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Blocks That Matter

Blocks That Matter ou BTM est un jeu vidéo de puzzle et de plates-formes, développé par le studio indépendant français Swing Swing Submarine, sorti le sur Xbox 360 via Xbox Live Indie Games puis le pour Mac OS X, Linux et Windows. Le joueur y incarne un petit robot parti à la recherche de ses inventeurs, enlevés par des inconnus.

Blocks That Matter
Blocks That Matter est Ă©crit sur trois lignes, Ă  raison de un mot par ligne. Les lettres sont formĂ©es Ă  partir des blocs stylisĂ©s du jeu : des blocs de terre recouverts d’herbes pour la premiĂšre ligne, des blocs de pierre grise pour la deuxiĂšme ligne et des blocs d’obsidienne noire pour la troisiĂšme ligne.
Logo de Blocks That Matter.

DĂ©veloppeur
Éditeur
RĂ©alisateur
William David et Guillaume Martin
Compositeur
Yann van der Cruyssen

Date de sortie
Xbox 360
INT : 12 mai 2011

PC
INT : 20 août 2011


Issu d'un mélange entre les univers de Tetris et de Minecraft, auxquels il emprunte un certain nombre de mécanismes de jeu, le titre est plutÎt bien reçu par la critique qui apprécie particuliÚrement sa bande son ainsi que la combinaison des différents genres. Une suite intitulée Tetrobot and Co. est sortie en 2013.

Trame

Alexey et Markus sont menacés par leurs ravisseurs.
L’enlùvement d'Alexey et Markus.

Les concepteurs de jeux Alexey et Markus (références à Alekseï Pajitnov et Markus Persson, respectivement créateurs de Tetris et Minecraft) sont kidnappés alors qu'ils travaillaient ensemble sur un projet secret. Enfermés par leur mystérieux ravisseur, ils parviennent à activer à distance leur derniÚre invention, le Tetrobot, un prototype de robot fruit de leur travail commun, que le joueur incarne pour partir à leur rescousse[1].

SystĂšme de jeu

Le joueur saute sur une plate-forme.
Les niveaux sont composés de plates-formes.

Blocks That Matter propose un mélange des mécanismes de Tetris et Minecraft, dont il reprend les principes et les univers[2].

Le joueur forme un tétromino.
Le joueur doit former des tétrominos pour progresser.

Le joueur doit traverser des niveaux souterrains composĂ©s de plates-formes en 2D, dont certains sont parcourus par des ennemis[1], afin d'atteindre le portail qui l’amĂšnera au niveau suivant[3]. Tetrobot a la capacitĂ© de forer diffĂ©rents matĂ©riaux ce qui lui permet de les rĂ©cupĂ©rer. Il peut alors assembler quatre blocs de matiĂšre entre eux afin de former un tĂ©tromino et placer la structure obtenue n'importe oĂč sur l'Ă©cran, Ă  la condition qu'au moins un des blocs qui la compose soit en contact direct avec le dĂ©cor. Peu aprĂšs le dĂ©but de l'aventure, le joueur gagne la possibilitĂ© de dĂ©sintĂ©grer directement une ligne de huit blocs ou plus, ce qui peut ĂȘtre le seul moyen de dĂ©truire certains blocs particuliers, impossibles Ă  forer[1]. Il existe en effet, comme dans Minecraft, de nombreux types de blocs ayant tous un ensemble de propriĂ©tĂ©s diffĂ©rent : le sable est soumis Ă  la gravitĂ© et tombe, le bois brĂ»le au contact des flammes, l'obsidienne est indestructible, etc[3].

Dans chaque niveau se trouve également un coffre, souvent difficile d'accÚs, contenant un bloc particulier, appelé « Block That Matter », à l'effigie d'un titre marquant de l'histoire du jeu vidéo. Collecter l'ensemble de ces blocs donne accÚs à des niveaux bonus, au nombre total d'une vingtaine. Le joueur peut aussi récupérer des étoiles en rentrant dans le portail final avec un certain nombre de blocs en sa possession[2].

DĂ©veloppement

Au dĂ©but de l’annĂ©e 2011, le studio Swing Swing Submarine rencontrant des difficultĂ©s financiĂšres, William David et Guillaume Martin dĂ©cident de mettre en pause le dĂ©veloppement de Seasons after Fall, un jeu sur lequel ils travaillent alors depuis plus de un an, afin de pouvoir se consacrer Ă  de nouveaux projets plus courts[4]. Ayant envie de donner une suite, souvent rĂ©clamĂ©e par les fans, Ă  leur premiĂšre rĂ©alisation, Tuper Tario Tros. (un jeu gratuit et en Flash mĂȘlant les univers et les mĂ©caniques de jeu de Super Mario Bros. et de Tetris), mais souhaitant utiliser un univers et des graphismes originaux, l’équipe envisage quelques variations autour du systĂšme de jeu de Tetris avant de s’arrĂȘter rapidement sur ce qui deviendra le concept au cƓur de leur nouveau projet, Ă  savoir la combinaison de tĂ©trominos et de blocs de matiĂšres ayant des propriĂ©tĂ©s diffĂ©rentes[5] - [6].

Le dĂ©veloppement de Blocks That Matter dĂ©bute au cours du mois de [4], William David s’occupant du level design et des graphismes et Guillaume Martin de la programmation. Le travail se fait en collaboration avec deux personnes extĂ©rieures au studio, GĂ©raud SouliĂ© pour les artwork et le character design et Yann van der Cruyssen pour la musique et les bruitages[5]. Dans un premier temps, Martin programme un Ă©diteur de niveau sommaire pour permettre Ă  David de travailler sur le level design. Celui-ci conçoit alors de nombreux niveaux trĂšs basiques, destinĂ©s Ă  tester des situations de gameplay, avant de se lancer dans la crĂ©ation de vĂ©ritables niveaux qu’il amĂ©liorera progressivement par la suite. Pendant ce temps, Martin intĂ©grera dans le jeu les propriĂ©tĂ©s des diffĂ©rentes sortes de blocs, la vue isomĂ©trique, les premiers ennemis, un Ă©diteur destinĂ© Ă  monter les cinĂ©matiques, etc[6]. Tandis que les membres de Swing Swing Submarine dĂ©veloppent le jeu dans la salle Ă  manger de David[4], GĂ©raud SouliĂ© et Yann van der Cruyssen, eux, travaillent Ă  distance, ce dernier ne rencontrant d’ailleurs qu’une seule fois le reste de l’équipe en personne[6]. Initialement prĂ©vu pour durer trois mois[7], le dĂ©veloppement du jeu pour la Xbox 360 a finalement durĂ© deux mois de plus et s’est terminĂ© en [4], poussant les dĂ©veloppeurs Ă  repousser plusieurs fois la date de sortie[5].

Originellement Ă©crit en C# en utilisant le Microsoft XNA, Blocks That Matter est rĂ©Ă©crit en Java Ă  l’occasion de son portage sur PC et ce afin de pouvoir le faire fonctionner facilement Ă  la fois sur Linux, Microsoft Windows et OS X, ce qui prit prĂšs d’un mois. AprĂšs la parution de cette deuxiĂšme version du titre, les dĂ©veloppeurs reçurent de nombreux courriels de joueurs rencontrant des problĂšmes avec le jeu et durent y apporter un certain nombre de corrections[5].

Au total, en prenant en compte le portage du jeu, le dĂ©veloppement de la mise Ă  jour dite du « Chocolat Update » (incluant dix niveaux supplĂ©mentaires) pour le Humble Voxatron Debut[8] et le travail postĂ©rieur Ă  la sortie de leur titre (promotion du jeu, signature de contrats
), l'Ă©quipe de dĂ©veloppement estime avoir passĂ© quasiment une annĂ©e Ă  travailler sur ce jeu[7].

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Ventes

Dans une interview rĂ©alisĂ©e par 01net en juillet 2011, Willam David, l'un des deux concepteurs du jeu, explique que Blocks That Matter est l'un des titres du Xbox Live Indie Games Ă  s'ĂȘtre le mieux vendu. Cependant, il regrette qu'aprĂšs un peu plus d'un mois de commercialisation, seuls 1 850 exemplaires du titre aient trouvĂ©s preneurs, ce qui ne permet alors pas au studio de rentrer dans ses frais. Le dĂ©veloppeur se dit ne pas ĂȘtre « surpris, juste déçu » par ces faibles ventes qu'il attribue Ă  la fois Ă  un manque de visibilitĂ© et Ă  l'engouement des joueurs pour les jeux proposant un systĂšme de rĂ©compenses additionnelles. Il espĂšre pouvoir diffuser une future version pour PC sur la plate-forme de tĂ©lĂ©chargement Steam, ce qui selon lui permettrait Ă  Swing Swing Submarine de « rentabiliser le jeu et de pouvoir continuer Ă  dĂ©velopper plus sereinement les prochains »[9].

Dans une autre interview donnĂ©e au site Gamekult en dĂ©cembre de la mĂȘme annĂ©e, les dĂ©veloppeurs affirment que la version pour Xbox Live Indie Games de Blocks That Matter s'est Ă©coulĂ©e Ă  7 000 exemplaires depuis sa sortie sept mois plus tĂŽt, qu'il se vend entre 30 et 40 copies du jeu chaque jour sur Steam et que le nombre de copies vendues sur cette plate-forme a dĂ©passĂ© dĂšs son premier week-end de disponibilitĂ© le nombre de jeux vendus sur Xbox 360. Dans cette mĂȘme interview, ils expliquent que c'est Ă  l'occasion de leur participation au Humble Voxatron Debut qu'ils ont vendu le plus de copies de leur titre, avec 172 000 unitĂ©s potentiellement tĂ©lĂ©chargĂ©es dont 100 000 activations sur Steam[7].

Critiques

Aperçu des notes reçues
Presse papier
MĂ©dia Note
Canard PC (FR) 7/10[10]
Presse numérique
MĂ©dia Note
Eurogamer (UK) 8/10[11]
Gameblog (FR) 5/5[1]
Gamekult (FR) 8/10[2]
IGN (US) 8,5/10[12]
Jeuxvideo.com (FR) 18/20[3]
Agrégateurs de notes
MĂ©dia Note
Metacritic 72 %[13]

Le jeu est globalement bien reçu par la critique. Dans son test de la version PC, Gamekult dĂ©clare que Blocks That Matter « parvient Ă  une symbiose admirable entre [le genre de la plate-forme et celui de la rĂ©flexion] » et souligne que le titre est « un rĂ©gal pour les oreilles et un spectacle sympathique pour les yeux »[2]. Gameblog qualifie le jeu de « parfaitement Ă©quilibrĂ© » et note que la combinaison des diffĂ©rentes mĂ©caniques de jeu a abouti Ă  un rĂ©sultat « Ă  la fois jouissif et frustrant ce qu'il faut »[1]. Jeuxvideo.com considĂšre pour sa part que le jeu arrive Ă  proposer « des niveaux qui se renouvellent constamment » et, comme Gameblog, trouve que le « mĂ©lange entre la plate-forme et la rĂ©flexion est parfaitement bien dosĂ© ». Le site salue Ă©galement les graphismes simples mais « incroyablement accrocheur[s] » et les musiques « tout bonnement excellentes », mises au service d'un jeu qualifiĂ© de « grandiose »[3]. Dans un test publiĂ© en ligne, PC Advisor honore lui aussi le concept au centre du systĂšme de jeu ainsi que la richesse du titre en termes de contenu, source, pour le rĂ©dacteur, d’une grande rejouabilitĂ©[14]. Eurogamer, pour qui Blocks That Matter constitue « encore une addition fantastique Ă  la scĂšne indĂ©pendante », met Ă©galement en avant la quantitĂ© de contenu disponible ainsi que le mĂ©lange des genres [11]. IGN apprĂ©cie les musiques et graphismes du jeu qui permettent, par leur simplicitĂ©, de rester concentrer sur les Ă©nigmes. Le site note Ă©galement l'humour omniprĂ©sent et l'absence de bogue[12]. La version web du magazine français Les Inrockuptibles apprĂ©cie quant Ă  elle les nombreux clins d’Ɠil Ă  des titres marquant de l'histoire du jeu vidĂ©o comme Tetris, Minecraft, Boulder Dash ou encore Portal[15]. Moins enthousiaste, Canard PC trouve les graphismes convenables et les musiques « rigolotes » mais salue le « mĂ©lange efficace de plateforme, [de Minecraft] et de rĂ©flexion »[10].

Cependant, Gameblog constate l'existence d'une certaine imprĂ©cision dans les sauts, et note que certains Ă©lĂ©ments graphiques semblent peu travaillĂ©s. Le site dĂ©plore Ă©galement l'absence d'un Ă©diteur de niveau dans la version Xbox Live Indie Games[1]. Si Gamekult salue l'ajout d'un tel Ă©diteur dans les versions pour ordinateur personnel, il regrette que l'interface de ce dernier manque de clartĂ© et ne soit pas simple Ă  prendre en main[2]. Jeuxvideo.com comme Gameblog notent que la durĂ©e de vie du titre se rĂ©vĂšle un peu courte[3] - [1]. Canard PC apprĂ©cie quant Ă  lui peu l'humour du titre et trouve que les dialogues, « monument de niaiseries », plombent l'ambiance du jeu. De plus, le magazine dĂ©plore que les nombreuses rĂ©fĂ©rences Ă  des jeux plus anciens soient Ă©videntes et omniprĂ©sentes au point d'en ĂȘtre lassantes[10]. Enfin, PC Advisor estime que le jeu, jugĂ© sans pitiĂ© et relativement difficile, peut s’avĂ©rer ĂȘtre extrĂȘmement frustrant, notamment lorsqu’il force le joueur Ă  recommencer l’ensemble d’un niveau Ă  cause d’une seule erreur[14].

RĂ©compenses

Blocks That Matter s'est vu décerner le Grand Prix de l'édition 2011 du Dream.Build.Play, un concours organisé par Microsoft et visant à récompenser les meilleurs titres développés en utilisant le Microsoft XNA[16].

Différentes versions

Le jeu est originellement sorti sur Xbox 360 le [9] avant de devenir disponible sous les systĂšmes d'exploitation Microsoft Windows et OS X le Ă  l'occasion de sa sortie sur la plate-forme de tĂ©lĂ©chargement Steam[17]. Lors de sa distribution dans le Humble Voxatron Debut (durant laquelle il fut disponible sous Linux), le jeu connut une mise Ă  jour nommĂ©e « Chocolate Update » qui apporta une dizaine de niveaux supplĂ©mentaires et de nouveaux Ă©lĂ©ments disponibles dans l'Ă©diteur de niveau[8]. Cette mise Ă  jour fut ensuite portĂ©e sur Xbox 360[7]. Blocks That Matter devient officiellement disponible en japonais lors de sa sortie, le sur la plate-forme de distribution de jeu d’Active Gaming Media, Playism[18].

Dans une interview donnĂ©e en septembre 2011, William David explique l’intention des dĂ©veloppeurs de Swing Swing Submarine de publier une version de dĂ©monstration du jeu, diffĂ©rente de la version de dĂ©monstration Ă  but technique prĂ©cĂ©demment publiĂ© sur le site web Indie DB[5].

Postérité

En , Swing Swing Submarine annonce travailler sur une suite à Blocks That Matter intitulée Tetrobot and Co.[19]. Cette derniÚre sort sur Linux, Windows et OS X en 2013, sur Wii U en 2014[20] et enfin sur iOS et Android en 2015[21]. Le joueur y incarne le Psychobot, un robot microscopique conçu pour réparer de l'intérieur Tetrobot et d'autres robots similaires. L'aspect jeu plates-formes du premier titre est abandonné au profit des seules énigmes et de nouveaux types de blocs font leur apparition[22] - [23].

Notes et références

  1. MisterP, « Blocks That Matter, le test sur Xbox Live Arcade », sur Gameblog, (consulté le ).
  2. boulapoire, « Test : Blocks That Matter », sur Gamekult, (consulté le ).
  3. miniblob, « Test du jeu Blocks That Matter sur 360 », sur Jeuxvideo.com, (consulté le ).
  4. leobiwan, « Interview de William David et Guillaume Martin de Swing Swing Submarine (Blocks That Matter) », sur Jeuxvideo.com, (consulté le ).
  5. (en) Adam Ames, « We All Live In A Swing Swing Submarine: Blocks That Matter », sur True PC Gaming, (consulté le ).
  6. (en) Mike Wall, « Interview: Swing Swing Submarine talks about Blocks That Matter », sur Armless Octopus, (consulté le ).
  7. boulapoire, « ITW Swing Swing Submarine (Blocks That Matter) », sur Gamekult, (consulté le ).
  8. boulapoire, « Voxatron : l'alpha dans un Humble Bundle », sur Gamekult, (consulté le ).
  9. Corentin Raquenes, « Blocks That Matter : le jeu indé a-t-il sa place sur console ? », sur 01net.com, (consulté le ).
  10. Kahn Lusth, « Blocks That Matter : Les Blocs qui Comptent », Canard PC, Paris, Presse Non-Stop, no 241,‎ , p. 22 (ISSN 1764-5107, rĂ©sumĂ©).
  11. (en) Kristian Reed, « Download Games Roundup Review: Blocks! Bang! Decay! Gravity! Valet parking. », sur Eurogamer, (consulté le ).
  12. (en) Jon Michael, « Blocks That Matter Review », sur IGN, (consulté le ).
  13. (en) « Blocks That Matter for PC », sur Metacritic (consulté le ).
  14. (en) Nathan Meunier, « Blocks That Matter review », sur PC Advisor, (consulté le ).
  15. Erwan Higuinen, « “Blocks That Matter” : un jeu malin qui rĂ©concilie classiques et modernes », sur Les Inrockuptibles, (consultĂ© le ).
  16. boulapoire, « Blocks That Matter remporte le Dream.Build.Play », sur Gamekult, (consulté le ).
  17. boulapoire, « Blocks That Matter disponible sur Steam », sur Gamekult, (consulté le ).
  18. (ja) « 『Blocks That Matteră€ć‚‘äœœăƒ‘ă‚șăƒ«ă‚ąă‚Żă‚·ăƒ§ăƒłăźPC版がPLAYISMă«ăŠé…äżĄé–‹ć§‹ », sur Famitsu,‎ (consultĂ© le ).
  19. boulapoire, « Swing Swing Submarine annonce Tetrobot and Co. », sur Gamekult, (consulté le ).
  20. Jihem, « Tetrobot and Co. aussi sur Wii U », sur Jeuxvideo.com, (consulté le ).
  21. boulapoire, « Tetrobot & Co. : Trailer de lancement iOS/Android », sur Gamekult, (consultĂ© le ).
  22. boulapoire, « Tetrobot & Co. : à l'intérieur des blocs qui comptent », sur Gamekult, (consulté le ).
  23. miniblob, « Test du jeu Tetrobot and Co. sur PC », sur Jeuxvideo.com, (consulté le ).

Liens externes

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