1521 en santé et médecine
Chronologies
1518 1519 1520 1521 1522 1523 1524 Décennies : 1490 1500 1510 1520 1530 1540 1550 Siècles : XIVe XVe XVIe XVIIe XVIIIe Millénaires : -Ier Ier IIe IIIe |
Événements
- L'expertise des deux médecins qui certifient que la maladie du cardinal Domenico Grimani l'oblige à se retirer du conclave n'est pas contestée[1].
- Dans des lettres au cardinal Pietro Bembo, le médecin, naturaliste, philosophe et poète Girolamo Fracastoro décrit une maladie encore inconnue, venue du Nouveau Monde, qu'il nomme pour la première fois syphilis et sur laquelle il publiera, en août à Vérone, un poème intitulé Syphilidis, sive morbi gallici, libri tres[2].
- 1521- : Nostradamus prépare le baccalauréat à l'université de Montpellier où, réinscrit de à , il obtiendra le grade de docteur en médecine[3].
Fondations
- À l'initiative d'Ettore Vernazza (it) et Marie Laurence Longo, « le vice-roi Raimondo Cardona pos[e] la première pierre de l'hôpital de la Sainte-Maison des Incurables, à Naples[4] - [5] ».
- Premiers règlements connus pour les examens pharmaceutiques au Portugal[6].
Publication
- Les Commentaires sur Mondino de Jacopo Berengario da Carpi (1460-1530[7]).
Naissance
Décès
- Andrea Alpago (né vers ), médecin et arabisant italien[9].
Références
- Elisa Andretta, « Les Médecins du conclave : L'Élection pontificale entre médecine et politique au début de l'époque moderne », Chrétiens et sociétés, no 19 « Médecine et religion », , p. 17-38, « Médecins en conclave » [§ 3 en ligne] (lire en ligne).
- (en) Camillo Di Cicco, « Hieronymus Fracastorius », Science 2.0, (lire en ligne).
- Robert Benazra, L'Étudiant en médecine Michel de Nostredame (1521-1533) : Contribution biographique, Centre universitaire de recherche en astrologie, (lire en ligne).
- Sergio Rocchietta, « La Pharmacie des Incurables de Naples et la Céramique napolitaine du XVIIIe siècle [compte rendu, référence : (it) Guido Donatone, La farmacia degli Incurabili e la malolica napoletana del Settecento, Naples, éd. del Delfino, , 55 p., in-8°, 32 pl. h.-t. et coul.] », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 63, no 225, , p. 435 (lire en ligne).
- (en) David Gentilcore, Healers and Healing in Early Modern Italy, Manchester et New York, Manchester University Press, , 240 p. (ISBN 0-7190-4199-6, lire en ligne), chap. 5 : « Hospitals, poor relief and health care », p. 126.
- Raïssa Bloch, « À quelle date les examens des pharmaciens ont-ils été inaugurés au Portugal ? [compte rendu, référence : (pt) Guilherme de Barros e Cunha, « [titre inconnu] », Noticias farmaceuticas, Coïmbre, nos 3-4, , p. 94-98] », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 24, no 95, , p. 363-364 (lire en ligne).
- Rafael Mandressi, « De l'œil et du texte : Preuve, expérience et témoignage dans les « sciences du corps » à l'époque moderne », Communications, no 84 « Figures de la preuve », , p. 106 (lire en ligne).
- (en) Abdul Haq Compier, « Epilepsie in de Sestiende eeuw : De Observationes van Pieter van Foreest [compte rendu, référence : (nl) Gesiena Marijtje Pauline Loots (trad. du latin), Epilepsie in de zestiende eeuw : De observationes van Pieter van Foreest, Rotterdam, Erasmus Publishing, , 329 p. (ISBN 978-90-5235-189-6)] », Medical History, vol. 54, no 2, , p. 277-278 (lire en ligne).
- (it) Giorgio Levi della Vida, « Alpago, Andrea », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 2, Treccani, (lire en ligne).
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