    Liste des conseillers d'arrondissement successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1833 Jean Marie Duperron Juge de paix Ă  Belmont
    Antoine-Marie Jacotin Juge de paix Ă  Belmont
    1937 Joseph DelĂŞtre URD Maire de La Gresle (1924-1931)
    1937 1940 Gustave Bonnetain
    (1886-1971)
    Union
    nationale
    Maire de La Gresle (1931-1945)
    1940 Les conseils d'arrondissement ont été suspendus par la loi du 12 octobre 1940
    et n'ont jamais été réactivés
    Les données manquantes sont à compléter.

    Conseillers généraux de 1833 à 2015

    Liste des conseillers généraux successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1833 1838 Pierre Goyne
    (1772-1847)
    Propriétaire, rentier, maire de Saint-Germain-la-Montagne
    1838[7] 1848 Antoine Billiet Propriétaire à La Gresle
    1848 1852 André Pomey Notaire à Belmont
    1852 1880 François Glattard Droite Filateur, maire d'Écoche
    1880 1886 Louis Longin Républicain Propriétaire, maire de Belleroche
    1886 1892 Hippolyte Blanchard RĂ©publicain Notaire Ă  Belmont
    1892 1904 Amédée Périer Républicain Avocat, bâtonnier de l'Ordre à Roanne
    1904 1908
    (décès)[8]
    FĂ©licien PĂ©ni RĂ©publicain Capitaine d'artillerie et percepteur en retraite, Belmont
    1908[9] 1924
    (décès)[10]
    Stéphane Remontet Bloc national Industriel - Maire de La Gresle
    1924[11] 1940 Camille Chavanon Conservateur Industriel - Maire de Belmont (1912-1929)
    1945 1973 Henri Desseigne DVD>MRP>UC Directeur de tissages
    SĂ©nateur (1959-1974)
    Maire de Cuinzier
    Conseiller régional
    1973 1979 Bernard Ézac UDF-CDS Maire de Belmont-de-la-Loire (1973-1983)
    1979 1998 Jean-Baptiste Chabrier DVD puis UDF Maire de Cuinzier
    1998 2015 Jean-Paul Defaye DVD Retraité de La Poste
    Maire d'Écoche (1989-2014)
    Vice-Président du Conseil Général

    Composition

    Le canton de Belmont-de-la-Loire groupait neuf communes et comptait 5 374 habitants (recensement de 2007 sans doubles comptes).

    Communes Population
    (2012)
    Code
    postal
    Code
    Insee
    Arcinges1724246042007
    Belleroche2514267042014
    Belmont-de-la-Loire1 5154267042015
    Le Cergne7014246042033
    Cuinzier5744246042079
    Écoche5064267042086
    La Gresle8304246042104
    Saint-Germain-la-Montagne2014267042229
    Sevelinges6244246042300

    DĂ©mographie

    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2009
    4 6855 1724 8224 8795 0105 0765 530
    Nombre retenu Ă  partir de 1962 : population sans doubles comptes.
    Population municipale Ă  partir de 2006
    (Sources : INSEE et cassini)

    Notes et références

    1. Carte IGN 1/25000 SĂ©rie bleue 2829 SB Charlieu
    2. Carte géologique BRGM 1/50000 648 Charlieu
    3. annuaire-mairie.fr/mairie-cuinzier.html. DĂ©coupage administratif; Occupation des sols.
    4. INSEE. https://www.gouv.fr/fr/organisations/insitut-national-de-la-statistique-et-des étude-économiques. Statistiques et études. Démographie.Évolution et structure de la population. Chiffres détaillés.
    5. annuaire-mairie.fr/mairie-cuinzier.html. Entreprises sur Cuinzier
    6. https://www.data.gouv.fr/fr/datasets:agreste-données communales-résultats des recensements agricoles par commune. Cuinzier
    7. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4428517s/f1.item.zoom
    8. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6454736t/f1.item.r=canton.zoom
    9. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6454776b/f26.item.r=canton.zoom
    10. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6479323x/f2.item.r=canton.zoom
    11. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6479168t/f22.item.r=canton.zoom

    Voir aussi

    Liens externes

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