Wilaya d'Oum El Bouaghi
La wilaya d'Oum El Bouaghi (/u.mâżÉl.bwa.gi/ ) ; en berbĂšre : â”⎰â”â”⎰âŽčâ” â” â”┠⎻┠⎱â”⎰â”â” ; en arabe : ÙÙۧÙŰ© ŰŁÙ Ű§ÙŰšÙۧÙÙ) est une wilaya algĂ©rienne, issue du dĂ©coupage administratif de 1974 alors qu'elle dĂ©pendait de l'ancien dĂ©partement de Constantine.
Wilaya de Oum El Bouaghi (04) â”⎰â”â”⎰âŽčâ” â” â”┠⎻┠⎱â”⎰â”â” ÙÙۧÙŰ© ŰŁÙ Ű§ÙŰšÙۧÙÙ | |
Premier plan Sraouate, versant mĂ©ridional de l'Atlas tellien.ForĂȘt de Ksar Sbahi et sa plaine de Gourn | |
Localisation de la Wilaya d'Oum El Bouaghi | |
Administration | |
---|---|
Pays | Algérie |
RĂ©gion | AurĂšs |
Chef-lieu | Oum el Bouaghi |
DaĂŻras | 12 |
Communes | 29 |
Wali | Berimi Djamel-Eddine[1] |
Code wilaya | 04 |
Wilaya depuis | 1974 |
DĂ©mographie | |
Population | 621 612 hab. (2008[2]) |
Densité | 81 hab./km2 |
Rang | 28e |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 35° 53âČ nord, 7° 07âČ est |
Superficie | 763 800 ha = 7 638 km2 |
Rang | 23e |
Son chef-lieu, Oum El Bouaghi (ex Canrobert), Ă©tait un petit village avant son choix comme siĂšge de la wilaya : il ne fallait pas choisir entre les deux villes de AĂŻn BeĂŻda[3] - [4] et AĂŻn M'Lila[5].
Historiquement, elle fait partie de la rĂ©gion des Chaouis avec la wilaya de Batna et la wilaya de Khenchela. Contrairement Ă ces deux derniĂšres qui constituent les montagnes des AurĂšs, la wilaya d'Oum El Bouaghi est au cĆur de la culture chaouia de plaine.
GĂ©ographie
Localisation
Relief
La wilaya est située au contact du Tell et des AurÚs :
- au nord de la wilaya, on distingue les versants méridionaux du Tell, ce sont les Sraouate, terres de transition, ni telliennes, ni steppiques.
- au centre, la haute plaine, l'altitude varie de 750 mÚtres à 900 mÚtres et parsemées parfois de puissants massifs montagneux isolés (horst) qui se dressent au-dessus de celle-ci.
Le point culminant de la wilaya est le Djebel Guerioun[6], 1 729 mÚtres d'altitude prÚs de Aïn M'lila. Il est aussi le plus élevé des hauts plateaux orientaux, le Djebel Sidi Rgheiss 1 635 mÚtres d'altitude, le Djebel Tolba, le Djebel Nif Ensser à 1 540 mÚtres au sud de Ain Mlila, le Djebel Fortas 1 477 mÚtres, le Djebel Ras Erihane 1 426 mÚtres, au sud de Ain Kercha, le Djebel Hanou Kebir à 1 345 mÚtres et le Rherour 1 273 mÚtres. Ceux-là forment l'extension ouest de l'AurÚs.
Plus Ă l'est le Djebel Serdies qui culmine Ă un peu plus de 1 455 mĂštres en limite de la wilaya de Tebessa et le Amama 1 337 mĂštres.
Au sud, les zones des seboukhate est jalonnée par des dépressions endoréiques (Guerah) ou Sebkha (lac salé). Les Guerah sont moins salées que les Sebkhas[7] - [8].
Le réseau hydrographique est en majorité formé d'oueds endoréiques qui coulent en direction des lacs salés et non vers la mer Méditerranée, sauf l'oued Settara qui se jette dans l'oued Cherf puis l'oued Seybouse, l'oued Boumerzoug, affluent du Rummel[7] - [8], l'oued Sigus et l'oued Meskiana qui se déverse dans l'oued Mellegue.
Sols
Les montagnes telliennes au nord de la wilaya sont calcaires argileux. Sur les piémonts des horsts (isolats montagneux au-dessus de la haute plaine), de beaux sols limoneux de couleur saumon se sont formés grùce à l'apport de l'érosion des montagnes environnantes et de son épandage sur les hautes plaines.
Ils se dĂ©gradent Ă mesure que l'on se rapproche des lacs salĂ©s. Les massifs montagneux sont parfois recouverts de forĂȘts claires de chĂȘnes verts, genĂ©vriers de PhĂ©nicie, olĂ©astres et de pins d'Alep issus de reboisements et quelques Ăźlots de cĂšdres au Djebel Sidi Reghis.
Sur les sols argileux et plus salés, aux abords du Chott Gerùa EtTarf, poussent l'armoise blanche (artesemia), au fort parfum, souvent confondue avec le thym.
L'Ă©rosion est trĂšs forte dans cette rĂ©gion ; la combinaison sols nus et pluviomĂ©trie violente sur une courte durĂ©e Ă©rode rapidement les sols qui Ă terme forment des ravinements.La forĂȘt ne reprĂ©sente que 13 % de la superficie de la wilaya.
Climat
La wilaya d'Oum El Bouaghi est située dans un couloir entre l'Atlas tellien au nord, l'Atlas saharien dont les AurÚs au sud. Le facteur vent est omniprésent parfois de maniÚre violente (effet venturi).
Les influences mĂ©diterranĂ©ennes douces en hiver et rafraĂźchissantes en Ă©tĂ© sont arrĂȘtĂ©es par la barriĂšre montagneuse tellienne, les influences chaudes du Sahara sont bloquĂ©es par l'Atlas saharien et le massif des AurĂšs en hiver. C'est la raison pour laquelle les hivers sont rigoureux.
En revanche, l'été est régi par une stabilité atmosphérique engendrée par la remontée des hautes pressions tropicales venues du Sahara.De redoutables coups de Sirocco (chehili) se manifestent par à coup, il est souvent violent et soulÚve des tourbillons de poussiÚre rouge. La continentalité participe également au maintien du temps chaud et sec.
La pluviométrie est irréguliÚre, les pluies sont issues des perturbations venues du nord-ouest ou des dépressions méditerranéennes, celles-ci butent sur les chaßnons telliens au nord; 1 500 mm /an sur la presqu'ßle de Collo (épisodes telliens ; néologisme faisant référence aux épisodes cévenols au sud est de la France). Au contact de la montagne, la masse d'air s'élÚve et s'assÚche : cela engendre un effet de foehn sur la wilaya d'Oum el Bouaghi, il ne tombe plus alors que 400 à 450 mm /an de précipitations.La zone la plus humide est Ain El Borj[9], (daira de Sigus) avec 561 mm/an et à contrario 368 mm à Ouled Zouai [10] (Daira de Souk Naamane).
Seules les zones montagneuses au-dessus de 1 300 m reçoivent jusqu'à 700 mm/an[6] grùce aux ascendances orographiques, présence parfois de nuages uniquement au-dessus de ces montagnes, notamment l'ensemble Guérioun, Nif Ensser, Ras Erihane Fortas, le Tolba et Sidi Regheis.
C'est l'une des wilayas du nord les plus arrosées en juillet de toute l'Algérie avec une moyenne de 11 mm de précipitations pour ce mois à Oum el Bouaghi et 19 mm à Meskiana[11].
La wilaya est l'une des zones les plus foudroyées du Maghreb avec six impacts de foudre au km2 /an[12]). Le record en Afrique du Nord étant entre sept et huit impacts sur les AurÚs.
Le climat est de type semi-aride continental syrien ; les hivers sont froids; 8 jours de neige en moyenne par an Ă Ain Mlila. Beaucoup plus en altitude, 44,4 jours de gel par exemple Ă Ain Fakroun avec des Ă©pisodes neigeux parfois importants, Le manteau neigeux peut perdurer quelques semaines au-dessus de 1 500 mĂštres.
Des tempĂ©ratures de â16 °C furent relevĂ©es Ă Ain Beida[13] pendant la pĂ©riode coloniale.
Les Ă©tĂ©s sont trĂšs chauds et secs du fait de l'Ă©loignement de la mer avec une particularitĂ©, des orages peuvent se former grĂące Ă des gouttes froides en altitude, dĂ©pressions thermiques le plus souvent (abaissement de la pression en journĂ©e par la forte chaleur) ou des dĂ©bordements orageux en provenance des AurĂšs par marais baromĂ©trique, ils sont accompagnĂ©s de grĂȘle et de fortes prĂ©cipitations brĂšves et locales qui peuvent se manifester de maniĂšre violente mĂȘme en juillet et dĂ©but aoĂ»t, ce qui en fait une particularitĂ© locale car toute l'AlgĂ©rie du nord est soumise Ă une ariditĂ© estivale continue.
En conséquence, les étés sont trop chauds et secs et les hivers trop froids ; ici, la végétation ne trouve pas des conditions favorables pour sa croissance, la couverture végétale est xérophile (adaptée à l'aridité), l'arbre est absent, seules les plantes steppiques s'y adaptent bien. En revanche, les cultures de blé et de l'orge peuvent se faire sans irrigation sur ces vastes hautes plaines.
Zones humides
La wilaya de Oum-El-Bouaghi compte plusieurs zones humides dont trois principales Sebkhas ou Chotts : Guerrah Etarf, Guerrah El Guelif, Guerrah Ank Jemel El Merhssel, Sebkhet Ezzemoul et Chott Tinsilt.
Elles sont situées principalement dans la daïra d'Oum El Bouaghi. Ces zones humides sont d'importance mondiale[7] - [8]. Les zones humides de Oum-El-Bouaghi forment une zone humide protégée par la Convention de Ramsar.
Les flamants roses dâAlgĂ©rie (constitue la plus grande zone de nidification de flamants de la MĂ©diterranĂ©e)⊠Le pays est riche en zones humides qui jouent un rĂŽle important dans les processus vitaux. LâAlgĂ©rie renferme les plus importants zones humides du bassin mĂ©diterranĂ©en , non seulement en termes de richesse mais aussi en termes dâoriginalitĂ© et de raretĂ©, elle comprend plus dâun millier recensĂ©s dans tout le pays, dont 50 zones humides classĂ©s rĂ©serve de biosphĂšre par lâUNESCO.
Le lac salĂ© Mzouri / Sebkha dâEzzemoul, est un lac salĂ© exploitĂ© en partie pour lâextraction du sel, et constitue la plus grande zone de nidification de flamants de la MĂ©diterranĂ©e.. situĂ© au nord-est de lâAlgĂ©rie Ă Oum El Bouaghi dans la commune Ouled ZouaĂŻ est dâune superficie de 6 765 ha..
Histoire
DâaprĂšs les fouilles archĂ©ologiques et les Ă©tudes historiques, la rĂ©gion abrite des restes dâanimaux disparus et les traces des premiers hommes ainsi que dâautres intĂ©rĂȘts archĂ©ologiques, en plus des vestiges de la pĂ©riode romaine visibles Ă Sigus, Ksar Sbahi [14] et Dhalaa.
La wilaya est peuplée par les Chaouis dits des Plaines.
Administration et territoire
Walis
Le poste de wali de la wilaya d'Oum El Bouaghi a été occupé par plusieurs personnalités politiques nationales depuis sa création le par l'ordonnance no 74-69 qui réorganise le territoire algérien en portant le nombre de wilayas de quinze à trente et une.
N° | Wali | Début | Fin |
---|---|---|---|
1 | Ali Boukikaz[15] | [15] | |
2 | Mohamed Mourah[15] | [15] | [16] |
3 | Abderrezak Taleb Bendiab[16] | [16] | |
4 | Abdelkader Djakmine | ||
5 | Mohamed Ould Kada Bensenane | ||
6 | Tahar Sekrane | ||
7 | Brahim Merad | ||
8 | Omar Hattab | ||
9 | Hassan Hamadache | ||
10 | Mohamed Bouderbali | ||
11 | Abdelghani ZalĂšne | ||
12 | Mohamed Salah ManaĂą | ||
13 | Abdelhakim Chater | [17] | |
14 | Zine Eddine Tibourtine[17] | [17] | |
15 | Samir Nefla[18] | en cours |
DaĂŻras
La wilaya d'Oum El Bouaghi est composée de douze daïras.
Communes
La wilaya d'Oum El Bouaghi compte 29 communes.
Urbanisation
La wilaya, notamment habitĂ©e par la tribu des Haraktas, est une zone rurale caractĂ©risĂ©e par un habitat dispersĂ© oĂč des groupements de maisons (mechtas) paraissent assez denses.
La maison traditionnelle Chaoui des hautes plaines se compose d'une cour intĂ©rieure (houche) entourĂ©e de 3 ou 4 constructions : la cuisine, la piĂšce originelle du pĂšre et de la mĂšre, une autre pour les enfants mariĂ©s et les invitĂ©s, une piĂšce rudimentaire oĂč l'on cuit le pain, enfin les dĂ©pendances pour les animaux domestiques mais qui ne communiquent pas avec la cour centrale. Depuis, la maison des hautes plaines s'est modernisĂ©e ; c'est la maison Ă Ă©tages qui prĂ©vaut avec garages ou commerces au rez-de-chaussĂ©e.
La localisation des agglomérations se concentre généralement sur les piémonts du Tell comme Aïn M'lila, Aïn Kercha, Souk Naamane, Ksar Sbahi, ces villes se sont développées, grùce à des nappes phréatiques et aux sols riches limoneux descendus de ces massifs.
D'autres agglomérations plus importantes se sont développées aux pieds des horsts (massifs isolés) comme Oum el Bouaghi ou Aïn Beïda, elles bénéficient de l'axe routier entre Tebessa et Constantine.
Ressources hydriques
La wilaya recĂšle dâimportantes ressources en eau qui proviennent essentiellement des nappes aquifĂšres. La wilaya d'oum El Bouaghi comprend le barrage d'Ourkis[19]. Ce barrage fait partie des 65 barrages opĂ©rationnels en AlgĂ©rie[20] alors que 30 autres sont en cours de rĂ©alisation en 2015[21].
Santé
La wilaya compte sept hĂŽpitaux, 18 polycliniques et 107 salles de sont les hĂŽpitaux de la wilaya sont : l'HĂŽpital Mohamed Boudiaf d'Oum El Bouaghi, l'HĂŽpital ancien d'Oum El Bouaghi, l'HĂŽpital Zerdani Salah d'AĂŻn BeĂŻda, l'HĂŽpital de Meskiana, l'HĂŽpital de AĂŻn Mâlila et l'HĂŽpital de AĂŻn Fakroun.
Ăconomie
Le tissus économique et industriel de la wilaya est structuré autour de zones industrielles et zones d'activités:
- Zones industrielles : 2 zones dâune superficie de 292 ha.
- Zones dâactivitĂ©s : 20 zones dâune superficie de 409 ha dont 9 zones dĂ©jĂ viabilisĂ©es et 11 en cours.
Infrastructures
- ĂlectricitĂ© : 3 postes-sources et un rĂ©seau transport trĂšs dense (+1 100 000 m) en moyenne tension.
- Gaz naturel : de rĂ©elles possibilitĂ©s de mise sous gaz existent, dans la mesure oĂč la wilaya est traversĂ©e par un gazoduc de 20 pouces. Aussi, le potentiel Ă©nergĂ©tique a Ă©tĂ© renforcĂ© par la centrale â turbine Ă gaz de FâKirina, dâune puissance de 292,4 MW.
Transport routier
D'une longueur de 1 748,86 km, le rĂ©seau routier de la wilaya dâOum El Bouaghi, est un rĂ©seau maillĂ© Ă lâintĂ©rieur et offre une bonne desserte vers lâextĂ©rieur. Il est composĂ© de 414 km de routes nationales, 413 km de chemins de wilaya et 922 km de chemins communaux.
En outre, la wilaya est connue par lâabondance des gisements de dolomie et dâargile, des carriĂšres dâagrĂ©gats et sables, des marais salants et des gĂźtes pour la fabrication de ciments.
Agriculture
Le territoire de la wilaya dâOum El Bouaghi est constituĂ© de hautes plaines, aptes Ă recevoir diverses cultures. La superficie agricole utile (SAU) dâune superficie de 361 688 hectares reprĂ©sente 62,36 % de la superficie agricole totale, dont 35 520 ha de terre irrigables, ceci lui confĂšre de rĂ©elles possibilitĂ©s de mise en valeur agricol.
Tourisme
Un syndicat d'initiative est Ă la disposition des touristes pour tout renseignements[22]. La wilaya abrite des nombreux sites et monuments : vestiges romains Ă Ksar Sbahi et DhalĂąa, mausolĂ©es berbĂšres ainsi que d'autres sites touristiques. La wilaya possĂšde de nombreux atouts touristiques Ă exploiter: comme le parapente, activitĂ© nautique, randonnĂ©e et ascensions des monts, pĂȘche au barrage d'Ourkis, Ă©quitation, observation ornithologique au niveau des sebkha. Artisanat, gastronomie variĂ© Ă dĂ©couvrir, , etc.
Musique
La wilaya d'Oum El Bouaghi compte de nombreux artistes reconnus parmi lesquels le chantre de la chanson Chaoui, AĂŻssa Djermouni natif de AĂŻn BeĂŻda (Oum El Bouaghi).
En aoĂ»t 2009, l'ENTV (la tĂ©lĂ©vision publique algĂ©rienne), a diffusĂ© une sĂ©rie documentaire qui retrace sa vie[23], il est Ă©galement le premier artiste du monde arabe Ă s'ĂȘtre produit Ă l'Olympia, en France en 1937. La wilaya compte aussi d'autres artistes chanteurs Chaouis tel le groupe ThiguyĂšres[24] ainsi que la chanteuse Yamina plus connue sous le nom de Cheba Yamina et Djamel Sabri [25], chanteur dâexpression amazigh.
Galerie de photos
- Tell méridional sur les hauteurs de Ksar Sbahi, vue en direction du Nord
- Djebel Ennif Enser (bec d'aigle)
- La plaine de Bir Chahem au fond Sidi Reghis versant nord
- Oued Charef
- Chott Tinsilt
Notes et références
- « Installation des walis » sur le site du ministÚre de l'Intérieur et des collectivités locales.
- « Population rĂ©sidente des mĂ©nages ordinaires et collectifs selon la wilaya de rĂ©sidence et le sexe et le taux dâaccroissement annuel moyen (1998-2008) ». DonnĂ©es du recensement gĂ©nĂ©ral de la population et de l'habitat de 2008 sur le site de l'ONS.
- « Petite histoire de Ain Baida de Georges Cappolani. Ain Baida, La source blanche souvenirs d'en face. »
- « Ain Beida »
- Armand FrĂ©mont, « La rĂ©gion d'Ain Mlila dans les hautes plaines constantinoises », MĂ©diterranĂ©e, vol. 3, no 2,â , p. 29â64 (DOI 10.3406/medit.1962.1035, lire en ligne, consultĂ© le )
- Alain Marre et Yves Quinif, « Le Djebel GuĂ©rioun : Ă©tude gĂ©omorphologique et Ă©volution quaternaire d'un massif calcaire des hautes plaines constantinoises (AlgĂ©rie) », MĂ©diterranĂ©e, vol. 43, no 4,â , p. 3â13 (DOI 10.3406/medit.1981.2011, lire en ligne, consultĂ© le )
- « AurĂšs : Zoom sur les zones humides dâimportance internationale », sur aures.forumsrpg.com (consultĂ© le )
- « Ătude bioĂ©cologique de la faune Acridienne dans la Sebkha (RĂ©gion dâOum-El Bouaghi ), et rĂ©gime alimentaire de Calliptamus barbarus barbarus (Costa, 1836) et Ochrilidia geniculata(I.Bolivar 1913) » (consultĂ© le )
- « Climat Aïn El Bordj: Diagramme climatique, Courbe de température, Table climatique pour Aïn El Bordj - Climate-Data.org », sur fr.climate-data.org (consulté le )
- « Climat Ouled Zouai: Diagramme climatique, Courbe de température, Table climatique pour Ouled Zouai - Climate-Data.org », sur fr.climate-data.org (consulté le )
- « Meskiana - météo, climat, températures », sur www.levoyageur.net (consulté le )
- « Densité de foudroiment - Forum chasseurs d'orages », sur foudre.chasseurs-orages.com (consulté le )
- « Histoire de Ain Beida »
- Paul-Albert FĂ©vrier et Jean Marcillet-Jaubert, « Pierre sculptĂ©e et Ă©crite de Ksar Sbahi (AlgĂ©rie) », MĂ©langes d'archĂ©ologie et d'histoire, vol. 78, no 1,â , p. 141â185 (DOI 10.3406/mefr.1966.7512, lire en ligne, consultĂ© le )
- journal officiel du 10 avril 1979, page 7, site gazettes.africa, consulté le 14 octobre 2022.
- Journal officiel du 19 juin 1984, site joradp.dz, consulté le 16 octobre 2022.
- Le président Tebboune procÚde un remaniement partiel dans le corps des walis et des walis délégués, Agence APS, 26 janvier 2020.
- Le Président Tebboune opÚre un vaste mouvement dans le corps des walis et walis délégués, site aps.dz, 14 septembre 2022.
- « Les travaux achevés », sur Djazairess (consulté le )
- « aps.dz/economie/16069-le-taux-⊠»(Archive.org ⹠Wikiwix ⹠Archive.is ⹠Google ⹠Que faire ?).
- « Plus de 5 milliards de m3 dâeau des barrages dĂ©versĂ©s en mer !: Toute l'actualitĂ© sur liberte-algerie.com », sur http://www.liberte-algerie.com/ (consultĂ© le )
- « Accueil », Direction du Tourisme et de l'Artisanat de la Wilaya d'Oum El Bouaghi,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- « Dyana Guennous se confie », sur www.algerie-dz.com (consulté le )
- Lhiroquoa, « â« Les Thiguyeres âș1 Serah Chaoui (Tube !!) », (consultĂ© le )
- Vidéo chaoui, « Clip entier - Beshtola - Djamel Sabri - Les Berberes », (consulté le )
Bibliographie
- Adolphe-Laurent Joanne, Géographie de l'Algérie (avec une carte de l'Algérie et 23 gravures), Paris, Hachette Livre, , 172 p. (lire en ligne).
- Marc CĂŽte, Pays, paysages, paysans d'AlgĂ©rie, CNRS Ădition, 1996, 282 p.
- J.Carbonel,Le climat de l'Algérie Seltzer, 1946
Articles connexes
Liens externes
- Présentation de la wilaya d'Oum El Bouaghi sur le site du MinistÚre algérien de l'Intérieur et des Collectivités locales
- La loi no 84-09 du 4 fĂ©vrier 1984 relative Ă lâorganisation territoriale du pays modifiĂ©e et complĂ©tĂ©e JO no 6 du 07 fĂ©vrier 1984, Page 101 (Site officiel du ministĂšre de l'IntĂ©rieur)
- Ressource relative à la géographie :
- (en + zh-Hans) Mindat.org