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André Oheix

André Oheix, né André-Marie-Maurice Oheix le à Loudéac (Côtes-d'Armor) et mort pour la France le à Vienne-le-Château dans la Marne lors de la Première Guerre mondiale, est un historien français spécialiste du haut Moyen Âge, notamment en Bretagne.

André Oheix
André Oheix, avant 1914.
Biographie
Naissance
Décès
Nom de naissance
André-Marie-Maurice Oheix
Nationalité
Formation
Activités
Père
Robert Oheix (d)

Biographie

Famille et formation

AndrĂ©-Marie-Maurice Oheix, dit AndrĂ© Oheix, est nĂ© le Ă  LoudĂ©ac dans les CĂ´tes-d'Armor dans une famille bourgeoise aisĂ©e. Son père, Robert-Ange-Marie Oheix, est un avocat, journaliste et Ă©crivain de 37 ans, fils de Jean Oheix, mĂ©decin de Savenay, et de Jeanne-Marie Moizan[alpha 1], fille d'une lignĂ©e de riches marchands de toiles Ă  TrĂ©vĂ©. Sa mère Marie-Ambroisine-Louise-ThĂ©odore, nĂ©e Pivert, est la fille du prĂ©sident du tribunal civil de LoudĂ©ac, Joseph Pivert. AndrĂ© est le troisième enfant de la fratrie dont l'ainĂ©e est une fille dĂ©nommĂ©e Jeanne et le second un fils dĂ©nommĂ© Robert comme son père[1].

Trois mois après la naissance d'AndrĂ©, sa mère meurt des suites de son accouchement. Son père se retrouvant seul, avec trois enfants en bas âge, rejoint TrĂ©vĂ© et la propriĂ©tĂ© familiale des Moizans, le manoir de la Ville-aux-Veneurs, oĂą vit sa mère, Jeanne-Marie, prĂŞte Ă  l'aider Ă  s'occuper de ses enfants[1]. Voulant garder sa progĂ©niture près de lui, Robert Oheix, dĂ©cide de prendre lui-mĂŞme en main leur Ă©ducation scolaire. Il n'entreprend pas cela sans bagage, dĂ©jĂ  du fait de ses diffĂ©rentes activitĂ©s professionnelles, mais aussi du fait qu'il soit Ă©galement un Ă©minent historien de la Bretagne, en relation avec Arthur de La Borderie, et membre de multiples sociĂ©tĂ©s savantes. Il est l'auteur de nombreuses publications[2]. AndrĂ©, se retrouve donc très tĂ´t en formation dans le manoir, avec son frère et sa sĹ“ur, mais aussi avec sa grand-mère. Elle meurt, en 1893 Ă  72 ans, laissant les trois enfants (AndrĂ© a 11 ans) seuls avec leur père. AndrĂ©, laisse rapidement apparaĂ®tre une forte prĂ©cocitĂ©, que son père encourage et renforce avec notamment, l'apprentissage du latin, puis des Ă©changes rĂ©guliers dans cette langue, la lecture des vies des saints bretons et l'initiation Ă  l'hagiographie[2]. AndrĂ© a 15 ans, lorsqu'il signe un premier article avec pour sujet Jules Simon, rĂ©alisĂ© sans doute avec l'aide de son père, il prĂ©sente dĂ©jĂ  les caractĂ©ristiques du style de l'Ă©criture d'AndrĂ©. Il est publiĂ© en 1897 dans la Revue historique de l'ouest[3].

Sa formation devient ensuite plus normative, il obtient le BaccalaurĂ©at et dĂ©bute un cursus en droit. En parallèle son père lui facilite son entrĂ©e, malgrĂ© son jeune âge, dans les sociĂ©tĂ©s savantes. En 1904, il a 22 ans, ses Ă©tudes sont en bonne voie et il a dĂ©jĂ  plusieurs publications d'Ă©tudes historiques Ă  son actif, lorsque son père, RenĂ© Oheix, meurt Ă  l'âge de 59 ans[3]. AndrĂ© a 22 ans et il va rester fidèle Ă  sa maison familiale tout en poursuivant ses Ă©tudes Ă  Paris. Pour assurer son avenir, il continue son droit tout en suivant Ă©galement l'enseignement de l'École des chartes et de l'École des hautes Ă©tudes[4]. Dans cette dernière il devient particulièrement assidu aux cours d'histoire de Ferdinand Lot qui, lors de l'annĂ©e scolaire 1908-1909[5], « a mis au programme de l'une de ses confĂ©rences la vie des saints bretons du Ve au VIe siècle ». C'est Ă©galement dans ce cadre qu'il lie des relations dans le domaine de l'hagiographie bretonne, notamment avec, RenĂ© Largillière, Joseph Loth, l'abbĂ© François Duine, Robert Fawtier et Éthel Jones, son Ă©pouse[4]. En 1913, il obtient le prix de thèse de la FacultĂ© de droit de Paris pour sa thèse de doctorat intitulĂ©e Les SĂ©nĂ©chaux de la Bretagne des origines au XIIe siècle et il travaille sur un Recueil des actes des rois et ducs de Bretagne du Xe au XIIe siècle, en vue de sa thèse de l'École des Hautes-Études[6].

Historien en parallèle avec ses études

C'est en 1900, bien avant la fin de ses études, qu'il commence réellement à publier avec pour débuter un article de vingt huit pages intitulé Étude hagiographique n°1 l Saint Friard et saint Secondel. Lorsque son père meurt en 1904 il a déjà publié au moins cinq articles supplémentaires[3].

À partir de 1906, il découvre puis devient « disciple » de Ferdinand Lot. Il circule beaucoup, notamment en suivant les congrès des sociétés savantes de Bretagne, et il poursuit ses communications et articles tout en terminant sa thèse du doctorat de droit. Il devient lui même, selon Debary, une « référence pour tous ceux qui, sans verser dans un « patriotisme breton » exacerbé et dénué d'objectivité, aujourd'hui reproché à La Borderie, décédé en 1901, se refusent à adopter vis-à-vis de l'hagiographie bretonne une position exagérément critique et somme toute négative »[4].

Peu après la mobilisation d'André Oheix, l'abbé François Duine, souligne un « rapport d'amitié » entre Ferdinand Lot et André Oheix, qui était un jeune homme, capable de « décanter, réviser, compléter les travaux » de l'école de son maître. Il regrette le départ de celui qu'il qualifie de « savant qui habite la Ville-aux-Veneurs » mais aussi d'« érudit jeune et bien formé ». Persuadé que les conférences de Ferdinand Lot sont « une date importante dans la critique scientifique des origines bretonnes », il est fier d'avoir pu influencer André Oheix qu'il pense devoir être, à son retour de la guerre, l'un des moteurs du renouveau et du progrès des études hagiographiques en Bretagne[7].

Grande guerre : sergent mort pour la France

André Oheix, mobilisé le , rejoint, à Cherbourg, le premier régiment d'infanterie coloniale (1er RIC). Envoyé sur le front au mois d'octobre, il est nommé sergent au mois de décembre. En janvier 1915, il évoque son existence sur le front dans un courrier au prêtre François Duine : « Depuis trois mois je suis en campagne et mène la vie des tranchées ; je ne suis plus un rat de bibliothèque mais une taupe. Enfin c'est encore quelque chose que d'être vivant et je suis bien vivant ... ». Au mois de juin il est cité et reçoit la Croix de guerre[alpha 2], puis il disparaît lors d'un affrontement le . Le fait qu'il ne soit pas parmi les prisonniers de retour en France après la fin du conflit est constaté par le tribunal de Loudéac qui, par un jugement confirme « son décès à Vienne-le-Château ». Ses restes sont finalement retrouvés en 1935 lors « d'une exhumation collective ». Rapatriés à Trévé, ils sont inhumés au cimetière du village. Sa tombe porte une inscription devenue illisible : « À la mémoire de m. André-Marie-Maurice Oheix, sergent au 1er rég. d'inf. coloniale, Dr en droit, né à Loudéac le 26 novembre 1882, disparu au Champ d'honneur en Argonne le 15 juillet 1915. Son corps a été retrouvé à la Croix-Floquet en Servon, Argonne le 15 juillet 1935 et réinhumé le 21/12/1935 »[9].

Le travail de l'historien Ă  l'Ă©preuve du temps

Malgré la disparition d'André Oheix très peu de temps après la fin de ses études de droit, et celle de son frère le lieutenant Robert Oheix, également mort pendant la guerre[10], le manoir ainsi que les archives familiales sont restées dans la famille[alpha 3]. Dans les années 1960, son neveu Yves Guillon[alpha 4] fait don à l'abbaye de Landévennec d'une partie des archives Oheix, concernant l'hagiographie bretonne. Ce fond ne donne lieu qu'à deux publications succinctes de Jean-Luc Deuffic puis Michel Debary, qui souligne que l'on y trouve, écrit par André, un Recueil des actes des ducs de Bretagne jusqu'au XIIe siècle, inachevé, et un important dossier sur les saints bretons[12].

Au XXIe siècle, si André Oheix est toujours cité, il est néanmoins relégué dans une époque importante mais révolue : en 2004, les recherches sur l'abbaye de Landévennec progressent avec notamment des études sur les relations au haut Moyen Âge, entre les bretons et l'Italie. Ce qui renvoie dans un premier temps fort « La Borderie, l'abbé Duine, ou encore André Oheix »[13]. Dans le même ouvrage, c'est Philippe Guigon qui publie un article intitulé Aux origines du fonds Oheix. Il confirme l'intérêt du dossier sur les saints bretons réalisé par André, souligne mais constate également que le travail d'André est bien plus précis que celui de son père dont le travail et la correspondance représentent la plus grande partie du fond[14].

Publications

Articles et ouvrages personnels

  • Saint Friard et saint Secondel (VIe siècle) (Extrait : Comptes rendus procès-verbaux mĂ©moires (Bretonne) - volume 18 p.19-44), Saint-Brieux, R. Prudhomme, coll. « Études hagiographiques » (no 1), , 28 p., 25 cm (SUDOC 099140195, prĂ©sentation en ligne).
  • Note sur la translation des reliques de saint Paul AurĂ©lien Ă  Fleuri (vers 960) (Extrait du Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique de Nantes et de la Loire-InfĂ©rieure), Vannes, Lafolye frères, coll. « Études hagiographiques », , 8 p., In-8° (BNF 31032802).
  • Notes sur quelques verrières anciennes des Cotes-au-Nord (Extrait des MĂ©moires de l'Association bretonne Congrès de Lannion (Septembre 1901)), Saint Brieuc, RenĂ© Prud'homme, , 19 p., in-8 (SUDOC 15459329X).
  • Échantillons de correspondances bretonnes du XVIIIe siècle (Extrait des MĂ©moires de l'Association bretonne, congrès de Redon, septembre 1902), Saint Brieuc, R. Prud'homme, , 12 p., In-8° (SUDOC 54593249).
  • Saint Victor de Cambon (VIe-VIIe siècles) (Extrait du Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique de Nantes et de la Loire-InfĂ©rieure n- volume 44 p.115-153), Nantes, Impr. R. Guist'Hau, A. Dugas successeur, coll. « Études hagiographiques », , 41 p. (SUDOC 154593303, prĂ©sentation en ligne).
  • Les Reliques bretonnes de Montreuil-sur-Mer (Extrait des MĂ©moires de l'Association bretonne, congrès de Concarneau [septembre 1905]), Nantes, L. Durance, coll. « Études hagiographiques » (no IV), , 37 p., In-8° (BNF 31032803).
  • St Melaine est-il nĂ© Ă  PlĂ©lauff ? origine d'une tradition (Extrait des MĂ©moires de l'Association bretonne, congrès de Lamballe, septembre 1907), Nantes, L. Durance, coll. « Études hagiographiques » (no V), , 10 p., In-8° (BNF 31032804).
  • Un livre d'histoire (Compte rendu des MĂ©langes d'histoire bretonne, VIe-XIe siècle par Ferdinand Lot. - Extr. de la "Revue de Bretagne), Paris, Nanterre, Vannes, H. Champion, M. Le Dault, Lafolye frères, , 20 p., 25 cm (BNF 35716930).
  • Saint Benoit de MacĂ©rac (IXe siècle) (Extrait du Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique de Nantes, T. LI, 1910), Nantes, L. Durance, coll. « Études hagiographiques » (no VI), , 22 p., In-8° (BNF 31032805).
  • Vie inĂ©dite de saint Cunwal : publiĂ© avec un commentaire (Contient la "Vita sancti Cunuali" (texte en latin). - Extrait de la "Revue celtique", tome XXXII), Paris, H. Champion, coll. « Études hagiographiques » (no VII), , 30 p., 23 cm (SUDOC 099140225, lire en ligne).
  • Le culte des Sept Saints de Bretagne au Moyen Ă‚ge (Extr. des MĂ©moires de la Soc. d'Ă©mulation des Cotes du Nord, t. 49), Nantes, L. Durance, coll. « Études hagiographiques » (no VIII), , 16 p., 24 cm (SUDOC 099140187).
  • Les ÉvĂŞques de LĂ©on aux Xe et XIe siècles (Extrait des «MĂ©moires de l'Association bretonne», Congrès de Saint-Pol-de-LĂ©on, septembre 1911), Nantes, L. Durance, , 12 p., In-8° (BNF 34104658).
  • L'histoire de Cornouaille, d'après un livre rĂ©cent (Compte rendu de "MĂ©langes d'histoire de Cornouaille" (Ve – XIe siècle), par Robert Latouche, Paris, Champion , 1911. - Extrait du : "Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique du Finistère",ISSN 0249-6763, tome XXXIX, 1912), ?, ?, , 24 p., 25 cm (SUDOC 11954654X).
  • Étude juridique sur les sĂ©nĂ©chaux de Bretagne, des origines au XIVe siècle (Thèse : Droit : UniversitĂ© de Paris, FacultĂ© de droit : 1913), Paris, Fontemoing, , 253 p., 25 cm (SUDOC 018371329).
  • Notes sur la vie de saint Gildas, Nantes, L. Durance, coll. « Études hagiographiques » (no IX), , 38 p., In-8° (BNF 31032806).
  • Saint Viau (En annexe, textes en latin. - Extrait du Bulletin de la Soc. archĂ©ol. de Nantes tome 54), Nantes, L. Durance, coll. « Études hagiographiques » (no X), , 32 p., 25 cm (SUDOC 119545411).
  • NĂ©crologe de l'Abbaye de LandĂ©venec (Contient l'"Extrait du NĂ©crologe de l'Abbaie de LandĂ©venec" en latin. - Extrait du "Bulletin diocĂ©sain d'histoire et d'archĂ©ologie", de Quimper et de LĂ©on), Quimper, Typ. de Kerangal,, , 19 p., 23 cm (SUDOC 119545888).
  • La date de la mort d'Alain III, duc de Bretagne (Extrait des "MĂ©moires de la SociĂ©tĂ© d'Ă©mulation des CĂ´tes-du-Nord", tome LI, 1913), Saint Brieuc, impr. F. Guyon, , 24 cm (SUDOC 119547015).

Articles et ouvrages collectifs

  • avec Ethel C. Fawtier-Jones, « La Vita ancienne de Saint Corentin », MĂ©moires de la SociĂ©tĂ© d'histoire et d'archĂ©ologie de Bretagne, t. VI,‎ , p. 3-56 (lire en ligne).

Distinctions

Notes et références

Notes

  1. Moizan est parfois Ă©crit Moisan.
  2. Sa fiche du Livre d'Or de la Faculté de droit de Paris qui contient une photo portrait, précise qu'il a obtenu la « Croix de guerre avec étoile d'argent et étoile de bronze » et qu'il reçoit également la médaille militaire à titre posthume. Par ailleurs il est cité deux fois : 1 « A fait preuve d'une belle énergie et d'un sang-froid remarquable, en maintenant ses hommes dans la tranchée après l'explosion d'une mine allemande qui avait bouleversée une partie du parapet. A contribué au dégagement d'un blessé enseveli par l'explosion, malgré les gaz suffocants lancés par l'ennemi » ; et 2 « Sous-officier énergique et plein d"entrain donnant toujours à ses hommes le plus bel exemple de courage. Tombé glorieusement pour la France, le 14 juillet 19115 à Vienne-le-Château »[8].
  3. Le manoir de la Ville-aux-Veneurs, construit par son ancêtre Sébastien Mazan, il a ensuite appartenu à ses descendants Oheix puis Guillon. Cette famille en resta propriétaire jusque dans les années 1990[11].
  4. André Oheix n'ayant qu'un frère et une sœur ainée, son neveu Yves Guillon doit être un fils de sa sœur Jeanne.

Références

  1. Debary 2002, p. 451.
  2. Debary 2002, p. 452.
  3. Debary 2002, p. 453.
  4. Debary 2002, p. 454.
  5. Fawtier 1925, p. 3.
  6. Fawtier 1925, p. 4.
  7. François Duine, Bernard Heudré (éd.) et André Dufief (éd.), Souvenirs et observations de l'abbé François Duine, Rennes, Presses universitaires de Rennes, coll. « Mémoire commune », , 352 p. (EAN 9782753509603, lire en ligne), « Le vicariat de Guipel », §42-43 et notes 28 et 26.
  8. « Livre d'Or de la Faculté droit de Paris : Oheix (André, Marie, Maurice) », sur Nos ancêtres les poilus (consulté le ).
  9. Debary 2002, p. 457.
  10. Duine 1920, p. 247.
  11. « Un peu d'histoire de Trévé : Manoir de la Ville aux Veneurs » [PDF], sur Commune de Trévé, (consulté le ), p. 3.
  12. Debary 2002, p. 455.
  13. Chiara Garavaglia et Yves Morice, « Clôture et ouverture Landévennec et l’ouverture de la Bretagne au domaine culturel carolingien », dans Louis Lemoine et Bernard Merdrignac (dir.), Corona Monastica : Moines bretons de Landévennec : histoire et mémoire celtiques. Mélanges offerts au père Marc Simon, Rennes, Presses universitaires de Rennes, (EAN 9782753500280, lire en ligne), § 2.
  14. Philippe Guigon, « Aux origines du fonds Oheix », dans Louis Lemoine et Bernard Merdrignac (dir.), Corona Monastica : Moines bretons de Landévennec : histoire et mémoire celtiques. Mélanges offerts au père Marc Simon, Rennes, Presses universitaires de Rennes, (EAN 9782753500280, lire en ligne), p. 337-348.

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • François Duine, « Notice nĂ©crologique d'AndrĂ© Oheix », Revue Celtique, t. XXXVIII, no 21,‎ , p. 245-247 (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article.
  • Robert Fawtier, « Avant-Propos Ă  la Vita ancienne de Saint Corentin », MĂ©moires de la SociĂ©tĂ© d'histoire et d'archĂ©ologie de Bretagne,‎ , p. 3-5 (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article.
  • Yves Guillon, « La vie et l'oeuvre d'AndrĂ© Oheix, Ă©rudit et historien breton (1882-1915) », Bulletin et mĂ©moires de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique du dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine, no 79,‎ , p. 111-118 (prĂ©sentation en ligne).
  • Jean-Luc Deuffic, « Bibliographie d'AndrĂ© Oheix (1882-1915) relative Ă  l'hagiographie bretonne », Britannia Christian, no fascicule 1,‎ , p. 34.
  • Michel Debary, « AndrĂ© Oheix, Ă©rudit et historien de la Bretagne », MĂ©moires de la SociĂ©tĂ© d'histoire et d'archĂ©ologie de Bretagne, no 80,‎ , p. 451-458 (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article.
  • Philippe Guigon, « Aux origines du fonds Oheix », dans Louis Lemoine et Bernard Merdrignac (dir.), Corona Monastica, Rennes, Presses universitaires de Rennes, (ISBN 9782753500280, lire en ligne), p. 337-348. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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