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Affaire Gettliffe

L'affaire Gettliffe est une affaire de divorce, garde d'enfant qui s'est jouée entre Nathalie Gettliffe, Française, universitaire [2] et son ex-époux Scott Grant, Canadien, notamment de 2000 à 2006.

Affaire Gettliffe
Titre Nathalie Gettliffe contre Scott Grant
Tribunal
Date
Autre personne Églises du Christ internationales : religion de M. Grant
DĂ©tails juridiques
Voir aussi
Mot clef et texte Enlèvement : art. 283 Code criminel du Canada[1]

Cette affaire a été particulièrement médiatisée lors de l'arrestation de Nathalie Gettliffe en 2006 au Canada, qui lui a reproché d'avoir violé une décision de justice en emmenant leurs enfants en France. L'appartenance de Scott Grant à une Église du Christ internationale a été souvent évoquée par Nathalie Gettliffe pour expliquer son départ du Canada avec ses enfants - la France a établi dans les années 1990 une liste informative de mouvements sectaires où figure le mouvement dont cette Église fait partie.

En application de l'article 283 du Code criminel canadien, Nathalie Gettliffe était passible d'une peine de dix ans de prison[3]. Après négociation avec le père de ses enfants, Nathalie Gettliffe a accepté de plaider coupable. Elle a été condamnée à 16 mois de prison.

Chronologie des événements

De 1987 Ă  1999

2000 : année de la rupture conjugale

  • [7] : Ă©motionnellement instable, Nathalie Gettliffe sollicite le divorce, et comme ses sĹ“urs lors de chaque sĂ©paration, elle accuse le père des enfants d'attouchements sexuels sur sa fille, JosĂ©phine, âgĂ©e de cinq ans. La justice Canadienne ne croit pas Nathalie Gettliffe et confie la rĂ©sidence des enfants au père Scott Grant.

De 2001 Ă  2002

  • mai 2001[6] : Nathalie Gettliffe affirme avoir obtenu un poste d’enseignant chercheur Ă  l’UniversitĂ© de Victoria, alors qu'elle n'a pas encore soutenu sa thèse (elle le fera en prison en septembre 2006). Depuis, l'universitĂ© de Victoria a dĂ©menti cette information imaginaire.
  • [5] : Ordonnance de la Cour SuprĂŞme qui interdit aux deux parents de dĂ©placer [les enfants] sans un protocole d’entente signĂ© par les deux parties ou une ordonnance du juge. Veuillez, Scott Alfred Grant et Nathalie Jeanne Grant, prendre note que si vous refusez ou nĂ©gligez d’obĂ©ir aux termes de la prĂ©sente ordonnance, vous serez arrĂŞtĂ© par un agent de la paix ou un agent de la garde royale du Canada. Nathalie Gettliffe de remettre les passeports des enfants .
  • Ă©tĂ© 2001[5]: La Cour autorise Nathalie Gettliffe Ă  venir pour les vacances en France avec ses enfants pour le mariage de sa sĹ“ur, Claire Gettliffe. Ă€ son retour Ă  Vancouver, la Cour doit statuer sur une demande de Nathalie Gettliffe de repartir en France pendant un an avec ses enfants. Scott Grant propose de lui donner son accord si elle accepte de lui verser 40 000 dollars. Nathalie Gettliffe refuse le chantage.
  • [5] : Ordonnance refusant Ă  Nathalie Gettliffe de pouvoir partir un an en France avec ses enfants.
  • [5] : Nathalie Gettliffe quitte le Canada avec les deux enfants, direction la France, ce qui est constitutif d'un dĂ©placement illicite au regard de la dĂ©cision de justice et de la Convention de La Haye.
  • [7] : Une ordonnance provisoire de la Cour suprĂŞme de la Colombie-Britannique :
    • attribue l’autoritĂ© parentale exclusive de Maximilien et JosĂ©phine Ă  Scott Grant et fixe chez lui la rĂ©sidence des enfants
    • dĂ©cerne un mandat d’arrĂŞt Ă  l’encontre de la mère pour outrage Ă  la Cour, en raison de la violation de l’interdiction judiciaire de quitter la Province.
  • [4]: Scott Grant se dĂ©place Ă  Satillieu, Ardèche, pour voir ses enfants. Il est accueilli par des amis de Nathalie Gettliffe armĂ©s de barres de fer, et il ne peut rencontrer ses enfants.
  • : Ouverture d'une instruction par le juge aux affaires familiales de Privas, dans l'Ardèche, en France.
  • : Ordonnance de mĂ©diation. Le juge aux affaires familiales de Privas confie le dossier Ă  la Mission d'aide Ă  la mĂ©diation internationale pour les familles (MAMIF).

De 2003 Ă  2005

  • : La cour suprĂŞme de Colombie-Britannique prononce le divorce de Nathalie Gettliffe et Scott Grant et demande le transfert des avoirs canadiens de JosĂ©phine Gettliffe, la mère de Nathalie Gettliffe, Ă  Scott Grant pour un montant de 80 000 dollars.
  • [7] : Le jugement du tribunal de grande instance de Privas ordonne le retour des enfants au Canada en application de la Convention de La Haye de 1980.
  • [7] - [5] : La dĂ©cision est confirmĂ©e par l’arrĂŞt de la cour d'appel de NĂ®mes, dans le Gard, en France. La cour d'appel de NĂ®mes confirme une dĂ©cision du tribunal de grande instance de Privas du , qui ordonne Ă  Mme Gettliffe de rendre Maximilien et JosĂ©phine Ă  leur père en Colombie-britannique. Lors du jugement rendu par la cour d'appel de NĂ®mes les magistrats indiquent : « En dĂ©finitive, l'important dossier versĂ© aux dĂ©bats devant la cour sur les sectes et leur caractère dangereux cache en rĂ©alitĂ© une divergence importante entre les parents sur leur mode de vie respectif » et « La pĂ©tition de plus de 3 000 signatures Ă  l'initiative de l'association crĂ©Ă©e pour « protĂ©ger Maximilien et JosĂ©phine », obtenue « pour que la cour d'appel prenne en compte l'intĂ©rĂŞt rĂ©el des enfants », caractĂ©rise davantage une volontĂ© de pression sur la juridiction saisie dans le cadre de l'exĂ©cution et de l'interprĂ©tation d'une convention internationale, par l'instrumentalisation des enfants et la diabolisation de leur père, qu'une volontĂ© de compassion et d'aide Ă  leur Ă©gard… »[8].
  • [9] - [10] : annulation de l'ordonnance du par la Cour SuprĂŞme de Colombie-Britannique.
    • le mandat d'arrĂŞt Ă©mis contre Nathalie Gettliffe est levĂ©,
    • la garde exclusive des enfants est rĂ©voquĂ©e.
  • Septembre 2004[9] : Scott Grant accepte la mĂ©diation des deux nĂ©gociatrices de la MAMIF, Pamela Jeffrey, Ă  Vancouver, et Marianne Souquet, d'Aix-en-Provence.
  • Mai 2005[9] : selon Nathalie Gettliffe, un protocole d'accord se dessine.
  • Juin 2005[9] : Scott Grant vient passer plusieurs jours en France, auprès de ses enfants, proche de Satillieu.
  • : naissance de Jean-Philippe, fils de Nathalie Gettliffe et Francis Gruzelle.
  • : ordonnance revenant sur la dĂ©cision du .

2006

  • Janvier 2006 : La situation de la mĂ©diation. Deux versions :
    • Selon [7], la mĂ©diation conduite sous l'Ă©gide de la Mission d'aide Ă  la mĂ©diation internationale pour les familles a Ă©tĂ© interrompue le 17 janvier, les parties prĂ©venues par les mĂ©diatrices par courrier Ă©lectronique, et les mĂ©diatrices ont confirmĂ© cet arrĂŞt le 9 fĂ©vrier.
    • Selon [9], la mĂ©diation a abouti Ă  un accord disposant que les deux enfants resteraient au domicile de leur mère, avec droit de visite, de tĂ©lĂ©phone et d'accueil pour le père, tant en France qu'au Canada, et le protocole a Ă©tĂ© transmis par l'ambassade du Canada.
  • 14 fĂ©vrier[7] : rejet du pourvoi en cassation formĂ© par Nathalie Gettliffe (contre l'arrĂŞt de la cour d'appel de NĂ®mes ordonnant le retour des enfants au Canada). Et le , la Colombie-Britannique a renouvelĂ© sa demande de retour des enfants au Canada, en vertu de la Convention de La Haye. »[11]
  • 10 avril : Nathalie Gettliffe se rend au Canada et est arrĂŞtĂ©e.
    • Selon [7] : Elle est allĂ©e au Canada passer une thèse. Elle s’est rendue Ă  une convocation de la police de Vancouver oĂą elle a Ă©tĂ© arrĂŞtĂ©e. Elle avait souhaitĂ© et obtenu la prĂ©sence d’un reprĂ©sentant du consulat de France sur place.
    • Selon [9] : Nathalie Gettliffe se rendait au Canada pour finaliser l'accord avec son ex-conjoint et mettait Ă  profit ce voyage pour valider son doctorat. Elle est arrĂŞtĂ©e Ă  sa descente d'avion Ă  Vancouver. Mais le mandat d'arrĂŞt sur lequel se fondait son arrestation avait Ă©tĂ© annulĂ©. Elle a Ă©tĂ© libĂ©rĂ©e puis convoquĂ©e 36 heures plus tard et un nouveau mandat d'arrĂŞt avait Ă©tĂ© Ă©mis. ArrivĂ©e Ă  la police, elle a Ă©tĂ© incarcĂ©rĂ©e Ă  la suite[12] d'un mandat d'arrĂŞt dĂ©livrĂ© Ă  la suite de l'intervention de Mike Luchenko, General Attorney, compagnon de la mère de Scott Grant.
  • 10 avril[5] : IncarcĂ©ration de Nathalie Gettliffe Ă  la prison de Surrey. Elle est enceinte de 4 mois.
  • 24 mai[7] - [13] : Nathalie Gettliffe est transfĂ©rĂ©e au centre d’Alouette River, Ă  environ 60 km de Vancouver. Durant son incarcĂ©ration, elle soutient sa thèse.
  • : Maximilien et JosĂ©phine sont localisĂ©s par la gendarmerie dans les Alpes françaises et sont renvoyĂ©s au Canada en l'application de la dĂ©cision française. Ils vivent chez leur père en Colombie-Britannique.
  • 25 septembre[14] : sortie du livre Lettres de prison entièrement Ă©crit par Francis Gruzelle pour les Ă©ditions Michel Lafon.
  • 26 septembre[13] : naissance de Martin, fils de Francis Gruzelle et de Nathalie Gettliffe. Cette dernière, une fois revenue au centre des Alouettes, est transfĂ©rĂ©e dans une cellule pour elle et son bĂ©bĂ©.
  • : Une nĂ©gociatrice canadienne se prĂ©sente Ă  la prison d'Alouette River et propose Ă  Nathalie Gettliffe de lever toutes les accusations contre elle si cette dernière accepte de rester vivre au Canada auprès de Maximilien et JosĂ©phine. Nathalie Gettliffe refuse ce chantage.
  • 3 novembre[15] : lors d'une audition prĂ©paratoire du procès prĂ©vu pour le , Nathalie Gettliffe plaide coupable d'enlèvement. La dĂ©fense nĂ©gocie avec la Couronne une peine maximum de 24 mois de prison. Lors de cette audience Ă  laquelle il assistait, le père des deux enfants « a accusĂ© son ex-Ă©pouse d'avoir manipulĂ© l'opinion publique et les mĂ©dias français en propageant des allĂ©gations erronĂ©es sur lui et l'Église du Christ de Vancouver. »
  • 14 novembre[16] : Ă  la suite d'une action au civil de Nathalie Gettliffe, la justice canadienne lui refuse la garde conjointe de Maximilien et JosĂ©phine, temporairement, puisqu'il est probable que d'autres dispositions seront prises une fois Nathalie Gettliffe jugĂ©e au pĂ©nal pour l'enlèvement de ses enfants.
  • 30 novembre et 1er dĂ©cembre[17] : La procureure Gail Dickson requiert une peine de deux ans de prison assortie de trois ans de mise Ă  l'Ă©preuve (probation avec conditions) contre Nathalie Gettliffe en prison depuis huit mois. La procureure justifie cette rĂ©quisition par l'absence de remords de l'accusĂ©e et par les risques de rĂ©cidive, quoique l'accusĂ©e ait plaidĂ© coupable. Nathalie Gettliffe dĂ©clare : « Je voudrais prĂ©senter mes excuses Ă  mes enfants et Ă  leur père. J'assume pleinement la responsabilitĂ© de mes actes. »
  • 4 dĂ©cembre[18]: Nathalie Gettliffe est condamnĂ©e Ă  seize mois de prison et Ă  trois ans de mise Ă  l'Ă©preuve. La juge Marvyn Koenigsberg a crĂ©ditĂ© de dix mois le temps de prison effectuĂ©. C'est donc une peine de six mois que Nathalie Gettliffe doit encore purger. L'ordonnance de jugement note dans ces motivations qu'il subsiste un doute concernant les agressions sexuelles que Scott Grant aurait perpĂ©trĂ© envers sa fille, JosĂ©phine Grant.
  • 16 dĂ©cembre[19] : demande de transfert de Nathalie Gettliffe vers la France.
  • 22 dĂ©cembre : arrivĂ©e de Nathalie Gettliffe sur le sol français et incarcĂ©ration Ă  la prison de Fleury-MĂ©rogis, qui dispose des Ă©quipements nĂ©cessaires aux nourrissons. Le juge d'application des peines refuse de statuer sur la demande de libertĂ© dĂ©posĂ©e par l'avocat de Nathalie Gettliffe. Trois jours de permission ont Ă©tĂ© accordĂ©s Ă  Nathalie Gettliffe pour les fĂŞtes de NoĂ«l et trois autres pour le nouvel an.
  • 27 dĂ©cembre[20] : Le juge d'application des peines examinera la demande de mise en libertĂ© conditionnelle le .

2007

  • 2 janvier[21] : Elle regagne la prison après sa permission de sortie accordĂ©e pour le nouvel an.
  • 13 janvier[22] : Nathalie Gettliffe est libĂ©rĂ©e.
  • [23] : La juge Nicole Garson du tribunal des affaires familiales de Vancouver (ouest) a exhortĂ© M. Grant Ă  organiser une fois par semaine un appel tĂ©lĂ©phonique ou une conversation via webcam de vingt minutes entre les enfants et leur mère, Ă  la condition que la conversation se dĂ©roule en anglais et que le père soit autorisĂ© Ă  l'interrompre si Mme Gettliffe le critiquait personnellement ou si elle Ă©voquait les questions de garde ou de retour en France des enfants.
  • 21 mars[24] : Les deux sĹ“urs de Nathalie Gettliffe ont Ă©tĂ© placĂ©es en garde Ă  vue en Ardèche, le mardi , dans le cadre d'une information judiciaire ouverte pour sĂ©questration et enlèvement d'enfants, a affirmĂ© Ă  l'AFP Me Dominique Chambon.
  • 25 mai[25] : Nathalie Gettliffe donne une confĂ©rence de presse pour la sortie du livre Mère interdite, entièrement Ă©crit par Jacques Lesinge pour les Ă©ditions Michel Lafon.

2014

  • , Francis Gruzelle porte plainte contre Nathalie Gettliffe, qui ne ramène pas les enfants Jean-Philippe et Martin Gruzelle en Ardèche, Ă  l'issue de son mois de droit de visite Ă  Strasbourg[26]. Les enfants Ă©taient domiciliĂ©s chez le père depuis le dĂ©but de l'annĂ©e 2014. Ă€ la suite de ce nouvel incident, la juge des enfants place Jean-Philippe et Martin Ă  la Maison Pour Vivre de Tournon-sur-RhĂ´ne, oĂą ils sĂ©journent depuis six ans.
  • 14 novembre 2014 : le dĂ©putĂ© maire PS d'Annonay Olivier Dussopt interdit dans sa ville la tenue d'une confĂ©rence du faux mĂ©decin Omar El Katab Erkat et de Nathalie Gettliffe, intitulĂ©e "GuĂ©rir l'autisme" et qui devait se tenir au château de DĂ©omas, sans l'accord prĂ©alable de la mairie. Cette interdiction vise Ă  Ă©viter des troubles Ă  l'ordre public, vu le passĂ© sulfureux d'Omar El Katab Erkat et de Nathalie Gettliffe[27].


http://dictionnaire.sensagent.leparisien.fr/Affaire%20Gettliffe/fr-fr/

Notes et références

  1. « Enlèvement
    283. (1) Quiconque, étant le père, la mère, le tuteur ou une personne ayant la garde ou la charge légale d’une personne âgée de moins de quatorze ans, enlève, entraîne, retient, reçoit, cache ou héberge cette personne, qu’il y ait ou non une ordonnance rendue par un tribunal au Canada relativement à la garde de cette personne, dans l’intention de priver de la possession de celle-ci le père, la mère, le tuteur ou une autre personne ayant la garde ou la charge légale de cette personne est coupable :
    a) soit d’un acte criminel passible d’un emprisonnement maximal de dix ans;
    b) soit d’une infraction punissable sur déclaration de culpabilité par procédure sommaire.
    Consentement du procureur général
    (2) Aucune poursuite ne peut être engagée en vertu du paragraphe (1) sans le consentement du procureur général ou d’un avocat qu’il mandate à cette fin.
    L.R. (1985), ch. C-46, art. 283; 1993, ch. 45, art. 5. » (art. 283 code criminel du Canada - lire en ligne)
  2. Conférence à l'université de Strasbourg
  3. Art.282 et 283 du Code criminel canadien justice.gouv.qc.ca
  4. Lettres de Prison, de Nathalie Gettliffe, Ă©d. Michel Lafon
  5. Journal Le Monde, 2 mai 2006 lemonde.fr pages.usherbrooke.ca
  6. Au moment de l'affaire, un site avait été créé en soutien de Nathalie Gettliffe par sa famille : nathalie-gettliffe.com
  7. Communiqué du ministère des Affaires étrangères et du ministère de la Justice, 21 septembre 2006
  8. Le Dauphiné libéré, 24 juillet 2004, mentionné sur le site http://prevensectes.me/rev0407.htm
  9. Lettres de prison, Nathalie Gettliffe, Ă©d. Michel Lafon, p. 31-32
  10. « Nouvel Observateur, 12 mai 2006 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
  11. « En prison pour ses enfants - L'Express »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
  12. Lettres de prison, Nathalie Gettliffe, Ă©d. Michel Lafon, p. 35
  13. The Globe and Mail, 3 novembre 2006
  14. « Les livres de l'auteur : Francis  Gruzelle - Decitre - 11372567 », sur www.decitre.fr (consultĂ© le )
  15. (Reuters - 03/11/2006 ; 23:35) La Tribune, 3 novembre 2006 « http://www.latribune.fr/info/Nathalie-Gettliffe-plaide-coupable-d-enlevement-au-Canada-~-OFRTP-FRANCE-CANADA-GETTLIFFE-20061103TXT-$Db=News/News.nsf »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
  16. (AFP - 14/11/2006 ; 22:01) Journal Le Monde, 14 novembre 2006
  17. « L'Express »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Tageblatt.lu et Tf1
  18. Le Figaro du 4 décembre 2006
  19. « Communiqué AFP 16.12.2006 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
  20. « Tageblatt »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
  21. Libération et 7sur7
  22. l'amertume
  23. Scotte Grant devrait organiser des discussions entre les deux enfants et leur mère
  24. les deux sœurs de Nathalie Gettliffe mises en garde à vue
  25. Conférence de presse de Nathalie Gettliffe pour l'annonce de la sortie de son deuxième livre
  26. « Nathalie Gettliffe à nouveau visée par une plainte pour «non-représentation d’enfant» », sur www.20minutes.fr (consulté le )
  27. « région Express. Conférence sur l’autisme annulée : la réponse des conférenciers au maire », sur www.ledauphine.com (consulté le )

24 https://www.20minutes.fr/societe/1432091-20140825-nathalie-gettliffe-nouveau-visee-plainte-non-representation-enfant

Ouvrage

  • Lettres de prison, Nathalie Gettliffe, traitĂ©e comme une criminelle pour avoir voulu protĂ©ger ses enfants, Nathalie Gettliffe, Francis Gruzelle (prĂ©face), Michel Lafon, Documents
  • Mère interdite, Nathalie Gettliffe, Michel Lafon 2007
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