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Éditeur de logiciel

entreprise réalisant des logiciels

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Un Ă©diteur de logiciel est une entreprise qui assure la conception, le dĂ©veloppement et la commercialisation de produits logiciels. Elle peut confier la mise en Ĺ“uvre, l'intĂ©gration et la personnalisation (« customisation Â» en anglais) Ă  des entreprises de services du numĂ©rique.

Sommaire

Aspects terminologiques

DĂ©veloppeur : personne qui dĂ©veloppe les logiciels (par exemple, les Ă©diteurs Larousse et Robert s'occupent du dĂ©veloppement des versions numĂ©riques de leurs dictionnaires). L'utilisation du mot dĂ©veloppeur pour la personne qui programme au lieu du mot programmeur est une utilisation familière venant de l'anglais.

Éditeur informatique : logiciel d'Ă©dition informatique (ex. : Ă©diteur de texte)

Le terme Ă©diteur en langue française ne doit pas ĂŞtre confondu avec le mot anglais editor, qui s'applique au processus d'Ă©dition : text editor, HTML editor… L'Ă©quivalent en anglais d'un Ă©diteur de logiciel est « software vendor Â».

Activité

L'Ă©dition logicielle peut ĂŞtre divisĂ©e en deux catĂ©gories principales, celle des logiciels dits « horizontaux Â» ou « de base Â», ou encore « d'infrastructure Â», et celle des logiciels dits « verticaux Â» ou « d'application Â».

Logiciels d'infrastructure

Logiciels d'application

Les Ă©diteurs de logiciels d'application proposent des logiciels « standard Â», paramĂ©trables en fonction des besoins des clients, et comportant des modules correspondant aux grandes fonctions de l'entreprise, tels :

Ces logiciels sont appelĂ©s progiciels. Le mot progiciel est un mot-valise rĂ©sultat de la contraction des mots produit et logiciel. Lorsque ces progiciels ont vocation Ă  couvrir toute l'activitĂ© de l'entreprise, ils sont appelĂ©s « progiciels de gestion intĂ©grĂ©s Â». Le logiciel n'Ă©tant pas un produit matĂ©riel, la commercialisation par les Ă©diteurs consiste pour ĂŞtre prĂ©cis, en la cession de droits d'utilisation selon une licence, rĂ©gie par le Code de la PropriĂ©tĂ© Industrielle Ă  travers le droit d'auteur.

La mise en Ĺ“uvre des progiciels d'un Ă©diteur peut ĂŞtre assurĂ©e par le client lui-mĂŞme, mais elle est souvent rĂ©alisĂ©e par des sociĂ©tĂ©s de services et d'ingĂ©nierie informatique, qui se chargent de certains Ă©tapes, telles : l'intĂ©gration de système, le paramĂ©trage des modules, le dĂ©veloppement des parties spĂ©cifiques, la formation ou la conduite du changement. Certains Ă©diteurs assurent des prestations de services complĂ©mentaires de leurs produits (formation, assistance technique après-vente). Il en existe aussi qui diffusent gratuitement des versions de base de leurs produits et dont le modèle Ă©conomique repose sur la vente d'options payantes et de services.

Économie du logiciel

Voici un premier éclairage du poids mondial des éditeurs de logiciel: les logiciels de jeux réalisaient un chiffre d'affaires mondial de 41,9 milliards d'euros en 2011[1], pendant que les dix premiers éditeurs de logiciel mondiaux cumulaient 87,549 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2010[2].

En France, le CA global des 100 premiers Ă©diteurs français de logiciel est de 6,6 milliards d’€ en 2014 (+6 %) Ă  contre-courant de la conjecture gĂ©nĂ©rale pour la 7e annĂ©e consĂ©cutive[3].

Syntec Numérique, TECH IN France et le SNJV sont des syndicats professionnels français représentant l'industrie du logiciel en France.

L'industrie du logiciel est maintenant regroupĂ©e dans une industrie plus large dite « du numĂ©rique Â», qui inclut les dĂ©veloppeurs d'applications, se reconnaissant peu sous la dĂ©nomination « Ă©diteur de logiciel Â». La dĂ©nomination « Ă©diteur de logiciel Â» reste principalement utilisĂ©e dans le domaine B2B tandis que la dĂ©nomination « dĂ©veloppeur d'application Â» est principalement utilisĂ©e dans le domaine B2C, que les logiciels soient dans le Cloud ou non.

Classement des 20 premiers Ă©diteurs de logiciels dans le monde en 2011[4]

Entreprise Pays Revenus issus des logiciels (en millions d'euros) Chiffre d'affaires total (en millions d'euros)
1- Microsoft États-Unis 32 686 42 504
2- IBM États-Unis 14 429 68 660
3- Oracle États-Unis 13 854 16 758
4- SAP Allemagne 8 111 10 672
5- DELL EMC (avec VMware et RSA) États-Unis 4 244 10 057
6- Symantec États-Unis 3 969 4 234
7- HP États-Unis 3 065 83 807
8- CA États-Unis 2 825 3 080
9- Intuit États-Unis 2 299 2 340
10- Adobe États-Unis 2 067 2 127
11- Apple États-Unis 1 529 26 965
12- Fujitsu (avec FSC) Japon 1 505 35 653
13- Sage Royaume-Uni 1 477 1 644
14- SAS États-Unis 1 475 1 656
15- BMC Software États-Unis 1 261 1 352
16- Cisco Systems États-Unis 1 261 26 551
17- NEC Japon 1 220 27 300
18- Hitachi Japon 1 162 68 330
19- Autodesk États-Unis 1 140 1 222
20- McAfee États-Unis 1 120 1 382

Classement des 10 premiers éditeurs de logiciels français en 2019[5]

Entreprise RĂ©gion CA Total 2018 (en millions d'euros)
Dassault Systemes IDF 3 090,8
Sopra Steria IDF 616,0
MUREX IDF 541,0
CEGID ARA 397,0
CEGEDIM IDF 382,8
Axway IDF 283,8
NEOPOST SA IDF 250,4
GFI INFORMATIQUE IDF 181,2
LINEDATA IDF 171,0
CLARANOVA IDF 159,5

Notes et références

  1. « titre inconnu Â»
  2. « Les 20 premiers Ă©diteurs de logiciels dans le monde Â», sur JDN, (consultĂ© le ).
  3. « Chiffres clefs des 100 premiers Ă©diteurs français de logiciel Â».
  4. « Les 20 premiers Ă©diteurs de logiciels dans le monde Â», sur www.journaldunet.com (consultĂ© le )
  5. « Truffle 100 classement Ă©diteur logiciel français Â», sur www.truffle100.fr (consultĂ© le )

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes