L'apparence physique et la santé de Victor Hugo désignent l'évolution de l'apparence physique et de l'état de santé de l'homme de lettres Victor Hugo au cours de sa vie. Pour ses contemporains, de même que dans la mémoire collective, Victor Hugo, dont l’existence a traversé le siècle, apparaît comme un homme resté vigoureux et vert jusque dans ses dernières années.
Jeunesse
Néanmoins, l’enfant qui naît le vendredi 26 février 1802 est d’apparence si fragile que l’accoucheur affirme qu’il ne vivra guère. Adèle Foucher se souvient que sa belle-mère lui raconta souvent qu’il n’était « pas plus long qu’un couteau »[1].
Sa main portait une cicatrice depuis qu’à l’âge de quatre ans il avait été mordu par un chien à qui il donnait à manger.
À l’âge de neuf ans, sa vie à nouveau ne tint qu’à un fil lorsqu’en Espagne il fit une mauvaise chute au fond d’une excavation : sa tête frappa un rocher et il demeura un long moment évanoui avant que ses camarades de jeu ne le retrouvent[2]. Une légère cicatrice lui en resta au front. Une autre, profonde, marquait son genou des suites d'une chute. À l’hiver 1811, alors pensionnaire du « collège des nobles » à Madrid, le jeune Hugo contracta les oreillons qui le firent horriblement souffrir jusqu’à leur guérison obtenue en versant du lait de nourrice dans le conduit auditif… À son épouse, Hugo expliqua que les souffrances de cette époque dues au froid et à la faim lui avaient été salutaires et l’avaient « trempé »[3].
Dix ans plus tard, une fois encore, il échappa à la mort lorsqu’il provoqua en duel un soldat qui lui avait arraché un journal des mains : l’épée de son adversaire glissa sur sa poitrine et le toucha dans le bras gauche, sous l’épaule[4].
Hugo raconta qu’à l’époque des Feuilles d’automne, après Hernani, la haine qu’il suscitait lui valut un coup de fusil qui brisa la vitre de son bureau et manqua de le tuer, alors qu’il travaillait chez lui de nuit[5].
Victor Hugo mesurait 1,68 m. Mme Daudet fut d’abord « étonnée de sa petite taille » lorsqu’elle le rencontra pour la première fois, puis elle finit par le trouver « très grand, très intimidant »[6].
Plusieurs contemporains se souvenaient qu’il avait les yeux petits, « des prunelles d’aigle », disait Théophile Gautier, d’un bleu profond, selon Léon Daudet, et qui semblèrent très noirs à Jules Clarétie. Il avait une vue perçante qui stupéfia le journaliste Louis Ulbach lorsqu’un soir Victor Hugo, âgé alors d’environ 26 ans, fut à même de discerner d’une tour de Notre-Dame, des détails d’une précision étonnante[7].
À la même époque, ce qui frappa rapidement les personnes qui croisaient Hugo — notamment Théophile Gauthier — c’était « le front vraiment monumental, […] d’une beauté et d’une ampleur surhumaine » qu’encadraient des cheveux châtain clair, un peu longs. Le visage, très pâle, ne portait ni barbe ni moustaches et était rasé de près. Les dents étaient d’un blanc éclatant[8]. Dans Océan, des fragments de vers tracent un autoportrait : « […] jeune encore – front haut / Un sourire assez doux corrige l’œil sévère »[9].
Dans les années 1830, le visage s’arrondit au point qu’Henri Guillemin a pu parler de « commencements de bajoue ». Le même signale que Victor Hugo, dix ans plus tard, ne dédaigne pas se faire friser[10]. Il prend un soin extrême de sa personne. Le jeune poète Antoine Fontaney a noté comme « un spectacle des plus curieux « que d’observer Hugo prendre un temps très long à se raser, puis se livrer à des ablutions à l’eau de rose et finir par se verser un pot d’eau sur la tête[11].
Victor Hugo était un très grand marcheur et les quelques amis qui l’accompagnaient « y usaient leur souffle et leur jambes », nous dit Richard Lesclide[12]. Nombre de ses œuvres, ajoute-t-il, ont été en grande partie composées lors de ses promenades dans Paris ou dans la nature.
Maturité
En mars-avril 1842, il souffre d’une affection pulmonaire — peut-être une pleurésie, comme son fils Victor.
Le 20 mars 1844, alors qu’un convoi d’artillerie passe devant lui, un canon de plusieurs tonnes se détache pour venir tomber à ses pieds, manquant de l’écraser.
Lors de la Révolution de 1848, il s'expose aux balles, notamment le 25 juin, et échappe par chance à une salve tirée par des insurgés retranchés derrière une barricade.
À l’approche de la cinquantaine, alors qu’il part en exil, des poches marquées apparaissent sous les yeux.
Jules Clarétie raconte qu’à Jersey, alors qu’on l’avait cru atteint d’une affection cardiaque, Hugo s’était mis à l’équitation et se lançait à cheval dans de folles courses sur la grève, comment il se baignait tous les jours — parfois nu, comme le précise Richard Lesclide — et parcourait des kilomètres à pied, qu’il pleuve ou qu’il neige. Avec cela, un sommeil de plomb[13].
Fin de juin 1858, il contracte la maladie du charbon qui, en juillet, met sa vie en péril. Charles écrit à l’éditeur Hetzel que son père a souffert le martyre alors que son dos porte une plaie énorme. Le 27 juillet, encore très faible, il se met à son balcon pour rassurer Juliette Drouet. Il ne guérit qu’en octobre[14]. Hugo confia à Edmond de Goncourt, en février 1877, que cette maladie l’avait « cautérisé » et qu’il ne craignait plus les pluies qui le mouillaient jusqu’aux os, ni le froid, ni le chaud, qu’il avait le sentiment d’être « invulnérable ».
En 1860, il décide de se laisser pousser la barbe, « pour voir, dit-il, si cela me protégera contre les maux de gorge »[15]. Le 24 janvier 1861, ses carnets révèlent sa conviction, contraire au diagnostic des médecins, d’être atteint d’une laryngite qui se transformera en phtisie[16]. Il rapporte à son fils François-Victor qu’on le trouve « très beau avec [sa] barbe », en ajoutant avec humour qu’elle le fait ressembler à un caniche.
En septembre 1862, Banville en brosse le portrait suivant : « Les cheveux, qui sont redevenus presque longs, sont à la fois très drus et vivaces et extrêmement fins. Le visage est sanguin et robuste ; l’air vif de la mer, la bise glacée, les ardents soleils l’ont hâlé, bruni et vivifié. La barbe presque blanche ondule en larges masses. Le corps a pris un aspect herculéen. »[17]
Vieillesse
Dans les années qui suivent, la barbe devient broussailleuse jusqu’à ce qu’il décide de la ramener à une taille plus modeste en 1866.
Jules Clarétie lui rend visite à Bruxelles en août : il note les cheveux longs, très blancs et hérissés ; il se souvient de « sa jolie main grasse » et de sa très forte poignée ; « sa voix était caressante, un peu criarde »[18]. Un an plus tard, c’est au tour de Verlaine de le rencontrer. Malgré « un nez un peu fort », il le trouve « positivement beau » avec ses « petits yeux restés pétillants, non sans malice », son teint coloré, ses bonnes dents, et sa peau peu ridée[19]. Judith Gautier se souvient de sa rencontre en octobre 1869, à Bruxelles : « Victor Hugo donne tout d'abord l'impression d'être un marin, un loup de mer avec sa barbe courte, ses cheveux blancs taillés en brosse, sa carrure robuste. Très simple, très affable, la voix bien timbrée, il a un sourire charmant, aux dents toutes petites, presque enfantin. »[20] En revanche, lorsque Edmond de Goncourt le revoit à Paris en décembre 1870, il lui apparaît vieilli, « paupières rouges, teint briqueté, la barbe et le cheveu en broussailles »[21].
Nombreux sont ceux qui s’amusent de son appétit gargantuesque — Léon Daudet parle de sa « gloutonnerie ». Jules Clarétie rapporte que Hugo affirmait n’avoir jamais eu d’indigestion de toute sa vie et disait : « L’histoire naturelle connaît trois grands estomacs : le requin, le canard et Hugo. » Souvent, il l’a vu, après un repas copieux, manger une mandarine dans laquelle il avait enfoncé un morceau de sucre et croquer le tout, sans retirer ni la peau ni les pépins. Il appelait cela « le grog à la Hugo ». Plus étonnant encore, il l’avait vu, après ses courses dans le froid, avaler une cuillerée de goudron[13]. Édouard Lockroy, qui a épousé la veuve de son fils Charles, confirme, ainsi que son petit-fils George, cette étonnante voracité qui lui faisait manger les homards avec leur carapace et les oranges avec leur peau en expliquant : « C’est la carapace qui fait digérer le homard ; sans cela, il serait très lourd »[22].
Richard Lesclide note qu’entre 1872 et 1874, Hugo était sujet à des insomnies, dont il tirait parti en écrivant au lit[23].
À 76 ans, il est toujours capable de monter les marches quatre à quatre devant Léon Gambetta, 36 ans plus jeune que lui. Et pourtant, dans la nuit du 27 au 28 juin 1878, cette force de la nature est victime d’une congestion cérébrale. Le docteur Germain Sée, qui l’a ausculté, déclare : « On ne m’eût pas nommé le sujet et l’on m'eût fait l’ausculter, le palper dans une chambre sans lumière, que j’aurais affirmé : « C’est là le corps d’un homme de quarante ans ! »[24].
Quelque temps avant 1883, Mme Alphonse Daudet revoit Victor Hugo, lors d’un repas dans sa maison de l’avenue d’Eylau, qu’il habita de 1878 à 1883. Elle le trouve vieilli, un peu sourd.
Tous les matins, George et sa sœur Jeanne, les petits-enfants, venaient le saluer dans sa chambre. Dès son lever, il gobait un œuf cru, puis buvait un bol de café noir, sans sucre. Ensuite, il se lavait entièrement à l’eau froide et plongeait la tête dans une cuvette d’eau tout aussi froide ; il se nettoyait les dents avec une brosse en poils très durs ; il lissait ensuite longuement ses cheveux, puis brossait énergiquement sa barbe et délicatement sa moustache[25].
Il gardait ses ongles longs, comme cela apparaît sur les photos de cette époque et sur un moulage de sa main droite conservée à San Francisco[26]. Quand elle lui en parlait, sa petite-fille Jeanne lui disait « tes griffes ».
Décès
Les informations données ci-dessous sont tirées du Petit Journal, qui offrit à ses lecteurs un compte rendu circonstancié de l’évolution de l’état de santé de « l’illustre malade ». Les articles insistent régulièrement sur la robustesse du patient, laquelle pouvait laisser espérer une issue heureuse. À l'exception du premier, les bulletins de santé émanent du Professeur Germain Sée, des docteurs Emile Allix et Alfred Vulpian[27].
Jeudi 14 mai - soir : Victor Hugo a été pris d'une indisposition qui, d'abord, a semblé légère, et qui s'est aggravée subitement. Victor Hugo, qui souffrait d'une lésion du cœur, a été atteint d'une congestion pulmonaire. Germain Sée, Emile Allix.
Bulletin mardi 19 mai - matin : La nuit a été relativement calme ; la respiration s'embarrassent de temps en temps, mais la congestion pulmonaire ne s'est pas aggravée.
Bulletin mardi 19 mai - fin d’après-midi : L'état ne s'est pas modifié d'une manière notable. De temps en temps, accès intenses d'oppression.
Bulletin - mercredi 20 mai - 9 h 30 matin : À la suite d'une violente oppression, il s'est manifesté cette nuit une syncope assez longue. Ce matin, l'état des forces et de la respiration est à peu près le même qu'hier au soir. Comme détail complémentaire de ce bulletin, on nous assure que Victor Hugo, qui a toute sa raison et qui se sent perdu, a fait entendre pendant l'oppression une plainte formulée en ce vers : « En moi, c'est le combat du jour et de la nuit ». Il est à noter que le Matin relate le même fait, avec une légère variante : « C’est ici le combat du jour et de la nuit. »
Bulletin mercredi 20 mai - 20 h 0 : il semble qu'il y ait, depuis ce matin, une légère tendance à l'amélioration.
Bulletin - mercredi 20 - midi : La nuit a été assez agitée et troublée par deux accès d'oppression. Ce matin, on constate un certain degré d'engagement pulmonaire du côté droit.
Bulletin - mercredi 20 - 19 h : On constate ce soir un calme relatif de la respiration. Le pouls se maintient. Pas de fièvre. Le pronostic reste grave.
Bulletin - jeudi 21 mai – 9 h du matin : La nuit a été tranquille, sauf quelques instants d'oppression et de grande agitation. En ce moment, la respiration est assez calme et les fonctions intellectuelles sont intactes. La situation est toujours inquiétante.
Jeudi 21 mai - midi : Le malade a eu une crise d'agitation très violente qui a duré vingt minutes. M. Vacquerie, Mme Lockroy et le docteur Allix avaient de la peine à le maintenir. Une injection de morphine a ensuite provoqué une période de calme absolu.
Jeudi 21 mai - vers 18 h : La suffocation avait pris un caractère si alarmant que M. Lockroy s'attendait à une fin très prochaine. Cependant un peu de calme est revenu à la suite d'une injection de morphine.
Vendredi 22 mai - 1 h du matin : La situation est absolument désespérée ; l'état d'assoupissement prend le caractère comateux ; l'issue fatale est attendue d'un instant à l'autre.
Bulletin - Vendredi 22 mai - sept heures du matin : Aucun changement n'est survenu depuis ce matin, bien que les battements du cœur soient moins énergiques.
Le dernier bulletin - vendredi 22 mai - 9 h 10 du matin : Situation extrêmement grave.
Vendredi 22 mai - Vers 11 h 45 : Après une crise d'agitation, le grand poète s'est affaissé et n'a plus donné d'autre signe de vie que les soubresauts courts d'une respiration de plus en plus faible. C'était l'agonie qui commençait, agonie calme et tranquille, sorte de sommeil inconscient qui n'était que le seuil de la mort. Tous les membres de la famille, appelés en toute hâte, se tenaient au chevet du mourant, abîmés dans la plus poignante douleur. Quelques amis, parmi lesquels MM Armand Gouzien et Sardou, réunis là , mêlaient leurs larmes aux pleurs de la famille désolée.
Vendredi 22 mai - 13 h 27 : La poitrine de VH a été soulevée par un soupir, puis plus rien, l'immobilité de la mort !
Dès le début, affirme Auguste Vacquerie qui fut le témoin des derniers moments, il était convaincu que sa fin était proche. Le lundi 18 mai, il confia à Paul Meurice : « Cher ami, comme on a de la peine à mourir ! — Mais vous ne mourrez pas ! — Si ! C'est la mort. Et il ajouta en espagnol : — Et elle sera la très bien venue » Il souligne, en outre, que son visage était « profondément serein ».
Après le décès
Vendredi 22 mai : Amédée-Paul Bertault moula le visage sous la direction du sculpteur Jules Dalou qui réalisa un buste ; le peintre Léon Bonnat fit un tableau et Léon Glaize un dessin[28].
Samedi 23 mai : Félix et Paul Nadar ainsi qu'Etienne Carjat en firent plusieurs portraits photographiques. Félix Nadar fit également quelques croquis.
Dimanche 24 mai - Dans la nuit : les docteurs Sée et Cornil procédèrent à l’embaumement du corps.
Samedi 30 mai - 22 h 30 : Mise en bière.
En octobre 1887, Léon Daudet, qui assista à l’ouverture de Hauteville House après le décès, raconta à Edmond de Goncourt que les armoires « étaient bondées de capotes anglaises, et d’un format gigantesque »[29].
Notes et références
- Adèle Foucher, Victor Hugo raconté par un témoin de sa vie, Volume 1, Librairie internationale, , 487 p. (lire en ligne), p. 28 .
- Alexandre Dumas, Mes mémoires, 5ème série, Arvensa Editions, , 900 p. (ISBN 979-10-273-0137-9), p. CXXVII, 1327 .
- Adèle Hugo, Victor Hugo raconté par Adèle Hugo, Paris, Plon, Collection Les Mémorables, , 861 p. (ISBN 2-259-01288-4), p. 194, 238-239 .
- Richard Lesclide, Propos de table de Victor Hugo, Paris, E. Dentu, (Réédition Hachette-Bnf), , 345 p. (ISBN 978-2-01-187317-0), p. 62 .
- Richard Lesclide, Propos de table de Victor Hugo, Paris, Hachette-BnF, 2013 (edition 1885), 346Â p. (ISBNÂ 978-2-01-187317-0), p. 72 .
- Collectif, Souvenirs autour d'un groupe littéraire, Paris, E. Fasquelle, , 257 p., p. 43 .
- Escholier 1931, p. 354-355.
- Théophile Gautier, Victor Hugo, Paris, Bib.-Charpentier, , 289 p., p. 26 .
- Victor Hugo, Poésie IV, Paris, Robert Laffont, , 1192 p. (ISBN 978-2-221-04694-4), p. 951 .
- Henri Guillemin, Hugo, Paris, Seuil, , 191 p. (ISBN 2-02-000001-6), p. 6 .
- Alain Decaux, Victor Hugo, Paris, France Loisirs, , 1027 p. (ISBN 2-7441-5020-7), p. 415
- Richard Lesclide, Propos de table de Victor Hugo, Paris, Hachette (BnF), , 345 p. (ISBN 978-2-01-187317-0), p. 147 .
- Jules Clarétie, Victor Hugo, souvenirs intimes, Paris, Librairie Molière, , 263 p., p. 120 .
- J. Marseille et F. Gomez, Les années Hugo, Paris, Larousse, , 215 p. (ISBN 978-2-03-505292-6), p. 144 .
- Claude Malécot, Le monde de Hugo vu par les Nadar, Paris, Editions du patrimoine, , 223 p. (ISBN 978-2-85822-698-6), p. 87 .
- Victor Hugo, Choses vues 1849-1885, Paris, Gallimard, , 1014 p. (ISBN 978-2-07-040217-5), p. 415 .
- Théodore de Banville, « Banquet pour Victor Hugo », La Presse,‎ , p. 1 (lire en ligne)
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- « Patricia IZQUIERDO: "L'importance de V. Hugo chez certaines poétesses de la belle époque" », sur groupugo.div.jussieu.fr (consulté le )
- Edmond et Jules de Goncourt, Journal, Tome II, Paris, Robert Laffont, , 1292 p. (ISBN 978-2-221-05941-8), p. 355 .
- Claude Malécot, Le monde de Victor Hugo vu par les Nadar, Paris, Editions du patrimoine, , 223 p. (ISBN 978-2-85822-698-6), p. 199 .
- Richard Lesclide, Propos de table de Victor Hugo, Paris, Hachette-BnF, , 345 p. (ISBN 978-2-01-187317-0), p. 162 .
- Jules Clarétie, Victor Hugo, souvenirs intimes, Paris, Librairie Molière, , 263 p., p. 121 .
- Escholier 1931, p. 358.
- Photo visible en ligne (Fine Arts Museums of San Francisco)Â : https://art.famsf.org/hand-victor-hugo-life-cast-196226.
- « Le Petit Journal », sur Gallica (consulté le ).
- « Masque mortuaire de Victor Hugo », sur Les musées de la ville de Paris (consulté le ).
- Edmond et Jules de Goncourt, Journal, Tome III, Paris, Robert Laffont, , 1466 p. (ISBN 978-2-221-05945-6), p. 66 .